Punition extrême pour une lesbienne

Punition extrême pour une lesbienne




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Punition extrême pour une lesbienne
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Au Moyen Âge recourir à la torture posait beaucoup moins de problèmes du point de vue moral que de nos jours ! Elle était si répandue que des techniques spéciales furent mises au point selon les sexes. Parmi celles-ci voici les 5 pires techniques de torture réservées aux femmes.
Le « cucking stool »
Il s’agissait de chaises particulières, sans siège, utilisées comme instrument de torture et d’humiliation sociale suite à des infractions sexuelles comme le fait de porter un enfant illégitime ou la prostitution. La coupable devait « s’asseoir » sur cette chaise, attachée et exposée sur la voie publique, souvent sur le lieu de son infraction. Certaines étaient sur roues formant une sorte de chariot qui pouvait être traîné dans la paroisse.
Une variante s’appelait le « ducking stool » . Il s’agissait ici aussi de placer la personne sur une chaise, celle-ci étant placée à l’extrêmité de poteaux au dessus d’un lac ou de la mer afin que la femme puisse être plongée dans l’eau puis ressortie le nombre de fois souhaitée. Le but était ici de « refroidir sa chaleur excessive » !
Troisième technique de torture, les pointes en métal dans la bouche . Destinées à punir les femmes trop bavardes, il s’agissait tout simplement d’une véritable muselière en fer que l’on mettait sur la bouche de celles qui parlaient trop, dévoilant secret, colportant commérages et fausses informations. Dans la bouche les pointes de métal lacéraient la langue dès que celle-ci bougeait. Une douce invitation à garder le silence !
Le pilori pour femmes
Ce genre particulier de pilori conçu uniquement pour les femmes permettait d’enchaîner la victime à un poteau par le cou, sans attacher ses mains. Pour rappel un pilori est un simple poteau auquel un condamné est attaché pour être vu du public. On rapporte qu’en 1777 Ann Morrow fut accusée de s’être faite passer pour un homme et d’avoir épousé une autre femme. La sanction fut immédiate: mise au pilori, la foule lui creva les yeux par jets de pierres.
Enfin cinquième est dernière technique. Elle n’est pas à proprement parler une technique de torture mais ne faisait tout de même pas de bien ! Il s’agit de la marque au fer rouge pour les prostituées.
Cette punition qui fut appliquée jusqu’à la fin de l’Ancien Régime était réservée aux femmes ayant commis le « crime de putanisme », c’est à dire la prostitution ou la débauche. Elles étaient alors marquées au fer rouge pour informer ceux qui les croisaient de leurs activités. Pour les prostituées la marque était un « P » sur le front, le bras ou la fesse. Pour les maquerelles un « M » et une fleur de lys.
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En matière de torture, on peut dire qu’on a été inventif dans toute l’histoire du monde mondial. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle on adore vous en parler (déso on est malsain). Mais si l’on se penche plus précisément sur les tortures faites aux femmes, notre sang se glace. Surtout quand on sait que certaines tortures sont toujours existantes aujourd’hui…
Comme c’était hyper compliqué de vous décrire cette sorte de chaise avec des mots, j’ai préféré opter pour un dessin ludique. Mais en gros, ton corps se déchire très lentement grâce à l’action des poids et c’est peu agréable.
Une coutume qui a perduré quand même jusqu’au XIXème siècle et qui consistait à enrubanner les pieds des femmes plutôt issues de classes favorisées (dans un premier temps, mais rassurez-vous après ça s’est étendu au reste de la société, yay) dès le plus jeune âge, afin qu’ils ne dépassent pas 7 petits centimètres. Evidemment c’était pas très agréable.
Une torture qui a le bon goût d’être encore fortement répandue aujourd’hui. 200 millions de femmes dans le monde sont excisées à l’heure actuelle. On en compte environ 53 000 rien qu’en France . On rappelle bien sûr que l’excision n’a aucune raison d’être et ne peut en aucun cas être comparée à la circoncision. C’est ni plus ni moins une torture.
Un petit truc chouettos qui nous vient du Moyen-Age. Sorte de soutif amélioré, doté de jolies broches qui perçaient les seins de façon à en faire de la purée mousseline. Un traitement réservé aux femmes adultères qui avaient le mauvais goût de niquer sans être mariées, bouh les vilaines.
Ce joli petit instrument était utilisé notamment durant l’Inquisition et consistait à fermer de bec des donzelles quand celles-ci avaient l’outrecuidance d’un peu trop l’ouvrir en public. Les femmes bruyantes qui troublent l’ordre public, on n’en veut pas. Alors coucou la muselière.
Bon on va pas tortiller du boule, c’était bien joli la technique de l’âne espagnol, mais nous on en veut pour notre argent. Alors zou, pas de chichi, on pend la femme par les pieds, toute nue, et on la découpe en deux en partant de la fente génitale. Ça n’a pas l’air sympa dit comme ça mais figurez-vous que ça partait d’un bon sentiment puisque ça permet de tuer les femmes qui étaient très méchantes en peu de temps et en faisant moins mal. L’avantage c’est qu’on a deux femmes pour le prix d’une.
La torture des sorcières c’était un peu un classique au Moyen-Age. L’idéal quand on n’a pas trop d’imagination et qu’on a du bois en trop et besoin de viande en rab pour le prochain festin du village. Le bûcher était unisexe dans l’absolu, mais souvent réservé aux femmes soupçonnées de sorcellerie. L’avantage c’est qu’on meurt avec un délicieux fumet de bacon grillé dans les narines.
Modèle disponible pour les garçons comme pour les filles qui se touchent un peu trop le pipou, cette magnifique ceinture en cuivre ornée de picots rouillés du meilleur goût empêchera ainsi la main perverse de s’aventurer dans le gouffre des muqueuses.
Et tout comme l’excision, la lapidation existe encore aujourd’hui dans certains pays (notamment en Iran, au Nigera ou encore aux Emirats Arabes Unis) où il est normal et tout à fait légal de lapider une femme qui aurait eu des relations adultères. Hello darkness my old friend.
Décidément, les espagnols sont très chauds en torture infligées aux femmes ! Fait de longues griffes métalliques comme, cet objet était chauffé à blanc avant d’être fixé sur le sein d’une femme. Si la poitrine n’était pas violemment arrachée par le bourreau, les victimes étaient suspendues au plafond. Sous leur poids, la peau s’étirait, augmentant le saignement jusqu’à ce que mort s’en suive. Bonheur. Rien qu’à voir cet objet, on se dit qu’on va passer un mauvais moment.
Et toi c’est quoi ta méthode de torture préférée ? On aussi les instruments de torture médiévaux, les superbes instruments de torture de l’Inquisition , les supplices romains qu’on aimerait pas subir et les pires tortures psychologiques .
T'as quelque chose à dire, une réaction ? C'est ici. Oui, c'est bien fait hein ?
Si tu aimes ce Top,
tu aimeras ça aussi. Puisqu'on te le dit.
On sait bien que t'as encore 5 minutes...


«Faun and a Girl», de Max Slevogt via Wikipedia, License CC




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Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser

Lucile Bellan
— 3 mars 2015 à 15h44
«C'est compliqué» est une sorte de courrier du coeur moderne dans lequel vous racontez vos histoires –dans toute leur complexité– et où une chroniqueuse vous répond. Cette chroniqueuse, c'est Lucile Bellan. Elle est journaliste: ni psy, ni médecin, ni gourou. Elle avait simplement envie de parler de vos problèmes.
Si vous voulez lui envoyer vos histoires, vous pouvez écrire à cette adresse: cestcomplique.slate@gmail.com
Je suis une étudiante de 19 ans, détraquée, si on en croit l'histoire qui va suivre. Il y a environ un an, j'ai rencontré un homme beaucoup plus âgé que moi, et pour cause, il a la cinquantaine. Il m'a plu, je ne sais pas pourquoi, il n'avait rien d'exceptionnel, et puis cette différence d'âge est peu commune. Je me sentais comme rassurée avec lui et plus désirée qu'avec un garçon de mon âge...
Il avait des «goûts très spéciaux», je lui ai dit de m'initier, après avoir quand même hésité plusieurs semaines. Mais bon, d'un côté cet univers du sado-masochisme m'avait toujours un peu intriguée. Nous nous sommes vus deux fois pour pratiquer le sado-masochisme sans qu'il y ait un seul souci, j'aimais ça.
La troisième séance m'a fait réfléchir un peu plus que cela parce qu'il m'a forcée à faire certaines choses dont je n'avais pas vraiment envie. J'ai eu peur, je n'ai pas voulu le revoir. Là, il me harcelait par message, est venu m'attendre à la sortie de mon job d'été pour avoir une explication. Je ne me sentais plus en sécurité.
Cet été fut une période sombre, je pensais parfois au pire. Quand je dormais je me réveillais en sursaut, je faisais des cauchemars. J'ai tenté de lui expliquer la raison (qui me semblait pourtant claire...) de mon départ. Au début ça ne marchait pas trop, il insistait. Puis il a compris, il m'a laissée.
Mais maintenant, je repense à lui. Je lui ai trouvé une belle excuse pour ce viol: c'était du sado-masochisme, il cherchait juste à repousser mes limites, c'est rien du tout! Je vais même partir en voyage avec. J'ai en revanche refusé que l'on rentre de nouveau dans une relation sado-masochiste.
Je sais que c'est mal (tout de moins je le suppose?), alors... Suis-je complètement conne? Est-ce que je recherche l'auto-destruction? Vous avez des explications? Je suis au courant de la nocivité de cette relation et j'y cours quand même, j'en suis limite à me demander si je n'y vais pas inconsciemment juste pour le voyage!!! Pourquoi le revois-je comme un être bienveillant? Bref, quel est votre avis?
Chère Clémence , il me semble que, avec les éléments dont vous me faites profiter, vous êtes loin d’être détraquée mais juste très curieuse. Et, dans le domaine de la sexualité en particulier, la curiosité est une merveilleuse qualité.
Mais laissez-moi vous raconter une histoire.
Il y a quelques années, j’ai eu une relation avec un homme pratiquant des jeux de domination. Un homme légèrement plus âgé, plus expérimenté dans ce domaine, séduisant et, pour ne rien gâcher, avec de l’argent. Je n’ai jamais profité de son argent mais ça participait à une aura globale de domination sociale et intellectuelle. Et loin du jeu sexuel dans lequel nous étions engagés, il a profité de cette domination psychologique. En jouant avec mes limites, sans mettre en place de «safe word» , en étant moins à mon écoute qu’aux variations de son plaisir, en profitant de ma position choisie à l’origine pour m’humilier psychologiquement à coups de petites phrases assassines.
À l’époque, il était mon amant «punition». J’étais attirée par lui mais je ne prenais aucun plaisir à nos rencontres. Il me rabaissait perpétuellement (j’étais trop ronde, il me rendait service…), me faisait souffrir (une souffrance confirmée par la collection de bleus que je ramenais chez moi) et ne me donnait aucun plaisir en retour. Pendant ces poignées d’heures dans cet appartement indécent du centre de Paris, j’étais sa chose. Un jour, j’ai fait un malaise sur l’îlot central de sa cuisine et nous ne nous sommes plus jamais revus.
Pendant des semaines, je m’en suis voulue: cette rupture me donnait l’impression d’être l’image qu’il m’avait donnée de moi: ronde et bête, entichée d’un type qui ne me respectait pas et surtout une fille avec des limites.
Mais la vérité c’est que des limites, j’en ai. Notre aventure n’a jamais été sensuelle, mais violente et agressive. À la manière de votre propre expérience avec cet homme. Or le SM ce n’est pas ça.
Le viol est un crime, pas une pratique sexuelle
Sexuellement, les pratiques de soumission et domination sont soumises à des règles strictes. Elles sont encadrées pour que chacun y trouve son plaisir dans le respect de son corps. Le SM n’a jamais été une pratique où le but est d’atteindre un point de non-retour où, en tant que soumise, vous accepteriez tout sans broncher. Vous parlez vous-même de viol. Le viol est un crime, pas une pratique sexuelle.
Il me semble que, comme le dominateur dont j’ai croisé la route, vous avez rencontré quelqu’un qui cherche plus à exercer un ascendant psychologique sur vous. Il vous manipule et profite de vos faiblesses. Bien sûr que vous ne voulez pas passer pour celle qui est trop coincée pour . Et en vous engageant dans cette relation particulière, vous avez aussi engagé votre confiance et vos sentiments.
Mais là, en partant en voyage avec lui, il me semble que vous prenez des risques inconsidérés.
Vous rétracter ne serait ni lâche, ni trop sage ou timoré. Prendre conscience des dérives de votre partenaire ne fait pas de vous une mauvaise joueuse. Et un viol dans le cadre d’un jeu sexuel reste un viol, pour lequel vous avez le droit de porter plainte. C’est une question que vous n’abordez pas mais je vous suggère d’y réfléchir.
Vous avez envie de partir avec lui, peut-être est-ce l’emprise psychologique qu’il a sur vous, peut-être l’aimez-vous, mais il y a des personnes néfastes et il faut se battre contre l’attirance que l’on a pour elles. Pensez aussi à ces périodes difficiles et douloureuses que vous avez vécues: vous ne voulez pas les revivre.
Et puis j’ai un conseil concernant les pratiques SM: prenez le temps de vous rendre dans un donjon. C'est ainsi que l'on appelle les lieux de rencontres de ceux qui pratiquent les jeux de soumission et de domination. Ce sont des endroits discrets mais il y en a un certain nombre partout en France. Certains fonctionnent comme des clubs privés, avec des parrainages, d'autres sont plus faciles d'accès. Allez, donc, vous rendre compte, seule, de comment cette sexualité se pratique.
Dans le SM, les notions de consentement et de respect sont capitales
Vous devriez alors vous rendre compte d’à quel point les notions de consentement et de respect sont capitales. À ce stade, vous aurez assez de recul et d’expérience pour voir que la relation que avez eue avec cet homme n’a rien à voir avec une pratique SM. Même soumise, vous restez maîtresse de vos sentiments, de vos émotions et de vos limites psychologiques ou physiques. Il a profité de vous, et, à raison, vous vous êtes protégée. Maintenant, il vous faut comprendre ce réflexe et l’accepter. Cet homme a profité de vous au
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