Punie sur la table

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Punie sur la table
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Lundi 19 février
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03:21

Ma première relation sexuelle avec Patricia :
Je ne pus retenir longtemps mon envie d'éjaculer et je lui joui une deuxième fois dans les mains. "A c'est bien, tu commence à te vider" 
Elle prit à nouveau mon pénis entre ses doigts et le caressa pour me faire à nouveau bander.
J’entendis la porte claquer et je ne pus éviter un frisson de peur compte tenu de ma situation.
 Je sentis son corps remonter sur mon visage et pour augmenter mon humiliation Annick enleva sa culotte et posa carrément ses fesses sur mon visage. L'odeur de son intimité emplissait mes narines. Le nez collé entre ses fesses, je ne pouvais pratiquement plus respirer. Elle me maintenait la tête avec ses mains comme pour mieux guider mon visage vers ses fesses. J'étais humilié par cette position qui devait être ridicule.


Par Ptitbit

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Lundi 19 février
1
19
/ 02
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03:12

Cette position ne pouvait rien cacher de mon anatomie.
 Equipée de ses gants en caoutchouc elle m’enduisait maintenant l’anus d’une pommade qui me fit me contracter un peu plus. Elle me dit de me détendre enfonça une canule à lavement et appuya fortement pour libérer le liquide dans mon ventre. Elle me demanda de rester en place quelques minutes sans bouger le temps que la potion agisse.
Il fallait avant tout nettoyer mon rectum pour un véritable examen.
Elle me dit de me détendre et de ne pas contracter mes sphincters. Facile à dire !!!
 Son diagnostic fut sans complaisance. Il fallait rapidement m’opérer pour faire l’ablation de ce testicule non descendu.
Je me retrouvais donc le mois suivant en clinique pour y être opéré.
Mon voisin assistait à la scène et me voyait dans mon intimité la plus secrète.


Par Ptitbite

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Lundi 19 février
1
19
/ 02
/ Fév
03:06

Le lendemain matin toute la bande était réunie et Pierre, le chef m’expliqua en quoi consistait l’examen de passage.
Il semblait avoir été rédigé par une fille car l’écriture était très régulière. Son texte :
Le second papier était manifestement écrit par un garçon.
Je devais grimper tout en haut du grand arbre situé prés des courts de tennis et jeter en bas tous mes vêtements.
J’avais vécu pire et je me dis que je pourrais rapidement regagner ma tente.
Le troisième me paru impossible à accepter car je devais devant tout le monde m’enduire le corps de mes propres excréments.
Je choisi donc de tirer deux autres gages supplémentaires.
Moi qui avais espéré un moment que les épreuves seraient des épreuves physique, je m’étais lourdement trompé.
Mais la réussite de mes vacances était à ce prix là.
La bande me félicita pour cet exploit et Pierre me dit que je devais dans une heure grimper en haut de l’arbre des tennis.
La salle n’était pas très éloignée et je pénétrais à l’intérieur ou toutes les filles de la bande m’attendaient.
La table de poker était installée et cinq filles avaient été désignées pour jouer contre moi.
La partie allait commencer et la règle était simple des allumettes pour les mises, un vêtement de perdu en cas de défaite.
Je m’assis à une table en priant le ciel que personne ne vienne s’y asseoir.
Au top départ, Pierre me rappela que si je courais, le gage serait perdu et je ne serais pas accepté dans la bande.
Heureusement je pouvais cacher mon sexe et seulement mes fesses étaient exposées à la vue de tous.
Pour ne pas être reconnu nous déposions le portefeuille de Marc devant la caravane de ses parents.
Les minutes me parurent interminables et soudain ce fut la surprise et bien vite la panique.
C’était donc lui qui avait voulu se venger et qui avait organisé cette expédition punitive.
Je fus tout de suite informé par Marie et nous nous mimes à chercher comment nous venger sans que Marc puisse nous identifier.
Nous l’apercevions les fesses à l’air entrain de se tenir le ventre pour retarder l’expulsion.


Par Olivier

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Lundi 19 février
1
19
/ 02
/ Fév
02:46



Par Plume

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LES SENIORS SE METTENT A NU


MISE A L'AIR EN FORET


BIZUTAGE SUEDOIS


BIZUTAGE AU BREZIL


ROULETTE RUSSE


VALERIA : EPISODE 1


EPISODE 2 DEVOILEMENT


EPISODE 3: COLIN-MAILLARD


EPISODE 4 UN DIMANCHE A LA CAMPAGNE


EPISODE 5: LE VOYAGE




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Je venais d’avoir dix sept ans et j’étais toujours puceau. Incapable de pousser plus avant une relation avec les filles avec qui je « flirtais » lors de nos sorties et des « boums ». Je me contentais le plus souvent de le caresser sans oser aller plus loin de peur d’avoir à me déshabiller devant elles.
Patricia fut la première fille avec qui se me sentis en confiance. Elle était très en avance pour son âge et je n’étais pas son « premier petit amis » attitré. Elle pratiquait aussi le naturisme, ce que j’ignorais au départ de notre rencontre.
Un été à la plage, après seulement quelques jours de « flirt » nous nous retrouvions dans sa chambre ( ces parents ayant un appartement dans un immeuble de la grande motte ) et je dus surmonter mon angoisse et lorsqu’elle commença à enlever ses vêtements et se mettre torse nue devant moi je fus obligé de faire pareil car elle attendait assise sur le canapé en me faisant fasse afin de ne rien manquer du spectacle de « strip tease » que j’allais lui offrir. Je sentais mes joues chauffer et je devais être rouge comme une pivoine. J’imaginais et redoutais l’instant où j’allais devoir enlever mon slip et lui montrer mon tout petit sexe. Mais je ne pouvais pas reculer et je finis par enlever en hâte tous mes vêtements et laissait tomber mon slip sur mes talons.
Patricia était devant le canapé en cuir, debout devant moi en jeans les seins à l'air qui se trouvaient sous mon nez, et moi nu comme un ver a attendre je ne sais quoi. Voir ses seins à quelques centimètres de moi me fit un effet immédiat, je commencais à voir mon pénis se redresser.
Patricia amusée par cette réaction, prit mon sexe dans sa main droite et commenca à me masturber le sexe d'avant en arrière en compressant ma verge le plus possible.
Ne pouvant pas tenir bien longtemps je ne pu me retenir et je jouis dans un temps record qui devait lui faire comprendre que j'étais un vrai puceau.
"Mais tu as joui dans mes mains gros cochon, je vais devoir te punir" me dit elle. Tourne toi et met toi à genoux. Je m'exécutais sans oser dire non.
Mon jeans encore sur les genoux , elle passa ses mains à l'intérieur pour le baisser complètement. je me mis maladroitement en position et attendit.
J'étais les fesses offertes et vraiment géné par cette position qui ne cachait rien de mon ventre jambes. Elle me fit basculer en avant et m'enleva mon jeans.
J'étais à quatre pattes nu, les fesses écartées dans un position ridicule. "Je vais te traire comme une vache tu as trop de lait dans ton ventre" me dit-elle en éclatant de rire.
Elle saisi mes bourses avec une main et de l'autre commença à me carresser. Puis elle décida de passer à la véritable "traite". Appuyant une main sur mes fesses pour me forcer à rester en place, elle se mit à me masturber à toute vitesse avec l'autre main.

C'était agréable mais la position impudique que je devais conserver m'empéchait de bander correctement, je ne pouvais détacher mon esprit de la vision qu'elle avait de mes fesses, de mon anus offert et de mes testicules maltraitées.


Patricia compris très vite que je n’avais jamais pénétré une fille et elle prit les choses en main pour guider mon petit sexe redevenu dur comme du bois vers la toison que je devinais en regardant les yeux baissés.
Ce premier contact chaud et humide se traduit immédiatement par un effet à la fois atroce et incontrôlable. Je sentis une poussée irrésistible dans ma verge et je ne pus une fois de plus me retenir. Je jouis dans les secondes qui suivirent avant même d’avoir pu réellement la pénétrer.
Patricia eu les mots qu’il fallait pour me réconforter et sa patience força mon admiration lorsqu’elle entreprit de me caresser pour me faire rebander. Elle me fit mettre à genoux devant le canapé, le pantalon baissé pour pouvoir bien dégager mon pénis et les bras relevé au dessus de ma tête. Elle saisi à pleine main mes testicules tout en les massant et les tirant avec ses doigts experts. Elle tirait en l'air mon pénis avec vigueur.
Puis elle me fit de nouveau allonger sur le lit. Elle approcha sa tête de mon sexe et le prit délicatement dans sa bouche. Elle entreprit de me refaire bander une troisième fois en me sucant profondément avec sa bouche. Sa main gauche guidait le mouvement de va et vient.


J’étais aux anges, enfin je pouvais me retrouver nu devant une fille sans avoir envie de fuir. Le reste de l’après midi fut très agréable et je pensais pouvoir maintenant laisser derrière moi mes complexes.
Quelques jours plus tard, elle me dit que nous allions aller retrouver des amis et sa famille à la plage pour partager avec eux un pique nique. Je me retrouvais donc avec elle sur la plage de Maguelone qui était réservée aux nudistes. Je me sentais pris au piège, mais je ne pouvais faire marche arrière. Une fois arrivé sur la plage, je fus présenté à tous ses amis et parents qui étais tous nus comme des vers et bronzés comme des antillais. Moi qui étais blanc comme un linge, le contraste était frappant.
Je dus enlever tous mes vêtements et je me retrouvais dans le plus simple appareil en présence d’inconnus qui semblaient ne pas faire cas de ma particularité. J’étais gêné par la position des femmes qui me faisaient face et qui avait une vue plongeante sur mon entre jambe exposé à leurs regards. Etant assis en « tailleur » comme les autres pour partager le repas, je ne pouvais serrer les jambes et lui cacher mon intimité.
En face de moi se trouvait la fille de l'un des amis de Patricia. Elle devait avoir une vingtaine d'année , c'était une superbe brune, ses seins étaient petits mais trés jolis. Ils portaient la marque de bronzage du maillot et cela accentuait le coté érotique. Elle ne semblait absolument pas génée de se trouver en face de moi les jambes écartée, me laissant voir son sexe qui été parfaitement épilé. Seuls quelques poils sur le pubis montraient qu'il ne s'agissait pas une enfant.
Les mères étaient également assises les jambes écartées et me regardaient avec interêt. L’une d’elle eut un sourire à peine dissimulé car elle se rendit compte de mon embarras et de sa cause. Elle fixait intensément mon pénis recroquevillé et semblait s’en amuser à mes dépends.
Son mari assis à coté d’elle avait un sexe qui me paraissait énorme à coté du mien. Plus je pensais à cela et plus mon sexe semblait se rétracter et rentrer dans mon corps. Si cela continuait bientôt on ne pourrait plus le voir.
Après avoir mangé, les filles décidèrent de faire une partie de ballon et je dus me mettre debout avec elles pour former une équipe mixte. Je regardais du coin de l’œil tous ces sexes exposés sans aucune gène et qui ne faisaient qu’accentuer mon complexe et ma différence. J’avais l’impression d’être un nouveau né tout nu devant des adultes, mais surtout géner de m'exposer devant les filles de mon âge.


 La gêne accentuait la rétractation de mon pénis et cela ne pouvait passer inaperçue. Les filles elles jouaient tout naturellement sans se préoccuper de leur nudité.
Cette partie de ballon fut pour moi un véritable supplice car à chaque mouvement je sentais mon sexe être l’objet des regards amusés. Les filles devaient se moquer de moi dans leurs têtes car leurs regards semblaient être plus attirés par le spectacle affligeant de mon mini pénis que par le jeu en lui-même. J’étais exposé à la vue de tous grands et petits et chaque fois que je tournais la tête, c’était pour voir un garçon ou un homme avec un sexe bien plus gros que le mien. J’avais du mal à cacher ma honte.
Je retournais m'assoir au bord de l'eau, pour ne plus me montrer, mais devant moi trois filles de la famille des voisins de Patricia me faisaient face. Elles étaient allongées toute les trois sur le sable et se faisaient bronzer entièrement nues et sans aucune gène.


L'une d'elle me proposa de venir m'assoir. J'étais mort de honte de me tenir ainsi tout nu devant les filles dont le visage était à hauteur de mon pénis. Je ne pouvais pas me cacher et je mis à bredouiller.
 En face de moi une autre fille me faisait face, entièrement nue, les jambes croisées de façon trés naturelle. "Viens avec nous, on va aller se baigner" me dit-elle


"Je dois rentrer à l'appartement , j'ai trés mal à la tête, sans doute le soleil" lui répondis je complètement décontenancé par son aplomb.
Je décidais de partir et j'ordonnais à Patricia de quitter la plage avec moi, car je ne pouvais plus supporter de me montrer à tous comme une bête de foire. Elle fut trés vexée de ce départ précipité et me demanda de la suivre chez elle.
Une fois dans sa chambre elle me dit que ma réaction était stupide et qu’il fallait qu’elle me punisse pour l’avoir privée d’une superbe après midi de plage.
Je ne compris pas tout de suite le sens de ce mot punition. Elle me dit que si je voulais continuer à sortir avec elle, je devais lui obéir sans discuter. Elle me dit que j’allais devoir rester ici car elle comptait bien retourner sur la plage avec ses amis et parents.
Elle m’enleva mon maillot de bain et mon tee-shirt et je me retrouvais nu devant elle. Elle me dit de reste là et de m’attendre sans bouger. Elle revint avec un gros rouleau de cordes et me demanda de me retourner et de mettre mes mains dans mon dos. De peur de la sanction promise, je préférais lui obéir sans poser de questions. Nous étions seuls, abrités des regards indiscrets et apparemment je ne risquais pas grand-chose à lui obéir.
Elle se mit à me ligoter les poignets et les bras.La corde passait derrière mes coudes et je ne pouvais absolument plus faire le moindre mouvement.
 J’étais sans défense et je ne pouvais plus me protéger. Elle me poussa sur le lit et je tombais à plat ventre. Patricia me replia les jambes en arrière, les genoux écartés au maximum pour être bien en appui sur le lit afin que je ne puisse pas me retourner. Elle attacha ensembles mes chevilles avec plusieurs tours de cordes. Une fois mes genoux écartelés solidement bloqués et mes chevilles attachées entre elles, elle les tira vers mes bras et refit passer à nouveau les cordes entre mes poignets et mes chevilles afin que je ne puisse plus bouger et faire un mouvement.
C’était cela ma punition j’allais devoir rester là attaché et nu, à plat ventre dans l’appartement de ses parents et attendre que Patricia veuille bien venir me délivrer. La peur de l’entendre dire qu’elle ne voulait plus sortir avec moi me fit accepter cette punition sans un mot de réprobation.
Patricia me dit de ne plus bouger. Elle revint quelques secondes après et me banda les yeux pour une raison que je ne comprenais pas. Mais loin de moi l’idée de discuter. J’acceptais la sentence sans broncher.
Il m’était impossible de me retourner, je devrais donc rester dans cette position inconfortable pour un temps que je ne pouvais évaluer, en espérant que personne d’autre ne vienne dans l’appartement avant que Patricia ne revienne.
Plaqué contre le lit, je commençais à transpirer sur le dessus de lit, quelques minutes plus tard, j’étais en nage et je commençais à glisser sur la soie du dessus de lit. Pour ne pas avoir de crampes j’étais obligé de remuer régulièrement pour éviter un engourdissement de mes muscles. Ces manœuvres me faisaient peu à peu glisser vers le bas du lit et je dus arrêter de bouger pour ne pas risquer de tomber.
Le temps passait et toujours pas de Patricia en vue. Il devait être environ Quatre heures et mon calvaire devrait donc durer jusqu’au moment ou elle déciderait de revenir me délivrer.
Après plusieurs heures d’attente, je fus obligé de gesticuler pour éviter une crampe dans mes mollets. Ces gesticulations furent fatales et je glissait soudain en arrière et me retrouvais par terre sur le carrelage de la chambre, sur le dos, trempé de sueur et sans voir ou j’étais réellement. Je devinais que la porte de la chambre n’était pas bien loin. Peut être qu’en me faisant glisser jusqu’à la cuisine je pourrais attraper quelque chose pour me délivrer.
Décidé à ne pas subir la douleur des crampes que je sentais venir petit à petit, j’essayais d'avancer sur le carrelage en poussant sur mes bras et mes mains. La transpiration me faisait glisser sur le carrelage et je pus au prix de multiples efforts me retrouver au milieu de la porte de la chambre qui était restée ouverte.
Au moment où je
Une vieille fille se fait défoncer
Baise brutale sur le yacht
Une salope infidèle sur sa bite

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