Quand elle s'entraîne à la sodo

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Quand elle s'entraîne à la sodo
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Le consentement de votre partenaire est indispensable. Discutez avant de vos envies, de vos désirs. Sans son accord, vous ne pouvez pas pratiquer la sodomie ; Veillez à toujours bien lubrifier pour faciliter la pénétration ; Ne pratiquez pas si vous souffrez d’une pathologie au niveau de l’anus ; L’anus est source de germes. Si vous sodomisez votre partenaire, veillez à mettre un préservatif de sorte à ce que les bactéries ne se transmettent pas de son anus vers son sexe ou sa bouche ; Caressez-vous pour favoriser la détente et la relaxation des muscles. Les préliminaires sont indispensables pour cette pratique.
Validation scientifique : Dr Laurent Abramowitz
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La pénétration par l’anus, autrement appelée sodomie, peut être très appréciée lorsqu’elle est pratiquée avec précaution. Toutefois il existe de nombreuses idées reçues : la sodomie provoquerait hémorroïdes, fissures et incontinences anales. Alors, info ou intox ? 
La sodomie conquiert peu à peu la population française. En 2014, l’ifop révélait dans un sondage nommé “Les français, le sexe et la politique” que près de 50% des sondés avaient déjà pratiqué la sodomie. Mais qu’en est-il des risques ? Pour Laurent Abramowitz, président du GREP (Groupe de Recherche de la Société Française de Proctologie (SNFCP)), “contrairement aux idées reçues, la sodomie n’augmente pas le risque d’incontinence anale et d’hémoroïdes”. Pour le proctologue, le seul risque à cette pratique reste une plus grande probabilité de contracter une maladie sexuellement transmissible.
Comme lors de tous rapports sexuels, il existe un risque d’attraper des maladies sexuellement transmissibles (MST) comme :
Mais le risque est accru lors d’une sodomie puisque celle-ci peut provoquer des micro fissures laissant plus facilement passer les virus dans le sang.
De plus, même lors de rapports protégés, il est possible que des condylomes se développent. D’après la société française de dermatologie, “les condylomes sont des verrues génitales externes bénignes dues à quelques espèces d'HPV (Human Papilloma Virus, le Papillomavirus humain)”. Les patients atteints sont traités par voie médicamenteuse ou lors d’une petite chirurgie. Il est également possible de prévenir les condylomes avec le vaccin Gardasil. “Les condylomes peuvent être transmis par les doigts lors des rapports et des caresses” ajoute le proctologue.
Il faut donc systématiquement utiliser un préservatif du début jusqu'à la fin du rapport. Les risques concernent aussi bien la personne pénétrée que la pénétrante.
La sodomie est parfois considérée comme une pratique douloureuse. Pourtant, lorsqu’elle est pratiquée avec douceur, elle peut être source de plaisir. En effet, lorsque la personne pénétrée est tendue, stressée, elle se contracte, rendant la pénétration difficile et donc possiblement douloureuse. Pour éviter les douleurs, la pénétration ne doit pas être trop brutale et la personne pénétrée doit être relâchée. Il est essentiel de bien lubrifier et de stimuler au préalable l’anus grâce à des pénétrations digitales ou avec des sextoys par exemple.
Lors d’une pénétration anale, des germes et des bactéries peuvent se déposer sur la verge, les doigts ou le préservatif. Ils peuvent créer des infections comme des cystites ou des vaginites, bénignes mais très inconfortables. Il est donc très important de se laver ou de changer de préservatif après une pénétration anale, si l’on souhaite passer à une pénétration buccale ou vaginale.
“L’une des plus grosses peur des gens qui me consultent c’est l’incontinence anale. Mais quand on regarde les différentes études sur le sujet, un rapport anal “classique” (un pénis ou un objet de la taille du pénis dans un anus), il n’y a pas de risque. C’est dans les cas les plus extrêmes comme le fist fucking qu’il y a un danger d’incontinence” rassure Laurent Abramowitz.
Lors des premiers rapports où la sodomie est pratiquée, l’anus peut légèrement se fissurer. “La fissure est toujours superficielle et dans la majorité des cas il n’y a pas lieu de s’inquiéter” prévient le proctologue. Ces déchirures sont bénignes mais peuvent être très douloureuses. Pour y remédier, il est conseillé de prendre son temps, de privilégier les caresses pour favoriser la détente et la décontraction des muscles. Lubrifier est essentiel car l’anus ne sécrète pas de substance lubrifiante contrairement au vagin par exemple. L’utilisation d’un préservatif est recommandé pour éviter les infections. C’est également un bon moyen de lubrification. 
Il faut savoir qu’au fil du temps et de la pratique, l’anus a tendance à se relâcher plus facilement et l'acceptation de la pratique est meilleure. Les risques de fissures deviennent donc moindres avec l’expérience.
En cas de fissure anale, il est recommandé de mettre de la pommade ou des suppositoires cicatrisants, disponibles en pharmacie. Pour Laurent Abramowitz, “si au bout de quelques jours les symptômes persistent, il faut consulter un médecin qui vous auscultera l’anus, comme les proctologues, les gastro-entérologues ou certains généralistes”.
Dans tous les cas, si vous avez des symptômes anaux comme une boule, des douleurs ou des saignements qui persistent plusieurs jours, consultez un spécialiste.
Il est très important de prendre quelques précautions avant de pratiquer la sodomie :  
Il n’est pas toujours évident de trouver le bon lubrifiant, encore plus lorsqu’il s’agit de sodomie. Plusieurs options s’offrent à vous :
Les huiles végétales et la vaseline sont incompatibles avec les préservatifs en latex car ils diminuent la porosité de celui-ci, augmentant le risque de rupture lors de l’acte. Si vous pratiquez sans préservatif, les huiles végétales, comme l’huile de coco, peuvent être une bonne alternative naturelle aux lubrifiants chimiques.
Pour l’utilisation de sextoy, il est recommandé de favoriser les lubrifiants à base d’eau. Les gels à base de silicone, quant à eux, ont un plus grand pouvoir glissant et peuvent s’utiliser sous la douche. Dans le cas d’une pénétration anale, il est recommandé de déposer du lubrifiant à l’entrée de l’anus mais aussi sur la verge, le sextoy ou les doigts pour éviter les inconforts.
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Adolescent, Xavier a vécu une histoire torride avec une femme plus âgée. Aujourd’hui que son fils est lui-même un adolescent, il s’en souvient et fait le bilan. Avec tendresse.
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Le temps passe vite. Mon fils Diego a eu 17 ans cet été. Le même âge que j’avais lorsque j’ai rencontré Solène. A l’époque, j’étais un passionné de course à pied, je faisais mes allers-retours quotidiens au lycée en courant, je m’entraînais dès que j’avais une minute. Le prof de sport m’a recommandé auprès d’un club d’athlétisme pour que je puisse avoir mon propre entraîneur. Solène avait 36 ans, et elle y venait avec son mari. Nous étions les coureurs les plus performants du club, chacun dans sa catégorie, et rapidement nous avons pratiqué ensemble. J’étais lycéen, elle travaillait dans l’administration, on pouvait se retrouver en fin d’après-midi pour courir le long de l’Isère. C’était rare, à mon niveau, de trouver quelqu’un qui tienne la distance et j’étais ravi et pas peu fier de partager ces moments avec elle. C’était une femme superbe, avec une silhouette de coureuse, élancée, petits seins, taille fine, jambes à se damner. En plus, elle avait des yeux incroyables, violets comme ceux d’Elizabeth Taylor. Entre émulation, effort partagé et admiration mutuelle, nous nous sommes vite rapprochés.
J’étais flatté qu’on vive cette complicité, mais je n’imaginais pas une seconde que son intérêt puisse aller au-delà de l’affection amicale. Bien sûr, j’ai commencé à fantasmer sur elle, on court en short très short… J’avais déjà fait l’amour avec une fille de mon âge, mais, pour l’ado que j’étais, être initié aux choses du sexe par une femme telle que Solène tenait du rêve : l’expérience, la connaissance de son corps, de son plaisir et de celui de son partenaire, autant de choses que ne pouvait offrir une fille de 16 ans aussi terrifiée que moi à l’idée de franchir le pas. J’essayais de refouler ça lorsqu’on s’entraînait, mais, souvent, dans ma tête, ça partait en vrille.
Et, un jour, nous avons gagné, chacun dans sa catégorie, un semi-marathon. Le prix était un long week-end à Londres. Il allait de soi qu’on le passerait ensemble. Déjà dans le bus qui se dirigeait vers l’aéroport, l’ambiance avait changé entre nous. Elle potassait son guide et m’indiquait des lieux. Nos têtes se trouvaient très proches l’une de l’autre, alors que, jusque-là, nous en étions à peine à nous faire la bise. Arrivés à l’hôtel, à côté de Piccadilly Circus, nous avons posé nos affaires, évidemment chacun dans sa chambre, et nous avons passé l’après-midi à arpenter Londres. Elle avait concocté un super itinéraire, moitié monuments, moitié shopping. J’exultais d’être là, sans arrière-pensée. Et puis est arrivé le dernier truc auquel je m’attendais : alors qu’on traînait chez Marks & Spencer, elle a pris ma main. Je me disais que c’était une marque d’amitié, qu’il ne fallait pas que je me méprenne ni que je commence à me faire des films. Solène qui flirtait avec moi ? De la science-fiction !
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Le soir, on a mangé dans un petit resto, j’avais commandé un truc bizarre, genre huîtres à la menthe, je faisais mon malin, mais je me demandais comment j’allais pouvoir avaler ça. La vérité, c’est que j’étais de plus en plus troublé et que je ne voulais pas que ça se voie. Elle souriait à mes clowneries et me regardait d’une façon qui n’arrangeait pas mes affaires. Au dessert, elle a soufflé la bougie qui se trouvait au centre de la table et s’est penchée vers moi pour m’embrasser. « Tu es beau, Xavier, est-ce que tu sais à quel point tu es beau ? » Elle m’a avoué que cela faisait un bon bout de temps que je lui plaisais et qu’elle m’admirait « comme athlète et comme personne ». Moi, je ne me trouvais pas beau, loin s’en fallait, et ses mots m’ont bouleversé. Elle m’a demandé si je ressentais la même chose et si j’avais envie qu’on dorme ensemble. J’ai répondu oui à tout.
Nous sommes rentrés à l’hôtel. Elle est venue dans ma chambre et… vous imaginez, deux marathoniens fous de passion : on a fait l’amour toute la nuit. Littéralement : on a vu le jour se lever. Je savais à peine, à l’époque, ce que le mot « préliminaires » pouvait vouloir dire. Ah bon, les femmes aiment tant que ça qu’on leur caresse les seins ? Et on peut rigoler au lit sans avoir l’air débile ? Au réveil, nous avons recommencé. J’étais excité et renversé en même temps, et si j’ai évidemment adoré qu’elle prenne mon sexe dans sa bouche, j’ai été presque choqué quand elle a dirigé ma tête vers le bas de son ventre. Comme je savais que ça se faisait, je me suis appliqué, soucieux de bien faire sans pour autant savoir si j’aimais ou pas. On est à peine sortis de l’hôtel, juste ce qu’il fallait pour avoir des photos à montrer en rentrant. Et tant pis pour le British Museum.
Je n’en revenais pas de pouvoir réaliser mon fantasme, j’avais l’impression d’avoir atterri sur une autre planète. D’ailleurs, pendant l’année qu’a duré notre histoire, cette sensation ne m’a pas quitté. On s’est embrassés comme des fous jusqu’à Paris. Dans le train du retour, je m’attendais à ce qu’elle me dise que je devais tout oublier, mais, au contraire, elle a commencé à faire des plans pour les mois à venir. A la rentrée, j’ai commencé la fac à Lyon, j’occupais ma chambre universitaire, et je rentrais le week-end chez mes parents. Le club était toujours au centre de ma vie, et Solène avec. Je courais, j’étudiais et je faisais l’amour avec elle. Je ne peux pas dire que j’étais amoureux. Mais très attaché, séduit, accro, j’avais l’impression de vivre quelque chose d’irréel. Solène faisait souvent la petite centaine de kilomètres qui nous séparaient, et je me sentais très fier lorsqu’elle venait m’attendre à la sortie des cours. J’avais droit à des réflexions assez contrastées de la part de mes potes du « Waouh, quelle belle femme ! » admiratif au « Mais c’est une vieille » écœuré.
Pourtant je n’en avais que faire lorsqu’elle descendait de sa Golf, le sourire aux lèvres, son Lancel à l’épaule. L’âge de Solène n’était pas un souci pour moi, c’était plutôt son statut de femme mariée qui me troublait. Et aussi, ce qu’on faisait au lit. Même si elle était assez « pédagogue », il y avait des jeux pour lesquels je n’étais pas mûr. Encore à la découverte de mes sensations, je ne comprenais pas le plaisir qu’elle pouvait tirer de se faire attacher, par exemple, ou de me bander les yeux, même si elle a amené ces pratiques progressivement. Ça me faisait passer par des moments d’aversion, et ça me travaillait. Par exemple, tout ce qui touchait au sexe anal me coupait mes moyens. Blocage total, impossible. Comme si mon corps refusait d’aller plus loin. Ça aussi, ça m’a beaucoup préoccupé ! Elle a dû prendre conscience alors du décalage qu’il y avait entre nous, pas dans l’état civil, mais dans nos têtes.
Nous nous écrivions souvent, jusqu’à trois lettres par semaine – dans les années 80, il n’y avait pas d’e-mails ! – et, à
Ecarter un cul blanc
Elle lui suce sa bite dans la voiture
Une roumaine pulpeuse satisfait une bite chanceuse

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