Punir son amant dans la cuisine

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Punir son amant dans la cuisine
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Selon une nouvelle enquĂȘte menĂ©e par le site Gleeden.com, l'infidĂ©litĂ© semble dĂ©brider la sexualitĂ© des femmes. Elles font avec leurs amants des choses qu'elles ne feraient jamais avec leurs conjoints officiels...
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Publié par Rédaction , le 27/04/2015 à 12:31
Tenter de nouvelles expĂ©riences sexuelles peut ĂȘtre beaucoup facile avec un inconnu qu'avec son compagnon officiel. La preuve, dans une nouvelle enquĂȘte menĂ©e par le site de rencontres extra-conjugales Gleeden.com, 82% des femmes interrogĂ©es (10 043 au total) ont dĂ©clarĂ© avoir vĂ©cu des expĂ©riences inĂ©dites avec leur amant.
- Faire l'amour avec les yeux bandés et les mains attachées.
- Utiliser des sextoys (31% l'ont fait avec leur mari contre 86% avec leur amant).
- Faire l'amour dans un endroit insolite (59% l'ont fait avec leur mari - et seulement au début de leur relation - contre 87% avec leur amant)
A cette question, 39% des femmes mariĂ©es ont rĂ©pondu ne jamais avoir utilisĂ© de jouets sexuels, par exemple, avec leur mari Ă  cause de la gĂȘne qu'elles ressentiraient Ă  l'idĂ©e de leur proposer. 31% ont admis que leur vie sexuelle routiniĂšre les empĂȘche d'innover en matiĂšre de pratiques coquines . Pour la sexologue Juliette Buffat, interrogĂ©e par Gleeden.com, "la routine et les habitudes ont malheureusement tendance Ă  Ă©touffer progressivement la vie sexuelle des couples mariĂ©s. Il faut une rĂ©elle intention des deux partenaires pour Ă©chapper Ă  la monotonie dans l'intimitĂ© conjugale et pour rester crĂ©atifs et innovants". Elle remarque aussi que les femmes se sentent souvent plus libres d'explorer leurs envies avec leurs amants parce que "la nouveautĂ©, la prise de risque, le caractĂšre non officiel de la relation peut donner des ailes et rebooster le dĂ©sir fĂ©minin, bien plus efficacement que la sĂ©curitĂ© affective et matĂ©rielle d'un conjoint pourtant trĂšs rassurant et satisfaisant".
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«Faun and a Girl», de Max Slevogt via Wikipedia, License CC




Santé


sécurité


consentement


respect


SM


violence


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Lucile Bellan
— 3 mars 2015 à 15h44
«C'est compliqué» est une sorte de courrier du coeur moderne dans lequel vous racontez vos histoires –dans toute leur complexité– et oĂč une chroniqueuse vous rĂ©pond. Cette chroniqueuse, c'est Lucile Bellan. Elle est journaliste: ni psy, ni mĂ©decin, ni gourou. Elle avait simplement envie de parler de vos problĂšmes.
Si vous voulez lui envoyer vos histoires, vous pouvez Ă©crire Ă  cette adresse: cestcompliq ue.slate@gmail.com
Je suis une étudiante de 19 ans, détraquée, si on en croit l'histoire qui va suivre. Il y a environ un an, j'ai rencontré un homme beaucoup plus ùgé que moi, et pour cause, il a la cinquantaine. Il m'a plu, je ne sais pas pourquoi, il n'avait rien d'exceptionnel, et puis cette différence d'ùge est peu commune. Je me sentais comme rassurée avec lui et plus désirée qu'avec un garçon de mon ùge...
Il avait des «goĂ»ts trĂšs spĂ©ciaux», je lui ai dit de m'initier, aprĂšs avoir quand mĂȘme hĂ©sitĂ© plusieurs semaines. Mais bon, d'un cĂŽtĂ© cet univers du sado-masochisme m'avait toujours un peu intriguĂ©e. Nous nous sommes vus deux fois pour pratiquer le sado-masochisme sans qu'il y ait un seul souci, j'aimais ça.
La troisiÚme séance m'a fait réfléchir un peu plus que cela parce qu'il m'a forcée à faire certaines choses dont je n'avais pas vraiment envie. J'ai eu peur, je n'ai pas voulu le revoir. Là, il me harcelait par message, est venu m'attendre à la sortie de mon job d'été pour avoir une explication. Je ne me sentais plus en sécurité.
Cet été fut une période sombre, je pensais parfois au pire. Quand je dormais je me réveillais en sursaut, je faisais des cauchemars. J'ai tenté de lui expliquer la raison (qui me semblait pourtant claire...) de mon départ. Au début ça ne marchait pas trop, il insistait. Puis il a compris, il m'a laissée.
Mais maintenant, je repense Ă  lui. Je lui ai trouvĂ© une belle excuse pour ce viol: c'Ă©tait du sado-masochisme, il cherchait juste Ă  repousser mes limites, c'est rien du tout! Je vais mĂȘme partir en voyage avec. J'ai en revanche refusĂ© que l'on rentre de nouveau dans une relation sado-masochiste.
Je sais que c'est mal (tout de moins je le suppose?), alors... Suis-je complĂštement conne? Est-ce que je recherche l'auto-destruction? Vous avez des explications? Je suis au courant de la nocivitĂ© de cette relation et j'y cours quand mĂȘme, j'en suis limite Ă  me demander si je n'y vais pas inconsciemment juste pour le voyage!!! Pourquoi le revois-je comme un ĂȘtre bienveillant? Bref, quel est votre avis?
ChĂšre ClĂ©mence , il me semble que, avec les Ă©lĂ©ments dont vous me faites profiter, vous ĂȘtes loin d’ĂȘtre dĂ©traquĂ©e mais juste trĂšs curieuse. Et, dans le domaine de la sexualitĂ© en particulier, la curiositĂ© est une merveilleuse qualitĂ©.
Mais laissez-moi vous raconter une histoire.
Il y a quelques annĂ©es, j’ai eu une relation avec un homme pratiquant des jeux de domination. Un homme lĂ©gĂšrement plus ĂągĂ©, plus expĂ©rimentĂ© dans ce domaine, sĂ©duisant et, pour ne rien gĂącher, avec de l’argent. Je n’ai jamais profitĂ© de son argent mais ça participait Ă  une aura globale de domination sociale et intellectuelle. Et loin du jeu sexuel dans lequel nous Ă©tions engagĂ©s, il a profitĂ© de cette domination psychologique. En jouant avec mes limites, sans mettre en place de «safe word» , en Ă©tant moins Ă  mon Ă©coute qu’aux variations de son plaisir, en profitant de ma position choisie Ă  l’origine pour m’humilier psychologiquement Ă  coups de petites phrases assassines.
À l’époque, il Ă©tait mon amant «punition». J’étais attirĂ©e par lui mais je ne prenais aucun plaisir Ă  nos rencontres. Il me rabaissait perpĂ©tuellement (j’étais trop ronde, il me rendait service
), me faisait souffrir (une souffrance confirmĂ©e par la collection de bleus que je ramenais chez moi) et ne me donnait aucun plaisir en retour. Pendant ces poignĂ©es d’heures dans cet appartement indĂ©cent du centre de Paris, j’étais sa chose. Un jour, j’ai fait un malaise sur l’ülot central de sa cuisine et nous ne nous sommes plus jamais revus.
Pendant des semaines, je m’en suis voulue: cette rupture me donnait l’impression d’ĂȘtre l’image qu’il m’avait donnĂ©e de moi: ronde et bĂȘte, entichĂ©e d’un type qui ne me respectait pas et surtout une fille avec des limites.
Mais la vĂ©ritĂ© c’est que des limites, j’en ai. Notre aventure n’a jamais Ă©tĂ© sensuelle, mais violente et agressive. À la maniĂšre de votre propre expĂ©rience avec cet homme. Or le SM ce n’est pas ça.
Le viol est un crime, pas une pratique sexuelle
Sexuellement, les pratiques de soumission et domination sont soumises Ă  des rĂšgles strictes. Elles sont encadrĂ©es pour que chacun y trouve son plaisir dans le respect de son corps. Le SM n’a jamais Ă©tĂ© une pratique oĂč le but est d’atteindre un point de non-retour oĂč, en tant que soumise, vous accepteriez tout sans broncher. Vous parlez vous-mĂȘme de viol. Le viol est un crime, pas une pratique sexuelle.
Il me semble que, comme le dominateur dont j’ai croisĂ© la route, vous avez rencontrĂ© quelqu’un qui cherche plus Ă  exercer un ascendant psychologique sur vous. Il vous manipule et profite de vos faiblesses. Bien sĂ»r que vous ne voulez pas passer pour celle qui est trop coincĂ©e pour . Et en vous engageant dans cette relation particuliĂšre, vous avez aussi engagĂ© votre confiance et vos sentiments.
Mais là, en partant en voyage avec lui, il me semble que vous prenez des risques inconsidérés.
Vous rĂ©tracter ne serait ni lĂąche, ni trop sage ou timorĂ©. Prendre conscience des dĂ©rives de votre partenaire ne fait pas de vous une mauvaise joueuse. Et un viol dans le cadre d’un jeu sexuel reste un viol, pour lequel vous avez le droit de porter plainte. C’est une question que vous n’abordez pas mais je vous suggĂšre d’y rĂ©flĂ©chir.
Vous avez envie de partir avec lui, peut-ĂȘtre est-ce l’emprise psychologique qu’il a sur vous, peut-ĂȘtre l’aimez-vous, mais il y a des personnes nĂ©fastes et il faut se battre contre l’attirance que l’on a pour elles. Pensez aussi Ă  ces pĂ©riodes difficiles et douloureuses que vous avez vĂ©cues: vous ne voulez pas les revivre.
Et puis j’ai un conseil concernant les pratiques SM: prenez le temps de vous rendre dans un donjon. C'est ainsi que l'on appelle les lieux de rencontres de ceux qui pratiquent les jeux de soumission et de domination. Ce sont des endroits discrets mais il y en a un certain nombre partout en France. Certains fonctionnent comme des clubs privĂ©s, avec des parrainages, d'autres sont plus faciles d'accĂšs. Allez, donc, vous rendre compte, seule, de comment cette sexualitĂ© se pratique.
Dans le SM, les notions de consentement et de respect sont capitales
Vous devriez alors vous rendre compte d’à quel point les notions de consentement et de respect sont capitales. À ce stade, vous aurez assez de recul et d’expĂ©rience pour voir que la relation que avez eue avec cet homme n’a rien Ă  voir avec une pratique SM. MĂȘme soumise, vous restez maĂźtresse de vos sentiments, de vos Ă©motions et de vos limites psychologiques ou physiques. Il a profitĂ© de vous, et, Ă  raison, vous vous ĂȘtes protĂ©gĂ©e. Maintenant, il vous faut comprendre ce rĂ©flexe et l’accepter. Cet homme a profitĂ© de vous au moment oĂč vous Ă©tiez le plus vulnĂ©rable. C’est un schĂ©ma qui n’a aucune raison de ne pas se reproduire, et dans une autre situation Ă©galement.
Soyez curieuse, profitez de la vie et explorez votre sexualité, mais protégez-vous. Toujours, protégez-vous.
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— 3 mars 2015 à 15h44
«C'est compliqué» est une sorte de courrier du coeur moderne dans lequel vous racontez vos histoires –dans toute leur complexité– et oĂč une chroniqueuse vous rĂ©pond. Cette chroniqueuse, c'est Lucile Bellan. Elle est journaliste: ni psy, ni mĂ©decin, ni gourou. Elle avait simplement envie de parler de vos problĂšmes.
Si vous voulez lui envoyer vos histoires, vous pouvez Ă©crire Ă  cette adresse: cestcompliq ue.slate@gmail.com
Je suis une étudiante de 19 ans, détraquée, si on en croit l'histoire qui va suivre. Il y a environ un an, j'ai rencontré un homme beaucoup plus ùgé que moi, et pour cause, il a la cinquantaine. Il m'a plu, je ne sais pas pourquoi, il n'avait rien d'exceptionnel, et puis cette différence d'ùge est peu commune. Je me sentais comme rassurée avec lui et plus désirée qu'avec un garçon de mon ùge...
Il avait des «goĂ»ts trĂšs spĂ©ciaux», je lui ai dit de m'initier, aprĂšs avoir quand mĂȘme hĂ©sitĂ© plusieurs semaines. Mais bon, d'un cĂŽtĂ© cet univers du sado-masochisme m'avait toujours un peu intriguĂ©e. Nous nous sommes vus deux fois pour pratiquer le sado-masochisme sans qu'il y ait un seul souci, j'aimais ça.
La troisiÚme séance m'a fait réfléchir un peu plus que cela parce qu'il m'a forcée à faire certaines choses dont je n'avais pas vraiment envie. J'ai eu peur, je n'ai pas voulu le revoir. Là, il me harcelait par message, est venu m'attendre à la sortie de mon job d'été pour avoir une explication. Je ne me sentais plus en sécurité.
Cet été fut une période sombre, je pensais parfois au pire. Quand je dormais je me réveillais en sursaut, je faisais des cauchemars. J'ai tenté de lui expliquer la raison (qui me semblait pourtant claire...) de mon départ. Au début ça ne marchait pas trop, il insistait. Puis il a compris, il m'a laissée.
Mais maintenant, je repense Ă  lui. Je lui ai trouvĂ© une belle excuse pour ce viol: c'Ă©tait du sado-masochisme, il cherchait juste Ă  repousser mes limites, c'est rien du tout! Je vais mĂȘme partir en voyage avec. J'ai en revanche refusĂ© que l'on rentre de nouveau dans une relation sado-masochiste.
Je sais que c'est mal (tout de moins je le suppose?), alors... Suis-je complĂštement conne? Est-ce que je recherche l'auto-destruction? Vous avez des explications? Je suis au courant de la nocivitĂ© de cette relation et j'y cours quand mĂȘme, j'en suis limite Ă  me demander si je n'y vais pas inconsciemment juste pour le voyage!!! Pourquoi le revois-je comme un ĂȘtre bienveillant? Bref, quel est votre avis?
ChĂšre ClĂ©mence , il me semble que, avec les Ă©lĂ©ments dont vous me faites profiter, vous ĂȘtes loin d’ĂȘtre dĂ©traquĂ©e mais juste trĂšs curieuse. Et, dans le domaine de la sexualitĂ© en particulier, la curiositĂ© est une merveilleuse qualitĂ©.
Mais laissez-moi vous raconter une histoire.
Il y a quelques annĂ©es, j’ai eu une relation avec un homme pratiquant des jeux de domination. Un homme lĂ©gĂšrement plus ĂągĂ©, plus expĂ©rimentĂ© dans ce domaine, sĂ©duisant et, pour ne rien gĂącher, avec de l’argent. Je n’ai jamais profitĂ© de son argent mais ça participait Ă  une aura globale de domination sociale et intellectuelle. Et loin du jeu sexuel dans lequel nous Ă©tions engagĂ©s, il a profitĂ© de cette domination psychologique. En jouant avec mes limites, sans mettre en place de «safe word» , en Ă©tant moins Ă  mon Ă©coute qu’aux variations de son plaisir, en profitant de ma position choisie Ă  l’origine pour m’humilier psychologiquement Ă  coups de petites phrases assassines.
À l’époque, il Ă©tait mon amant «punition». J’étais attirĂ©e par lui mais je ne prenais aucun plaisir Ă  nos rencontres. Il me rabaissait perpĂ©tuellement (j’étais trop ronde, il me rendait service
), me faisait souffrir (une souffrance confirmĂ©e par la collection de bleus que je ramenais chez moi) et ne me donnait aucun plaisir en retour. Pendant ces poignĂ©es d’heures dans cet appartement indĂ©cent du centre de Paris, j’étais sa chose. Un jour, j’ai fait un malaise sur l’ülot central de sa cuisine et nous ne nous sommes plus jamais revus.
Pendant des semaines, je m’en suis voulue: cette rupture me donnait l’impression d’ĂȘtre l’image qu’il m’avait donnĂ©e de moi: ronde et bĂȘte, entichĂ©e d’un type qui ne me respectait pas et surtout une fille avec des limites.
Mais la vĂ©ritĂ© c’est que des limites, j’en ai. Notre aventure n’a jamais Ă©tĂ© sensuelle, mais violente et agressive. À la maniĂšre de votre propre expĂ©rience avec cet homme. Or le SM ce n’est pas ça.
Le viol est un crime, pas une pratique sexuelle
Sexuellement, les pratiques de soumission et domination sont soumises Ă  des rĂšgles strictes. Elles sont encadrĂ©es pour que chacun y trouve son plaisir dans le respect de son corps. Le SM n’a jamais Ă©tĂ© une pratique oĂč le but est d’atteindre un point de non-retour oĂč, en tant que soumise, vous accepteriez tout sans broncher. Vous parlez vous-mĂȘme de viol. Le viol est un crime, pas une pratique sexuelle.
Il me semble que, comme le dominateur dont j’ai croisĂ© la route, vous avez rencontrĂ© quelqu’un qui cherche plus Ă  exercer un ascendant psychologique sur vous. Il vous manipule et profite de vos faiblesses. Bien sĂ»r que vous ne voulez pas passer pour celle qui est trop coincĂ©e pour . Et en vous engageant dans cette relation particuliĂšre, vous avez aussi engagĂ© votre confiance et vos sentiments.
Mais là, en partant en voyage avec lui, il me semble que vous prenez des risques inconsidérés.
Vous rĂ©tracter ne serait ni lĂąche, ni trop sage ou timorĂ©. Prendre conscience des dĂ©rives de votre partenaire ne fait pas de vous une mauvaise joueuse. Et un viol dans le cadre d’un jeu sexuel reste un viol, pour lequel vous avez le droit de porter plainte. C’est une question que vous n’abordez pas mais je vous suggĂšre d’y rĂ©flĂ©chir.
Vous avez envie de partir avec lui, peut-ĂȘtre est-ce l’emprise psychologique qu’il a sur vous, peut-ĂȘtre l’aimez-vous, mais il y a des personnes nĂ©fastes et il faut se battre contre l’attirance que l’on a pour elles. Pensez aussi Ă  ces pĂ©riodes difficiles et douloureuses que vous avez vĂ©cues: vous ne voulez pas les revivre.
Et puis j’ai un conseil concernant les pratiques SM: prenez le temps de vous rendre dans un donjon. C'est ainsi que l'on appelle les lieux de rencontres de ceux qui pratiquent les jeux de soumission et de domination. Ce sont des endroits discrets mais il y en a un certain nombre partout en France. Certains fonctionnent comme des clubs p
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