Prof et deux étudiants étrangers
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Prof et deux étudiants étrangers
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Parrainage de diplômés étrangers sous le coup de la circulaire Guéant, à Paris, le 13 mars 2012. Le texte a été abrogé depuis cette date. (Maxppp/Vincent Isore/IP3 press)
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pigeonvoyageur a posté le 20 octobre 2012 à 00h49
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BREIZ44 a posté le 17 octobre 2012 à 13h06
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alea a posté le 16 octobre 2012 à 21h28
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cedricthomas a posté le 16 octobre 2012 à 16h50
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Raslacasquette a posté le 16 octobre 2012 à 14h47
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En France, les étudiants étrangers représentent près de 15% des inscrits à l’université, le plus souvent en cursus de master et doctorat dans des établissements d’Ile-de-France.
Ana-Maria (27 ans) est roumaine . Après une licence en management des affaires à la prestigieuse Académie des études économiques de Bucarest, elle est venue faire en France un master 2 en management trilingue à l’université de Paris-Est Créteil, études qu’elle a payées en travaillant 20 heures par semaine comme assistante informatique à l’université. Elle partage un studio dans une banlieue proche avec une copine.
"Je n’ai pas été dépaysée en arrivant ici : l’enseignement supérieur roumain a pris comme modèle le système français, avec des cours magistraux en amphi et des TD. Nous avions une relation très proche avec la directrice de master, une américaine. Elle avait mis en place une commission d’étudiants pour accueillir les étudiants étrangers et les aider dans les démarches pratiques, et organisait des réunions avec les anciens diplômés. La semaine était bien remplie, avec 5 à 6 heures de cours par jour. Un point positif, par rapport à la Roumanie ? J’ai eu ici un cours très utile de "Méthodologie de la recherche" pour réaliser mon mémoire de fin d’études, apprendre à recueillir des données, conduire un entretien… avec un projet pratique à mener en groupe."
"Mais le climat général est différent. Certes, en Roumanie, les professeurs sont plus autoritaires, et font régner un silence total dans leurs cours. En même temps, les étudiants roumains sont très soucieux de se former et d’apprendre. Ici en France, ils n’ont pas la même motivation. Ils sont moins déterminés. Lors des débats en cours, par exemple, peu d’étudiants prennent la parole. Ils ne sont pas plus intimidés qu’en Roumanie, juste plus passifs."
"Il est vrai que l’université ne les encourage pas, elle ne donne pas des ailes, elle n’incite pas à prendre des initiatives. Elle demande juste aux étudiants de rester tranquilles, de ne pas déranger. Elle n'aime pas les têtes qui dépassent ! C’est dommage. Pour son développement économique, un pays a besoin créativité. L’université devrait pousser davantage les étudiants, offrir plus de fonds pour leur recherche académique, encourager l’esprit d’entreprise. Elle devrait aussi proposer un service d’aide au développement personnel, pour aider la personne à se connaître, à mettre en avant ses aptitudes et ses capacités, et faciliter son insertion professionnelle "
Boubacar (26 ans) est malien . Après avoir fait une année de fac de médecine à Bamako, il a poursuivi ses études en France, tout en changeant de filière. Il est aujourd’hui en L3 d’économie à Paris 13-Villetaneuse, et compte poursuivre en master de comptabilité contrôle audit, tout en faisant une spécialité de communication politique. Dès la fin de ses études, il voudrait trouver un emploi au Mali, où "il y a tout à faire". Il vit en colocation à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Son budget s’élève à 500 euros par mois, études comprises. Un budget financé par sa famille, et surtout par ses jobs. Ce semestre, il est serveur à Subway. Le coût du voyage, ses activités syndicales –il est au bureau national de la Confédération Etudiante (CE)- expliquent qu’il ne soit pas retourné au Mali depuis 2008.
"En arrivant en France, j’ai découvert des relations avec les professeurs très différentes de ce que nous connaissons au Mali. Dans leur grande majorité, ils n’ont pas de temps pour les étudiants, ils n’ont pas d’heures réservées pour les rencontrer. Ils ont un programme à faire, ils dispensent leur cours, et ils s’en vont. A la rigueur, ils acceptent de donner leur mail. Mais ils ne se préoccupent pas de savoir comment leur cours est passé. De toute façon, à 400 ou 500 en amphi, il est quasi impossible de poser des questions. Le temps que le prof monte le micro…"
"Mais c’est aussi compliqué en TD. Les enseignants veulent avancer. Eux aussi se soucient davantage d’avancer que de vérifier que le cours est bien compris. Je regrette aussi qu’on ne travaille pas en groupe, comme ça se fait au Mali. Chez nous, cela va de soi. Les étudiants reprennent les cours ensemble, ils se rendent compte de ce qu’ils n’ont pas saisi, ils se guident. Ces échanges sont toujours profitables. Mais ce n’est pas la culture, en France. Les professeurs eux-mêmes ne suscitent pas cette façon collective de travailler. Le tutorat avec les étudiants en master, faute de moyens, n’est pas assez développé. Ici, il y a un vrai problème de solitude."
Jake (20 ans) est américain. Il est en 3e année de "college", l'équivalent de la 3e année de licence, au très sélectif Williams College (Williamstown, Massachussets, USA). Il passe un semestre à Paris, où il est inscrit à Paris 7 pour deux cours d’économie.
"Pendant le cours magistral, les étudiants notent tout le temps, ils ne réfléchissent pas beaucoup, il y a très peu d’interaction avec le professeur. Le professeur n'interroge pas, il n’enseigne pas la pensée critique, il est comme le roi : il dit les choses. Et en face, il n’y a pas un vrai intérêt des étudiants, comme s’ils n'avaient pas envie d’être là, comme si c'était trop ennuyeux, comme s’ils ne voulaient pas apprendre. Je pensais que pendant les TD, il y aurait davantage de conversation, mais non, c’est surtout le professeur qui parle. Ce n’est pas très stimulant. Cela dit, les professeurs sont très bons, et j’apprends beaucoup."
"Les étudiants n’ont pas à préparer les cours. Leur manque d’engagement s’explique peut-être à cause de cela. Nous avons juste 5 à 10 pages à lire, ou quelques questions à préparer, sans qu'on nous interroge ensuite. A Williams College, nous sommes une quarantaine environ par cours, donc moins nombreux qu'ici. Nous avons à préparer les cours, qui durent deux heures et demie. Il n'y a pas la différence chez nous entre le TD et le cours. Chaque fois, nous avons 100 à 150 pages de lecture à faire avant et des questions à approfondir. Le cours lui-même ressemble plutôt à une discussion conduite par le professeur, où il nous montre comment s’organise tout ce que nous avons lu . Et si nous avons besoin d’aide, nous pouvons passer le voir au bureau, pendant les "offices hours", ou au café où il va nous donner rendez-vous. On a du respect pour le professeur, mais en nous recevant comme ça, il montre qu’il a du respect pour nous. On peut aussi s'adresser à l''assistant', un étudiant plus âgé qui nous sert de tuteur, et qui nous conseille."
Erwann, je vous souhaite de pouvoir voir un jour comment se déroule un cours dans une université d'un pays développé.
1. Les élèves doivent avoir étudié le thème, lu les manuels, travaillé les cas AVANT le cours. Sinon c’est pas la peine de venir.
2. Le cours se déroule en petit comité (une vingtaine trentaine d'étudiants) avec un PROFESSEUR c'est-à-dire un enseignant-chercheur, pas un assistant sous-payé
3. L'objectif du cours, c'est socratique : QUESTIONNER LA DOXA, de voir ce que les étudiants ont compris et comment on peut rebondir, s'il n’y a pas de la jurisprudence récente qui montre une évolution etc. Pas d'attendre la bouche ouverte que le MANDARIN délivre du SAVOIR PREMACHE que l'on ne peut remettre en cause (pour cela, il suffit de lire un manuel, merci)
4. Profiter de l'enseignement supérieur, c'est apprendre à penser PAR SOI-MEME, pas d'accumuler du soi-disant savoir à la pelle.
5. les examens c'est soit un PAPIER DE RECHERCHE à rendre (= un mémoire, mais un par cours!) soit un examen sur table où l'on peut venir avec TOUS LES LIVRES QUE L'ON VEUT! eh oui l'objectif est de voir comment l'étudiant peut raisonner, pas s'il a accumulé des savoirs livresques, il suffit de consulter son bouquin ou son ordi pour ca...
6. L'inconvénient bien sur, c'est que si l'on revient dans une fac française, on a l'impression désagréable d'être dans un CAUCHEMAR MOYENAGEUX ET ARRIERE... mais ca en vaut la peine!
7. bien sur, pour cela, il f
Un cours n'est pas une tribune libre.
Des centaines de jeunes ne peuvent accéder aux Universités en France, éloignement, manque d'argent pour survivre dans des villes autres que celles des familles, précarité... La fac est un magnifique bonheur et un privilège - profiter "à fond" des enseignements est primordial. Comment pouvoir le faire dans un pandémonium d'interventions dont la plupart n'ont rien à voir avec le sujet?
Il y a d'autres lieux que "les cours" pour intervenir :les fins de conférences avec les professeurs,les réunions avec les professeurs...
Comme d'habitude, les enquêtes du nouvel obs sur l'éducation ressemblent à un micro-trottoir.
Ici, trois témoignages de facs parisiennes en sciences éco suffisent à titrer sur "la fac" française.
Votre réaction me fait un peu peur Erwann !!
C'est ironique, ou vous croyez vraiment ce que vous dîtes???
Parce que ce qui ressort très bien dans ce panorama venant d'étudiants étrangers est que la passivité est une marque de fabrique de l’Éducation Nationale... et évidemment c'est un handicap pour la vie professionnelle et citoyenne. Les français sont coincés dans une vision hiérarchique, sont inhibés par et dans celle ci, et ruminent sans cesse ce coinçage: ils n'aiment pas beaucoup prendre des risques, culpabilisent plus que la moyenne mondiale, n'aiment pas trop ceux qui réussissent ou sortent du lot...
Pas étonnant que le dialogue social soit si difficile ensuite entre employés/syndicats et patrons: il est basé sur le ressentiment accumulé à cause des absences de dialogues et sur la structure hiérarchique rigide qui en ressort (sentiment d’absence de liberté, de perspectives, négativisme plus fort qu'ailleurs))
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15 juin 2011 à 02:09
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Whezzow
15 juin 2011 à 02:09
Pas possible.
La loi ne prévois aucune disposision à cet effet
rami
12 nov. 2010 à 21:47
Je serai dans le meme cas que toi l'annee prochaine, et je me demande si on peut beneficier de ce contrat dans le cas ou on a plus de 26 et nationalité etrangere...
Si quelqu un a des informations ou pistes j'en serai tres reconnaissante!
meli
30 nov. 2010 à 15:31
Bonjour,
Une amie à eu le même problème dernièrement: on lui a dit que les étudiants de nationalité algérienne ne pouvaient souscrire à ce type de formation. Es-tu trouvé une solution à ton problème??
SAT
27 janv. 2011 à 13:31
BONJOUR,
j ai le meme probleme en ce moment . j airerai savoir si tu as trouvé une solution a ton cas.
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