Profiter de la pause de mon entrepreneur

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Actualités , Inspirations 28 mars 2016

L’entrepreneur qui ne savait pas faire de pause


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L'entrepreneuriat est aujourd'hui devenu le seul ascenseur social pour des millions de personnes qui souhaitent créer leur propre vie, mettre du sens dans leur quotidien, être libres de leurs décisions mais aussi créer de la valeur, des emplois et faire bouger la société. Fractale est le premier supporter de toutes celles et ceux qui agissent ainsi chaque jour avec passion et détermination pour une vie et un monde meilleurs.
Ce week-end était l’un des rares ponts de l’année et avec lui une forte envie de faire une pause, un vrai break, au moins une soirée ou une journée à ne pas travailler (même si la frontière est mince entre le travail et la passion, il est vrai…) et puis la culpabilité de ne pas en faire assez revient en force… Avec elle, l’impression que si on ne fait pas une chose qu’on fait habituellement, notre société va aller droit dans le mur, un peu comme lorsqu’on saute un cours de gym et qu’on s’imagine déjà avec 2kgs en plus ! Évidemment, lorsqu’on fait une pause, il y a peu de chance qu’un client, un lecteur ou un prospect le remarque, sauf si elle dure très longtemps, mais une journée off passe généralement inaperçue. Et puis, on ne gère pas une multinationale cotée en bourse non plus… Il n’y a que notre esprit qui s’en offusque. On a tellement le sentiment que lorsqu’on est à son compte on doit travailler tout le temps, faute de pouvoir développer son CA et trouver des clients, qu’il est très facile de passer ses journées, ses soirées, ses week-ends à ne rien faire d’autre et parfois à ne même pas partir en vacances ou voir ses amis. Le risque au bout du compte est l’épuisement. Qu’il sera d’ailleurs difficile à justifier, puisque comme on fait un travail qu’on adore, ce n’est pas comme prendre les transports, supporter un chef et des collègues, exécuter toutes sortes de tâches inintéressantes et ne pas disposer de son emploi de temps. Alors qu’en tant qu’entrepreneur, qui plus est en travaillant chez soi, on ne peut pas être fatigué, on ne peut pas ne pas avoir le temps et on ne peut pas avoir besoin d’une journée de repos
Sauf que, il faut le reconnaitre, si on dispose bien de notre emploi du temps, qu’on évite le RER et le métro aux heures de pointe et que personne (ou presque) ne nous donne d’ordre, il n’y a généralement pas de pause dans notre quotidien. On passe de dormir à travailler, de manger à travailler, de xxx (enfants, sport, conjoint, sortie…) à travailler et ce, même les week-ends ou jours fériés. Ces derniers nous sont utiles pour rattraper notre retard ou nous avancer sur les prochains jours. Il ne nous arrive que très rarement de ne rien faire, de regarder un programme TV stupide ou lire un livre, sauf lorsque nous sommes exténués de fatigue, un vendredi soir alors que nous avons refusé une soirée entre amis où il aurait fallu parler pendant des heures, activité qui parfois nous semble insurmontable…
Il est vrai qu’être entrepreneur, c’est travailler quand on veut, du moment que notre travail est fait (pas terminé, car il ne l’est jamais), on peut prévoir autre chose. Sauf qu’une fois qu’on a fini une tâche, on embraye sur autre chose, parce que, si on s’arrête, le chiffre d’affaire aussi, il suffit de voir ce que cela donne en août lors de la pause obligatoire, où peu d’entre nous ne se verse un salaire ce fameux mois off… Certes on peut se reposer un moment, l’esprit tranquille parce qu’on a remporté un contrat, fait un beau chiffre d’affaire, mais on ne peut pas relâcher la pression autant qu’il le faudrait…
Certains y arrivent, ou en tout cas le disent dans les médias ou sur les réseaux sociaux en vantant les mérites des pauses, de longues vacances, de la déconnexion totale, etc… pour revenir encore plus motivés à faire exploser leur boite. Mais tout le monde ne le peut pas, en tout cas rarement quand on débute, ou quand on a une activité qui ne s’arrête jamais, telle que le ecommerce par exemple. Alors on a beau savoir qu’on devrait le faire, on n’y arrive pourtant pas, on culpabilise si on ne fait rien pendant 24h et on jette un œil discret à son smartphone toutes les 10 minutes même sur la plage ou les pistes de ski pour se rassurer. On se fiche alors de savoir qu’il est conseillé de faire des pauses et que c’est ainsi que les autres réussissent, parce que ce n’est pas notre fonctionnement et que le jour où on aura vraiment besoin de faire un break on le fera car notre cerveau n’arrivera tout simplement plus à produire de chouettes idées, ou notre corps nous rappellera qu’on est allé un peu trop loin. Cette fois-ci on ne culpabilisera pas de s’affaler sur notre canapé devant une série US !
Évidemment, pas besoin d’en arriver là… Il faut écouter ses besoins, faire ce qui nous semble le mieux pour nous, faire fi des conseils de ceux qui savent mieux que nous, agir en son âme et conscience, éviter de léser sa famille, de tomber malade ou de se couper du monde. Parce que même si entreprendre cela signifie travailler comme un fou, il faut aussi profiter de la vie !

Entrepreneuse depuis 2002, je suis docteur en pharmacie de formation. J’ai rejoint le monde merveilleux du web en 2008, après 6 années à gérer ma pharmacie en banlieue parisienne. J’ai eu entre-temps plusieurs entreprises, du site de vente en ligne de cadeaux, à la mode japonaise, en passant par l’évènementiel. Aujourd'hui je gère trois sites ecommerce, et j'ai repris des études en sport-santé. Ma vocation est de vous inspirer, de vous montrer que tout est possible, qu’il faut essayer, se planter, recommencer, mais ne jamais abandonner, même si c’est parfois difficile. Je suis aussi intervenante bénévole pour l'association 100 000 entrepreneurs depuis 2012.
Praditus c’est une jeune startup, lancée il y a un peu plus d’un an, par Yohan Ruso, ancien DG d’Ebay, qui a levé 1,3…


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Vous êtes entrepreneur ? Je ne peux que vous en féliciter.
Vous manquez de temps de travail ? Bienvenue au club.
Mais le manque de temps n’est pas une fatalité. Quelques simples réflexes et habitudes pourront changer votre quotidien. Apprenez à éviter tout gaspillage de temps.
Je vous propose ici de nombreuses astuces pour encore mieux profiter de votre vie d’entrepreneur. En pratiquer une partie seulement, va vous booster dans votre job.
Plus facile à dire qu’à faire. Vous avez peut-être des tonnes de paperasses sur votre bureau. Pourtant, si vous rangez votre bureau au fur et à mesure, cela se fera beaucoup plus facilement. Vous ne pourrez même plus vous en passer.
Je range aujourd’hui mon bureau de façon continue. Cela me permet de trouver le document X dont j’ai besoin à un moment T.
De nombreux entrepreneurs perdent énormément de temps, en allant de leur boîte email à leur dossier express en passant par le téléphone. Pour bien gérer votre temps de travail, planifiez votre journée. Indiquez sur papier les tâches qui doivent absolument être traitées aujourd’hui.
Cela vous évitera de chatter sur Facebook avec un ami (!) et vous permettra de mieux vous concentrer sur votre travail.
Vous voyez, ce n’est pas si difficile ;-).
Pour un meilleur équilibre personnel et plus de concentration, il est important de s’accorder régulièrement des pauses.
Travailler par bloc de 30/40 minutes est la norme. Faites une courte pause de 5 minutes, prenez un verre d’eau et sortez entièrement de votre travail. Toutes les 3 heures, faites une pause plus longue, de 20 minutes.
Pour gérer plus facilement vos temps de pause et travail, vous pouvez utiliser un outil comme pomodoro ou une pointeuse . Cela vous permet de baliser votre temps de travail.
J’avais auparavant tendance à travailler sur plusieurs dossiers simultanément. Résultat : consommation d’une énergie folle et gaspillage de temps.
Concentrez-vous sur une tâche déterminée vous fera gagner du temps. Si vous revenez à plusieurs reprises sur un dossier, réfléchissez ! Devriez-vous le jeter, le transmettre à quelqu’un d’autre ou le traiter immédiatement ?
Certaines personnes sont en forme de 8h à 10h, d’autres en fin d’après-midi ou encore en début de soirée. Chacun son rythme. Mais nous avons tous des heures durant lesquelles nous sommes bien plus productifs.
Tenez compte de vos meilleures heures pour vous y consacrer aux tâches plus consommatrices d’énergie, ou plus importantes.
Le temps que l’on passe pour se rendre à un rendez-vous est ce que je considère comme une pure perte de temps. Mais on ne peut pas toujours l’éviter.
Commencez par les programmer en début ou en fin de journée. Évitez les allers-retours « Dodo-Bureau-RV ». Rassemblez vos rendez-vous dans les mêmes créneaux horaires.
En début de meeting, fixez le cadre de la réunion et prévenez votre interlocuteur du temps dont vous disposez. Pas plus tard qu’hier, j’ai passé 2h30 avec un client alors que nous aurions eu largement suffisamment de temps en 1 heure.
Évitez toute perte de temps à « attendre » que votre RV démarre. Emportez des documents de travail qui pourront vous servir en attendant votre meeting.
Si vous dites oui une fois, on reviendra vers vous. Super ! Mais si vous dites oui une fois pour quelque chose qui vous fait perdre votre temps, ce n’est peut-être pas le plus efficace.
Votre temps n’est pas extensible alors, concentrez-vous sur votre expertise, sur ce qui vous plaît. Pour le reste, délégué. Pensez à des collègues, des partenaires.
Votre bonus : vos partenaires reviendront vers vous pour faire appel à votre expertise propre. J’en fais régulièrement l’expérience.
Avant, j’étais connecté en permanence à ma boîte email. Il y avait même une sonnerie lorsque je recevais un nouveau message.
Ouvrez uniquement votre messagerie en début de journée. Cela vous permettra de vous concentrer sur l’essentiel. Plutôt que d’être distrait en continu, lisez vos emails à un moment précis de la journée.
Votre pause déjeuner est un moment de ressourcement important. Est-ce que faire la file pour commander votre sandwich ou attendre que l’on vous serve dans un restaurant bondé, est décontractant ?
Personnellement, je ne trouve pas. J’essaie toujours de prendre ma pause lorsque l’affluence est terminée. À 1/4 d’heure près, vous pourrez facilement éviter le rush. Cela vous permettra de manger un morceau au calme et discuter tranquillement avec le serveur.
N’oubliez pas non plus que l’après-déjeuner est un moment pendant lequel on est plus fatigué. La raison : La digestion. Il suffit donc de manger plus léger.
Pour aller encore plus loin, ayez recours à un logiciel gestion du temps .
Vous avez d’autres astuces ? Vous savez comment optimiser votre temps de travail.

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Accueil Réussir en entreprise Entrepreneurs qui réussissent : les 5 caractéristiques qui les rendent chanceux
Catherine Aliotta Credit photo sophrologie-formation.fr
Sophrologue, chef d’entreprise et spécialiste de la formation professionnelle, Catherine Aliotta est fondatrice de l'Institut de Formation à la Sophrologie, première école de France à avoir obtenu l'enregistrement de sa certification professionnelle de sophrologue au RNCP. Cette certification a un niveau de qualification reconnu par l'Etat et visé par le Ministère du Travail. Catherine Aliotta œuvre pour la reconnaissance du métier de sophrologue. Elle a fondé l'Observatoire National de la Sophrologie (2008) et la Chambre Syndicale de la Sophrologie (2011) dont elle est l'actuelle Présidente.
En plus de ses missions, elle écrit des ouvrages et donne des conférences sur la sophrologie auprès du grand public et des professionnels.
Diplômé de l’emlyon business school et de Sciences Po, Thierry Legrand-Browaëys a exercé des fonctions de gestion des ressources humaines dans plusieurs entreprises multinationales. Actuellement DRH dans l'industrie du câble, il est, par ailleurs, conseiller prud’homme et auteur des livres Formation professionnelle : comment en sommes-nous arrivés là ? (Edilivre, 2019) et Réformer les retraites, une crispation française (L'Harmattan, 2022).
Une idée répandue voudrait que la chance soit déterminante dans la réussite. Mais en réalité, la chance toute seule n’est rien. Il n’existe que des personnes qui savent la saisir. Comme le dit le Dalaï Lama : ” Il n’y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, il n’y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel”. Voici comment reconnaître et accueillir la chance quand elle se présente à vous.
Dépolariser, c’est-à-dire ne pas rester concentré sur soi, est la première étape pour pouvoir reconnaître la chance quand elle se présente. Prenez par exemple, un salon professionnel. Vous faites une pause, mais au lieu de regarder autour de vous et de vous détendre, vous êtes plongé dans vos pensées, focalisé sur votre prochain rendez-vous ou absorbé par les mails sur votre téléphone. Dans cet état d’esprit, si, à ce moment-là, quelqu’un que vous rêvez de rencontrer depuis longtemps, une personne importante de votre réseau, passe devant vous, vous ne la verrez sans doute pas. En revanche, si vous dépolarisez, si vous êtes ouvert sur le monde qui vous entoure, vous augmentez les chances de la reconnaître, de la voir.
Il s’agit de cette impulsion, souvent irraisonnée, mais qui naît lorsque vous êtes à l’écoute de vos émotions. Reprenons l’exemple de cette personne importante que vous croisez par hasard dans une allée du salon. Elle ne vous connaît pas, mais vous, vous savez qui elle est. Si une rencontre doit avoir lieu à ce moment-là, tout repose donc sur vous. Elle s’est arrêtée au niveau d’un stand, juste en face vous. Vous ressentez à ce moment-là une émotion, comme une pulsion, qui vous pousse à traverser l’allée, pour vous rendre sur le même stand qu’elle. Sans réfléchir, vous y allez : vous vous retrouvez juste derrière elle. Pourquoi ? Sur le moment, vous ne vous l’expliquez pas. Vous avez juste écouté votre instinct.
Ça y est, vous êtes sur le même stand qu’elle. Que faire à présent ? Vous acceptez de « casser » votre plan de départ : souvenez-vous, vous aviez prévu de profiter de la pause pour appeler des collaborateurs restés au bureau. Finalement, tout se déroule différemment, et vous vous adaptez à la situation. Vous restez là immobile, tandis qu’elle déambule sur le stand. Il s’agit maintenant d’oser, de prendre le risque. De sortir des croyances limitantes telles que : « si je vais lui parler cela va la déranger. Cela ne se fait pas. Ce n’est pas mon genre » etc. En même temps, à quoi bon être venu sur le stand, si c’est pour rester figé ? Après quelques instants de réflexion, c’est décidé, il faut passer à l’action. Vous allez aller lui parler, pour vous présenter à elle. C’est audacieux, cela ne vous ressemble pas, mais vous le faites, car à ce moment-là, vous commencez à comprendre que cette rencontre fortuite peut être une chance. Voir le début de quelque chose. Mais cela, seul l’avenir le dira. Or, si vous ne faites rien à ce moment précis, si vous ne saisissez pas l’opportunité que vous venez de créer, vous ne le saurez jamais.
Cette décision prise, il s’agit de déterminer dans un laps de temps très court, ce que vous pouvez mettre en œuvre pour créer le contact, entrer en relation. Cela implique de connaître vos forces, vos qualités, qui vont vous permettre d’emprunter cette voie. Si d’habitude, votre sens de l’humour plaît, utilisez cette carte. Si vous êtes plutôt le roi de la synthèse, montrez comment vous savez aller à l’essentiel en quelques minutes. Si vous aimez jouer avec vos points faibles, prouvez que vous n’avez pas honte de les montrer. Bref, soyez authentique. La bonne connaissance de soi est un atout majeur pour cueillir sa chance, la déployer, la transformer en quelque chose de concret. Elle permet d’atteindre la spontanéité, la sincérité qui sont des valeurs gagnantes. Mais elle permet aussi d’identifier les bonnes rencontres. En somme, si en étant vous-même, cela ne marche pas, c’est un très bon baromètre pour se dire que cette personne n’était pas la bonne, et ne rien regretter !
Enfin, de manière plus générale, la chance sourit très certainement à celles et ceux qui savent donner sans attendre en retour. Cette personne, que vous auriez pu ignorer, va finalement vous remercier d’avoir fait ce pas vers elle. Vous n’attendiez rien de particulier de cet échange furtif, vous saviez bien que cela ne serait pas forcément déterminant au point de changer votre vie, de débloquer en un coup de baguette magique, tous les freins qui sont sur votre route. Mais en donnant quelque chose de vous, vous avez, sans le savoir, répondu à un besoin inattendu : le sien. Elle aussi apprécie de voir que son travail a du sens, qu’il parle à certains, qu’elle est reconnue dans sa profession. Même pour quelques instants, ce pas de côté qui vous a coûté, a apporté quelque chose à l’autre. En vous intéressant à elle, vous avez semé une graine qui, poussera un jour ou l’autre. Grâce à cette personne, ou à quelqu’un d’autre… C’est peut-être cela, le terreau de la chance.
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