Pute française au gros cul fait l’expérience de son premier trio

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Pute française au gros cul fait l’expérience de son premier trio

Thibaud Le Meneec
18h55, le 14 janvier 2019 , modifié à
19h44, le 14 janvier 2019

Brigitte est heureuse : mariée, cette sexagénaire a un amant depuis huit ans et demi. Mais elle n'a pas fait ce choix de vie sans en informer son époux, qui est courant et valide cette relation extraconjugale. "On ne divorce pas, ça ne change rien à la situation", lui a-t-elle promis au début de cette aventure, comme elle l'a expliqué à Olivier Delacroix sur Europe 1 , lundi. 
"Dans la vie et dans un couple, on n'évolue pas toujours au même niveau. Après la cinquantaine, très souvent dans un couple, les envies ne sont plus les mêmes. Certains hommes ou femmes n'ont plus envie de sexe, tandis que l'autre a toujours des besoins.
>> De 15h à 16h, partagez vos expériences de vie avec Olivier Delacroix sur Europe 1. Retrouvez le replay de l'émission ici
À 20 ans, on dit : 'Tu me trompes, je te quitte.' À 30 ans, avec les enfants, la maison et le chien, on réfléchit. À 40 ans, les enfants sont ados, on pense un peu plus à soi. À 50 ans, les circonstances font que si la vie n'est pas invivable et qu'il n'y a pas matière à divorcer, pourquoi ne pas faire des aménagements dans le couple ?
À cette époque, mon mari n'avait plus d'attrait pour le sexe. Nous en avons discuté et je lui ai dit : 'Je respecte ton choix mais écoute, moi j'ai d'autres besoins que j'ai envie de combler. On ne divorce pas, ça ne change rien à la situation.' On n'avait plus d'enfants dans les pieds, rien du tout. J'ai donc un amant depuis huit ans et demi.
Brigitte a décidé de mettre son mari et ses enfants au courant de son choix d'avoir un amant régulier.
Monsieur est marié, je suis mariée, nous nous voyons selon nos possibilités. Il n'a jamais été question ni pour l'un, ni pour l'autre de divorcer. On a dit : 'On laisse faire la vie, si un jour la vie fait [qu'ils divorcent], bon, ça se fera ou ça ne se fera jamais, voilà !'
Dans la tromperie, ce qui fait le plus mal, ce n'est pas le fait d'avoir été trompé, c'est le mensonge. C'est beaucoup plus grave, parce qu'il remet toute la vie qu'on a eue avant en cause. Est-ce qu'il m'a menti pour ça ou ça. Tandis que si on a averti la personne avant, elle n'est pas prise de court !"
Retrouvez d'autres témoignages de l'émission d'Olivier Delacroix :

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Sexe dans une smart, cierge au Sacré-Cœur ou chambre uniquement tapissée de miroirs en Argentine: neuf femmes nous livrent leur session cul la plus étrange.
SEXUALITÉ - Les coups d’un soir, c’est un peu la loterie. Parfois on tombe sur une perle, d’autres sur un·e partenaire qu’on aimerait bien oublier à jamais. Et puis il y a aussi toutes ces anecdotes dont on se souvient en souriant, tant le contexte nous étonne encore. Le genre de plans qu’on se raconte après deux verres pour faire marrer l’assemblée.
On a demandé à neuf jeunes femmes de nous confier leurs histoires éphémères les plus insolites, et le cru est juteux. Une chose est sûre, on ne pensera plus jamais au Quatorze Juillet comme avant.
“C’était en première année d’étude, via Tinder ou une plateforme du genre. Je parlais pas mal avec un mec et on a décidé d’aller boire un verre. En arrivant, déjà, il ne me plaisait pas du tout physiquement! Je me suis même demandé si je n’allais pas faire demi-tour. Et puis finalement je me suis dit ‘allez, vas-y!’.
Pendant tout le rendez-vous, j’étais persuadée que ça ne le ferait pas du tout. Mais au moment de partir, je ne sais pas... Il a un peu insisté pour qu’on poursuive la soirée et moi comme ça faisait longtemps que je n’avais pas couché avec quelqu’un, j’étais partante. Je savais que je ne le reverrai pas alors pourquoi ne pas en profiter!
Sauf qu’en fait, il habitait loin, et moi je devais commencer les cours tôt le lendemain. Du coup, on l’a fait dans sa Smart, la voiture. C’était complètement improbable. On a essayé de trouver une rue pas trop passante dans Paris et on a fait notre affaire. Ensuite, je suis rentrée en RER. Mes collants étaient troués : une vraie Walk of Shame. On ne s’est plus jamais parlé après: emballé, c’est pesé!”
“C’était à une soirée de boulot, où on buvait beaucoup. C’était sympa, on rigolait bien. Et comme toutes les soirées de boulot, part une première personne, puis une deuxième personne... Restent toujours ceux qui sont célibataires et qui aiment picoler. Donc je me suis retrouvée seule avec - on va l’appeler ‘Monsieur X’ - à boire des coups. Quand, patatras!, il m’a embrassée. Pendant la soirée, j’avais dû dire que je n’étais jamais allée à la basilique de Montmartre, et que j’aimerais beaucoup la visiter.
Bonne pioche, lui avait été y faire du bénévolat et adorait cet endroit. Nous nous y sommes rendus en moto (pas bien, je sais). Il devait être sept heures du matin. Je crois même qu’on a posé un cierge et fait un signe de croix. Et puis on est allés prendre un café et on est rentrés chez moi. Absurde”.
“J’étais en voyage post-études à Buenos Aires avec ma meilleure amie. Dans l’avion, on s’était promis de ne jamais se séparer ni de rentrer avec des inconnus. Le premier soir, on s’est séparées et on est rentrées chacune avec un inconnu. Le sien était un Jamaïcain en vacances dans la même auberge que nous, le mien l’un des employés de ladite auberge.
Le deuxième soir, je suis sortie en boîte avec lui, et au moment de rentrer dans son appartement, il me dit que c’est impossible car sa sœur et son neveu y dorment, mais qu’on peut aller à l’hôtel. Pleine de confiance, je le suis. On arrive dans un hall éclairé au néon rose avec capotes sur le comptoir. Il demande une chambre pour deux heures: ça annonce la couleur.
On y entre et à la place du papier peint, sur les murs, il n’y avait que des miroirs. Partout, même au plafond. On a fait l’amour en levrette et je l’ai vu se mater sur la porte (aussi miroir) de la salle de bain. Je me suis endormie une demi-heure, et quand je me suis réveillée, il était en train de renifler ma culotte. Je crois qu’on n’a pas recouché ensemble après ça.”
“C’était une soirée sur la plage, lorsque je voyageais à Mancora, au Pérou. J’avais bu du Pisco dans une noix de coco. J’étais saoule, forcément. Avec mes copines on avait rencontré une bande de surfeurs du coin, dont un, qui s’appelait Luis, il me semble. On a sympathisé, et on a fini par coucher ensemble sur la plage. On est allés se baigner à poil après, mais rien de très romantique: je devais rester au sec au-dessus de la taille à cause d’un eczéma attrapé sur place.
Bref, je suis rentrée complètement saoule à l’auberge de jeunesse où je logeais, j’ai dormi en me disant que je n’en entendrai plus parler. Sauf que le lendemain, il a débarqué au petit-déj’ en venant me chercher pour le cours de surf que j’avais apparemment accepté qu’il me donne la veille. Il m’a appelée ‘bébé’ devant tout le monde et j’ai cru mourir de honte”.
“J’avais rencontré ce mec à une soirée d’échange linguistique et culturel - le genre d’événement où tu vas pour choper. Je le vois, il est brun, ténébreux, il a la mèche, les tatouages. Il est beau, on a l’impression qu’il sort d’une scène de film. Je le croise en partant alors que j’allais au vestiaire, on commence à se parler, à flirter. On s’écrit pendant plusieurs jours... Et je me rends compte que je ne sais pas quel âge il a. J’avais 33 ans à l’époque, il finit par me dire qu’il en a 23. Je me dis que c’est une trop grande différence d’âge, je suis prête à tout arrêter; c’est un bébé. Mais il me lance ‘tu vas voir à quel point je ne suis pas un bébé’. J’ai des frissons d’excitation de partout, alors je lui laisse une chance.
On finit par se voir et par prendre un verre. Il me fait bien comprendre qu’il est fauché, donc je paye toutes les boissons. On boit, il est hyper tactile. Moi je n’en peux plus, j’ai envie de lui et qu’on aille chez moi. Je lui propose, comme il n’a plus de sous, qu’on poursuive la soirée dans mon appartement car j’ai de quoi boire à la maison. On y va.
C’était très caliente. Il sentait bon, il avait mis du parfum, une chemise blanche : j’étais hyper motivée. On s’embrasse, et là je me dis: mauvais signe. Il m’embrasse... comment expliquer : comme une poule qui picore du maïs. C’était atroce, je n’ai jamais eu pire baiser de ma vie. On dirait qu’il allait me péter les dents, c’était juste pas possible.
On se retrouve dans mon lit, à poil, et là je découvre qu’il s’est rasé de partout. Ça piquait sur le torse. Je commence à l’embrasser un peu partout et à lui tailler une pipe. Et là, l’horreur: ça sent pas bon, une odeur de toilettes. J’essaie vraiment de l’occulter, mais je n’arrive pas à me mettre dedans. Pour couronner le tout, il n’avait pas de préservatif, et le sexe était nul. Il ne pensait pas du tout à mon plaisir. Il a commencé à grogner, ça a duré cinq minutes et c’était fini. C’était vraiment zéro.
Forcément, j’avais envie qu’il parte, mais il voulait rester dormir, alors j’ai un peu cédé. Grave erreur: il a pété toute la nuit j’ai mis 24 heures à me débarrasser de l’odeur. Et en plus de ça, il n’a pas décampé avant que je le dirige vers la porte à 13 heures le lendemain. Je ne l’ai évidemment jamais revu, malgré ses relances”.
À voir également sur Le HuffPost: Découvrir le sexe tantrique en trois étapes
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Salut les girls. Prenez juste quelques instants pour lire ce témoignage ! J’espère que vous en tirerez des leçons ! A une époque je ne pouvais pas en parler mais après avoir lu vos témoignages j'ai décidé de partager le mien avec vous. Tout a commencé en classe de 2de. Je venais d'arriver dans un tout nouveau lycée et très heureuse d'être enfin dans la cour des grands. C’était ma voisine de devant, un peu masculine avec un fort look de mec (garçon manqué) et cool très cool, aimée de tous (sauf des mauvaises langues ! les aigris...) ! Nous sommes très vite devenues amies parce que j'avais enfin trouvé une amie qui se fichait de ce qu'on pensait d'elle, différente de toutes mes autres copines qui pensaient comme moi qu'à plaire à leurs mecs LOL. En 1ere nous étions dans des classes différentes donc plus de "grande amitié" que de rares sms et appels puis pendant l'été j'ai rompu avec le mec que j'aimais de tout mon cœur, celui avec qui je venais de passer plus de 2 ans (de la 3e à la 1ere). 2 années à supporter un amour « longue distance » et lui qui ne faisait que me traitait de garce, de pute mais chaque fois qu'il venait dans ma ville, j'étais tellement heureuse, il me prenait dans ses bras et j'oubliais tout, du moins le temps où il était là, avec moi, à me chouchouter, me câliner... Puis j'ai enfin rompu, je me suis dit que je méritais mieux donc suis partie ! Triste, abattue... je supporte pas la rupture mais je tiens bon grâce à cette oreille attentive qui a commencé à m'écouter et à me raconter son histoire à elle aussi. hoo comme elle souffrait ! Moi qui croyais que j'avais tous les problèmes du mond
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