Quand l'économie prend un tourant

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Quand l'économie prend un tourant
Accueil L'économie de la Thaïlande est à un tournant d'après des experts financiers
par Redaction Thaïlande 4 avril 2022
Par Redaction Thaïlande 4 avril 2022
Circulation à Bangkok. Photo : Thai PBS World
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La Thaïlande a pris du retard par rapport à ses rivaux asiatiques dans sa tentative d'échapper au piège des revenus moyens.
Selon un groupe d'experts qui débat de la relance économique après le Covid-19, le pays doit se liberer du piége.
Le Royaume doit accélérer la croissance du PIB et le développement durable dans l'ensemble de la société au milieu des conflits politiques mondiaux, de la transformation numérique et de la révolution de l'industrie énergétique, a déclaré Banyong Pongpanich, président de Kiatnakin Phatra Financial Group (KKP).
Banyong s'exprimait samedi lors du séminaire virtuel " C'est la fin de la ligne : Comment reconstruire l'économie thaïlandaise", organisé par KKP et The Standard.
Il a noté que le taux de croissance du PIB de la Thaïlande était plus lent que celui des autres pays asiatiques ayant un point de départ similaire, comme la Chine et Singapour.
Dans le même temps, les personnes à hauts revenus bénéficient en moyenne de huit fois plus de revenus que les personnes à faibles revenus, ce qui prouve la différence d'accès à l'éducation et aux ressources dans la société thaïlandaise, a-t-il ajouté.
"La Thaïlande dispose de solides fondamentaux économiques, mais les transitions en matière de technologie, de politique et d'environnement auront un impact sur la durabilité du pays", a averti M. Banyong.
"Par conséquent, le dépannage des secteurs de développement qui n'ont pas atteint leurs objectifs est le début de la solution."
Thiraphong Wachiraphong, directeur de la recherche de Kiatnakin Phatra Securities, a déclaré que l'économie thaïlandaise était à un tournant car sa croissance économique et sa part de marché diminuent.
Il a ajouté que le conflit politique mondial, la pénurie d'énergie et les perturbations numériques signifiaient que la Thaïlande ne pouvait plus dépendre de facteurs externes pour stimuler l'économie du pays.
"Par conséquent, s'appuyer sur les investissements directs étrangers (IDE) et les touristes ne suffit pas.
La Thaïlande doit se forger des bases d'innovation fondées sur une bonne éducation et la suppression de la corruption", a-t-il déclaré.
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Je pensais les Thaïlandais plus pragmatiques et avisés, mais en fin de compte la bureaucratie, l’esprit obtus des militaires a fait couler ce pays !
Contrairement à l’Europe, leur population est plus jeune et comme beaucoup de pays dans le monde (Suède contre exemple européen) ils auraient pu prioriser l’économie !
À présent, ils ont perdu toute crédibilité avec leurs atermoiements…
Leur monnaie a été dévaluée de moitié, leur dette a enflé, leurs réserves de changes ont fondu, etc…
Ils vont mettre du temps pour s’en relever !
D’origine Belgo Thaï, comment pourrais-je penser à investir dans un pays qui est gouverné par des militaires et pas des plus brillants. Boycottons et laissons les se confronter à leurs politiques.
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Les praticiens, chercheurs, militants et partenaires de l’économie sociale et solidaire vivent une période privilégiée. Rarement l’ESS, en effet, aura connu une telle effervescence. Elle vit un tournant de son histoire d’une importance telle qu’il n’en a existé que trois dans son histoire bicentenaire.
Du travail au développement L’ESS est née au début du XIX e siècle d’un questionnement du rapport au travail. L’abolition du salariat fut sa première revendication et l’utopie d’une micro-république des producteurs nourrit son premier projet. Durant cette première phase, la liberté du travail fut sa principale préoccupation. Comme le souligne Timothée Duverger dans sa contribution, ce mouvement connut son apogée en 1848. Économiquement marginalisé par l’essor de la grande entreprise, il n’en déboucha pas moins sur les premiers statuts juridiques des coopératives et des mutuelles. L’ESS prend un premier tournant au cours de la seconde moitié du XIX e siècle en répondant de façon originale à l’essor de la consommation et de la vie sociale. Cette deuxième phase connaît un grand développement des coopératives de consommateurs, des mutuelles puis des associations sportives, sociales et culturelles. Ce tournant témoigne à la fois de l’insuffisance d’une action menée à la seule échelle de l’entreprise et de la capacité de l’ESS à se renouveler en relation avec le mouvement social en accompagnant l’émergence de l’État social. Les coopératives de consommation portent une utopie transformatrice, celle d’instaurer une république des consommateurs, qui perdure dans l’esprit des militants jusque dans les années 1960. La Sadel (Société angevine d’édition et de librairie) étudiée dans ce numéro par Valérie Billaudeau et Patrice Moysan est, parmi mille, une concrétisation de cette utopie. Après 1945, les mutuelles redéfinissent leur rôle en complément de la Sécurité sociale. Les associations, particulièrement celles intervenant dans le secteur social et médico-social, constituent une composante essentielle de l’ESS jusqu’à devenir aujourd’hui la plus importante en termes d’emplois. La faiblesse de la vie démocratique d’un grand nombre de ces organisations témoigne du fait que l’expression du pouvoir de l’usager, pour nécessaire qu’elle soit, est insuffisante. C’est l’une des leçons de la réflexion menée par Philippe Eynaud dans son article sur la gouvernance associative, relative à la gouvernance multi-acteurs. Un second tournant a lieu à partir de 1960. Accédant à l’indépendance politique, les pays de l’hémisphère Sud conçoivent un développement endogène reposant sur les associations villageoises et les coopératives rurales. Cette troisième phase de l’ESS révèle simultanément sa portée universelle et le rôle limité que peuvent jouer les États dans son essor, ce que montre une nouvelle fois Willy Tadjudje dans sa contribution sur Madagascar. Cette leçon est importante à l’heure où les collectivités territoriales s’engagent dans l’ESS.
Multi-sociétariat et territoires Nous vivons ainsi un troisième tournant, ouvrant sur une quatrième phase. Celle-ci se caractérise par un essor des initiatives réunissant plusieurs types de membres – principalement des producteurs salariés ou indépendants, des consommateurs et des collectivités. Qu’on pense aux Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne (Amap), aux coopératives d’activités et d’emploi (CAE), aux sociétés coopératives d’intérêt collectif (Scic), au commerce équitable, aux pôles territoriaux de coopération économique (PTCE) ou aux plates-formes collaboratives, les grandes innovations contemporaines relient producteurs et consommateurs. Ce rapprochement des rôles socioéconomiques se traduit également par des transformations, telles celle de la Sadel, sans doute inimaginables il y a encore quelques années. Le renouveau du multi-sociétariat et de l’inter-coopération inscrit l’ESS dans les territoires. C’est si vrai que nous pouvons désormais caractériser des territoires d’ESS, comme le propose Cécile Le Corroller, qui en identifie quatre modèles. Pour faire face au risque de s’éloigner de leur base géographique, les grandes organisations de l’ESS se tournent vers les nouvelles technologies. C’est l’objet de la recherche-action action menée au sein de la coopération agricole dont rendent compte Sabine Duvaleix-Tréguer, Françoise Ledos et Guillaume Lepetit. Alliée à l’économie de proximité – que Georges Fauquet nommait « économie proprement privée » pour l’opposer à l’économie capitaliste – et à l’économie des collectivités territoriales, l’ESS définit un mode de développement original dont on peut espérer qu’il réponde aux enjeux écologiques les plus urgents. Les circuits courts, la consommation responsable, de nouvelles offres d’énergie, de transports, d’alimentation, de construction, d’agriculture, de tourisme, d’usages des nouvelles technologies, etc. illustrent une nouvelle façon de concevoir l’ensemble de la vie économique et sociale. Tout se passe comme si l’ESS ambitionnait de servir un développement local répondant à la fois aux besoins immédiats des habitants et à ceux des générations à venir. Nous sommes dans le temps de ce qu’on pourrait nommer les méso-­républiques : ni à l’échelle, micro, de l’entreprise ; ni à celle, macro, des pays ; mais à l’échelle méso des bassins de vie.
Devenir la norme Encore faut-il le dire, échanger, se soumettre à la critique pour mieux progresser, ne pas risquer de perdre son identité sous la pression d’une économie dominante adverse. La Recma est l’espace privilégié d’analyse des pratiques d’ESS. Nous invi- tons donc les entreprises et les composantes de l’ESS dont les innovations sont méconnues, telles celles de la Mutualité, dont nous savons le déficit de recherches à son sujet, à susciter le débat, à lancer des appels d’offres de recherche, à soutenir plus largement encore de jeunes chercheurs afin de déplacer les termes des débats scientifiques, à faire en sorte que les préoccupations et les termes de l’ESS deviennent progressivement ceux de l’économie classique. Et non l’inverse.
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En 2022, ce sera l’instant de vérité pour les politiques numériques de l’Union européenne. [ whiteMocca/Shutterstock ]
En 2022, ce sera l’instant de vérité pour les politiques numériques de l’UE. EURACTIV examine plus en détail ce qui se prépare.
« Le numérique est un sujet crucial » , avait déclaré la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, dans son discours annuel sur l’état de l’Union en septembre.
En effet, la Commission a de grandes ambitions dans ce domaine et l’agenda numérique pour l’année 2022 pourrait difficilement être plus chargé.
La réglementation historique sur les plateformes va être finalisée, la stratégie européenne en matière de données fera ses premiers pas, des discussions politiques intenses sur les règles de l’intelligence artificielle (IA) auront lieu, de toutes nouvelles règles pour l’économie du travail seront également discutées, des initiatives sur la cybersécurité et les semi-conducteurs vont être proposées…
Sans surprise, la régulation du numérique et l’émergence d’une souveraineté technologique font partie des sujets que Paris ambitionne de porter lors du premier semestre 2022.
Voici ce que vous devez savoir pour y voir clair.
En décembre 2020, la Commission européenne a présenté la loi sur les marchés numériques ( Digital Markets Act ou DMA en anglais) et la loi sur les services numériques ( Digital Services Act ou DSA), deux propositions apparentées visant à réglementer l’espace numérique. Si quelqu’un avait dit qu’une législation aussi complexe serait adoptée au Parlement et au Conseil en l’espace d’un an seulement, beaucoup ne l’auraient pas cru. Et pourtant, c’est le cas.
Les États membres ont adopté les deux textes en novembre. Les législateurs ont finalisé leur position sur le DMA en décembre, et le DSA devrait suivre en janvier. La France, qui négociera les deux textes pendant sa présidence du Conseil de l’UE, n’a jamais caché qu’elle souhaitait parvenir à un accord avant les élections présidentielles françaises d’avril.
Pour Paris, la négociation de ces législations européennes serait un point fort pour la campagne, mais cela ne laisse que deux mois pour parvenir à un accord. Si l’on devait parier, un accord sur le DMA est beaucoup plus probable en raison de la nature de la réglementation, qui cible les grandes entreprises technologiques. Le DSA, qui est une législation horizontale, pourrait prendre plus de temps et se retrouver sur le bureau de la présidence tchèque de l’UE qui débutera en juin.
Gouvernance, partage et protection des données
La loi sur la gouvernance des données ( Data Governance Act ou DGA) récemment adoptée doit entrer en vigueur au début de l’année et devra être à la hauteur de son ambition d’établir un « espace Schengen des données » . Ces règles visent à offrir aux entreprises des conditions appropriées concernant le partage de leurs données avec les places de marché de données, mais le succès du dispositif dépendra avant tout de son adoption par le secteur.
Le DGA n’était que le premier jalon législatif de la stratégie européenne en matière de données. La deuxième étape, plus délicate, sera la loi sur les données ( Data Act ), dont l’adoption a été reportée au 23 février suite à l’échec d’un examen interne. La loi sur les données abordera des questions sensibles telles que les obligations de partage des données, la monétisation des données ainsi que l’accès aux données par les organismes publics.
Pendant ce temps, les discussions autour du RGPD, la loi européenne sur la protection de la vie privée, pourraient continuer à s’intensifier. La pression s’intensifie pour que la Commission irlandaise de protection des données prenne des mesures décisives à l’égard des grandes entreprises, tandis que le Contrôleur européen de la protection des données (CEPD) organise une conférence en juin afin de réévaluer l’état d’application de la loi.
Les négociations délicates sur le nouveau bouclier de protection des données avec les États-Unis doivent encore aboutir à une disposition législative susceptible de résister à un examen judiciaire.
Le cinquième élément : l’intelligence artificielle
Depuis que la Commission européenne a présenté le projet de loi sur l’intelligence artificielle en avril dernier, les avancées législatives ont tardé.
Les responsables politiques ont eu du mal à appréhender les implications des dispositions légales, notamment en raison de la technicité du dossier. Le règlement sur l’IA interagit également avec diverses autres lois européennes, comme celle sur la protection des données ou encore celle sur la sécurité des produits.
C’est pour ces raisons que la présidence slovène n’a effectué qu’une réécriture partielle de la proposition, mais elle a tout de même tenté de la façonner sur certains aspects critiques avant de passer la balle aux Français. Bien que l’idée de réglementer l’IA puisse sembler séduisant, Paris est avant tout à la recherche de victoires rapides, et il est peu probable que ce règlement en soit une.
Jusqu’à présent, la discussion a été principalement politique du côté du Parlement, les députés européens ayant débattu pendant six mois pour savoir qui devait prendre la tête du dossier.
Le PPE semble isolé sur le sujet très controversé des technologies de reconnaissance biométrique . Cependant, Axel Voss a encore des cartes à jouer puisqu’il suivra le dossier au sein de la commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures (LIBE), et sera probablement le rapporteur pour avis au sein de la commission des affaires juridiques (JURI). Ce double leadership ralentit déjà le processus décisionnel et les divisions politiques risquent de retarder davantage le dossier.
La présidence slovène a fait circuler un texte de compromis sur le projet de loi sur l’IA de l’UE, comprenant des changements majeurs dans les domaines tels que le scoring social et les systèmes de reconnaissance biométrique tout en identifiant les futurs points de discussion.
Règlementation de l’économie de petits boulots
Le 9 décembre, la Commission européenne a présenté un projet de directive très attendu visant à réglementer l’économie des petits boulots liés aux plateformes. L’objectif central de cette législation est de faire passer les plateformes en ligne du statut de fournisseurs de services occasionnels à celui d’employeurs à part entière. Ce changement concernerait près de 4,1 millions de personnes.
La proposition introduirait des règles harmonisées dans ce qui a jusqu’alors été un véritable Far West caractérisé par un vide législatif et des décisions judiciaires contradictoires à travers le bloc. Le texte est susceptible de recevoir un fort soutien au Parlement européen, les députés ayant adopté une résolution similaire en septembre avec un consensus de tous les partis.
La proposition a également reçu un large soutien de la part des États membres de l’UE, sur la base d’une lettre ouverte signée par les ministères concernés de Belgique, d’Espagne, du Portugal, d’Allemagne et d’Italie. Malgré ce consensus, une adoption rapide au niveau de l’UE pourrait tout de même mettre un certain temps à entrer en vigueur, les États membres devant transposer les directives dans leur droit national.
La révision de la directive relative à la sécurité des réseaux et des systèmes d’information (NIS3) risque de tomber au début de l’année prochaine, puisque le premier trilogue, à savoir une réunion entre le Parlement, le Conseil et la Commission, devrait avoir lieu à la mi-janvier.
La législation vise à établir des exigences minimales en matière de cybersécurité pour les entreprises et les organisations qui jouent un rôle es
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