Prise comme une vraie trainée

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Traduction de "comme une vraie trainée" en néerlandais



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Elle se comporte comme une vraie trainée .




Ik mocht Rose wel, maar wat een slet .



J'étais une vraie traînée au lycée.




Op school was ik ook al zo'n hoer .



J'étais une vraie traînée , à la fac.



Une vraie traînée qu'il avait ramassée je ne sais où.




Een dom wicht dat hij wie weet waar vandaan had.



Mais je suis une vraie traînée , je vais simplement le donner.




Omdat ik zo'n slet ben, geef ik het meteen weer weg.




Deze El Nino begint vervelend te worden .



Ta mère, c'était une vraie traînée .



Regarde-toi, en train de tricoter, comme une vraie dame mariée, la parfaite image de la domesticité.




Kijk nou, al breiend , net een goede , getrouwde vrouw, het plaatje van huiselijkheid.



Comme une vraie scientifique sans cobaye.




Je klinkt als een echte wetenschapper, maar dan zonder proefkonijn.



Vivez ensemble comme une vraie famille.




Ga nu. Leef samen als een familie .



J'arrive trop à t'imaginer en train de danser, Comme une vraie bite!




Ik zie je zo voor me, dansend... als een echte sukkel!



Vous vous sentirez comme une vraie marche locale dans ces rues.




U voelt zich als een echte lokale wandeling door deze straten.



On aurait tous été à la maison, comme une vraie famille.




We zouden allemaal thuis zijn als een familie .



Vous parlez comme une vraie fille de France.




Gesproken als een echte dochter van Frankrijk.



Des fois Jan se comporte comme une vraie garce.



II est tombé à genoux comme une vraie merde.




Die nikker valt op z'n knieen of hij echt ' n klootzak is.



Tu agis comme une vraie personne capable d'aimer quelqu'un.




Je bent net een echt persoon die iemand lief kan hebben.



Il m'a traité comme une vraie personne.




Behandelde me als een echt persoon.

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La crise s'est propagée des « petits » pays aux « grands ». Et l'absence de fédéralisme budgétaire complique la tâche. Un défaut inscrit dans les gènes de la monnaie unique.



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le 01.09.2011 à 00h00 , mis à jour le 01.09.2011 à 00h00






Lecture 10 min.




La zone euro est-elle au bord de l'explosion? L'hypothèse ne semble plus aussi farfelue. Face au « complot anglo-saxon », comme le juge la présidente du Medef la forteresse BCE tient. Pour l'instant.
Dans la communauté des économistes, la crise financière de l'été a aussi eu un effet dévastateur: elle a accru le nombre d'europessimistes. Ceux qui auparavant ne croyaient pas une seconde au risque d'éclatement de la zone euro commencent aujourd'hui à l'envisager. Daniel Cohen, professeur à l'Ecole d'économie de Paris et l'un des meilleurs analystes des crises, est de ceux-là : « Il y a à peine deux ans, la probabilité d'un éclatement de la zone euro était nulle, nous confie-t-il. Aujourd'hui, une disparition de l'euro dans les cinq ans n'est certainement pas l'hypothèse la plus probable, mais elle est devenue possible. » Même évolution chez Patrick Artus, directeur de la recherche de Natixis et l'un des économistes de Challenges: « Sortir de la monnaie unique aurait un coût gigantesque, avec une envolée des taux d'intérêt, des faillites bancaires et une probable récession, affirme-t-il. Mais vu la crise de confiance sur les marchés, on ne peut plus exclure un éclatement. »
Pourquoi un tel revirement? Jusqu'alors, les plans d'aide aux « petits » pays en difficulté (Grèce, Irlande, Portugal), dont l'endettement reste faible à l'échelle européenne (la dette grecque pèse 4 % de celle de la zone euro), étaient gérables. Le fait que la crise estivale atteigne de « grands » Etats, comme l'Espagne (1 000 milliards de dette publique) et l'Italie (1 800 milliards), change la donne. « De fait, c'est la BCE qui finance aujourd'hui les budgets de l'Italie et de l'Espagne, qui n'ont plus accès aux marchés financiers, s'inquiète Patrick Artus. Elle ne pourra pas le faire indéfiniment. » Une situation nouvelle qui ressemble furieusement à la première étape du scénario de l'économiste Christian Saint-Etienne, auteur de La Fin de l'euro (Bourin Editeur): « Si la crise de confiance se propage de l'Espagne et l'Italie à la France, l'Allemagne sera alors la seule à devoir financer un plan de soutien de l'ordre de 3 000 milliards d'euros, soit plus que son PIB. Elle ne pourra pas le faire », s'exclame-t-il.
En plus, la grande fragilité des banques européennes, très attaquées en Bourse, renforce ce scénario d'éclatement. « Les pays en difficulté - Grèce, Irlande, Portugal, Espagne - ne veulent pas sortir de l'euro afin d'éviter les faillites bancaires, décrypte Augustin Landier, membre du Conseil d'analyse économique et professeur à l'Ecole d'économie de Toulouse. Si leurs banques, très exposées au risque souverain, faisaient faillite, ces Etats n'auraient plus d'intérêt à rester dans la monnaie unique. » Son analyse s'inspire de l'Argentine, où le gouvernement s'est accroché à une parité fixe avec le dollar jusqu'au début des années 2000 afin d'éviter les faillites bancaires. Mais dès que certaines de ses banques ont mis la clé sous la porte, il a fortement dévalué sa monnaie.
Curieux paradoxe. Les pays de l'euro sont désormais l'épicentre de la crise financière mondiale, alors que leurs finances publiques sont bien moins dégradées que celles des Etats-Unis (un déficit de 6 % du PIB en 2010, contre 10 % outre-Atlantique). C'est que la monnaie unique souffre d'une tare congénitale: la balkanisation de ses membres. « Une monnaie unique n'existe pas sans fédéralisme budgétaire, nous confie Jacques Attali (lire interview page 47), l'ancien sherpa de François Mitterrand. Tant que notre gestion de la crise n'aura pas été «européanisée» face aux marchés, ceux-ci seront gagnants. » Un constat partagé par l'Américain Paul Krugman, Prix Nobel d'économie: « L'Europe n'a pas les institutions nécessaires pour faire fonctionner une monnaie unique », écrivait-il, en janvier, dans le New York Times. Précisément, la grande erreur a été de « créer une monnaie unique avec une multiplicité d'émetteurs qui font appel aux marchés, déplore Patrick Artus. C'est comme si, aux Etats-Unis, les Etats devaient se financer directement sur le marché international. Beaucoup n'y arriveraient pas... »
Qui est responsable de ce gâchis? D'abord il y a les pères du traité de Maastricht, les François Mitterrand, Helmut Kohl et Jacques Delors. « Ils ont été bercés par l'illusion que la monnaie unique allait créer du politique, avec plus de fédéralisme », constate Jean Pisani-Ferry, le directeur du think tank Bruegel. Il y a ensuite les banquiers centraux, Jean-Claude Trichet et Karl Otto Pöhl, le gouverneur de la Bundesbank. « Ils ont proscrit tout fédéralisme budgétaire, en inscrivant dans le traité de Maastricht la clause du «no bail out», qui interdit aux Etats de renflouer un autre pays en difficulté », déplore Patrick Artus.
Qui est responsable de ce gâchis? D'abord il y a les pères du traité de Maastricht, les François Mitterrand, Helmut Kohl et Jacques Delors. « Ils ont été bercés par l'illusion que la monnaie unique allait créer du politique, avec plus de fédéralisme », constate Jean Pisani-Ferry, le directeur du think tank Bruegel. Il y a ensuite les banquiers centraux, Jean-Claude Trichet et Karl Otto Pöhl, le gouverneur de la Bundesbank. « Ils ont proscrit tout fédéralisme budgétaire, en inscrivant dans le traité de Maastricht la clause du «no bail out», qui interdit aux Etats de renflouer un autre pays en difficulté », déplore Patrick Artus.
En 2003, ils se sont affranchis des critères du pacte de stabilité, qui prévoit des sanctions pour les pays en déficit « excessif ». Une décision qui a semé le doute, auprès des investisseurs, sur la crédibilité des dirigeants européens.
Le président de la Commission européenne est resté passif face à la crise. Les règles rigides de sa bureaucratie ont parfois compliqué les plans de sauvetage des banques, et ses experts ne sont pas toujours compétents.
En multipliant les unes sur la « mort de l'euro la presse allemande a mis la pression sur Angela Merkel, qui a traîné les pieds avant d'accepter un plan de sauvetage de la Grèce. De quoi offrir de la fébrilité aux marchés.
L'agence de notation Fitch, dont il est le premier actionnaire, est mise en cause, comme ses concurrents, pour ne pas avoir alerté les investisseurs sur la dégradation des finances publiques de pays comme la Grèce.
Lors de la rédaction du traité de Maastricht, l'ancien président de la Bundesbank a fait pression, avec Jean-Claude Trichet, alors directeur du Trésor, pour proscrire toute solidarité financière, interdisant aux Etats de renflouer un pays en difficulté.
Lors de la rédaction du traité de Maastricht, l'ancien président de la Bundesbank a fait pression, avec Jean-Claude Trichet, alors directeur du Trésor, pour proscrire toute solidarité financière, interdisant aux Etats de renflouer un pays en difficulté.
Critiqué pour son rôle dans l'écriture du traité de Maastricht, il est aujourd'hui considéré comme le sauveur de la zone euro. En rachetant massivement des obligations d'Etat, le président de la BCE a réussi à casser la spéculation.
Wen Jiabao, le Premier ministre chinois, a promis de voler au secours de la zone euro, en commençant par la Grèce. La Chine a investi dans le port du Pirée et a promis d'acheter des obligations d'Etat lorsque la Grèce reviendra sur le marché.
Les dirigeants français et allemand affchent leur volonté de sauver les pays en diffculté et d'instaurer des règles communes, notamment une « règle d'or » sur l'équilibre budgétaire.
Le très peu charismatique président du Conseil européen a été bombardé, par les dirigeants français et allemand, à la tête de la zone euro pour créer un embryon de gouvernement économique. Un premier pas, à confirmer.
Le directeur du think tank européen Bruegel a formalisé l'idée de lancer des euro-obligations, une mutualisation de la dette européenne censée rassurer les marchés et qui rendrait les Etats totalement solidaires les uns des autres.
Surtout, les architectes de l'Union économique et monétaire n'avaient pas prévu la grande récession. « Personne n'avait imaginé une crise systémique aussi forte qu'en 1929, souligne Daniel Cohen. Les pères de l'euro ont instauré des punitions pour les Etats gérant mal leurs finances publiques - le pacte de stabilité. Mais ils n'ont pas pensé à un dispositif permettant de résister à une crise qui frappe tous les Etats à la fois. » Alors, que faire pour sauver la monnaie européenne? « Le vrai gardien de l'euro, c'est Jean-Claude Trichet, le président de la BCE, lance Daniel Cohen. C'est lui qui dispose du feu nucléaire susceptible de calmer les marchés: le rachat sur le marché secondaire de dettes d'Etats en difficulté. Cette arme, il l'utilise trop peu et trop tardivement. » De fait, le sauveur Trichet (lire page 64) a réussi à enrayer la spéculation. Mais s'il continue d'acheter massivement des obligations - entre 10 et 20 milliards par semaine -, il va faire exploser le stock de la BCE, qui atteint déjà 110 milliards d'euros. Qui va financer ces montagnes de dettes? La question reste sans réponse. « En plus, ces rachats massifs s'apparentent à un cadeau aux banques, déplore David Thesmar, professeur de finance à HEC. In fine, c'est le contribuable qui risque de payer pour des financiers qui ont surinvesti dans des pays à risque. En donnant un mauvais signal aux banques, ce sauvetage sème les graines de la prochaine crise. »
Pour sauver la monnaie unique, experts et politiques plébiscitent un nouvel outil miracle: les euro-obligations. Formalisée par le think tank Bruegel, l'idée est de mutualiser une partie des dettes européennes (baptisée la « dette bleue ») jusqu'au seuil de 60 % du PIB - le plafond prévu par Maastricht - dans une sorte de bon du Trésor européen. Mais les Etats conserveraient
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