Punir ses étudiants

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Punir ses étudiants
Est-ce qu'il faudrait punir les professeurs qui gardent leurs élèves alors que c'est la fin du cours ?
je compte mon age en age sport · 2 ans
Réponse originale : Est ce qu'il faudrait punir les professeurs qui gardent leurs élèves alors que c'est la fin du cours ?
Nomade minimaliste & spécialiste en marketing digital · L'auteur a 873 réponses et 4,3 M vues de réponse · Traducteur · 3 ans
Réponse originale : Pourquoi les eleves n'ont pas le droit d'aller dans la salle des profs ?
Est-ce que les professeurs sont sous payés ?
Professeurs, qu'est-ce que vous avez dit à un élève que vous regrettez profondément ?
Comment trouver un professeur particulier ?
Est-ce que le bac est plus simple que ce qui est fait en cours ?
Qu'est-ce qui rend un élève le préféré d'un professeur ?
Pourquoi les profs aiment faire travailler leurs étudiants en groupe ?
Qu'est-ce que vous voulez de votre professeur ?
En tant que professeur, que voulez-vous dire quand vous dites qu'un élève est brillant ?
Quand les élèves n'apprennent pas, qu'est-ce que les bons professeurs font ?
Un professeur doit-il aimer ses élèves ?
Les professeurs augmentent-ils le QI de leurs élèves ?
Qu’est-ce que les professeurs pensent des étudiants qui répondent rarement aux questions en cours ?
Qu'est-ce que les universités cherchent chez les élèves, en plus des notes ?
Qu’est-ce qu’un bon prof pour vous ?
Les professeurs, qu'est-ce que ça fait quand les élèves ne vous apprécient pas ?
Est-ce que les professeurs sont sous payés ?
Professeurs, qu'est-ce que vous avez dit à un élève que vous regrettez profondément ?
Comment trouver un professeur particulier ?
Est-ce que le bac est plus simple que ce qui est fait en cours ?
Qu'est-ce qui rend un élève le préféré d'un professeur ?
Pourquoi les profs aiment faire travailler leurs étudiants en groupe ?
Qu'est-ce que vous voulez de votre professeur ?
En tant que professeur, que voulez-vous dire quand vous dites qu'un élève est brillant ?
Quand les élèves n'apprennent pas, qu'est-ce que les bons professeurs font ?
Un professeur doit-il aimer ses élèves ?
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A mon avis tu n'aurais pas survécu longtemps au communisme. Dans un régime ou travailler est le seul moyen de s'en sortir quand on est pauvre, les élèves prenaient de leur vacances pour finir le programme. De plus si l'on considère une classe plutôt bavarde il n'y a pas 1h de cours pleine.
Donc je trouve tout à fait NORMAL de tenir ses élèves en classe parfois 5 pauvres minutes de plus. Cela indique que parfois l'institution ne respecte pas ses règles et de faire voir aux étudiants la dure réalité de la street. (même si ça fait chier les élèves c'est comme ça).
En plus le travail non fait en classe sera toujours à rattraper à un jour ou l'autre au risque de se casser les dents.
J'ai arrêté d'enseigner. Cet incident a été la goute d’eau qui à fait déborder le vase. Une fille dans une de mes classes intimidait et suivait un garçon. Elle l'a menacé plusieurs fois. J'ai pris grand soin de les asseoir loin l'un de l'autre. Je l'ai vue le frapper un jour dans la cour de récréation tout en regardant par la fenêtre et je l’ai dénoncée. Elle faisait probablement deux fois le poids du garçon. Elle m'a aussi menacée et était plus grande que moi (elle avait 13 ans). L'école n'a rien fait. Ses parents se sont plaints que je la discriminais à cause de sa race et qu'elle était tout
J'ai arrêté d'enseigner. Cet incident a été la goute d’eau qui à fait déborder le vase. Une fille dans une de mes classes intimidait et suivait un garçon. Elle l'a menacé plusieurs fois. J'ai pris grand soin de les asseoir loin l'un de l'autre. Je l'ai vue le frapper un jour dans la cour de récréation tout en regardant par la fenêtre et je l’ai dénoncée. Elle faisait probablement deux fois le poids du garçon. Elle m'a aussi menacée et était plus grande que moi (elle avait 13 ans). L'école n'a rien fait. Ses parents se sont plaints que je la discriminais à cause de sa race et qu'elle était tout à fait innocente. Un jour, elle semblait vraiment motivée à l’idée de le blesser, l'appelant et se dirigeant d’un pas menaçant vers lui. Le directeur ne m'a pas laissé la renvoyer de la classe. Après que les deux aient quitté mon cours et se soient rendus à la classe suivante, elle a poignardé le garçon dans les yeux. Elle était de retour dans ma classe le lendemain, alors qu'il passerait les 4 prochains mois à l'hôpital. Deux semaines plus tard, la fille a renversé une dame de la cafétéria et lui a donné un coup de pied lui brisant plusieurs côtes. Elle était dans ma classe une heure plus tard. Rien ne lui est arrivé. Et moi, j'en avais marre qu’elle me crie dessus et qu’elle me traite de putain, d'être obligé de donner des “A” à des élèves qui ne travaillent jamais, etc. Les bons élèves ne peuvent pas apprendre parce que les mauvais ont le droit de gouverner et que l’administration a tellement peur des poursuites qu’elle laisse tout faire. Attention, parents, vous récoltez ce que vous semez. Nous voyons déjà des diplômés qui ne savent ni écrire ni s’exprimer d’une manière décente. Cela ne les aide pas non plus.
Peut être parce que c’est la salle… des profs ?

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Parmi toutes les thérapies, la psychanalyse s’est particulièrement intéressée à la culpabilité. Comment l’envisage-t-elle ? Par quels processus parvient-elle à nous en libérer ? Explications de Philippe Grimbert, psychanalyste et écrivain.

• En quelque sorte. Nous nous reprochons de ne pas être assez gentil avec untel, pas assez mince, pas assez militant… Mais ce dont nous nous sentons réellement fautif s’est joué dans le passé, le nôtre ou même celui de nos parents, et les faits ont été refoulés. Il n’en reste que des culpabilités dont l’objet s’est déplacé. Souvent, même, il n’en reste aucune autre trace qu’une angoisse incompréhensible, un sentiment diffus de honte ou d’insuffisance. Chez le névrosé "normal" – celui que nous sommes pour la plupart –, la culpabilité inconsciente se traduit fréquemment par la crainte d’une catastrophe imminente : notre bonheur ne peut pas durer, il va nous arriver une chose épouvantable, à nous ou à nos proches.

Une maladie, un accident qui correspond pour l’inconscient à une punition, mais que le conscient n’identifie pas comme tel.

• Oui, si tant est que nous parvenions à l’identifier comme tel. Car, par définition, nous n’avons pas conscience d’être sous l’emprise d’une culpabilité inconsciente, et encore moins d’attendre un châtiment pour une faute que nous ne savons pas avoir commise. Pourtant, ce besoin de châtiment se manifeste, par exemple par des conduites d’échec : puisque la punition ne tombe pas de l’extérieur, nous nous l’infligeons nous-même.

Beaucoup d’étudiants vivent ça : ils connaissent leurs cours sur le bout des doigts mais, en situation d’examen, ils oublient tout. En sport, on appelle ça la peur de gagner : des athlètes, sur le point de franchir la ligne d’arrivée, ralentissent subitement et se laissent dépasser. Bien souvent, la décision d’entamer une psychanalyse est motivée par ce constat d’une répétition problématique – comme « Je tombe toujours sur des hommes qui ne veulent pas s’engager… » –, que l’on cesse d’attribuer à la fatalité pour se dire que l’on y est peut-être pour quelque chose.

• Elle l’est d’abord parce que la culpabilité est un concept central de la théorie freudienne. Elle s’organise autour d’un épisode fondateur : le fameux complexe d’Œdipe. Entre 3 et 5 ans environ, le petit garçon ou la petite fille désire de façon extraordinaire être l’objet unique du parent de sexe opposé – et pour quelques-uns, du même sexe. Le corollaire de ce désir incestueux est une terrible envie d’évincer le parent du même sexe, qu’il aime et jalouse à la fois.

L’angoisse de castration – qui ne signifie pas littéralement couper l’organe sexuel, mais plus généralement être privé de ce que l’on convoite le plus – le conduit à renoncer à son amour interdit et à aimer ailleurs. C’est donc au moment de l’œdipe que se forme notre conscience morale – le surmoi – par intériorisation des interdits culturels et parentaux. C’est là aussi, quand les choses se passent mal, que s’enracinent les grandes névroses, ces maladies de la culpabilité.

• Pour l’essentiel, oui, dans la mesure où c’est à ce moment-là que nous faisons l’expérience de la peur d’être puni pour notre convoitise ou notre agressivité, et l’apprentissage du bien et du mal. Mais notre sentiment d’être fautif ou méprisable peut trouver son origine dans des phases plus précoces de notre développement – le sevrage, l’apprentissage de la propreté… –, donnant ainsi lieu à des troubles alimentaires ou des constipations psychogènes par exemple.

D’autres hontes remontent même avant notre naissance, à des faits commis par nos parents ou nos ancêtres. Ces culpabilités dont nous héritons engendrent chez nous des inhibitions, des échecs voire des conduites criminelles, histoire d’avoir de bonnes raisons de se sentir coupable.

• C’est en effet l’hypothèse sur laquelle repose tout l’édifice de la psychanalyse. Freud estimait que l’un des ressorts thérapeutiques de la cure était qu’elle permettait de substituer à la répétition aveugle dont nous parlions plus tôt – toujours le même échec, la même déception… –, la remémoration de l’événement dont ce retour est la trace. Ce n’est qu’ainsi, en remontant le fil de nos souvenirs jusqu’à la scène traumatique, ou du moins au plus près du moment où nous avons commencé à prendre un faux pli, que nous pouvons commencer à comprendre de quoi et comment nous nous punissons à travers ces difficultés récurrentes.

• Pas tout à fait. Il est certain que la connaissance des faits nous libère des histoires terribles que nous nous racontons lorsque nous pressentons qu’il s’est passé quelque chose sans savoir quoi. Mais savoir ne suffit pas. Imaginons un père qui meurt accidentellement au moment où son petit garçon, en plein œdipe, nourrit envers lui des fantasmes agressifs. Ce genre de coïncidences terribles pèse très lourd dans une destinée. On peut se contenter, à la manière des thérapies comportementales, de traiter les symptômes que ce garçon devenu adulte a développés pour exprimer sa souffrance et l’occulter en même temps.

Mais chassez un symptôme par la porte, il revient par la fenêtre. Tant que vous êtes face à un thérapeute qui vous donne des exercices ou vous répète qu’« il ne fa
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