Prise dans les toilettes publiques

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Publié le 25/02/2021


‱ Par
Laura Fernandez Rodriguez


‱ dans :
Actu expert santé social , France

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Les toilettes publiques sont un lieu crucial pour un trĂšs grand nombre de publics, aussi bien pour les personnes sans domicile fixe, que pour les personnes atteintes de maladies chroniques ou les personnes ĂągĂ©es. Des travaux de chercheurs, comme ceux de l’urbaniste Clara Greed, ont aussi montrĂ© que les femmes sont celles qui ont le plus besoin de ce mobilier urbain, et que ce sont aussi elles qui y ont le moins accĂšs .
L’épidĂ©mie de Covid-19, les deux confinements et, dans leur giron, la fermeture des bars, cafĂ©s et restaurants ont rĂ©vĂ©lĂ© l’importance capitale que revĂȘt, aujourd’hui, ce mobilier urbain. Et l’offre est jugĂ©e insuffisante, aux yeux des premiers concernĂ©s : « Pour toutes les personnes prioritaires, les sorties du quotidien et la vie sociale peuvent trĂšs vite devenir des sources de stress et d’anxiĂ©tĂ©, particuliĂšrement si l’accĂšs aux toilettes dans les espaces publics et les transports n’est pas assurĂ©. La crise du Covid-19 a accentuĂ© cette difficultĂ© du quotidien, avec des sanisettes fermĂ©es pendant le confinement (espaces publics, commerces, transports, etc.), et dont la rĂ©ouverture reste encore trĂšs partielle », dĂ©plorait ainsi l’association François-Aupetit dans une pĂ©tition « Urgences toilettes » , publiĂ©e en octobre dernier.
Dans son instruction sur la prise en charge et le soutien aux populations prĂ©caires face Ă  l’épidĂ©mie de Covid-19, du 3 novembre dernier, le gouvernement avait d’ailleurs demandĂ© aux prĂ©fets de


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Je suis conductrice de car et sur nantes nous n avons pas accÚs aux sanitaires de la semitan. AprÚs réclamation on nous demande d attendre septembre pour mettre en place une convention pour une question financiÚre. Et notre dignité a t elle un prix.
C est une honte nous ne sommes pas respectés
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Publié le 25 octobre 2018 à 17:36 par La rédaction
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© Gentside. Crédit photographique pour toutes les images de ce site (sauf indication) : © GettyImage.
Il y a ceux qui se retiennent, celles qui grimpent sur la lunette, les autres qui la tapissent de mouchoirs ou encore ceux qui font des squats
 A chacun sa mĂ©thode de gĂ©rer son passage par des toilettes publiques, lieu souvent associĂ© Ă  une colonie de bactĂ©ries qui n’attendent que notre sĂ©ant pour s’y propager. Mais n’a-t-on pas virĂ© parano pour pas grand-chose ?
Cela fait maintenant 8 ans que le tĂ©lĂ©phone portable a officiellement dĂ©trĂŽnĂ© le siĂšge des toilettes dans le palmarĂšs du cra-cra. En effet, depuis une Ă©tude menĂ©e par l'UniversitĂ© de Manchester (Grande-Bretagne) l’on sait que nos mobiles contiendraient cinq cent fois plus de bactĂ©ries ... qu'une lunette de W.C ! MalgrĂ© tout, nombreux sont celles et celles qui ont peur d’attraper toutes les maladies du monde en installant leur derriĂšre sur un trĂŽne public . On fait le point sur les Ă©ventuels risques d’ĂȘtre contaminĂ© par une infection made in Toilettes.
Des agents pathogĂšnes dans les selles
Les microbes sont partout et notamment dans le corps humain. On transporterait jusqu’à 1 kilo de micro-organismes (bactĂ©ries, champignons, levures, virus et parfois des parasites) qui se logent en majoritĂ© dans notre intesti n. Alors forcĂ©ment on en retrouvera une partie dans nos selles en allant aux toilettes puisque, selon les chercheurs, 25 Ă  54% des matiĂšres fĂ©cales sont justement constituĂ©es de microbes .
Comme le prĂ©cise France TV Info : « les fĂšces humaines peuvent transporter un large Ă©ventail de pathogĂšnes transmissibles : les bactĂ©ries Campylobacter, Enterococcus, Escherichia coli, Salmonella, Shigella, Staphylococcus, Streptococcus et Yersinia – ainsi que les virus comme les norovirus, les rotavirus et les virus des hĂ©patites A et E, pour n’en nommer que quelques-uns ». Une liste suffisamment peu ragoutante qui peut expliquer la raison pour laquelle certaines personnes souffrent de parurĂ©sie
Un mode de transmission peu probable
Si ĂȘtre en contact avec des matiĂšres fĂ©cales implique forcĂ©ment un risque d’ĂȘtre infectĂ©, cette contamination peut-elle rĂ©ellement se faire en se contentant de poser ses fesses sur la lunette de toilettes publiques ?
Probablement pas puisque la plupart des infections intestinales , comme la sempiternelle épidémie de gastro-entérite , sont liées au transfert main-bouche des bactéries.
Alors Ă  moins de lĂ©cher la cuvette des sanitaires (et dans ce cas, nous serions face Ă  un autre type de problĂšme
), il y a peu de probabilitĂ©s que seul le passage sur un trĂŽne suffise Ă  transmettre des germes. D’autant plus que la nature Ă©tant bien faite, la peau humaine _ celle de notre derriĂšre incluse_ est elle-mĂȘme recouverte d’une couche de bactĂ©ries et de levures qui agit comme un bouclier contre les Ă©ventuelles agressions bactĂ©riologiques.
Des mains propres pour un intestin préservé
Autre rempart contre l’attaque des bactĂ©ries contenues dans les matiĂšres fĂ©cales : une bonne hygiĂšne des mains aprĂšs ĂȘtre allĂ© aux toilettes. Quand on sait que 80% des infections se transmettent par les mains, on n’hĂ©site plus Ă  adopter les bons gestes pour les laver correctement. Surtout quand on est conscient qu’on les porte Ă  la bouche au moins deux fois par heure ! Sachant aussi qu’ 1 Français sur 2 ne se lave pas les mains aprĂšs avoir utilisĂ© les commoditĂ©s, on prendra Ă©galement soin de ne pas toucher directement la poignĂ©e de la porte d’entrĂ©e des toilettes publiques.
Le plus grand danger n'est finalement pas lĂ  oĂč il semblait le plus Ă©vident.

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Nous vivons dans un monde rempli de microbes. Mais les cuvettes des toilettes publiques prĂ©sentent-elles plus de risques de contamination ? Ou bien est-ce une crainte non-fondĂ©e ? Les rĂ©ponses d’une scientifique.
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Par Primrose Freestone, maßtre de conférence en microbiologie clinique (Université de Leicester)
Tout le monde a dĂ©jĂ  vĂ©cu cette situation : une envie pressante, la recherche frĂ©nĂ©tique de toilettes, et, une fois trouvĂ©es, la dĂ©couverte que le siĂšge est couvert de gouttelettes, souvenir de l’utilisateur prĂ©cĂ©dent
 DĂšs lors, que faire ? Se comporter comme si de rien n’était et procĂ©der comme Ă  l’accoutumĂ©e, ou bien tenter de faire son affaire accroupi, en Ă©quilibre prĂ©caire ?
Notre monde est, Ă  bien des Ă©gards, une planĂšte de microbes. Comme tous ses habitants, nous portons en nous et sur nous nos propres forĂȘts tropicales microscopiques, que nous Ă©changeons en permanence non seulement avec notre environnement, mais aussi les uns avec les autres.
Les microbes sont en effet abondants dans tout le corps humain, y compris sur la peau, dans la bouche, dans les yeux, dans les organes urinaires et gĂ©nitaux ainsi que dans le systĂšme gastro-intestinal. La plupart des gens transportent jusqu’à un kilogramme de micro-organismes
 Ces bactĂ©ries, champignons, levures, virus et parfois parasites vivent majoritairement dans l’intestin.
Les recherches ont Ă©tabli que les microbes de l’intestin constituent de 25 Ă  54 % des matiĂšres fĂ©cales humaines. En consĂ©quence, les fĂšces humaines peuvent transporter un large Ă©ventail de pathogĂšnes transmissibles : les bactĂ©ries Campylobacter , Enterococcus , Escherichia coli , Salmonella, Shigella, Staphylococcus, Streptococcus et Yersinia – ainsi que les virus comme les norovirus, les rotavirus et les virus des hĂ©patites A et E, pour n’en nommer que quelques-uns.
Lors d’une rencontre, dans les toilettes publiques, avec des matiĂšres fĂ©cales, il existera donc effectivement toujours un risque d’infection
 Mais Ă  quel point ce risque est-il important ?
Il est trĂšs peu probable qu’une infection se dĂ©veloppe Ă  partir des fesses, mĂȘme assises sur un siĂšge de toilettes. En effet, la plupart des infections intestinales impliquent le transfert manuel de bactĂ©ries vers la bouche. Ceci se produit gĂ©nĂ©ralement lorsque les mains, les aliments ou certaines surfaces se retrouvent souillĂ©s par des matiĂšres fĂ©cales.
Qui plus est, la couche de bactéries et de levures qui recouvre la peau humaine fonctionne comme un bouclier de protection trÚs efficace. Et enfin, en dernier recours, notre systÚme immunitaire est particuliÚrement efficace pour nous protéger contre les agents pathogÚnes.
Il n’est donc pas nĂ©cessaire de se tenir au-dessus du siĂšge des toilettes sans s’y asseoir. En fait, cette façon de faire peut entraĂźner des blessures, ou augmenter le risque d’infection. Comme l’explique Brianne Grogan, physiothĂ©rapeute en santĂ© des femmes : « Le problĂšme avec le fait de « planer » au-dessus des toilettes en urinant est que les muscles de votre plancher pelvien et de votre ceinture pelvienne – vos rotateurs de la hanche, vos muscles glutĂ©aux, votre dos et vos abdominaux – sont extrĂȘmement tendus. Cette tension de la ceinture pelvienne rend l’écoulement de l’urine difficile, vous obligeant souvent Ă  pousser ou Ă  « appuyer lĂ©gĂšrement vers le bas » pour que l’urine sorte rapidement. Or, uriner via des poussĂ©es ou des appuis frĂ©quents vers le bas peut contribuer au prolapsus des organes pelviens. »
Brianne Grogan ajoute que cette position pourrait aussi aboutir Ă  une vidange incomplĂšte de la vessie, ce qui pourrait entraĂźner une augmentation de la frĂ©quence et de l’urgence des mictions ou, dans des cas extrĂȘmes, contribuer Ă  augmenter le risque d’infection urinaire.
Les dĂ©fenses microbiennes et immunitaires d’un individu le protĂšgent donc des risques d’infection liĂ©s Ă  l’utilisation de toilettes publiques. Qui plus est, dans les pays dĂ©veloppĂ©s la prise de conscience du risque d’infection par les matiĂšres fĂ©cales entraĂźne un nettoyage rĂ©gulier des toilettes.
Pour vous rassurer, vous pouvez nĂ©anmoins tout Ă  fait transporter avec vous des lingettes antiseptiques, et les utiliser pour nettoyer le siĂšge des toilettes avant de l’utiliser, afin de protĂ©ger votre fondement de tout risque de contamination.
Les siĂšges de toilettes sales ne devraient toutefois peut-ĂȘtre pas constituer votre plus importante prĂ©occupation. En effet, une Ă©tude de 2011 a rĂ©vĂ©lĂ© que les microbes prĂ©sents dans les gouttelettes d’eau projetĂ©es lorsque la chasse d’eau est tirĂ©e colonisent rapidement une surface plutĂŽt consĂ©quente de la piĂšce, y compris l’abattant, la porte, le sol et le support du papier toilette. Pour Ă©viter de subir cette vaporisation Ă  base de contenu de toilettes – lequel inclut vos propres germes et ceux des utilisateurs prĂ©cĂ©dents – il est recommandĂ© de quitter la cabine immĂ©diatement aprĂšs avoir appuyĂ© sur le bouton de la chasse d’eau.
Et enfin, bien sĂ»r, tout le monde ne se lave pas les mains aprĂšs ĂȘtre passĂ© aux toilettes. Il est donc fort probable que les poignĂ©es de portes soient contaminĂ©es. Pour Ă©viter de recontaminer vos mains propres lorsque vous quittez les toilettes publiques, utilisez votre coude, votre manteau ou un mouchoir pour ouvrir la porte.
Un lavage de mains efficace est la clĂ© d’une protection complĂšte contre les germes associĂ©s aux toilettes. Le lavage des mains Ă©limine en effet totalement la saletĂ©, les bactĂ©ries et les virus, ce qui empĂȘche les microbes potentiellement infectieux de se propager Ă  d’autres personnes et objets.
Il est recommandĂ© de se laver en frottant vigoureusement ses mains et ses doigts avec de l’eau savonneuse pendant 20 Ă  30 secondes, y compris sous les ongles. La friction qui rĂ©sulte du frottement des mains l’une contre l’autre dĂ©tache les dĂ©bris sur lesquels se trouvent les microbes.
Il faut toutefois aussi savoir que les lavabos des toilettes publiques, les robinets et les distributeurs d’essuie-tout ou les boutons des sĂšche-mains sont tous fortement contaminĂ©s par des microbes. C’est parce qu’en gĂ©nĂ©ral, les mĂȘmes mains qui viennent d’essuyer un fondement pressent ensuite le bouton du distributeur de savon puis touchent la poignĂ©e du robinet. Il est donc conseillĂ©, une fois le lavage des mains terminĂ©, de laisser le robinet ouvert pendant que vous vous sĂ©chez les mains, puis d’utiliser un morceau d’essuie-tout propre pour le fermer. Ou, si vous utilisez un sĂšche-mains, d’utiliser votre coude pour appuyer sur le bouton de mise en marche.
Il va de soi qu’il est dĂ©conseillĂ© de manger, de boire ou de fumer Ă  l’intĂ©rieur des toilettes publiques. Il en va de mĂȘme pour l’utilisation du tĂ©lĂ©phone portable. Pourtant, des travaux ont montrĂ© que prĂšs de 75 % des gens utilisent leur tĂ©lĂ©phone lorsqu’ils sont aux toilettes.
À ce propos, il est peut-ĂȘtre temps de cesser de s’inquiĂ©ter de la propretĂ© des toilettes. Une Ă©tude menĂ©e par une Ă©quipe amĂ©ricaine a en effet rĂ©vĂ©lĂ© que les tĂ©lĂ©phones mobiles sont jusqu’à 10 fois plus sales que les siĂšges de WC


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