Punission lesbienne en prison

Punission lesbienne en prison




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Punission lesbienne en prison
Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Analyser activement les caractéristiques du terminal pour l’identification , Créer un profil personnalisé de publicités , Créer un profil pour afficher un contenu personnalisé , Développer et améliorer les produits , Exploiter des études de marché afin de générer des données d’audience , Mesurer la performance des publicités , Mesurer la performance du contenu , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal , Sélectionner des publicités personnalisées , Sélectionner des publicités standard , Sélectionner du contenu personnalisé , Utiliser des données de géolocalisation précises
En savoir plus → Refuser Accepter & Fermer

Les 5 meilleurs films de prison de femmes


L’actrice Anne Heche meurt à l'âge de 53 ans


Abonné
Livres


Abonné
Cinéma

Accédez à l’intégralité des Inrockuptibles
Publié le 19 septembre 2016 à 9h58 Mis à jour
le 19 septembre 2016 à 9h58

"Elle s'appelait Scorpion", de Shunya Ito (capture d'écran)
À l’occasion de la sortie de « La Taularde » d’Audrey Estrougo avec Sophie Marceau, retour sur quelques joyaux du « Women in Prison », entre exploitation et innovation, érotisme et réalisme.
Enième preuve que rien ne se perd mais que tout se crée au cinéma, La Taularde est l’ultime avatar d’un genre particulièrement connoté dit du « film de prison de femmes ». Si la série Orange is the New Black a prouvé que cellules, femmes, sexualité et complexité pouvaient faire bon ménage, le « WIP », acronyme de « Women in Prison », sonne aussi désagréablement qu’un coup de fouet. Pour titiller, mettez des jeunes femmes faussement accusées dans des pénitenciers où maton(ne)s et co-détenues vont s’acharner à leur faire perdre leur innocence à coup d’humiliations, de sévices et d’initiations lesbiennes. Dans cette litanie de titres monotones (« cage », « femmes » ou « chaleur » reviennent, forcément plus accrocheurs que « maison d’arrêt »), ballotés dans le triangle d’or du cinéma bis des années 70-80 (les Etats-Unis, l’Italie et le Japon), il y a, miracle, des films plus que recommandables.
Le nominé aux Oscars : Femmes en cage , de John Cromwell (1950)
Caged ( Femmes en cage ) inaugure le bal avec tout de même l’honneur d’avoir été nominé trois fois aux Oscars: meilleur scénario, meilleur second rôle et meilleure rôle principal pour Eleanor Parker, future méchante baronne dans La Mélodie du bonheur et ici innocente veuve enceinte jetée en prison. Les studios Warner visent ici le même réalisme que dans leur autre célèbre film carcéral Je suis un évadé (1932), en envoyant la scénariste et ancien journaliste Virginia Kellogg faire de longues recherches à travers les pénitenciers du pays.
Le sens du détail, de la sociologie est là et donne un mélo stylé et à peine camp – malgré les 1,88 m et 100 kilos de Hope Emerson en détenue sadique. Le réalisateur John Cromwell joue très bien de l’enfermement et rend assez crédible la transformation de l’ingénue en femme à toute épreuve. La légende veut que Joan Crawford et Bette Davis se soient vu proposer le film mais que Davis l’ait refusé, prétextant qu’elle ne voulait pas jouer dans un « film de lesbiennes ».
Le baroque : Elle s’appelait Scorpion , de Shunya Ito (1973)
S’il n’y en avait qu’un, ce serait celui-ci ou même toute la série : dans le cinéma bis, les Japonais excellent à transcender le matériau douteux en délire pop baroque, jetant des ponts avec le cinéma transalpin de Dario Argento et consorts. Dans la série des Female Convict Scorpion , l’affolante brindille inflexible clinteastwoodienne Meiko Kaji est la détenue que tout maton refuserait/rêverait d’avoir : animée par la vengeance (mais capable d’un poil d’empathie), résistant à tous les sévices, capable de s’évader et de retourner en prison juste parce qu’elle le veut.
Sous la houlette de Shunya Ito, les trois premiers épisodes ( La Femme Scorpion , Elle s’appelait Scorpion , La Tanière de la bête) rivalisent d’invention graphique, où, dans ce second volet, Kaji déchire l’écran (et la pellicule) au sens propre, où un intermède façon théâtre kabuki se glisse tranquillement et où tout est surtout braqué contre la misogynie. Meiko Kaji chante aussi très bien la chanson du film, Urami Bushi (« Le Chant de la rancœur »), dont Quentin Tarantino se souviendra pour la BO de ses Kill Bill .
Le parodique : The Big Bird Cage , de Jack Hill (1972)
L’usinier à séries B Roger Corman ne dédaignait pas les films de prison de femmes, du moment qu’ils pouvaient être un peu fun : sous la direction de Jack Hill, spécialiste de la Blaxploitation , The Big Bird Cage a son quota de détenues aux tenues légères – on vous parle d’un temps où les actrices avaient des noms de playmates comme Anitra Ford, Candice Roman ou Carole Speed – et un instrument de torture sous la forme d’un moulin géant pour faire du sucre.
Mais un parfum parodique plane, avec ses révolutionnaires de pacotille voulant libérer les prisonnières de leur camp de travail juste parce qu’ils s’ennuient un peu, ces matons repoussant les avances des détenues et, cerise sur le gâteau, le duo entre les charismatiques Pam Grier et Sid Haig (spécialiste des méchants 70’s), que Tarantino réunira dans Jackie Brown . Quand on s’attend à voir un combat féminin dans la boue, ce sont Grier et Haig qui s’y collent, relevant le niveau de parité d’un film plus féministe qu’il n’y paraît avec ses héroïnes maltraitées mais jamais victimisées.
Le précurseur : Cinq femmes à abattre , de Jonathan Demme (1974)
Bien avant Le Silence des agneaux , Jonathan Demme débuta dans l’écurie Corman avec comme premier film ce Cinq femmes à abattre (au titre anglais plus générique de Caged Heat ). Déjà sérieux, le cinéaste essaie d’élever le classique pitch en lui donnant les meilleurs atours possibles, avec Tak Fujimoto à la photo ( La Balade sauvage de Malick, beaucoup de films de Shyamalan dont Sixième sens ) ou John Cale à la musique.
En plantant ses détenues devant un drapeau américain dans les bureaux de la prison, en les soumettant à des expérimentations médicales incongrues, Demme drape le WIP dans la (modeste) contestation politique. Et s’acharne à creuser ses personnages, dont même la méchante gardienne en fauteuil roulant, incarnée par Barbara Steele, la muse aux grands yeux du cinéma d’horreur des années 60. Il y a ainsi cette séquence bizarre où les personnages se mettent à rêver d’une vie meilleure et où le fantasme de Steele est de faire debout un numéro de cabaret façon Marlène Dietrich. De jeunes femmes martyrisées qui se font leur propre chorégraphie dans leur tête? Zack Snyder y a certainement jeté un œil pour Sucker Punch .
L’auteur : Leonera , de Pablo Trapero (2008)
Le stade suprême de l’auteurisation du WIP, bouclant la boucle avec Femmes en cage , est Leonera de l’Argentin Pablo Trapero (Lion d’Argent à Venise en 2015 pour El Clan ) : une prison, des femmes, la maternité. Sur le corps féminin, le film exclut d’emblée toute tentation de voyeurisme. Quand on voit l’héroïne Julia (accusée d’un double meurtre dont on ne saura jamais vraiment si elle l’a commis), enceinte et nue, c’est une célébration de sa force plutôt que le poids lourd d’un regard masculin.
Sur un fond documentaire (le film a été tourné dans une vraie prison), Trapero étudie adroitement le pénitencier comme une nurserie géante avec les prisonnières et leurs enfants, tout comme la possibilité troublante que les lieux, malgré les conditions de vie déplorables, soient un possible refuge où s’épanouissent l’entraide et la féminité.
Je veux enregistrer ce contenu pour le lire plus tard
Je n'ai pas encore de compte pour alimenter ma bibliothèque


Recherche BuzzFeed Recherche BuzzFeed
Edition US UK Australia Brasil Canada Deutschland India Japan Latam
California residents can opt out of "sales" of personal data.
Buzz · Contenu promotionnel 13 nov. 2017







1.



On insérait de force des pointes en métal dans la bouche des femmes qui critiquaient constamment ou comméraient.




Votre adresse courriel (requis) Inscrivez-vous
This site is protected by reCAPTCHA and the Google Privacy Policy and Terms of Service apply.
Les peines pour les hommes étaient souvent bien plus légères.
La bride-bavarde était une muselière en fer pour le visage de la femme, utilisée pour punir les «bavardes» – les femmes qui critiquaient sans cesse, comméraient, répondaient ou qui parlaient simplement trop. La bride était verrouillée sur votre tête, et un embout en métal couvert de piques était placé de force dans votre bouche. À chaque fois que vous bougiez la langue, les piques la lacéraient.
La victime de cette torture était parfois enchaînée à un crochet chez elle, ou bien humiliée publiquement.
Variation des piloris, souvent en bois ou en métal, il était utilisé pour punir les femmes qui se disputaient et les commères. Une femme pouvait avoir à le porter seule ou attachée avec la femme avec laquelle elle s'était battue.
Cette punition humiliante pouvait être infligée aux hommes comme aux femmes, mais les femmes accusées d'être des commères ou des filles de joie étaient les premières à devoir s'installer sur un «cucking stool». Attachées sur cette chaise en bois sans siège — souvent une chaise percée —, elles étaient forcées à rester assises, exposées à l'humiliation publique.
Les «cucking stool» ont été modifiés quelques siècles plus tard pour être utilisés comme des sièges à plongeon. Le siège était attaché à de longues poutres en bois, qui reposaient sur un axe. La victime, assise, était ensuite suspendue au-dessus d'une rivière ou d'un étang puis immergée autant de fois que la punition le disait, « afin de refroidir sa chaleur excessive », comme le disait l'écrivain français François Maximilien Misson. Dans certains cas, les femmes étaient immergées un si grand nombre de fois qu'elles en mourraient.
Le «thewe» était un genre de pilori conçu spécifiquement pour les femmes. La femme était enchaînée à un poteau par le cou, mais contrairement aux hommes, ses mains n'étaient pas attachées.
En 1777, Ann Morrow a été accusée de s'être faite passer pour un homme et d'avoir épousé une autre femme. Elle fut mise au pilori, et la foule en colère lui a crevé les yeux en lui jetant des pierres.
Dit aussi «pilori tonneau», cet appareil était utilisé pour punir les hommes coupables de vol, d'ivresse et d'émeutes. Mais les femmes pouvaient également être mises dans un manteau d'ivrogne.
Un homme a raconté avoir vu un tonneau à Delft, aux Pays-bas : «Un lourd récipient en bois, semblable à une baratte, que la femme audacieuse qui a deux maris en même temps porte sur ses épaules, seule sa tête dépassant au sommet, et qui est ainsi promenée en ville, en punition de son intempérance.»
La mutilation ou l'ablation du nez d'une femme était une punition pour les femmes aux mœurs légères, qui a perduré durant le Moyen Âge. En défigurant la femme, on éliminait le pouvoir de sa beauté. La loi britannique de Cnut (1018) imposait qu'une femme accusée d'adultère ait le nez et les oreilles coupés en punition. En comparaison, un homme adultère devait payer une simple amende.
Les marches de la honte étaient une punition traditionnelle pour les prostituées ou les «harpies» – des femmes dominatrices. Ces dernières devaient marcher pieds nus dans les rues, parfois vêtues uniquement de leur jupon. Les chaussées étaient sales, hérissées de pierres irrégulières. La foule, railleuse, se mettait en rang pour regarder les victimes fixement.
C'était une punition populaire pour les prostituées au XVIe siècle. Lady Low , qui dirigeait une maison close à Aberdeen, en Écosse, fut marquée au fer rouge sur les deux joues par un bourreau, puis dû porter une couronne en papier avant d'être bannie de la ville pour sept ans et un jour.
Jusqu'au XVIIe siècle, au Royaume-Uni, l'une des punitions pour les femmes accusées de vol était la noyade . C'était également la cause de la mort dans « l'ordalie par l'eau froide », dans laquelle les chasseurs de sorcières testaient le fait qu'une femme était une sorcière ou non en regardant si elle flottait ou coulait.
La noyade en tant que punition civile simple était d'ailleurs considérée comme une punition clémente, comparée à certaines des méthodes d'exécution plus brutales, comme...
Les femmes accusées de sorcellerie et de communier avec le diable étaient brûlées. Mais c'était également une punition courante en cas de trahison ou d'hérésie. En Écosse, une femme pouvait avoir les membres couverts de goudron, ou devoir porter une robe et un bonnet enduits de cette susbtance. Elle était ensuite attachée par le cou sur un tonneau, le feu allumé, et elle était à la fois brûlée et pendue dans un brasier.
Ce post a été traduit de l'anglais .
Keep up with the latest daily buzz with the BuzzFeed Daily newsletter!

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.
           Je m'appelle Cécile, j'ai 25 ans. Mariée à un homme de 45ans, sans profession, j'ai commis la faute de le tromper, et surtout de me faire prendre en flagrant délit. Depuis j'ai largement eu le loisir de m'en repentir !
           Mariée très jeune à un mari très pris par ses affaires, je menais une vie riche et oisive, et c'est sans doute cette oisiveté qui me poussa à prendre des amants, plus que des besoins sexuels que d'ailleurs mon mari satisfaisait assez bien. Jolie blonde aux yeux bleus, mince, je n'avais aucun mal à me faire draguer et en abusais en toute insouciance. Ce que j'ignorais, c'est que mon époux se méfiait de moi et avait chargé un détective privé de me surveiller.
           Ce jour-là, j'étais chez mon amant du moment, Bruno, un beau brun ténébreux qui me baisait divinement. Il était en train de me sauter en levrette, moi à quatre pattes, seulement vêtue, si j'ose dire, de mon porte-jarretelles et de mes bas, allant et venant puissament dans mon vagin, quand tout à coup la porte s'ouvrit avec fracas sous un violent coup d'épaule, et mon mari apparut tenant un révolver à la main ! J'eus alors l'impression que mon sang se glaçait dans mes veines, cependant que je sentais la verge de Bruno débander rapidement dans mon sexe. Je crus ma dernière heure arrivée, j'étais épouvantée. Mon mari ne tira pas, mais dit d'une voix glaciale en nous menaçant de son arme :
- Allez, la séance est terminée. Cécile, rhabille-toi en vitesse, je te ramène à la maison.
           Honteuse, plus morte que vive, j'enfilai rapidement mes vêtements, la chatte encore gluante du sperme de l'assaut précédent, me sentant sale, humiliée, terrorisée. Redevenue décente, je suivis mon époux, tête basse. Une fois dans la voiture, il m'ordonna de déposer tous mes bijoux dans la boîte à gants : je n'osai protester et lui obéis. Durant tout le trajet jusqu'à notre grande maison en banlieue chic, il ne me dit plus un seul mot, me laissant le prier, le supplier, pleurer toutes les larmes de mon corps, lui demander humblement pardon. C'est seulement de retour chez nous qu'il ouvrit la bouche pour m'ordonner de venir avec lui en me prenant fermement par le bras, me faisant mal ; les jambes flageolantes, je le suivis donc et il me conduisit dans les sous-sols de la villa et ouvrit une porte de cave et me poussa à l'intérieur, me disant :
- Ta conduite inqualifiable mérite une punition. Le temps que j'avise de ton sort, tu vas vivre ici, dans cette cave. Le confort en est largement suffisant pour une petite salope comme toi. Un conseil, économise l'eau : cela peut durer un certain temps !
           La-dessus, il rabattit la porte et j'entendis la clef tourner sinistrement dans la serrure : j'étais prisonnière. Secouée de sanglots, j'observai le réduit d'environ deux mètres sur trois dans lequel j'étais enfermée. Il ne comportait aucune fenêtre ou soupirail, et était faiblement éclairé par une petite ampoule pendue par un fil au plafond. Comme me l'avait laissé entendre sarcastiquement mon époux, le confort était réduit : un mauvais matelas étroit posé par terre, dans un coin un seau hygiénique à côté d'un tabouret sur lequel etait posé un gros pain et à côté duquel s'alignaient quelques bouteilles en plastique d'eau minérale. Pour l'inventaire, c'était tout !
           Folle d'angoisse, je m'éffondrais sur le matelas et pleurais tout mon saoul : qu'allait-il m'arriver ? Mon époux, bien que m'ayant fort bien traitée jusqu'ici, était d'une jalousie féroce,
et je redoutais sa colère. Son calme actuel ne présageait rien de bon : il aurait pu nous tuer tous les deux avec Bruno, il ne m'avait même pas frappée ! De plus, visiblement, cette cave avait été prévue pour me recevoir : il devait connaître mon inconduite depuis un certain temps, de même qu'il n'avait pas pu arriver par hazard chez mon amant... Toutes ces reflexions n'auguraient rien de bon pour moi...
           Et le temps se mit à couler, monotone. Je ne savais absolument pas quelle heure il pouvait être, puisque je n'avais plus ma montre. Je ne pouvais non plus me baser sur la lumière du jour, car mon cachot n'était éclairé chichement que par l'électricité. Je suis absolument incapable de dire le temps que dura ma réclusion : plusieurs jours en tout cas. Aucun bruit ne me parvenait et je me mis à vivre aux rythme de mes besoins naturels et de ma faim ou de ma soif : je mangeais un peu de pain, buvais quelques gorgée d'eau ou me soulageais sur le seau hygiénique qui sentait de plus en plus mauvais. Moi aussi, je devais puer : pas moyen de se laver, même pas de papier
hygiénique pour m'essuyer la vulve ou l'anus. Je dormais par moments, un sommeil lourd peuplé de cauchemards horribles qui me réveillaient en sursaut baignée de sueur.
           Ma déchéance s'amplifiait avec le temps qui passait : je me sentais sale, pas coiffée, mon maquillage avait coulé depuis longtemps, mes vêtements étaient sales et froissés, en particulier ma petite culotte, mes bas déchirés. De plus le seau hygiénique, malgré son couvercle, répandait une odeur pestilentielle.
           J'étais dans un état lamentable de crasse et d'abattement quand la porte de mon cachot s'ouvrit alors que je ne l'attendais plus. A ce moment, j'étais debout dans ma cellule et je n'eus pas le temps de réagir : deux hommes bâtis en armoire à glace et vêtus de blouses blanche se jetèrent sur moi et m'enfilèrent rapidement une camisole de force par dessus mes vêtements, emprisonnant mes bras croisés devant moi. Je protestai violemment, en pure perte. Je fus jetée sur le matelas et pendant que l'un des hommes me maintenait, l'autre glissa ses mains sous ma jupe ample pour me retirer ma culotte. Je ruais, hurlais en vain et même, profitant que j'avais la bouche grande ouverte, l'homme en profita pour y fourrer mon slip souillé qu'il tassa dans ma bouche en guise de baillon. Pour compléter mon mutisme, il me colla un
Faciale remarquable compilation
Jeune couple baise une MILF
Une maman qui chevauche la bite de son fils

Report Page