Puni Par La Punk En Vacances À La Maison

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Puni Par La Punk En Vacances À La Maison

Politique
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Publié le 12/04/10 à 00h00
— Mis à jour le 12/04/10 à 11h02



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Politique Pierre Charon puni par le Président?

RUMEUR Le conseiller de Paris serait suspendu de la réunion quotidienne de l’état-major présidentiel. Une punition pour avoir relancé la rumeur?
La rumeur n’a vraiment pas fait rire le couple présidentiel. Et le conseiller Pierre Charon, qui a soufflé sur les braises, semble en faire les frais. Selon Le Figaro , Nicolas Sarkozy aurait demandé à son secrétaire général Claude Guéant de suspendre la participation de Pierre Charon à la réunion quotidienne de l’état-major présidentiel. La semaine dernière, ce dernier avait relancé dans les médias la rumeur sur une prétendue relation extraconjugale entre la première dame de France, Carla Bruni-Sarkozy, et le chanteur Benjamin Biolay, en dénonçant l’existence d’un complot contre le couple présidentiel. Il affirmait notamment que «la peur devait changer de camp». Ses propos ont eu l’effet d’une traînée de poudre, à tel point que Carla Bruni-Sarkozy a été contrainte de s’exprimer sur Europe 1 expliquant – avec bienveillance - que le conseiller de Paris avait «parlé avec l’emportement de l’amitié». Une indulgence feinte? Si Pierre Charon n’est pas renvoyé, il semble en tout cas puni par le chef de l’Etat. 

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LA NEIGE tombée sur Créteil le samedi 4 janvier a ravi les bambins,
amateurs de boules de neige. Mais un homme, lui, a hurlé sa colère. David Bettoni, le milieu
de terrain de Créteil, manquera en effet le déplacement à Marseille en raison des conditions...
« J'avais un match ferme de suspension à purger, précise-t-il. Mais la rencontre
à Laval puis la réception de Châteauroux ont été reportées. Résultat, je suis suspendu pour
le match à Marseille. Je suis vraiment dégoûté ! » L'ancien joueur de Cannes a pourtant prié
les dieux du ciel pour que la rencontre Créteil-Châteauroux ait bien lieu. Il est même intervenu
auprès des jardiniers de Duvauchelle pour connaître « l'état de santé » de la pelouse. Mais
rien n'y a fait. « Je regardais la météo tous les jours, affirme-t-il. Mes yeux étaient sans
cesse tournés vers le ciel. C'est un match auquel tous les joueurs veulent participer. Lorsque
j'ai appris les reports, j'ai vraiment pris un coup au moral. » David Bettoni va donc s'installer
dans les tribunes samedi. Non sans avoir un pincement au coeur.
plutôt que devant ma télé, conclut-il. C'est une maigre consolation. Mais bon, ma suspension
va faire le bonheur d'un autre joueur. Et puis, j'ai déjà joué à Marseille avec Cannes en 1992.
C'était la rencontre des adieux de Jean-Pierre Papin. C'est mon meilleur souvenir de footballeur.
» David Bettoni n'a plus qu'à espérer que ses copains réaliseront un exploit afin de participer
aux quarts de finale de la Coupe de la Ligue.
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Propos recueillis par Thierry Lahon (médianet) & Benjamin Solly (Lyon People)
Nouveau secret de vacances, nouvelles surprises ? Nous l’espérons, car aujourd’hui nous recevons deux grands amis de la maison… L’un est romancier, l’autre fin stratège, aussi vont-ils scénariser cette entrevue amicale ou se laisser aller à des confidences très estivales ? La seule certitude que nous ayons, c’est que le soleil, lui, est tout entier.
Yann Féminier est le Directeur du Développement et de la Communication du MEDEF Lyon Rhône, mais à part ça ? Bien peu ont été capables de nous en dire plus… car, comme toutes les éminences grises, Yann est l’archétype du conseiller influent qui sait rester dans l’ombre même s’il est souvent à la manœuvre. Aussi c’est avec beaucoup de plaisir que nous vous proposons de faire connaissance avec ce jeune homme pourtant aussi simple qu’efficace, sur qui on peut toujours compter. Merci camarade.
André Blanc est l’auteur de « Tortuga’s bank », le roman qui aura accompagné l’aventure secrets de vacances (merci André). Ancien élu lyonnais sous l’ère Michel Noir, chirurgien dentaire et ancien président de la Halle Tony Garnier, André est presque un personnage de roman… Pour autant, nous voudrions savoir si ses vacances ressemblent à un polar, alors, promis, nous allons mener l’enquête !
Lorsqu’on vous dit vacances, quel est le mot qui vous vient à l’esprit ?
AB : J’ai deux sœurs et un frère et je suis un Lyonnais du 6 ème arrondissement. Nous habitions avenue Foch. Mes parents étaient enseignants, donc j’étais privilégié puisqu’ils avaient 3 mois de vacances. Nous allions chez nos grands-parents qui possédaient une maison familiale en Bresse. Mais souvent nous allions aussi beaucoup plus loin, puisque mon père aimait pratiquer l’échange de maison. Nous échangions notre maison de campagne avec des Allemands ou des Danois, ce qui nous a permis de vraiment découvrir d’autres pays. Nous dormions dans la maison de la famille avec laquelle nous pratiquions cet échange pendant 1 mois et demi. A l’époque, c’était très avant-gardiste. Ainsi, jusqu’à mes 14 ans, dans la Citroën familiale, nous avons traversé l’Allemagne, la Suède, la Norvège, l’Allemagne, etc…
YF : Je suis également Lyonnais, né à Sainte-Foy-lès-Lyon. Mes parent y sont nés et mes enfants aussi, tous dans le même hôpital… Enfant, j’habitais au Point du jour. J’ai un frère et une sœur et je suis l’aîné. Mon père était juriste, ma mère était sa secrétaire.
AB : La maison de la Bresse, du côté de Perec, appartenait à mon arrière-grand-père. Mon grand-père et mon père étaient fanatiques de pêche, donc nous avons passé des journées entières à pêcher les perches et les brochets. Pour cela, il fallait se lever à 3h du matin ! Sinon, enfant, j’étais très bricoleur, je construisais des maisons dans les arbres, on faisait des bateaux, des barrages…
A partir de 12 ans, j’ai appris l’allemand, à l’école l’Européenne. Pour mes parents, c’était très important. Du coup, j’ai fait mon premier voyage en Allemagne, en échange linguistique, à 12 ans et j’y suis retourné tous les étés. C’était au bord du Rhin à Bacharach. Là-bas, pour gagner un peu d’argent de poche, j’ai fait le guide interprète, dans les bateaux, et cela jusqu’à 18 ans. J’en garde un souvenir fabuleux. J’y ai aussi connu mes premières fiancées…
YF : Nous avions aussi une maison de famille, mais dans la vallée d’Azergue. On y passait tout notre mois de juillet avec ma grand-mère. On allait aux champignons, on allait chercher le lait à la ferme, en gros, nous faisions un peu ce qu’on voulait, même se coucher tard, c’était top !
Sinon, au mois d’août, avec mes parents, nous partions dans le Morbier. Ils adoraient le camping. Mon père avait une Audi et pour aller en Bretagne, nous mettions 15 heures… Il n’y avait pas d’autoroute ! On allait tous les ans dans le même camping, on était à 200 mètres de la plage, c’était génial mais en grandissant j’ai commencé à moins aimer le camping !
Avez-vous des souvenirs gustatifs de vos vacances d’enfants ?
YF : Ma grand-mère avait des réserves de foie gras. Le grand jeu était de lui en piquer une boîte et de le manger, le soir, couché, face aux étoiles, en ouvrant grand le Velux de la chambre…
AB : Moi, maman faisait beaucoup de confitures. Certaines étaient parfois un peu moisies… mais qu’importe, on les mangeait sur du pain de campagne. C’était sublime. J’en ai de très bons souvenirs. Et bien sûr, il y a aussi le poulet de Bresse, le poulet du dimanche !
YF : Oh rien de méchant, peut-être quand on piquait des fromages qui séchaient dans le garde-manger du voisin… Y a prescription (Rires) ?
AB : Une fois, j’ai fait tomber les 20 pots de confitures, chez ma grand-mère, pour moi, c’était très drôle. Pour elle, sans doute moins, mais je n’ai pas été puni. Ma grand-mère était vraiment sympa.
Quid de vos vacances d’adolescent ?
AB : Quand j’ai commencé à partir en Allemagne, on travaillait pour se faire de l’argent de poche, et il n’y avait pas les parents.
Parlez-nous des filles et de l’adolescence.
AB : A l’adolescence, les Allemands sont plus permissifs que les français. Du coup, lors de mes vacances en Allemagne, nous passions toutes nos journées dehors, on allait à la piscine avec les filles, c’était le temps des premiers flirts. Quand je rentrais à Lyon, on s’écrivait toutes les semaines, je me souviens même que mon premier baiser c’était avec Sigrid…
YF : Pour moi, l’adolescence commence quand « tu te fais chier » avec tes parents… (Rires) A cette époque, je me disais : « je serais mieux avec mes potes, en ville, qu’avec mes parents à Saint Didier d’Azergue ! » Sans doute l’ont-ils compris, du coup j’ai passé tout un été à squatter les apparts des copains. Ce fut aussi les premières cuites. Je me souviens d’un ami dont le grand-père était vigneron, nous avons fait un sort à son Pouilly, depuis, je ne peux plus en boire une goutte ! Sinon, on se rejoignait devant le ciné ou au café, on prenait le bus 46 qui reliait Perrache au Point du jour, l’adolescence quoi !
AB : Comme les Beatles, j’avais les cheveux longs…
AB : Miles Davis, les Beatles, les Stones.
YF : Oxygène, Daft Punk et beaucoup d’électro.
Yann, te souviens-tu de la première petite amie ?
YF : Virginie, c’était en vacances en Bretagne, j’avais 15 ans, elle était magnifique. Et comme André, nous aussi, on s’envoyait aussi beaucoup de lettres !
Parlez-nous de vos premières sorties ?
YF : Pour moi c’était le Factory, je devais avoir 16 ans, on mentait sur notre âge, c’était génial. A l’époque, on avait essayé de rentrer au Jardin, mais vous étiez durs*, y avait pas moyen de vous gruger…
*NDLR : Thierry Lahon est l’ancien patron du Jardin, fondé avec Pierre Chambon
AB : Moi je faisais du rugby, donc le soir j’étais fatigué, alors pas de boîtes !
YF : L’un n’empêche pas l’autre… (Rires) Moi aussi j’ai aussi fait du rugby et de l’équitation… et le Factory !
AB : Oui, au début on partait en famille et après c’était entre copains, à la Clusaz.
Un souvenir cocasse de votre adolescence ?
YF : J’ai souvenir, un jour, d’avoir dit à mes parents qu’on partait tous en week-end chez un ami. En réalité, nous avions fait du stop jusqu’à Saint Romain, là, on avait monté nos tentes. Au moment de rentrer, il a fallu refaire du stop, comme ça ne marchait pas terrible, à un moment donné, nous voyons une camionnette garée sur le bord de la route. Nous toquons à la vitre, et en même temps, nous apercevons à l’intérieur un mec en train de se faire faire une fellation… On bredouille une excuse bidon et on s’éloigne. Une fois que la dame qui devait être une professionnelle eut fini sa besogne, et que son client se soit éloigné, celle-ci a remis le moteur en marche, s’est rapprochée de nous, a mis les clignotants et nous a proposé de nous ramener sur Lyon en tout bien tout honneur…
AB : Au mois d’août, je suis en Allemagne. Au téléphone, mon père me dit qu’il faut que je sois à Lyon pour le 15 août. Hélas, deux jours avant mon départ, nous sommes invités, avec ma famille allemande, à un anniversaire à Berlin Est, c’est le 13 août 1961. A la surprise générale, dans la nuit du 12 au 13 août 1961, près de 15 000 membres des forces armées de RDA bloquent les rues et les voies ferrées menant à Berlin-Ouest. Du coup, je me suis retrouvé bloqué. Je ne suis rentré que 3 semaines plus tard. Je me souviens de l’exode des Allemands de l’Est, des Russes qui ne savaient plus quoi faire, ils avaient tout réquisitionné, c’était le début du mur. C’était pour le moins angoissant, on comprend ce que signifie être prisonnier… Je suis rentré le 17 septembre !
Passons à vos vacances d’adultes, vers quel âge commencent-elles ?
YF : Je suis d’accord. Ça arrive quand on commence à bosser, vers 25 ans.
AB : Oui c’est ça, après l’armée et la fac dentaire, vers 26 ans environ.
AB : Je me suis marié juste après l’armée, nous sommes parti en Suisse, en coccinelle, c’était superbe.
AB : Pour nos premiers voyages en famille, nous descendions dans l’appartement de ma sœur au bord de la mer, puis, plus tard, nous avons loué, avec des amis, des maisons au Pays basque puis au sud d’Ajaccio.
YF : Pour moi, c’est la Croatie, j’avais 24 ans. En 1999, ce pays n’avait pas encore la côte qu’il a aujourd’hui. Quand nous disions que nous partions là-bas, on nous prenait pour des kamikazes, alors que c’était un pays magnifique. Ce furent des vacances vraiment cool.
Qu’aimez-vous faire pendant les vacances ?
AB : Moi j’essaie d’alterner une année de farniente et une année d’aventure. Je suis allé plusieurs fois aux USA. J’ai beaucoup visité l’Amérique profonde, celle où il y a 30 personnes dans les villages, au fin fond du Mississipi, ou de l’Alabama. Et puis on a fait Dallas et Los Angeles en voiture. Souvent, on se demande où les flics se cachent dans les Rocheuses… Vous êtes seuls sur la route, il n’y a pas un chat, c’est le désert et d’un coup, vous subissez contrôle de police avec gyrophares, policiers mains sur la gâchette, et dans le rétroviseur son coéquipier qui arme son fusil… Il y a aussi parfois les hordes de motards, qui s’écartent pour vous laisser passer puis vous encerclent juste pour rigoler, et cela peut durer pendant 30 kms…
YF : Moi, il me faut une semaine de déconnexion et de repos, et 2 semaines de découvertes. C’est le timing idéal pour recharger les batteries.
Quelles vont être vos vacances cet été ?
AB : La Crête, pendant 3 semaines, à l’hôtel, en demi-pension.
YF : Je ne sais pas encore, vu l’été, je vais improviser en fonction de la météo.
Gardez-vous vos portables en vacances ?
YF : Oui, je vais toujours dans des endroits où il y a du réseau, j’ai besoin d’être informé et relié à mon monde.
AB : Moi aussi, mais parce que je suis très proche de ma fille et de ma famille. J’ai besoin de savoir que tout va bien, même si le téléphone ne sonne pas de la journée.
Aimez-vous rapporter des souvenirs de vacances ?
YF : Pas du tout, je ne prends même pas de photos. Tout est dans la tête, pour moi c’est gâcher son temps.
AB : Je prends des photos car j’aime ça, mais c’est tout.
YF : Oui beaucoup. Parfois 12 bouquins en 3 semaines, je suis un gros lecteur. Surtout pendant les vacances car j’ai le temps.
AB : Moi aussi, beaucoup de romans, cet été c’est un essai « La violence monothéiste » de Jean Soler, sinon c’est des romans, des polars, avec mon épouse, nous emmenons une quinzaine de b
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