Punition lesbienne érotique

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La punition de Jenny et de Caroline

La punition publique de Jenny et de Caroline

Les leçons particulières de Caroline.
Elles avaient été placées en cellule disciplinaire sur-le-champ et seraient déférées dans le bureau de la directrice dès son arrivée.
Pour Jenny cela risquait de se terminer en catastrophe, car issue d’une modeste famille du Pays de Galles, son renvoi signifierait immanquablement la fin de toute possibilité d’être un jour infirmière. Caroline née comme la plupart de ses compagnes dans une famille aristocratique, ferait probablement jouer ses relations et s’en tirerait avec une bonne correction renouvelée peut être en famille mais sans plus de conséquence sur son avenir.
Le signal du réveil retentit. Les deux élèves incarcérées se préparent mais personne ne vint les chercher.
Ce n’est que deux heures plus tard qu’une surveillante apparut leur demandant de la suivre. le ventre vide, Pieds nus et en chemise de nuit elles traversèrent l’école jusqu’au bureau de la directrice. Cette entrée en matière leur fit comprendre qu’elles seraient traitées sévèrement et sans le moindre égard.
Parvenues à la porte elles durent patienter dans le couloir encore quelques minutes avant que la surveillante ne les fassent entrer n’osant ni se parler ni même se regarder. Caroline se sentait la plus coupable car c’est elle qui avait été une fois de plus à l’initiative de cette rencontre nocturne répréhensible. Elle avait pris facilement de l’ascendant sur Jenny. La petite galloise en besoin d’affection et de reconnaissance dans cet établissement fréquenté par des filles d’une origine bien différente de la sienne avait accepté cette relation avec une des filles dominantes du groupe qui lui assurait son intégration. En échange, elle était devenue une de ses favorites car Caroline était loin d’être très fidèle. La nuit Caroline rejoignait l’une ou l’autre de ses partenaires avec qui elle pouvait assouvir des besoins de jouissance déjà très exigeants. Heureuses d’être choisies tout en étant aussi intéressées par la chose, les bénéficiaires de ses assiduités ne s’en plaignaient généralement pas, au contraire. Seulement il y avait un risque, les rondes nocturnes qui débutaient rarement avant onze heures du soir mais dont la première la veille au soir très précoce avait surpris les deux filles.
La directrice prit tout son temps avant de s’adresser aux deux élèves qui lui faisaient face, rougissantes et penaudes de se retrouver dans une telle situation.
Elle leur demanda de prendre immédiatement la position qu’elle affectionnait d’imposer dans son bureau aux élèves qui avaient commis une entorse au règlement. Penchées en avant en direction de la table sur laquelle elles devaient poser leurs bras croisés puis leur tête, après avoir troussé leur jupe jusqu’à la taille et baissé leur culotte jusqu’à leurs genoux tenus écartés au maximum, les pauvres filles étaient de cetyte façon, totalement vulnérables et à sa merci. C’est ainsi qu’elle tenait à les voir, pendant toute la séance ou leur serait administrés, à son entière discrétion, punition ou encouragements. En l’occurrence les deux élèves étant en chemise elle leur fit rabattre la chemise de nuit jusque sur la tête les mettant nues ainsi jusqu’au aisselles leurs jeunes poitrines aussi nues et vulnérable que leurs fesses.

Elle leur annonça qu’elles les confesserait chacune à leur tout en début d’après-midi, en commençant par Jenny pendant la période réservée au sport et continuant par caroline pendant la première heure d’étude. Auparavant elles devraient aller pendant le repas de midi au réfectoire dans la tenue où elles étaient à présent, et adopter pendant toute la durée du repas la position qu’elles venaient de leur montrer devant toutes les élèves et les professeurs de l’établissement qui allaient défiler pendant une heure et demi. Au début de chaque service le motif de leur punition serait expliqué à l’auditoire en détail et à la fin du repas, chaque élève serait conduite derrière elles et priée de leur administrer à chacune un coup de fouet. Pour les rassurer un peu elle leur affirma que le modèle employé ne serait pas trop cruel, le but étant surtout de les humilier en les mettant en situation de dépendance et aussi de montrer clairement à chaque élève à quoi elle s’exposerait si l’idée lui venait de commettre la même faute. Les deux filles n’en menaient pas large imaginant déjà l’atroce humiliation qui serait la leur pendant tout ce temps. Bien sûr elles étaient habituées à se montrer nues devant leurs condisciples de la même année mais là toutes les filles des autres années pourraient les contempler dans une position peu glorieuse avant de les voir se plier de douleurs sous le fouet.
La directrice satisfaite de l’exposé de sa sentence, posa une main sur la croupe tremblante de chacune des deux petites punies. La tête enfouie dans leurs avant-bras et la chemise rabattue par-dessus, ni l’une ni l’autre ne pouvaient voir comment réagissait sa compagne. La directrice caressait doucement les deux jeunes corps pratiquement nus en expliquant qu’elle attendait d’elles, soumission totale et parfaite humilité pendant leur châtiment. Instinctivement, les deux élèves acceptaient docilement ce contact, même lorsque la main explorait leurs parties les plus intimes, avides de prouver leur bonne volonté. Elle leur fit apprendre par cœur un texte par lequel elles reconnaissaient leur culpabilité, demandaient humblement pardon aux responsables de l’établissement et enfin sollicitaient l’administration d’un châtiment exemplaire. Elles devraient réciter ce texte avant chaque séance de fouet et en attendant recevait une bonne claque sur les fesses à chaque hésitation ou erreur et une tendre caresse en cas de succès. Elle réussirent cette épreuve l’une après l’autre et purent ainsi retrouver une pose plus décente. La directrice appela alors une surveillante à laquelle, elle commanda de leur faire exécuter une toilette minutieuse, de leur faire revêtir une culotte et une chemise de nuit propre, de leur donner un copieux petit déjeuner avant l’épreuve qui les attendait et enfin de les ramener dans son bureau juste avant le premier service de midi. La surveillante s’empressa d’exécuter la tâche qui lui était demandée.
A l’heure dite, elles furent ramenées par la surveillante dans le bureau directorial, tremblantes de peur et un peu blanches. Comme prévu, la directrice les conduisit au réfectoire ou les élèves de dernières années étaient déjà attablées. La directrice expliqua à l’assemblée la raison de la présence des filles qui rougissantes durent avouer leurs fautes sous les rires sourires moqueurs de leurs camarades plus âgées. On les fit installer comme il avait été dit au bout du réfectoire et elles durent patienter ainsi jusqu’à la fin du repas. On les avait placées près de la fontaine et de nombreuses élèves subitement prises d’un besoin de remplir leur pot à eau passaient près d’elles en leur murmurant d’un ton railleur des choses du genre « Tu viens me voir cette nuit ma jolie, tu es mignonne comme tout » Les petites punies s’efforçaient de rester stoïques et de ravaler les larmes qui leur montaient aux yeux sachant que les épreuves ne venaient que de commencer. Le signal de la fin du repas retentit et terrorisées Caroline et Jenny se préparèrent à subir le fouet. La directrice n’avait pas mentit et les coups bien que cuisants n’etaient pas très douloureux, malheureusement elles n’arrivaient pas à éviter de sursauter chaque fois, sous les rires de celles qui étaient du bon côté de l’instrument de torture, avant de reprendre rapidement la position réglementaire de peur de voir aggraver la sentence..
Trois fois de suite, elles durent recommencer le scénario mis au point, toujours surveillées de près par l’inflexible directrice. Les larmes aux yeux et les joues rougies par la honte, elles étaient de plus en plus pitoyables et quand enfin leur calvaire fut terminé elles avaient la peau en feu du bas des cuisses au sommet du dos.
Nul doute que toutes les élèves garderaient un souvenir dissuasif de cet épisode.
La directrice demanda alors de conduire Caroline dans sa cellule et de lui faire reprendre la tenue réglementaire. Elle demanda à ce qu’on lui apporte une tenue pour Jenny, qu’elle emmènerait immédiatement dans son bureau.
La directrice s’assit confortablement dans son fauteuil puis dès que la surveillante chargée de lui apporter les vêtements se fut acquittée de sa tâche s’adressa à Jenny d’un ton qui se voulait doux et rassurant :

« Ma petite Jenny, je suis très déçue par ce que tu as fait. Tu es une très bonne élève qui s’est toujours bien comporté jusqu’à présent. Veux-tu essayer de te rattraper ou dois-je considérer que je me suis trompée à ton égard ? »

Jenny protesta sincèrement de sa bonne volonté

« Je suis prête à faire tout ce que vous voudrez, Madame, je veux absolument me faire pardonner si c’est possible ! »

La directrice satisfaite lui répondit

« Tu as été très courageuse tout à l’heure et je crois que tu es sincère ? Maintenant si tu veux que tout s’arrange, tu vas te mettre gentiment toute nue, puis tu viendras t’agenouiller près de moi et me raconter tout ce qui s’est passé dans les moindres détails. Es-tu d’accord ? »
« Oui Madame ! » répondit aussitôt la courageuse et bonne élève anxieuse de se racheter aux yeux de l’exigeante directrice.
Elle se dépouilla sans plus de manière de sa chemise et de sa culotte et vint s’agenouiller à côté du fauteuil de la directrice les bras croisés dans le dos en attendant les ordres. « Je veux que tu ne me cache rien, c’est pourquoi tu es toute nue, à ma portée » dit encore la directrice en l’approchant d’elle »
Jenny raconta tout ce qui s’était passé la veille et confessa un peu inquiète que ce n’était pas la première fois. La directrice l’encourageait à se livrer en la caressant tendrement lorsqu’elle hésitait. Elle lui fit donner tous les détails sur sa vie intimes et ses expériences sexuelles, solitaires ou partagées ? La petite élève avait un peu de mal parfois mais sollicitée avec fermeté et douceur finit par donner sans omissions tous les renseignements demandés. Elle hésita un moment avant de parler de son aventure avec France mais sachant qu’il lui fallait être exhaustive finit par l’avouer aussi.
La directrice amusée mais non surprise des initiatives d’une de ses professeurs préférés encouragea la jeune fille à ne rien lui cacher en confirmant que Lady Towerton avait bien agit et que Jenny devait se montrer fière et reconnaissante de l’intérêt que lui avait manifesté son enseignante.
Ayant obtenu ce qu’elle souhaitait, elle proposa à sa jeune pénitente d’appeler Lady Towerton qui devait être arrivée dans l’établissement. La directrice avait été émue par la sincère confession de Jenny mais souhaitait à présent réserver son énergie pour l’autre élève qui serait sûrement plus difficile et donc plus agréable de soumettre.
Sans attendre bien entendu de réponse elle fit appeler France qui se présenta au bureau peu de temps après. Découvrant la jeune fille dans le plus simple appareil, elle fut un peu surprise mais la directrice l’informa minutieusement des récents événements.
« Jenny m’a confié que vous vous étiez intéressée un peu à elle et que pour la récompenser vous l’aviez emmenée dîner un soir dans cet hôtel que vous apprécier particulièrement ! » conclut-elle enfin.. France toujours à son aise répondit :

« C’est tout à fait exact et je me serais volontiers occupée d’elle davantage, mais notre petite Jenny est très exclusive et jalouse ses condisciples à qui j’accorde parfois des faveurs identiques »
Les deux femmes regardèrent la jeune fille qui baissait les yeux en rougissant de nouveau. Elle s’excusa une fois de plus
« C’est vrai je vous demande pardon Lady Towerton ! » et n’en pouvant plus éclata en sanglots se rendant compte qu’elle aurait mieux fait de partager l’affection de son enseignante plutôt que de céder aux caprices de Caroline.
France qui avait très bon cœur se leva spontanément pour embrasser et consoler la pauvre élève en larmes.
« Ces deux jeunes filles ont besoin d’être fermement reprises en mains pour éviter de recommencer » dit la directrice soucieuse d’organiser rationnellement l’avenir de son établissement.Comme vous avez de la sympathie pour notre petite Jenny je vous propose de la prendre plus spécifiquement en charge pendant que je m’occuperais de Caroline. Qu’en pensez-vous Lady Towerton ? »
« C’est une excellente idée ! » répondit France qui ajouta à l’intention de l’intéressée « Et toi Jenny qu’en penses-tu ? »
La jeune fille spontanément s’exclama « Oh merci ! Lady Towerton, je ferais tout ce que vous voulez ! »
Les choses prenaient visiblement une excellente tournure à la satisfaction générale. France conclut l’entretien en disant « Je te prendrais une fois par semaine en leçon particulière. Maintenant tu peux te rhabiller et rejoindre les autres mais auparavant je veux que tu me donne une preuve de ton engagement et de ta confiance »
Elle poursuivit devant le regard interrogateur de la jeune fille « Tu sais que j’aime que les filles dont je m’occupe soit bien nettes. Aussi tu vas venir avec moi au bloc sanitaire, et je vais te raser entièrement. Il en sera ainsi toutes les semaines tant que je te prendrais en charge »

Jenny se rendit compte qu’elle serait un peu gênée d’expliquer à ses camarades la raison de son pubis dorénavant entièrement glabre mais devinant ses pensées France lui conseilla : ‘Tu diras qu’on te l’a imposé pour avoir le droit de rester à l’école ! »

La jeune fille se rhabilla rapidement avec la tenue qu’on avait apportée à son arrivée et suivit celle à qui désormais elle devrait non seulement la plus stricte obéissante mais aussi accorder tous les droits sur sa personne. Elle était un peu soulagée et finalement heureuse, car malgré tout, elle était restée très amoureuse de l’enseignante qui lui avait révélé le plaisir partagé pour la première fois. Lady Towerton, elle le savait était une femme très douce et très compréhensive en même temps que merveilleusement belle et habile en amour. Finalement l’avenir lui apparaissait moins sombre que ce matin. Il lui suffirait à l’avenir de se confier à sa maîtresse et de suivre ses conseils pour parvenir au but qu’elle s’était fixé.
La directrice sourit en regardant partir ses deux interlocutrices. La petite élève méritante avait eu une bonne leçon aujourd’hui et serait à l’avenir parfaitement obéissante. Entre les mains délicates et habiles de France Towerton, elle serait on ne peut mieux placée, pour s’épanouir dans tous les sens du terme.
Caroline affreusement humiliée de devoir se plier à une exigence qu’a l’évidence il ne fallait pas discuter, s’exécuta immédiatement sous l’œil apparemment impassible de la directrice.

Celle-ci vint se placer derrière elle à la fois pour profiter du ravissant spectacle dont elle ne se lassait pas et pour pouvoir sans difficulté, s’occuper comme elle l’entendait, du petit derrière déjà martyrisé et à présent sans défense que la pauvre élève était contrainte de lui offrir.

« Explique-moi donc ce qui s’est passé la nuit dernière, ma petite Caroline, pour que tu te retrouves ici à présent » dit d’un ton très calme celle qui allait animer la séance.

Caroline hésita un peu à confesser ses turpitudes de la veille craignant d’en dire trop et d’être sévèrement punie pour avoir désobéit au règlement ou au contraire pas assez, et de voir sa sanction encore aggravée par les omissions.

« Je t’écoute ! » retentit en même temps qu’une cuisante douleur sur la fesse droite la faisait se cabrer.

« Je suis allée dans le lit de Jenny » s’empressa d’avouer la jeune élève qui tremblait de peur de nouveau après avoir cependant instinctivement repris la position obligatoire.

« Très bien ! » dit la directrice avant d’ajouter d’un ton très calme presque rassurant « Cela je le sais déjà, mais je veux que tu me confesses en détails tout ce que vous avez fait à ce moment là ! »

Dans le même temps, d’une main ferme mais douce elle se mit à caresser la fesse qu’elle venait de châtier comme pour encourager sa victime à se laisser aller à toutes les confidences.

Caroline était au comble de la honte mais n’avait pas d’autre alternative, elle le comprenait parfaitement que de dire l’entière vérité. Elle commença par bredouiller lamentablement des banalités, mais la voix impérieuse exigeait plus et elle dit absolument tout. Elle répondit d’une voix mal assurée, aux questions de plus en plus précises qui la cernaient. Toute hésitation même brève faisait l’objet d’un sec coup de cravache pour la rappeler à l’ordre et tout aveu surtout s’il était difficile, était récompensé par une tendre caresse.

Sous l’influence de ces différents traitements, la pauvre fille rendu hypersensible par les corrections précédentes, sentait à son grand désarroi qu’elle réagissait, comme on pouvait s’y attendre. Son sexe devenait à la fois brûlant et hypersensible, mais aussi complètement mouillé.

A près avoir tout raconté, elle se crut tirée d’affaire, mais les questions se poursuivirent sur son comportement sexuel en général et ses antécédents dans le domaine. La tête enfouie dans ses avant-bras, elle pouvait au moins masquer un peu la honte qui lui brûlait les joues et les larmes qui ne cessaient de perler à ses yeux, mais elle avait de plus en plus de mal à dissimuler ses réactions.

« Je crois que tu es surtout une fille très sensible et très gourmande n’est-ce pas ? » fut la conclusion annoncée sentencieusement par la directrice qui à présent vérifiait « à la source » son jugement.

« Oui Madame ! » confessa piteusement encore la pauvre Caroline, dont l’intimité tout entière était à l’entière disposition de sa correctrice qui en appréciait l’état. avec calme et méthode.

« Je crains beaucoup que tu ne récidive ma chérie, si je te laisse dans cet état. Je crois qu’il faut absolument que je m’occupe sérieusement de toi et l’on va commencer tout de suite ! Surtout ne bouge pas. ! »

La directrice disparut brièvement pendant que la jeune élève anéantie par la séance précédente qui l’avait vue se décomposer et perdre toute dignité, attendait anxieusement la suite des opérations.

Elle sentit les deux mains de la directrice reprendre possession de ses hanches pendant qu’elle lui ordonnait

«Laisse toi faire gentiment à présent, je vais te donner du plaisir et comme ça tu seras beaucoup plus calme et détendue ! »

Elle sentit avec inquiétude que l’on introduisait quelque chose en elle qui la distendait. Au bout de quelques minutes l’objet avait trouvé sa place et profitant de son abondante lubrification. jouait merveilleusement son rôle de stimulation. Les mains non plus ne restaient inactives. L’une d’entre elle avait glissé vers son pubis et pris le contrôle de fente exquisément sensible tandis que l’autre conservait un maintien ferme. Très rapidement la jeune fille déjà passablement excitée, jouit sans plus de manière.

La directrice, la laissa reprendre un peu ses esprits puis retira l’engin avec des gestes très doux et enfin reculotta tendrement son élève. Elle lui d’un ton très complice en lui donnant une petite tape amicale sur les fesses

« La prochaine fois je t’apprendrais à mieux de contrôler, petite coquine, mais pour cette fois ça ira.

Tu peux te rhabiller à présent Tu reviendras dans mon bureau la semaine prochaine puis régulièrement une fois par semaine pour que je t’aide à mieux te maîtriser. D’ici là je veux que tu restes bien sage tu m’as bien compris ! »

Elle acheva ses commentaires en pinçant gentiment la joue cramoisie de la pauvre Caroline qui lui faisait face les yeux baiss
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