Punition violente et brutale sur une souffre-douleur

Punition violente et brutale sur une souffre-douleur




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Punition violente et brutale sur une souffre-douleur

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Gravure de John Willie, 1946-1959 - Wikimedia Commons/CC

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lienrag a posté le 17 novembre 2016 à 13h00
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hallalirue89 a posté le 17 novembre 2016 à 13h00
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jmvi a posté le 17 novembre 2016 à 13h00
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brogilo a posté le 17 novembre 2016 à 13h00
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brogilo a posté le 17 novembre 2016 à 13h00
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Autour d’un verre de jus de pomme, Gala Fur revient sur une séance d’initiation qu’elle a aussi racontée dans « Gala Strip », son dernier livre.
L’écrivaine et réalisatrice de courts métrages BDSM est élégante, sa voix douce, son débit tranquille :
Contrairement à un cliché qui voudrait qu’en SM, la personne dominante soit celle qui ne sache pas s’arrêter, Gala fait remarquer :
« On les appelle aussi des “souminateurs” », raconte Isa. Il y a six ans, elle a lancé un forum d’informations et de prévention « BDSM ou abus » :
Quelle solution alors ? Avoir de l’intuition et savoir quand s’arrêter, deux qualités sans lesquelles « il ne sert à rien de pratiquer du SM », dit Gala. Toute la difficulté repose dans la variabilité de la souffrance, d’une personne à l’autre.
Pour comprendre les limites dans le SM, il faut comprendre le SM en soi-même. Cette pratique sexuelle a beau être jugée violente par beaucoup, elle nécessite énormément de finesse.
Loin de ce que Gala Fur appelle du « fouetti fouetta », des soirées folkloriques dites SM, il y a des relations à deux. Avant de passer à l’acte, les partenaires se rencontrent. Au calme, ils entament une discussion qui permet de poser les limites de chacun. A entendre Gala raconter ces entretiens, on comprend qu’il faut être un peu psy sur les bords pour faire du SM :
C’est pendant cette discussion que tout se fixe. Des godes ou pas de gode ? Travailler les tétons avec des pinces ou pas ? Marquer la personne à la cravache ou pas ? Dans « Osez tout savoir sur le SM » , Gala raconte :
Ce balisage comporte quelques subtilités. Tous les jeux du SM reposent sur les limites que l’on repousse :
Autre cas de figure : le « non » qui veut dire son contraire.
C’est aussi à cette occasion que les partenaires décident d’un mot de passe, d’un « safe word ». Un mot magique qui mettra fin au jeu s’il va trop loin. Gala :
Et quand la personne soumise est bâillonnée ? « Il y a toujours un code », répond Gala. Le mot de passe est ici remplacé par un système de mimes. Les mains parlent :
Mais, comme dans toute relation, il peut arriver que l’un des partenaires ne soit pas attentif à l’autre. Gala raconte la « mésaventure » arrivée à l’une de ses amies avec un dominateur :
C’est pour lutter contre ce genre de dérapages et faire de la prévention qu’Isa a voulu ouvrir son forum. A l’époque, elle avait rencontré, incrédule, une soumise dans « un état psychologique pitoyable » :
Isa sait que ces cas sont marginaux. Elle dit que ce qui est le plus fréquent, ce sont surtout des maladresses, mais elle souhaitait un espace de parole, sortir du « on lave notre linge sale en famille. »
Qu’importe qu’au lancement du forum, certains du milieu l’aient jugée avec « le mépris qu’on peut accorder à des provinciaux qui ne savent pas de quoi ils parlent » :
Isa raconte les histoires de dominateurs qui jouent le chantage amoureux. « Si tu dis le “safe word”, c’est fini entre nous. »
Elle veut lutter contre l’ignorance qui mène parfois les néophytes à penser le légendaire « Histoire d’O “ de Pauline Réage, publié en 1954, comme un modèle normal, voire unique.
Or, dans ce livre fantasmatique que l’écrivaine Dominique Aury a écrit sous pseudo pour séduire Jean Paulhan , O est devenue une soumise totale. Elle s’est livrée à l’homme qu’elle aime et à ses amis sans retour en arrière possible. Ils lui ont dit :
Isa rappelle un principe fort du SM : la personne soumise ne l’est que parce qu’elle a accepté de l’être.
Sur le forum, les internautes évoquent souvent le problème de l’alcool ou des drogues. Il y a des récits insoutenables de soumis livrés à des dominateurs ivres. C. raconte :
La règle quant à l’alcool est pourtant simple, fait remarquer Isa. On ne boit jamais avant la séance. Gala compare les responsabilités du dominant en SM à celles du conducteur de voiture :
Toutes ces règles semblent évidentes, et Gala regrette presque qu’elles suscitent la curiosité. Après notre entretien, elle m’envoie un e-mail un peu désabusé et inquiet. Faut-il vraiment qu’il y ait des règles si claires pour tout ? 
Pas tenté de suivre vos désirs en-dehors des sentiers battus, ou vos désirs ne sont pas tentés de se conformer à un imaginaire exogène ?


Ce n’est pas la même chose...


Est-ce que j’ai parlé de tournantes dans les caves ?


Quand on ne connaît pas ou qu’on n’aime pas quelque chose on ne dit pas « c’est pas bon » et surtout on ne prête pas des intentions absentes


J’ai l’impression qu’il y a une grosse différence entre les jeux pratiqués dans un couple et ceux comme client. On peut parfois faire la même chose mais le résultat est très différent, enfin c’est mon avis.


douleur et plaisir, deux sensations ANTAGONISTES...


Vous êtes sûr de ça ? : -)


Moins connu, mais pas forcément négligeable, il y a toute la série des « Olga » de Georges G. Weiss...





«Faun and a Girl», de Max Slevogt via Wikipedia, License CC




Santé


sécurité


consentement


respect


SM


violence


Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser

Lucile Bellan
— 3 mars 2015 à 15h44
«C'est compliqué» est une sorte de courrier du coeur moderne dans lequel vous racontez vos histoires –dans toute leur complexité– et où une chroniqueuse vous répond. Cette chroniqueuse, c'est Lucile Bellan. Elle est journaliste: ni psy, ni médecin, ni gourou. Elle avait simplement envie de parler de vos problèmes.
Si vous voulez lui envoyer vos histoires, vous pouvez écrire à cette adresse: cestcompliq ue.slate@gmail.com
Je suis une étudiante de 19 ans, détraquée, si on en croit l'histoire qui va suivre. Il y a environ un an, j'ai rencontré un homme beaucoup plus âgé que moi, et pour cause, il a la cinquantaine. Il m'a plu, je ne sais pas pourquoi, il n'avait rien d'exceptionnel, et puis cette différence d'âge est peu commune. Je me sentais comme rassurée avec lui et plus désirée qu'avec un garçon de mon âge...
Il avait des «goûts très spéciaux», je lui ai dit de m'initier, après avoir quand même hésité plusieurs semaines. Mais bon, d'un côté cet univers du sado-masochisme m'avait toujours un peu intriguée. Nous nous sommes vus deux fois pour pratiquer le sado-masochisme sans qu'il y ait un seul souci, j'aimais ça.
La troisième séance m'a fait réfléchir un peu plus que cela parce qu'il m'a forcée à faire certaines choses dont je n'avais pas vraiment envie. J'ai eu peur, je n'ai pas voulu le revoir. Là, il me harcelait par message, est venu m'attendre à la sortie de mon job d'été pour avoir une explication. Je ne me sentais plus en sécurité.
Cet été fut une période sombre, je pensais parfois au pire. Quand je dormais je me réveillais en sursaut, je faisais des cauchemars. J'ai tenté de lui expliquer la raison (qui me semblait pourtant claire...) de mon départ. Au début ça ne marchait pas trop, il insistait. Puis il a compris, il m'a laissée.
Mais maintenant, je repense à lui. Je lui ai trouvé une belle excuse pour ce viol: c'était du sado-masochisme, il cherchait juste à repousser mes limites, c'est rien du tout! Je vais même partir en voyage avec. J'ai en revanche refusé que l'on rentre de nouveau dans une relation sado-masochiste.
Je sais que c'est mal (tout de moins je le suppose?), alors... Suis-je complètement conne? Est-ce que je recherche l'auto-destruction? Vous avez des explications? Je suis au courant de la nocivité de cette relation et j'y cours quand même, j'en suis limite à me demander si je n'y vais pas inconsciemment juste pour le voyage!!! Pourquoi le revois-je comme un être bienveillant? Bref, quel est votre avis?
Chère Clémence , il me semble que, avec les éléments dont vous me faites profiter, vous êtes loin d’être détraquée mais juste très curieuse. Et, dans le domaine de la sexualité en particulier, la curiosité est une merveilleuse qualité.
Mais laissez-moi vous raconter une histoire.
Il y a quelques années, j’ai eu une relation avec un homme pratiquant des jeux de domination. Un homme légèrement plus âgé, plus expérimenté dans ce domaine, séduisant et, pour ne rien gâcher, avec de l’argent. Je n’ai jamais profité de son argent mais ça participait à une aura globale de domination sociale et intellectuelle. Et loin du jeu sexuel dans lequel nous étions engagés, il a profité de cette domination psychologique. En jouant avec mes limites, sans mettre en place de «safe word» , en étant moins à mon écoute qu’aux variations de son plaisir, en profitant de ma position choisie à l’origine pour m’humilier psychologiquement à coups de petites phrases assassines.
À l’époque, il était mon amant «punition». J’étais attirée par lui mais je ne prenais aucun plaisir à nos rencontres. Il me rabaissait perpétuellement (j’étais trop ronde, il me rendait service…), me faisait souffrir (une souffrance confirmée par la collection de bleus que je ramenais chez moi) et ne me donnait aucun plaisir en retour. Pendant ces poignées d’heures dans cet appartement indécent du centre de Paris, j’étais sa chose. Un jour, j’ai fait un malaise sur l’îlot central de sa cuisine et nous ne nous sommes plus jamais revus.
Pendant des semaines, je m’en suis voulue: cette rupture me donnait l’impression d’être l’image qu’il m’avait donnée de moi: ronde et bête, entichée d’un type qui ne me respectait pas et surtout une fille avec des limites.
Mais la vérité c’est que des limites, j’en ai. Notre aventure n’a jamais été sensuelle, mais violente et agressive. À la manière de votre propre expérience avec cet homme. Or le SM ce n’est pas ça.
Le viol est un crime, pas une pratique sexuelle
Sexuellement, les pratiques de soumission et domination sont soumises à des règles strictes. Elles sont encadrées pour que chacun y trouve son plaisir dans le respect de son corps. Le SM n’a jamais été une pratique où le but est d’atteindre un point de non-retour où, en tant que soumise, vous accepteriez tout sans broncher. Vous parlez vous-même de viol. Le viol est un crime, pas une pratique sexuelle.
Il me semble que, comme le dominateur dont j’ai croisé la route, vous avez rencontré quelqu’un qui cherche plus à exercer un ascendant psychologique sur vous. Il vous manipule et profite de vos faiblesses. Bien sûr que vous ne voulez pas passer pour celle qui est trop coincée pour . Et en vous engageant dans cette relation particulière, vous avez aussi engagé votre confiance et vos sentiments.
Mais là, en partant en voyage avec lui, il me semble que vous prenez des risques inconsidérés.
Vous rétracter ne serait ni lâche, ni trop sage ou timoré. Prendre conscience des dérives de votre partenaire ne fait pas de vous une mauvaise joueuse. Et un viol dans le cadre d’un jeu sexuel reste un viol, pour lequel vous avez le droit de porter plainte. C’est une question que vous n’abordez pas mais je vous suggère d’y réfléchir.
Vous avez envie de partir avec lui, peut-être est-ce l’emprise psychologique qu’il a sur vous, peut-être l’aimez-vous, mais il y a des personnes néfastes et il faut se battre contre l’attirance que l’on a pour elles. Pensez aussi à ces périodes difficiles et douloureuses que vous avez vécues: vous ne voulez pas les revivre.
Et puis j’ai un conseil concernant les pratiques SM: prenez le temps de vous rendre dans un donjon. C'est ainsi que l'on appelle les lieux de rencontres de ceux qui pratiquent les jeux de soumission et de domination. Ce sont des endroits discrets mais il y en a un certain nombre partout en France. Certains fonctionnent comme des clubs privés, avec des parrainages, d'autres sont plus faciles d'accès. Allez, donc, vous rendre compte, seule, de comment cette sexualité se pratique.
Dans le SM, les notions de consentement et de respect sont capitales
Vous devriez alors vous rendre compte d’à quel point les notions de consentement et de respect sont capitales. À ce stade, vous aurez assez de recul et d’expérience pour voir que la relation que avez eue avec cet homme n’a rien à voir avec une pratique SM. Même soumise, vous restez maîtresse de vos sentiments, de vos émotions et de vos limites psychologiques ou physiques. Il a profité de vous, et, à raison, vous vous êtes protégée. Maintenant, il vous faut comprendre ce réflexe et l’accepter. Cet homme a profité de vous au moment où vous étiez le plus vulnérable. C’est un schéma qui n’a aucune raison de ne pas se reproduire, et dans une autre situation également.
Soyez curieuse, profitez de la vie et explorez votre sexualité, mais protégez-vous. Toujours, protégez-vous.
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Cette théorie reste toutefois controversée et des essais cliniques complémentaires seront nécessaires avant de tirer des conclusions solides.

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