Punit une écolière paresseuse

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Punit une écolière paresseuse
Sujet en dehors de l'intérêt de Hisse Et Oh
Sujet déjà traité sur un autre fil récent
Sujet comportant une petite annonce
Message contenant un propos diffamant
Message contenant un propos insultant
Débat qui ne correspond plus au sujet initial
Contribution qui n'apporte aucun élément au débat/à la question posé(e)
----truc pour wc-----d'une paresseuse confirmée---
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j'avoue avoir inventé ce w e passé le systeme anti pompage du jabsco ...en utilisant le tuyau douche pour remplir le wc d'eau pour le rincer :alavotre:
l'eau de mer stagnante dans les cuvettes commençant a avoir en été une odeur putride apres une semaine d'absence ceci ns amene a la solution de cet inconvenient en y mettant de l'eau de ville
tout essai de motivation a l'achat d'un wc automatique et bruyant est inutile
truc egalement pour vc
toute l'année je garde des huiles de toutes sortes sardine, thon, vinaigrette, etc, qui reste dans les boites puis je les concervent dans une bouteille plastique et ensuite en croisiere pour éviter les bruits de pompes , un petit coup d'huile et beaucoup moins cher que les produit vendus chez les schips, A+
Fait gaffe Patrick,
la marine surveille les dégazages des supertankers :-)
aussi
liquide de refroidissement , plus d odeur et ca lubrifie
plus sur le glycol
extrait de www.flamino.fr[...]_26.pdf
APRÈS INGESTION:
APRÈS INGESTION EN GRANDE QUANTITÉ:
- Etat de faiblesse
- Dépression du système nerveux central
- Nausées
- Vomissements
- Douleurs gastrointestinales
- Difficultés d'avaler
- Maux de tête
- Vertiges
- Narcose
- Ivresse
- Troubles de perception sensorielle
- Troubles de capacité de réaction
- Vision trouble
- Pertes de connaissance
- Atteinte cérébrale
- Fonctionnement cardiaque acceléré
- Baisse de tension artérielle
- Modification du taux sanguin/de la composition sanguine
- Respiration accelérée
- Crampes/contractions musculaires incontrolées
LES SYMPTÔMES SUIVANTS PEUVENT APPARAÎTRE AVEC LATENCE
13.1 Dispositions relatives aux déchets:
- Code de déchet (91/689/CEE, Décision 2001/118/CE de la Commission, J.O. L47
du 16/2/2001): 07 01 04* (autres solvants, liquides de lavage et liqueurs
mères organiques)
- Code de déchet (Flandre): 015
- Déchets dangereux (91/689/CEE)
13.2 Méthodes d’élimination:
- Recycler par distillation
- Eliminer dans un incinérateur agréé pour solvants
- Obtenir l'autorisation des autorités de contrôle de la pollution avant de
rejeter vers les stations d'épuration des eaux usées
- Ne pas déverser dans les eaux de surface
Mais c'est très polluant ...
Malheureusement le liquide de refroidissement est extrèment polluant ! Pas une bonne idée
faudra pas se plaindre que la legislation se durcisse
si des legislateurs lisent ce gence de declaration. ces produits sont du poison PUR, c'est dingue de mettre cela dans ses toilettes
:-( :-( :-(
Symptômes ...
Mais ce sont les mêmes symptômes que j'ai le soir après le boulot.
Après une journée de bateau je n’ai pas tout ça ?
Suis-je normal ????
;-)
Spécial Belgique...
... L'huile des Frites.
Avantages:
-change les odeurs.
-Lubrifie les conduites
-Fait des belles couleurs dans l'eau
PS: oui, j'en connais qui font des frites à bord... même au large ;-)
Cela marche aussi
Et puis c'est biodégradable et cela sent bon la pomme de pin ...
ATTENTION !!!!
Pour Laurent du Coyote :
Certes la bouteille de ton gel WC est verte, son contenu aussi, et on a un gros "écologique" écrit dessus.
Le seul truc que ça a en plus par rapport aux autres, c'est :
- la couleur verte
- une bouteille recyclable (si jamais ça veut bien suivre la bonne filière)
- et le respect d'une norme "environnementale" européenne qui te garantit grosso-modo qu'au lieu de rejeter 100 unités d'agents polluants tu n'en rejettera que 70. Enfin, ça intègre une pseudo garantie de bio-dégradabilité, dégradabilité qui n'est au final que visuelle et qui ne concerne pas du tout la l'aspect chimique du truc.
Faites gaffes à ce qu'on vous vend les gars (et les filles) !
Pour les chiottes de la maison, c'est la bouteille d'huile à 1€ de chez liddl.
Et pour les produits vaisselle etc, je ne connais qu'un seul truc qui il me semble est correct à 100%, c'est la marque Ecover, qu'on trouve en magasin bio etc. C'est du 100% végétal la plupart du temps, et ça marche nickel.
Quand on évacue direct et sans traitement nos déchêts liquides dans la mer (comme sur un bateau, héhé), je crois qu'il est important de prendre conscience de ce qu'on rejette, et d'y faire gaffe...
Evidemment, le coup du liquide de refroidissement, je vous dirai pas ce que j'en pense, mais "pas moins" quand même.
Liquide refroidissement
Ce produit en plus d'etre toxique, a une "certaine" agressivité sur les plastiques et caoutchou, de meme que les huiles minerales. Je n'en mettrais pas dans ma cuvette. une goutte d'huile de table de temps en temps, est tres efficace sans pour cela etre un degazage sauvage.
QUESTION, pour les hivernages, plutot que de mettre de l'antigel dans les cuvettes et dans le moteur (partie eau de mer) pourquoi ne pas utiliser du "lave vitre" il sont souvent donnés pour -15/-20°? et sont bien moin toxique que celui de refroidissement..
Si vous avez une idée!!!
aux etats unis
il y a des antigels non toxiques disponibles depuis tres longtemps et obligatoires, une couleur pour l'hivernage des circuits d'eau potable et une autre pour les circuits moteur et toilettes
loin de moi l'idee de dire que c'est mieux la bas
ils ont conscienceusement detruit une partie de leur environnement mais ce qui est protégé est protégé et les gens respectent les reglementations aidés par des menaces de sanctions dissuasives mais jamais appliquées en fait
par exemple j'ai gardé le placard obligatoire que tu fixes pres des toilettes sur les grands lacs, 50 000 dollars d'amende pour rejet d'eaux noires
pareil dans les environs de san francisco, à Marin County , l'amende pour tout jet de papier gras, chewing gum ou whatever est de 1000 dollars
ben c'est propre mais je n'ai jamais entendu que ca ait été infligé
oui mais
on est FRANÇAIS ici Monsieur!
On achète FRANÇAIS ici Monsieur!
Heu... si c'est moins cher on peut discuter, non???
quand je pense
que j'ai lancé un sujet pur à l'eau pure...et qu'on termine avec juste le contraire
ç'est :-D
quand je pense
que j'ai lancé un sujet pur à l'eau pure...et qu'on termine avec juste le contraire
ç'est :-D
Oui, c'est un sujet
qui finit souvent en eau de boudin...
pas d'huile alimentaire
je ne mets plus d'huile alimentaire dans les WC du bateau. En vieillissant, elle devient visqueuse et rend l'utilisation difficile... donc il faut en remettre une couche.
Je démonte la pompe et je tartouille de la graisse marine dans le corps et les clapets à la brosse à dent... pas celle que j'utilise pour mes dents !
Une fois tous les six mois, avec une utilisation tous les w-e.
Huile...
Un demi verre à dent d'huile de ricin aide énormément.
Bu ça marche encore mieux :-D :-D :-D :-D
En Belgique et UK, en grande surface
on trouve Ecover :
produit vaisselle
savon main
produit WC
produit lessive
produit nettoyage des sols
...
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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.
           Je m'appelle Cécile, j'ai 25 ans. Mariée à un homme de 45ans, sans profession, j'ai commis la faute de le tromper, et surtout de me faire prendre en flagrant délit. Depuis j'ai largement eu le loisir de m'en repentir !
           Mariée très jeune à un mari très pris par ses affaires, je menais une vie riche et oisive, et c'est sans doute cette oisiveté qui me poussa à prendre des amants, plus que des besoins sexuels que d'ailleurs mon mari satisfaisait assez bien. Jolie blonde aux yeux bleus, mince, je n'avais aucun mal à me faire draguer et en abusais en toute insouciance. Ce que j'ignorais, c'est que mon époux se méfiait de moi et avait chargé un détective privé de me surveiller.
           Ce jour-là, j'étais chez mon amant du moment, Bruno, un beau brun ténébreux qui me baisait divinement. Il était en train de me sauter en levrette, moi à quatre pattes, seulement vêtue, si j'ose dire, de mon porte-jarretelles et de mes bas, allant et venant puissament dans mon vagin, quand tout à coup la porte s'ouvrit avec fracas sous un violent coup d'épaule, et mon mari apparut tenant un révolver à la main ! J'eus alors l'impression que mon sang se glaçait dans mes veines, cependant que je sentais la verge de Bruno débander rapidement dans mon sexe. Je crus ma dernière heure arrivée, j'étais épouvantée. Mon mari ne tira pas, mais dit d'une voix glaciale en nous menaçant de son arme :
- Allez, la séance est terminée. Cécile, rhabille-toi en vitesse, je te ramène à la maison.
           Honteuse, plus morte que vive, j'enfilai rapidement mes vêtements, la chatte encore gluante du sperme de l'assaut précédent, me sentant sale, humiliée, terrorisée. Redevenue décente, je suivis mon époux, tête basse. Une fois dans la voiture, il m'ordonna de déposer tous mes bijoux dans la boîte à gants : je n'osai protester et lui obéis. Durant tout le trajet jusqu'à notre grande maison en banlieue chic, il ne me dit plus un seul mot, me laissant le prier, le supplier, pleurer toutes les larmes de mon corps, lui demander humblement pardon. C'est seulement de retour chez nous qu'il ouvrit la bouche pour m'ordonner de venir avec lui en me prenant fermement par le bras, me faisant mal ; les jambes flageolantes, je le suivis donc et il me conduisit dans les sous-sols de la villa et ouvrit une porte de cave et me poussa à l'intérieur, me disant :
- Ta conduite inqualifiable mérite une punition. Le temps que j'avise de ton sort, tu vas vivre ici, dans cette cave. Le confort en est largement suffisant pour une petite salope comme toi. Un conseil, économise l'eau : cela peut durer un certain temps !
           La-dessus, il rabattit la porte et j'entendis la clef tourner sinistrement dans la serrure : j'étais prisonnière. Secouée de sanglots, j'observai le réduit d'environ deux mètres sur trois dans lequel j'étais enfermée. Il ne comportait aucune fenêtre ou soupirail, et était faiblement éclairé par une petite ampoule pendue par un fil au plafond. Comme me l'avait laissé entendre sarcastiquement mon époux, le confort était réduit : un mauvais matelas étroit posé par terre, dans un coin un seau hygiénique à côté d'un tabouret sur lequel etait posé un gros pain et à côté duquel s'alignaient quelques bouteilles en plastique d'eau minérale. Pour l'inventaire, c'était tout !
           Folle d'angoisse, je m'éffondrais sur le matelas et pleurais tout mon saoul : qu'allait-il m'arriver ? Mon époux, bien que m'ayant fort bien traitée jusqu'ici, était d'une jalousie féroce,
et je redoutais sa colère. Son calme actuel ne présageait rien de bon : il aurait pu nous tuer tous les deux avec Bruno, il ne m'avait même pas frappée ! De plus, visiblement, cette cave avait été prévue pour me recevoir : il devait connaître mon inconduite depuis un certain temps, de même qu'il n'avait pas pu arriver par hazard chez mon amant... Toutes ces reflexions n'auguraient rien de bon pour moi...
           Et le temps se mit à couler, monotone. Je ne savais absolument pas quelle heure il pouvait être, puisque je n'avais plus ma montre. Je ne pouvais non plus me baser sur la lumière du jour, car mon cachot n'était éclairé chichement que par l'électricité. Je suis absolument incapable de dire le temps que dura ma réclusion : plusieurs jours en tout cas. Aucun bruit ne me parvenait et je me mis à vivre aux rythme de mes besoins naturels et de ma faim ou de ma soif : je mangeais un peu de pain, buvais quelques gorgée d'eau ou me soulageais sur le seau hygiénique qui sentait de plus en plus mauvais. Moi aussi, je devais puer : pas moyen de se laver, même pas de papier
hygiénique pour m'essuyer la vulve ou l'anus. Je dormais par moments, un sommeil lourd peuplé de cauchemards horribles qui me réveillaient en sursaut baignée de sueur.
           Ma déchéance s'amplifiait avec le temps qui passait : je me sentais sale, pas coiffée, mon maquillage avait coulé depuis longtemps, mes vêtements étaient sales et froissés, en particulier ma petite culotte, mes bas déchirés. De plus le seau hygiénique, malgré son couvercle, répandait une odeur pestilentielle.
           J'étais dans un état lamentable de crasse et d'abattement quand la porte de mon cachot s'ouvrit alors que je ne l'attendais plus. A ce moment, j'étais debout dans ma cellule et je n'eus pas le temps de réagir : deux hommes bâtis en armoire à glace et vêtus de blouses blanche se jetèrent sur moi et m'enfilèrent rapidement une camisole de force par dessus mes vêtements, emprisonnant mes bras croisés devant moi. Je protestai violemment, en pure perte. Je fus jetée sur le matelas et pendant que l'un des hommes me maintenait, l'autre glissa ses mains sous ma jupe ample pour me retirer ma culotte. Je ruais, hurlais en vain et même, profitant que j'avais la bouche grande ouverte, l'homme en profita pour y fourrer mon slip souillé qu'il tassa dans ma bouche en guise de baillon. Pour compléter mon mutisme, il me colla une large bande de sparadrap sur les lèvres. On coiffa ma tête d'une cagoule de tissu noir, on relia mes chevilles entre elles par une paire de menottes, je fus enroulée dans un drap, empoignée et posée sur une civière sur laquelle je fus sanglée au niveau de la poitrine, du ventre, des cuisses et des jambes. 
           Je sentis qu'on emportait le brancard jusque dans une voiture, sans doute une ambulance, où il fut glissé. Le trajet dura un certain temps. Je ne voyais rien, ne pouvais m'exprimer, ma petite culotte emplissant ma bouche, sans compter le sparadrap. Puis on me déchargea de la voiture et on me posa quelque part.
           Au bout d'un moment d'attente, je sentis qu'on s'affairait autour de moi, une voix féminine s'exclamant dégoùtée :
- Qu'est-ce qu'elle peut sentir mauvais !
           On me désangla, me déballa de mon drap et on me retira ma cagoule. Ma civière était possé sur le sol d'une grande pièce entièrement carelée, et deux jeunes femmes en blouses blanches étaient accroupies près de moi, dont une de race Noire. Plus loin, deux types massifs, également en blouses blanches, debout, tenant chacun un long fouet à la main. Les deux filles
commencèrent à me libérer : chevilles, camisole de force, sparadrap sur ma bouche de laquelle l'une d'elle retira ma culotte sale qui l'emplissait, me disant gentiment :
- Ici, tu peux gueuler tant que tu voudras : personne ne t'entendra !
           On m'ordonna de me mettre debout et de me déshabiller entièrement. Debout, ankylosée, afaiblie, je refusai avec énergie de quitter mes vêtements : mal m'en prit ! Les deux hommes brandirent leurs fouets et les abattirent sur moi, me frappant le dos, le ventre, les cuisses... Je cédai rapidement sous cette avalanche cinglante et très douloureuse en pleurant je retirai tous mes vêtements bien défraîchis : d'abord la veste de mon tailleur, puis mon chemisier, ma jupe je roulai ce qui restait de mes bas, dégraffai mon soutien-gorge et mon porte-jarettelles ; quant-à mes escarpins vernis, ils étaient restés dans la cave de notre maison. Je me retrouvai toute nue et honteuse devant les quatre personnes qui me détaillaient d'un air goguenard.
           La civière sur laquelle j'avais été amenée fut évacuée, on me poussa dans un angle de la pièce et une des jeunes femmes saisit un tuyau terminé par une lance, ouvrit un robinet et braqua sur moi le jet tiède. Elle m'arrosait partout, manquant me faire suffoquer par la roideur du jet sur le visage, la poitrine ou le ventre, me demandant de tourner sur moi-même pour mouiller tout mon corps. La menace des fouets me rendait obéissante : je suis assez douillette par nature, détestant la douleur physique. De même, quand elle me demanda de me prosterner en lui tournant le dos, j'obéis après un semblant d'hésitation, exposant mes parties les plus intimes à leurs regards, ainsi qu'à la violence du jet d'eau qui me frappait durement la vulve et l'anus, arrivant même à pénétrer ces deux orifices, surtout le vagin.
           Le jet d'eau fut coupé et l'autre femme s'approcha de moi, un gros morceau de savon à la main, et entrepris de me savonner de la tête aux pieds, y compris les cheveux, me faisant accroupir pour savonner vigoureusement mon entrecuisse, n'épargnant aucun recoin le plus secret de mon anatomie... Après ce savonnage, de nouveau le jet pour me rincer. La fille qui le manipulait s'approcha tout près de moi, baissa la puissance, me demanda d'écarter largement les jambes puis fit remonter l'embout verticalement entre mes cuisses jusqu'à pénétrer mon vagin mais aussi mon anus ! Le plaisir de me sentir propre était loin de compenser l'humiliation ressentie d'être ainsi traitée en public. On me laissa m'égoutter un moment, toujours nue, avant de me passer une serviette assez rêche pour finir de me sécher.
           Toujours amenée au calme par la présence des fouet, je dus me laisser harnacher, morte de honte : collier en cuir autour du cou, bracelets en cuir également, aux poignets et aux chevilles. Chacun de ces accessoires muni d'un mousqueton. Mes poignets furent reliés entre eux dans mon dos, une barre rigide de métal fut accrochée entre mes chevilles, les maintenant écartées en permanence. La jeune femme noire accrocha une laisse au mousqueton de mon collier et tira dessus pour m'inviter à la suivre. Je dus m'exécuter, tenue en laisse comme une chienne, de plus la barre d'écartement entre mes cheville m'obligeait à marcher grotesquement à petits pas, les jambes très écartées... Elle me conduisit ainsi dans une chambre ressemblant à celle d'une clinique, avec un lit blanc étroit, comportant uniquement un drap de dessous et un traversin. Elle détacha mes poignets, juste le temps de m'allonger sur le dos et de les fixer aux barreaux de la tête du lit. De même elle retira la barre d'espacement et attacha mes chevilles au pied du lit.
           Je me retrouvai ainsi nue, attachée en croix sur le lit, bras et jambes écartés et jetai un coup d'oeil autour de moi. L'ameublement était réduit au minimum : coin toilette avec WC à la turque, lavabo et bidet ; sur une table des poires et un bock, ainsi, ce qui me glaça, des intruments de punition : martinet, cravache, fouet... J'osai interroger la Noire :
- Dans une clinique très spéciale et où tu as intérêt à obéir si tu veux éviter d'être punie encore plus durement !
           Elle me détaillait tranquillement de la tête aux pieds, regardant surtout entre mes cuisses que je ne pouvait bien sûr pas resserrer pour échapper à cet examen gênant pour ma pudeur. Elle vint tout près du lit, posa ses mains sur moi et se mit à
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