Prof frustrée fait un travail sur elle-même
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Prof frustrée fait un travail sur elle-même
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En cette rentrée, quelle est l’ambiance dans les établissements scolaires ? Témoignage d’une jeune enseignante.
Mais cela peut aider à réduire vos impôts de 66%
Je suis professeure de français, depuis trois ans. Dans une autre vie, j’ai travaillé dans une grande enseigne commerciale, un autre univers… Changement d’aspirations, envie de transmettre et d’aider les ados (quoique finalement ça ne soit pas si éloigné du management en entreprise), retour vers mon amour pour les lettres, reconversion… Admission au concours, première année dans le grand bain, titularisation avec les félicitations de l’inspecteur, premières satisfactions personnelles de voir les élèves accrocher et s’accrocher.
À la veille de ma troisième rentrée, me voilà envahie de sentiments contradictoires : j’ai hâte de retourner au lycée, mais j’ai aussi quelques réticences.
J’ai envie de retrouver mes élèves pour partager cette future année avec eux. Leur enseigner de nouvelles choses, leur faire découvrir des textes inspirés et inspirants, les faire grandir, les aider dans leurs difficultés et les féliciter dans leurs réussites, trouver toujours de nouvelles approches pour qu’ils aient envie de venir en cours, et qu’ils me donnent l’envie d’enseigner. C’est mon moteur, ma motivation.
Par contre, je n’ai pas envie de retrouver l’ambiance « Ednat’ », et encore moins un certain nombre de mes collègues. Celle par exemple qui, le jour de la pré-rentrée, se laissant tomber dans un fauteuil dit en soupirant à qui veut l’entendre (véridique) :
« Vivement le 17 octobre…
– Pourquoi ? Que se passe-t-il le 17 octobre ?
– C’est les vacances de la Toussaint ! »
Évidemment, j’aurais dû m’en douter ! Silence, effarement, rires gênés… La même qui sait déjà que les 1er et 8 mai tomberont cette année un dimanche. Prof enfant-gâté qui n’a jamais connu cinq semaines de congés payés par an.
Je n’ai pas envie de retrouver non plus celui qui, n’ayant pas encore vu les élèves, clame haut et fort que « de toutes façons, ils sont tous cons » . C’est bien, on part sur de bonnes bases… Ou encore celle qui vient te dire comment enseigner et cadrer tes élèves alors que les siens miment un concours de natation entre les bureaux pendant ses cours (re-véridique). Sans parler de ceux qui n’ont qu’une préoccupation : savoir qui va bien pouvoir préparer le café à 9h45 pour qu’il soit prêt à la récré de 10h. Et qu’achète-t-on pour aller avec ? Des petits sablés Saint-Michel ou des Girontondini de Moulin Blanc ? Cruel dilemme…
Profs enfant-gâtés disais-je, démotivés (ont-ils seulement déjà été authentiquement motivés ?) qui n’ont pas ou plus envie d’assumer leurs fonctions, à qui on ne demande en fait aucun compte ni résultat, et qui n’ont jamais connu autre chose que l’école. Ils ne sont pas tous comme ça, heureusement, mais force est de constater que ce profil de prof est majoritaire. Je le savais déjà avant. C’est une chose de le savoir et c’en est une autre de le vivre : le fonctionnement de l’Éducation Nationale encourage la médiocrité. Tu fais mal ton boulot ? Même pas grave, tout au plus tu seras dispensé de correction de bac et tu auras le service le plus simple possible. Tu ne risques pas grand chose de plus, et de toute façon les collègues et les syndicats te défendront bec et ongles. Malheur à celui ou celle qui a l’audace de dire que ce job n’est pas une planque et que l’on doit faire le travail pour lequel nous sommes payés : il sera taxé de réac, de prof de droite, et regardé de travers en salle des profs.
Eh bien soit, je suis réac à ce compte-là.
Envie de retrouver mes élèves, oui, même les plus turbulents, mais certainement pas l’Éducation Nationale, les lenteurs administratives, la non-communication entre les services, les missions payées dix mois après (défraiement pour déplacements à l’occasion de la correction et des oraux du bac par exemple), malgré des réclamations. Cette administration aurait beaucoup à apprendre de certaines entreprises privées finalement bien plus humaines. C’est la fameuse histoire du mammouth de Claude Allègre. Qui sera capable de le dégraisser un jour ? Et que faire alors à mon niveau, pour ne pas assister, impuissante et frustrée, à ce désastre qui contribue au déclin du pays ?
Enseigner efficacement, cela paraît si simple… bastamag.net/Rentree-scolaire-l-institutrice-qui-voulait-revolutionner-le-systeme-educatif Qu’il faille l’interdire.
Il faudrait introduire le concept de Charter School en France, ce système révolutionne l’éducation aux Etats-Unis, permet aux élèves et enseignants de mieux développés leur talent et l’envie d’apprendre et enseigner grâce à une recette simple : la liberté.
Le concept pourrait être une solution, mais regardez le data gueule sur l’éducation sur YouTube. Les charter schools ont aussi leurs désavantages.
Le data gueule est de la pure propagande.
« l’Education nationale n’est pas réformable : on peut seulement la faire exploser. »
@breizh +1 , mais rassurez vous , comme toute imposture , elle explosera toute seule , contre le mur des réalités . Il faudra enterrer les restes tres profond .
Article caricatural ! En 20 ans d’enseignement, 8 lycées sur 4 départements (j’ai croisé + de 600 enseignants) je n’ai rencontré pas plus de 4 ou 5 personnes comme celles décrites dans cet article. De plus, la plupart des enseignants recrutés aujourd’hui ont un vécu professionnel plus riche que vous ne pensez (entre les reconversions professionnelles, les jobs pour payer les études…….). En outre, aujourd’hui les « profs » ne sont plus de gauche (même si les gauchistes font beaucoup de bruit mais ce n’est pas propre à l’Education Nationale). Les profs sont ou MoDem -UDI ou UMP. Ou votre auteur manque d’objectivité ou il n’a jamais mis les pieds dans un lycée!
@François87
« Article caricatural ! »
Peut-être un peu, mais comme votre commentaire finalement.
Êtes-vous sur que votre parcours est plus représentatif ?
Un commentaire est toujours trop court pour aller au fond des choses. Je pense que mon parcours n’est pas forcément représentatif mais m’a simplement permis d’observer des choses.
@françois 87
« Je pense que mon parcours n’est pas forcément représentatif mais m’a simplement permis d’observer des choses. »
Derrière ma question se cachait l’exhaustivité de votre parcours et le biais possible de vos observations.
Arghh , il y aura toujours des François 87…
Il y aura toujours des « François 87 » qui se font une idée assez haute de l’école et qui ne sont pas en accord avec la politique éducative des 20 ou 30 dernières années. Seulement, il faut, je pense arrêter de charger les enseignants de manière caricatural. 95% des enseignants que je connait sont de vrais bosseurs qui sont dépités d’être accusés de paresse à tord et à travers. Je n’ai pas dit qu’il n’existait pas de professeurs qui ne pensaient qu’aux vacances, qui étaient gauchistes jusqu’au bout des cheveux etc…. mais il s’agit d’une infime minorité car comme dans tous les métiers nous avons nos brebis galeuses.
Je veux simplement dire que cet article, à mon sens, ne reflète qu’un fantasme de ceux qui « n’aiment pas les profs » ou qui sont jaloux d’eux. Ces derniers, pourront toujours trouver dans leur scolarité ou celle de leurs enfants « le prof » qui est un bon à rien. Ceci dit, de la petite section à la terminale, nous croisons dans notre vie entre 40 et 50 enseignants ; parmi eux 2 ou 3 maximum extraordinaire qui changent notre vie et 2 ou 3 qui nous dégoutent par leur incompétence. Les autres sont juste bons (ce qui est déjà bien) sans être ni brillantissime ni des nullités absolues. Les profs aiment le nivellement par le haut et sont exaspérés du nivellement par le bas. Les profs que vous le vouliez ou non passe leur vacances à bosser (préparation cours, lecture pour augmenter leur connaissances, rédactions d’articles scientifique, préparation de concours internes, rédaction de thèse de doctorat……) et ont un bien meilleur niveau qu’il y a 40 ans. Si vous trouvez qu’être prof c’est la planque PASSEZ LE CONCOURS DU CRPE, DU CAPES, DU CAPLP2 ou DE L’AGR2GATION. Généralement, ceux qui n’aiment pas les profs ne sont pas près à faire les sacrifices que demandent ce métier.
De plus, je pense, à mon humble avis, que vous ne pouvez pas réduire les professeurs à leurs représentants syndicaux : à peine 15% de profs syndiqués et au élection professionnelles de 2014, moins de 23% de participation. Les syndicats comme le SNES ou la FSU ne représentent en réalité qu’eux mêmes, tout le monde le sais, ce n’est pas propre à l’Education Nationale, et c’est le dialogue social à la française qu’il faut ici mettre en cause pas les profs.
Pardonnez moi les quelques fautes ……….c’est pour voir si vous suivez!
Au moins on sait déjà que vous n’êtes pas prof de français… ni d’économie
38.54% de participation aux élections professionnelles (2014) et 30% de syndiqués
… alors si vos 95% sont du même niveau d’à peu près
Très majoritairement (70 %) les enseignants votent à GAUCHE pour préserver les avantages de son statut et l’idéologie transpirée de mai 68 qui y sévit. On voit ce que ça donne.
La majorité à donc ce qu’elle mérite depuis 20-30 ans.
http://www.cevipof.com/rtefiles/File/AtlasEl3/NoteFOURQUETKRAUS.pdf
Par curiosité, vous étiez prof de quoi ? Pas de Français, rassurez-moi !
Dans le val de marne où j’habite, un instituteur ( prof des écoles ) est recruté sur une note de 4/20.
Pour connaître pas mal d’instit ( moins de profs du collège/lycée ), à salaire équivalent ils démissionneraient pour un autre emploi.
Perte du niveau et de la vocation… trop faible salaire, manque de respect/moyen etc…. dans mon département c’est comme ça et ce n’est pas le seul.
Y des profs sur Contrepoints maintenant!
Ben dit-donc ! Cette armée gauchisante se désunirait?
Quand à la suggestion de « passer les concours » comme vous dites, trop mal payé, vous repasserez.
Bonjour francois 87
Perso 95% de mes profs étaient des branleurs.
J’ai rien appris à l’école, ni à la fac d’ailleurs.
L’EN est une vaste garderie d’enfants où on apprend rien.
» Perso 95% de mes profs étaient des branleurs. »
Ayant eu un enseignement privé suivi d’une université très bien placée dans Le classement Shanghai je peux vous affirmer avoir connu tout le contraire de votre parcours.
On a envie de pleurer en vous lisant… quand on constate les fautes qui parsement votre commentaire. Comment peut-on avoir l’audace de prétendre « enseigner » quand on a tant besoin d’apprendre. A moins qu’il ne s’agisse de l’audace (toujours de l’audace) du sinistre du Palais?
« les profs sont ou ModeM -UDI ou UMP ».
François 87 connait vraiment le milieu enseignant et n’insulte personne » lui »
J’ai fait trois lycées en trois ans, dont deux où nous étions 180 professeurs. Nous n’avons pas dû croiser les mêmes collègues… je ne partage pas votre point de vue quant à la tendance politique dans l’éducation nationale. Sur ce, je retourne à mes préparations puisque je suis réellement professeure!
les profs ne vous dirons jamais qu’il votent au centre ou à droite, omerta oblige. Si vous prenez le temps de discuter avec eux en off vous verrez qu’ils ont pour la majorité d’entre eux qu’il rejettent le discours et les idées socialistes sur l’éducation et qu’ils partagent celui de Modem ou de l’UMP. Un sondage de cet été (ce n’est qu’un sondage, mais…) donnez Bayrou en tête chez les pros à 26% et Sarkozy à 18% ( Cela fait 44% ) et à peine 20% pour Hollande. Cela n’empêche pas de trouver dans les salles des profs des mélenchoniens pur jus qui font beaucoup de bruit et qui sont certains que tout le monde est d’accord avec eux………mais çà c’est la marque de fabrique du front de gauche.
françois 87: « et qu’ils partagent celui de Modem ou de l’UMP. »
Partis interventionnistes et corporatistes minoritaire dans la population qui font peu ou prou pareil que la gauche: entassement des lois, multiplication des dépenses, des couches et des machins administratifs.
Il y a des profs attaché à la liberté et au droits des gens ?
On se demande comment il a été élu le Francois. Par les professions libérales qui sont ravies de la loi santé qui leur tombe sur la tronche ?
« L’élection présidentielle de 2002 démontra de manière assez classique le profond ancrage à gauche des enseignants ( 70% de leurs voix se portèrent vers un candidat de gauche , contre 42% chez l’ensemble des Français), leur net rejet de la droite parlementaire – captant à peine 18% des suffrages contre 24,5% dans l’ensemble de la population – et un attrait pour l’extrême droite très marginal (5% contre 19,5 % en moyenne).
http://www.cevipof.com/rtefiles/File/AtlasEl3/NoteFOURQUETKRAUS.pdf
__________
70% à gauche, rien ne change… et on ne parle pas des retraités de l’EN, c’est encore pire.
« D’après l’enquête réalisée par l’Ifop du 13 au 15 février 2012 , les candidats de gauche remporteraient au premier tour plus de six suffrages sur dix (61,5%), soit un score nettement supérieur à celui observé il y a cinq ans dans cette profession (48,5% en février 2007). Les enseignants se distinguent ainsi par un ancrage à gauche encore plus fort qu’en 2007 : l’écart entre leurs intentions de vote en faveur des candidats de gauche (61,5%) et celles de l’ensemble des Français (41,5%) ayant doublé en l’espace de cinq ans (20 points d’écart en 2012, contre près de 10 points en 2007).
Au second tour, ce vote en faveur de la gauche est encore plus massif. Près de huit suffrages sur dix se porteraient sur François Hollande (79%) , le potentiel électoral de Nicolas Sarkozy étant quasiment deux fois plus faible qu’il y a cinq ans (21% contre 38% en 2007). «
bienvenu chez les réacs. réagir face à la décadence est très sain.
en revanche, quitte à être réac, autant l’être jusqu’au bout comme il faut bien : vous êtes un professeur. professeur féminin si vous souhaitez le préciser, mais vous êtes un professeur.
+ 1 . Dès que j’ai vu le « professeure », je me suis dit que ça commençait bien mal. Et cela a fini mal puisqu’ on a eu droit à une longue plainte
Eh bien, on se sent un peu moins seul… A l’auteur, « professeure de français » : « des formes telles que professeure, recteure, sapeuse-pompière, auteure, ingénieure, procureure, etc., pour ne rien dire de chercheure, qui sont contraires aux règles ordinaires de dérivation et constituent de véritables barbarismes. » source: AF, http://goo.gl/wFm1qm
Le temoignage insiste sur le poids de la technostructure de l’EN.
– aucune gestion RH
– des décisions top/down, sans adhesion du terrain = non/mal appliquées
– déresponsabilisation totale des acteurs par une hierarchie complétement hors sol
– comme dans d’autres secteurs (agriculture par exemple) l’impact des syndicats incroyablement nocif
J’ai pour ma part plusieurs témoignages plus proches de celui de l’auteur que l’image d’Épinal proposée par Francois87.
La solution est dans la libéralisation et l’autonomie des établissements, la fin du recrutement par concours et du fonctionariat
Qui vous a dit que j’étais contre l’autonomie des établissement? Je veux simplement dire que le prof qui s’affalent dans le fauteuil en pointant la date des prochaines vacances n’est qu’une petit partie émergée de l’iceberg dont on se sert pour caricaturer les profs en gros paresseux conservateurs et en faire des boucs émissaires. Allez voir des profs et demandez leur ce qu’ils pensent de leur ministère, de la gestion des RH ……….; vous serez surpris
Et que pensent ils de leurs syndicats, 150% responsable de la fossilisation du mammouth ?
PS : comme dans toutes les professions, il y a 20% de bons, 20% de mauvais… Et une masse qui assure tant bien que mal
L’objectivité, ça n’existe pas. Cette « prof » exprime son ressenti, qui vaut autant que le vôtre, sauf à considérer que votre perception de ce milieu est la seule valable… L’auteure décrit une ambiance qui selon elle n’est pas propice à la pleine réalisation de la délicate mission qui lui est demandée. C’est son droit de ne pas trouver cet environnement « optimal ».
C’était en 2012 et depuis les choses ont changé. De plus si vous vous référez à un temps plus long, disons depuis 1970, vous observerez qu’élection après élection le parti socialiste perd du terrain chez les enseignants petit à petit. Les mutations sociales et politiques mettent plus de temps que les mutations technologiques.
De plus, plus vous montez dans la hiérarchie de l’Educ. Nat. plus le personnel se « droitise ».
De mieux en mieux. Le coups de la droitisation du personnel croissant avec l’échelle hiérarchique du ministère, c’est inédit. Dites-nous plutôt à quel poste vous avez exposé votre grammaire et votre orthographe défaillantes.
françois87: « C’était en 2012 et depuis les choses ont changé. »
Oui, les déçus de la gauche partent vers d’autres partis, mais ils partent parce que le PS n’est pas assez socialiste.
J’ai trois profs dans ma famille, idéologiquement c’est quasi 1917.
« En outre, aujourd’hui les « profs » ne sont plus de gauche »
ils sont mort les innombrable 68ard socialo-communiste qui faisait du prosélytisme pendant leurs cours que j’ai rencontré pendant ma scolarité ?
mes amis profs me disent pourtant en croiser régulièrement…
Les prof socialo communistes partent à la retraite les uns après les autres et sont en voie de disparition…. seulement, au risque de me répéter, il font beaucoup (trop) de bruit et on a tendance à vouloir ne voir qu’eux. La société bouge, lentement, les clivages politiques bougent, lentement, à un rythme générationnel. Je veux simplement vous faire comprendre que le microcosme de la salle des prof se transforme aussi et qu’il faut arrêter de plaquer des réalités d’il y a 40 ans sur la réalité d’aujourd’hui. Au lieu de vous focaliser sur les brontosaures de l’éducation nationale, allez voir les jeunes stagiaires qui eux sont loin d’être des gauchistes prosélytes et qui ont réussi à survire et à s’en sortir malgré la politique éducative des 40 dernières années. Croyez vous qu’une élève qui a eu le bac il y a 5ans, et qui aujourd’hui est devenu prof ait à ce point été frappé d’amnésie pour avoir oublié à quelle sauce il a été broyé ? Croyez vous que les profs soient à ce point stupides pour ne pas voir que ce que le gouvernement socialiste leur demande de mettre en œuvre est une ineptie éducative ?
François87 a raison de souligner que les « brontosaures » ultra-gauchistes sont en voie d’extinction. Il y en a toujours, bien sûr, mais bien moins que pas le passé. Par exemple à la cantine, on n’a plus la table CGT et la table FSU. Et parmi les jeunes, la carte syndicale sert uniquement à avoir les infos (sa mutation) avant que ça descende par la voie officielle, tant nos RH sont nuls. Le milieu enseignant n’est pas encore converti au libéralisme mais il ne croit plus trop aux sornettes socialo-communistes.
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