Punition et de récompense orgie

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Punition et de récompense orgie
Tout d’abord, merci pour votre investissement et témoignage.
Ce que j’apprécie le plus dans votre livret ou blog etc…ce sont vos exemples personnels qui aident à mieux comprendre et à se mettre en conditions…
Oui votre livret est à recommander car il est clair.
J’avoue que je lis depuis quelques temps Filliozat, Gueguen etc…donc cela devient un complément.
J’attends un deuxième enfant et j’en profite pour me renseigner, lire pendant les congés. Je suis donc entièrement baignée dans ces réflexions d’éducation positive que j’essaie de mettre en place avec ma petite fille de 3 ans et demi…
Beaucoup de parents s’interrogent sur le statut de la punition et de la récompense dans l’éducation positive.
Après la lecture de ce livret, vous saurez enfin comment vous positionner par rapport aux punitions et aux récompenses, et comment aborder les choses autrement avec votre enfant.
Un livret pour vous aider à devenir le parent que vous avez envie d’être !
J’ai beaucoup apprecie le livret punitions et recompenses, et je recommanderais son achat, car il offre des alternatives possibles aux punitions et recompenses, il est ettaye de plusieurs exemples concrets et il revient regulierement sur le pourquoi, la valeur ajoutee pour l’enfant comme pour le parent d’adopter ce comportement alternatif, benefique au long court. Il justifie bien l’endurance dont on doit faire preuve pour faire grandir notre enfant de l’interieur.

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Je n’ai aucune conscience de la « transgression » qui a conduit à cet événement. Je sais que me soumettre à sa volonté était un projet majeur pour mon père. Comme c’est le cas pour tant de parents par rapport à tant d’enfants.
La punition est toujours présente à l’autre extrémité d’une demande. Quand je fais une demande, son message essentiel est que la seule chose qui compte, c’est que j’obtienne mon chemin. Si je ne le fais pas, et j’ai le pouvoir de le faire, je te punirai. Si je le fais, je te récompenserai.
Passer d’une demande à une demande signifie accepter la possibilité que l’autre personne dise « non » et l’accepter. Cela signifie renoncer à utiliser tout type de pouvoir que nous avons pour punir l’autre personne, adulte ou enfant, pour avoir dit « non. »Sans cette volonté, sans accepter que les autres soient libres de choisir, sans relâcher l’habitude d’essayer de restreindre le choix des autres en brandissant la menace de conséquences négatives, tout ce que nous demandons à autrui apparaîtra comme une demande.
Je ne suis absolument pas surpris que les personnes en position d’autorité – parents, enseignants, managers – rechignent généralement à faire des demandes et non des demandes. Un enseignant l’a dit un jour avec éloquence lorsque j’ai proposé qu’ils fassent des demandes et non des demandes: « Oh, non. Ce dont vous parlez, c’est de la démocratie en classe. Il n’y aura pas de démocratie dans ma classe. Je suis le dictateur – dictateur bienveillant, mais dictateur. »C’est le jour où j’ai décidé de ne pas apporter la CNV aux enseignants, car j’étais tellement identifié au point de vue de l’enfant que je ne pouvais pas me remettre assez vite de ma propre douleur pour passer à une perspective empathique avec l’enseignant.
La punition prend de nombreuses formes dans les interactions avec les adultes. Lorsque des différences de pouvoir sont présentes, nous pouvons perdre des opportunités de promotion ou de projets significatifs, nous pouvons être licenciés si le « non » est assez grand, nous pouvons avoir notre accès aux ressources restreint. Nous pouvons également être emprisonnés, hospitalisés ou même torturés. Même dans des relations égales telles que l’amitié, le voisinage ou entre amoureux, nous nous punissons et nous récompensons toujours habituellement pour avoir dit « non » et « oui. »Même si la punition peut être très subtile, elle n’en est pas moins une punition. Si je ne te souris pas pendant trois jours après que tu n’aies pas changé les couches de notre bébé, tu sais trop bien que ce n’était pas une demande, et tu ressens la force de la punition.
Nous connaissons tous l’expérience de la réception d’une demande. Lorsque j’ai récemment demandé à des gens d’une dizaine de pays différents ce que c’était pour eux lorsqu’ils ressentaient une demande, les réponses étaient assez unanimes. Les gens ont décrit l’expérience comme une expérience d’impuissance, d’être maîtrisé, découragé ou parfois indifférent. Ils ont eu l’expérience de fermer en réponse. Au-delà du manque évident de liberté, le coût personnel était aussi de connexion et de respect, à la fois en termes de non-respect et de perte de respect pour la personne qui en faisait la demande.
Je serai toujours reconnaissant à Marshall Rosenberg d’avoir rappelé que la violence ne peut émerger que d’une expérience de besoins non satisfaits. Un être humain qui a accès au choix, à la dignité, à l’amour n’est pas celui qui commet la violence. Lorsque nous punissons les gens, nous les privons de leur dignité humaine. Alors que les gens peuvent choisir de ne pas faire certaines choses par peur, les conséquences à long terme sont une violence accrue. C’est l’horrible tragédie de toute guerre contre le terrorisme dont j’ai jamais entendu parler.
Si nous voulons créer des sociétés dans lesquelles les gens prospèrent, il nous faudra tous nous remettre des millénaires de systèmes de punition et de récompense. Certains peuvent se demander pourquoi j’inclus des récompenses. Les récompenses ne sont-elles pas un moyen plus humain de motiver les gens à prendre des mesures positives?
Je reste intransigeant. Nous ne pouvons choisir « oui » que lorsque nous pouvons choisir « non. »La promesse de récompense rend difficile l’option de dire « non « . L’absence de récompense est sa propre forme de punition. De toute façon, nous ne faisons pas l’expérience de l’accès humain fondamental au choix de l’intérieur, sachant ce que nous voulons, pourquoi nous faisons ce que nous faisons. Les récompenses, que ce soit à l’école ou sur le lieu de travail, semblent diminuer le rendement.
Nous ne participerons pas tous à des expériences à grande échelle pour créer des systèmes de restauration. Nous ne prendrons pas tous une cause et ne nous battrons pas pour elle. La plupart d’entre nous, toujours, ne vivront que notre propre vie personnelle, en espérant le meilleur pour nous-mêmes et nos proches. Nous pouvons toujours devenir des pionniers personnels, nous engager à surmonter l’habitude, nous engager à créer des méthodes conscientes pour s’occuper de nos relations afin de résoudre les différences au lieu d’imposer notre volonté. À tout le moins, nous pouvons commencer par nous engager à faire des demandes, en donnant aux autres l’accès de base à l’exercice du plein choix.
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¤ Parfois, malgré une pression (punition) « forte », il ne répond pas ¤
La récompense n'est pas une friandise, une caresse, un câlin... mais tout simplement la dépression, le confort. Elle doit être, elle aussi positive et en « symbiose » avec la punition. La récompense doit être une action naturelle, positive et facilement comprise pour votre âne (La pression / dépression et une méthode utilisée par les équins à l'état sauvage). 
La récompense est l'action de dépression d'une demande envers l'équidé après l'obtention de la bonne action (ex : je te demande de tourner ; tu tournes = dépression). C'est un moyen de placer l'âne dans une position de confort naturel. La punition est la demande (inconfort) et la récompense et l'action (confort). La récompense doit toujours être suivi d'un temps « vide » (sans autre demande) pour permettre à votre âne de bien comprendre qu'il a fait une bonne action et donc qu'on lui « fiche la paix ».
¤ La récompense affective, humaine ¤
Les récompenses affectives, humaine sont à mon sens les « récompense » sous forme de friandise, caresse, câlin... soit des actions « contre nature ». À mon sens, ce ne sont pas des récompenses à proprement dit, ce sont plutôt des « renforcements positive » pour une action complexe, utile pour des demandes « contre nature » (mise à genoux, cabré...). Ce sont des « récompense » de facilité, qui permette l'acquisition d'un exercice plus rapidement, mais elles ne sont en aucun cas obligatoire à utiliser (contrairement à la récompense « naturelle »). Les récompenses affectives / humaines, sont des récompenses ponctuelles (que l'on donne à un instant précis), alors que les récompenses naturelles sont des récompenses systématiques après chaque bonne réponse. Pour les exercices de basse du respect, l'immobilité... la récompense naturelle peut suffire (même si vous avez l'impression de ne pas récompenser, votre âne lui, comprendra qu'il a fait une bonne action).
PS : Cet article a été construit par connaissance personnelle, l'article peu donc avoir des erreur (merci de nous les faire parvenir si vous en prenez connaissance). Vous êtes dans le droit de contredire certaines fait, mais toutes critiques doivent être constructives autant pour nous (l'équipe de Meth-o-ane) que pour nos lecteurs. Elles doivent donc être écrites lisiblement, sans agressivité, et être argumentées et justifiées dans un esprit d'échange et de partage. L'article peut être amélioré et modifié dans le temps. Fait par mes soins merci de ne pas le copier #‎Vanille Photo - Despéradoos de Loubac
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Création : 18/06/2014 à 02:11
Mise à jour : 01/01/2017 à 23:38

# Posté le vendredi 21 octobre 2016 21:29
Modifié le mercredi 07 décembre 2016 19:58

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43 - Punitions et récompense : les alternatives - partie 2
28 Jan 2020 · Le français comme j'aime

00:12:55




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