Punition brutale pour de vraies soumises

Punition brutale pour de vraies soumises




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Punition brutale pour de vraies soumises


Une nouvelle soirée s’organise, ce soir je passe la nuit en compagnie de mon Maître et j’en suis pleine d’enthousiasme. Je suis en manque de tout je crois ; en manque de sexe, en manque de lui, en manque de jouissance et surtout en manque de sadomasochisme. Cela fait bien longtemps que Mon Maître ne m’a pas sodomisé parce que mon cul était vraiment trop douloureux ces temps-ci, nous l’avions mis au repos. Je rentrais de vacances et voilà déjà quelques fois que nous nous étions retrouvés tous les deux, mon cul était de nouveau prêt à le recevoir et moi j’avais hâte de subir encore ses tortures, quelles qu’elles soient !
J’arrive à l’hôtel et je m’installe, je prends une bonne douche et revêts mon habit de soumise-catin. Aujourd’hui, je lui ai proposé de m’habiller à sa convenance, et son seul mot d’ordre a été le blanc. Il me veut en blanc, tout simplement. Je décide donc de mettre une tenue toute blanche, à l’exception de ma jupe, qui elle est noire. Je m’apprête minutieusement à le recevoir et j’aime beaucoup ça. Je suis une boule de nerfs mais je garde affiché un large sourire, je m’impatiente à l’idée de le revoir, lorsqu’il passera la porte et décidera de m’entreprendre comme il le désir.
Je décide de garder la porte fermée et d’aller lui ouvrir moi-même. Lorsqu’il toque à la porte, mon cœur s’emballe…
Nous ne commencerons la séance que beaucoup plus tard à vrai dire. Nous discutons de nous, du blog et de pas mal d’autres petites choses qui nous sont personnelles. De ces moments qui n’appartiennent qu’à nous, rien qu’à nous. Tout à coup, mes yeux s’écarquillent, je crois que j’ai fait une bêtise… Monsieur m’avait réclamé la cravache et la badine que j’ai oublié dans le coffre de ma voiture. Celle-ci n’est pas loin et mon Maître me réclame d’aller les chercher comme ça, sans les cacher, et de remonter la rue avec. Malgré une petite négociation qui se révéla totalement inefficace, il est hors de question que je change ma tenue pour sortir. Je regrette assez vite ma bêtise, mais s’il n’y a que ça alors j’irai les chercher comme il le désir.
Une fois à ma voiture, je récupère en vitesse lesdits objets que je prends discrètement sous ma petite veste. Je reviens calmement jusqu’à l’hôtel. Traverse les passages pétions, patiente aux feux rouges à côté de quelques inconnus de tous âges. Je suis calme mais je ne me défais pas de l’idée que je cache sous mon bras cravache et badine. Très vite je lève les yeux en direction de notre chambre d’hôtel, mon Maître fume à la fenêtre et me regarde sans montrer quelconque émotion. Je le regarde quelque fois en souriant sans me douter une minute du sors qu’il me réservera une fois là-haut avec tous ces objets en sa possession. Je remonte la rue sous son regard insistant, celui de ceux que je ne soutiens pas, celui de ceux qui me font baisser les yeux.
Lorsque je rentre de nouveau dans notre chambre, Monsieur a placé un petit tabouret molletonné en velours au centre de la pièce.
J’obéis et la séance peut alors commencer…
Note : la suite de cet article se fait comme je vous l’avait promis il y a quelques temps, c’est-à-dire uniquement en son et en image. Naturellement, faire une sexe-tape c’était trop facile, voici une autre façon de voir les choses. Plongez dans notre séance comme jamais cela ne vous est arrivé auparavant
Je compte sur vos commentaires pour recueillir votre avis !
Je tenais à rassurer les sceptiques également, cette séance bien que sado-maso poussé à son extrême peux faire peur parce l’on m’entend beaucoup dans la partie audio. Sachez donc que je suis toujours aussi consentante et désireuse pour ce genre de traitement et que cela fait partie de notre quotidien mon Maître et moi. Il s’agit je le rappelle d’un acte sexuel dont j’ai envie, dont j’ai besoin pour mon épanouissement personnel. Rien de maltraitant, en tout cas rien qui ne nuise à mon bien être de soumise.
J’ai beaucoup aimé cette séance tout comme celle que nous avions vécu du même genre au printemps dernier mais cette fois avec la badine (à lire ici) et toutes les autres ou nous sommes foncièrement sado-maso entre nous.
Soumise accomplie, heureuse et amoureuse.
Bisexuelle, ronde et sapiosexuelle.
Je vie ma soumission pleinement au quotidien et je prends désormais beaucoup de satisfaction dans l'écriture également.
De belles impressions de la cravache sur tes fesses , bravo et merci !
Merci à vous pour ce chaleureux commentaire ! Même s’il ne l’est pas tant que les coups de cravache de cette excellente séance Au plaisir
Quelle belle idée l’audio .Que ce soit pour les séances comme la lecture de tes textes.La séance punitive est ma préféré sans nul doute. Tu nous offre tous tes ressentis.Subliment excitant.Merci pour ce moment.
Merci, visiblement nous ne nous attendions pas à tant d’engouement vis à vis de cette partie audio. Personnellement j’étais assez septique, j’ai eu peur de ce que le lecteur pourrait en penser. C’est assez trash tout de même, mais l’envie à dépasser la peur du jugement. Et c’est sans le moindre regret ! Au plaisir
Merci énormement pour ce délice sonore. Hate d’en entendre encore
Nous allons réfléchir à l’avenir, si nous recommencerons dans ce sens. Pour l’instant, il s’agit d’un article disons “exceptionnel” Merci à vous.
Et voilà, j’ai écouté ton audio.
Lorsque tu t’es rendue compte de ton erreur, ton sang a dû se glacer dans tes veines…
Tu pleures à chaudes larmes Clarisse !
Est-ce la douleur qui te provoque ces pleurs ?
A bientôt Clarisse et merci pour ce partage.
Sarah.
Salut Sarah !
Ton commentaire m’est agréable à lire.
Tu sais, je n’ai pas spécialement eu peur lorsque j’ai oublié la cravache, cela m’arrive souvent, c’était simplement un bon prétexte pour me faire passer une séance sévère, comme nous en avions besoin mon Maître et moi. Je souriais encore en m’installant sur ce petit tabouret, mais effectivement, cela n’a pas duré. De quoi me mater un peu, moi la sale gosse insolente que je peux être parfois
Sinon oui je pleure, cela m’arrive souvent, même lorsqu’il n’est pas question de douleur. Premièrement, je suis une femme très sensible, j’ai un certain goût pour les larmes, mais je ne t’apprends rien. Toi qui à lu mon livre tu sais parfaitement quel est mon rapport aux larmes. Pour te répondre, lorsque je pleure dans de telles conditions, c’est le résultat de l’effet la douleur nous sommes bien d’accord, mais aussi d’un profond sentiment d’anormalité et de honte. J’y travail pourtant, j’accepte petit à petit ma condition et j’arrive à passer des séance plus légères et sans pleurs.
Malgré tout, pleurer dans ces instants me libère et m’accompagne dans des état sexuelle et masochiste plus intenses, plus puissant. C’est presque devenu une véritable nécessite dans nos séances.
Ma chère Clarisse,
C’est toujours un plaisir de te lire.
Je veux bien te croire que les larmes apportent énormément d’intensité !
Et tu parviens à le transmette de par cet article audio.
Pour ma part, je suis une grande émotive, mais intérieure. Je pleure uniquement en cas de tristesse. Je peux imaginer ce que je pourrais ressentir si les larmes me venaient lors de séances…mais je crois que ce n’est pas pour moi. Vraiment, mon corps et mon coeur associent les larmes à la peine. Et de toute évidence, les séances avec mon Maître ne me rendent pas du tout triste !
Le texte qui introduit ton article est très parlant et ayant vu le n Maitre, j’ai pu imaginer et visualiser la scène avec vous deux…j’imaginais son visage vu de la fenêtre, et le tien sur le trottoir ….
J’ai découvert votre blog il y a plusieurs semaines. C’est un univers absolument fascinant.
Cette séance audio est absolument étourdissante d’intensité, d’intimité et d’authenticité.
C’est sublime.
Un grand merci de nous faire pénétrer si intimement dans l’univers de votre relation.
Merci pour votre commentaire, votre agréable appréciation au sujet de mon blog, de mon univers et de cet article audio.
J’espère vous avoir fidélisé et que vous reviendrez vous exprimer en ses lieux qui me sont si cher.
Un magnifique moment de complicité et de partage! La voix chevrotante de Clarisse m’a définitivement fait chavirer… Cette façon de compter, entre angoisse, appréhension et impatience… Un vrai délice… J’apprécie énormément le fait qu’avec Monsieur et vous, le BDSM soit représenté comme ce qu’il est avant tout, à savoir du raffinement, du respect, et de l’élégance…
je suis aussi soumise mais débutante les coups de cravache j’aime bien sa =)
Bonjour
J’apprécie énormément votre blog. Loin des débilités que l’on peut trouver dans le monde bdsm. Vos billets sont superbement écrits et très intéressants à lire. Bravo
Je suis Dominant et à la recherche de ma soumise. Et si elle pouvait avoir vos atours j’en serai ravi. Même dans votre voix envahie par les larmes vous dégagez une superbe sensualité. Il m’est arrivé de cravacher ainsi ma soumise. J’aime jouer avec sa souffrance. Au final c’est au Maitre que revient l’envie d’arrêter ou de continuer. Les derniers coups doivent être en rafale et faire ainsi savoir à la soumise que seul le désir de son Maitre compte.
J’aime beaucoup ce Monsieur de votre bouche. Je le trouve très élégant. Je le préfère à Maitre
Merci infiniment pour ce commentaire très touchant je dois bien l’avouer. Alors je vais continuer et m’appliquer à vous satisfaire encore de ma plume à de nombreuses reprises, tant que mon Maître, mon “Monsieur” (car petite confidence nous n’aimons pas ça non plus, je l’appelle exclusivement Monsieur et jamais Maître, ça nous semble beaucoup trop… bref, pas naturel du tout) me le permettra.
Merci encore, vos mots sont terriblement encourageants !
Clarisse,
Merci de continuer à vous appliquer ainsi. La jouissance c’est aussi le gout de l’esthétisme.
Je suis ravi que mes mots soient terriblement encourageant comme vous le dites.
Ils ne sont que le reflets de ce que j’ai pu vivre en vous lisant…c’est à dire un plaisir intense!!!
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