Prendre la pureté qu'il y avait en elle

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Prendre la pureté qu'il y avait en elle


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5 Pureté dans l'élimination des doutes

6 Connaissance du chemin et du non-chemin

7 La connaissance et vision du parcours
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Dans le bouddhisme theravāda , sept puretés , ou sept stades de purification (pāli : sattavisuddhi), sont communément décrites : elles décrivent l'avancement de la pratique, depuis la prise des préceptes jusqu'à l'atteinte du Nirvana .

À l'origine de cette description en sept puretés est le Rathavinitasutta , un discours de Gautama Bouddha enseignant la parabole de sept relais. De même qu'un homme doit emprunter plusieurs chariots, prenant des correspondances, afin de parvenir au point qu'il souhaite, de même celui qui pratique, s'il veut atteindre le Nibbana , doit passer par sept étapes.

La pureté de la discipline permet la pureté de la concentration, qui permet la pureté de la vue, etc.

Cette parabole est travaillée par Upatissa , tout au long du Vimutti-vagga , la voie de la libération. Cet ouvrage est un premier commentaire classique dans le theravāda.

Buddhaghosa reprend ensuite cet effort de commentaire et développe un volumineux ouvrage exposant en détail les sept puretés, ainsi que tous les concepts théoriques de la doctrine theravādin.

En particulier, les "connaissances" associées à la pratique de vipassana bhavana sont extrêmement détaillées et fournissent une illustration parfois surprenante de la pratique méditative.

La pureté de la discipline décrit l'application des nombreux préceptes bouddhiques, comme ne pas tuer, voler, tromper etc. Le moine peut également pratiquer l'un des exercices, dhutanga .

Mais la discipline n'est bien respectée que lorsqu'elle permet la concentration. Le but de la discipline est de permettre au moine d'accéder à la concentration, qui est la pureté suivante.

La pureté de la concentration correspond à la pratique de Samatha bhavana , le développement de la tranquillité. Samatha est la pratique qui amène le bhikkhu à développer sa capacité d'attention et de concentration. Il ne s'agit alors pas de développer sa sagesse, mais, selon le dhammapada :

« Il n'y a pas de concentration pour celui qui manque de sagesse. Il n'y pas de sagesse pour celui qui manque de concentration. Il est vraiment près du Nirvana, celui en qui se trouvent la concentration et la sagesse. »

La pratique de Samatha amène à réaliser les différents niveaux de concentration:

La pureté de la concentration se définit comme l'obtention de l'une des concentrations d'insertion, ou simplement comme l'obtention de la concentration de voisinage.

La pureté de la vue, ou pureté de la compréhension (pāli : diṭṭhivisuddhi), désigne la compréhension qu'il y a un esprit et un corps (pāli : nāmarūpa ).

Cette intellection signifie donc un premier dépassement de la notion de Soi, d' atman ; l'esprit et le corps recoupent des phénomènes variés qui ne sauraient être pris pour une unité. (Voir aussi cinq constituants de la personne .)

De plus, l'enseignement de sept puretés présente cette connaissance comme la compréhension de la première des quatre nobles vérités , c’est-à-dire la vérité de la souffrance ( dukkha ).

La purification d'évasion de tout doute (pāli : kaṅkhā-vitaraṇā-visuddhi) signifie la compréhension étendue aux conditions (pāli : paccaya ) du corps et de l'esprit. Cette connaissance s'applique aux « trois temps »: passé , présent et futur .

Cette connaissance serait compréhension de la deuxième noble vérité : l'origine de la souffrance.

La « connaissance de ce qui est la voie et de ce qui n'est pas la voie » (pāli : maggāmagga-ñāṇadassana-visuddhi) désigne la compréhension de ce qui constitue le chemin vers l'éveil, ce qui correspond à la quatrième noble vérité , le chemin menant à l'éradication de la souffrance, ou noble sentier octuple .

Cette étape décrit d'abord les premières réalisations heureuses du « yogi », qui développe des « motifs de souillure », ainsi appelés parce qu'ils pourraient être confondus avec l'éveil lui-même – ce sont les dix souillures de l'inspection, vipassananūpakkilesa, listées avec leur équivalent pāli :

Ces émotions positives, ces nouvelles capacités sont cependant correctement interprétées par le méditant, qui reconnaît en elles de simples phénomènes qui ne constituent pas en eux-mêmes la véritable méthode vers la libération. Cette reconnaissance de l'énergie, la joie, etc., comme simples « symptômes » constitue alors la pureté de la connaissance du chemin et du non-chemin.

Après que le méditant a pu comprendre ses réalisations comme des phénomènes, plutôt que la libération, ces manifestations de joie, de tranquillité, cèdent à huit connaissances, auxquelles s'ajoute la « connaissance dans le droit fil » :

Selon le Visuddhimagga , les sixième, septième et huitième connaissances constituent trois aspects d'une seule et même connaissance, à différents stades de son développement, qui serait l'inspection conduisant à l'ascension, vutthana gamini vipassana . Il n'y a donc selon le Visuddhimagga que six connaissances avant la connaissance dans le droit fil.

La contemplation de l'apparition-disparition, udayabbayanupassana nana , est à présent libérée des « dix souillures » qui caractérisaient encore la connaissance du chemin et du non-chemin : c'est en fait la connaissance de l'ensemble des trois caractéristiques qui devient plus claire.

La connaissance de la dissolution, bhanga nana , marque cependant un tournant. En effet, le méditant voyait jusque-là les phénomènes apparaître et disparaître, de plus en plus rapidement. Une fois les souillures disparues, le méditant ne perçoit plus que disparition : d'où le terme de dissolution.

La conscience de l'épouvante, bhayat'upatthana nana , est le surgissement d'une terreur face à cette disparition des phénomènes. Cette épouvante, décrite par exemple par Robert Kientz, s'entend cependant comme la révélation d'une souffrance qui existait auparavant, mais qui appartenait au courant subconscient, « bhavanga sota » : c'est l'épouvante du « mirage », du « village où il n'y a personne », etc.

La conscience de la misère, adinavanupassana nana , montre le passage de la peur au dégoût.

La connaissance de l'aversion, nibbidanupassana nana ,

La contemplation du désir de libération, muccitu-kamyata nana , est désir d'être libéré de toutes les formations d'existence - l'esprit n'éprouve aucun plaisir aux formations et désire s'en libérer.

La contemplation réfléchie, patisankhanupassana nana , est la considération des phénomènes comme des bulles, des mirages, sans maîtres ; ces formations ne sont ni homme, ni personnalité, ni moi ni mien ni appartenant à qui que ce soit.

L'imperturbabilité face à tous les phénomènes, sankharupekkha nana , marque un passage, puisque après l'épouvante, la misère, le désir de libération, advient l' équanimité . Selon le patisambhida magga , présente trois « portes de libération » caractérisant différents disciples ; quand l'esprit considère l'aspect limité de toutes les formations, il peut être entraîné au-devant de

La connaissance « dans le droit fil », ou connaissance de l'adaptation, anuloma nana, s' « adapte » aux six ou huit connaissances précédentes, ainsi qu'aux voies supramondaines. Cette définition renvoie en fait aux différentes fonctions de la conscience : il est donné une description assez précise des manifestations de la conscience au moment de cette connaissance.

La connaissance de l'imperturbabilité considère les phénomènes selon les trois caractéristiques, puis s'enfonce dans le courant subconscient. Immédiatement après apparaît l'attention. La connaissance de l'adaptation apparaît alors, ayant pour objet la même formation. Vient ensuite un premier « moment impulsif », javana, appelé préparation, parikamma, puis un deuxième javana, appelé accès, upacara, et enfin un troisième javana, appelé adaptation, anuloma.

La connaissance de l'ennoblissement, ou de la maturité, gotrabhū nana, ne fait pas partie, selon le Visuddhimagga, de la connaissance et vision ; elle se situe entre la connaissance et la vision du parcours, préparant la connaissance et vision.

Immédiatement après la connaissance de l'adaptation, la connaissance de l'ennoblissement prend pour objet l'inconditionné, l'arrêt de l'existence, le nirvana. C'est la première considération du « supramondain ».

Apparaît alors la première connaissance de la voie, l'entrée dans le courant (voir plus bas), ce qui est connaissance de la Voie comme résultat ; viennent ensuite deux ou trois états de conscience produits par la Voie, - c'est la conscience de Fruit. Cette conscience s'enfonce alors dans le courant subconscient, bhavanga , puis apparaît une connaissance rétrospective, paccavekkhana nana, ayant pour objet la conscience de la Voie.

La connaissance et vision (ñāṇadassana-visuddhi) est associée à l'une des quatre consciences «supramondaines». Les consciences supramondaines décrivent les états qui ne sont plus de ce monde, qui sont hors- samsara .

La présentation de la pratique en sept points, le " yogi " passant de l'un à l'autre, ne peut pas être attribuée à toutes les écoles du bouddhisme. Certaines écoles sont subitistes : elles considèrent une atteinte subite de l'éveil ; il n'y a pas de pratique progressive.

Au sein même du bouddhisme theravāda , des maîtres tels que Walpola Rahula ont clairement montré leur opinion selon laquelle il n'y a pas de pratique progressive. Selon cette conception, il n'y a que la connaissance venant effacer l'aveuglement : la sagesse jaillit alors et l'éveil est atteint.

Plus particulièrement, cette présentation propose un chemin dans lequel les quatre nobles vérités sont peu à peu comprises : d'abord la souffrance ( dukkha ), puis son origine, etc. Cette présentation ne va pas sans provoquer un débat, puisque les quatre nobles vérités sont enseignées comme comprises instantanément au moment de l'éveil. Mais cette vision progressive de la compréhension des quatre nobles vérités peut vraisemblablement se comprendre comme une image.


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Mathilde de Robien - publié le 15/11/19
Changer les couches de son bébé en comptant sur son conjoint pour lui donner le bain ensuite, inviter un ami dans sa maison de campagne puis lui demander un coup de main pour des travaux, offrir de jolis vêtements à ses petits-enfants… Toutes nos intentions sont-elles aussi pures et dénuées d’intérêt qu’elles n’y paraissent ? Parfois, secrètement, et même inconsciemment, nous recherchons notre propre bien avant celui de la personne aimée. Tout l’enjeu est d’en prendre conscience afin de passer de l’utilitarisme à un amour authentique. C’est le chemin de conversion que propose le père Pascal Ide dans son dernier ouvrage Aimer l’autre sans l’utiliser , à paraître le 20 novembre aux Éditions de l’Emmanuel.
C’est Karol Wojtyla, le futur Jean Paul II alors évêque auxiliaire de Cracovie, qui distingue en 1960 dans Amour et responsabilité , la norme utilitariste de la norme personnaliste, en vue de définir une éthique sexuelle et conjugale. Pascal Ide reprend ces deux notions et les applique de manière plus générale à toutes les relations humaines. Agir selon la norme utilitariste, c’est utiliser l’autre pour son propre bien. Agir selon la norme personnaliste, c’est chercher le bien de l’autre pour l’autre. La première considère autrui comme un objet, un moyen, tandis que la seconde le voit comme un sujet, une personne. Or aimer, selon Karol Wojtyla, c’est traiter l’autre comme une personne, c’est vouloir son bien, c’est donc vivre selon la norme personnaliste : « L’amour est la seule attitude qui soit digne de la personne », écrit le futur Pape. Voilà pourquoi on ne peut à la fois utiliser l’autre et l’aimer véritablement. Pascal Ide propose donc un chemin pour purifier son amour de tout utilitarisme.
Une progression qui n’est pas simple dans la mesure où l’être humain est complexe. Il n’y a pas d’un côté les manipulés, et de l’autre les manipulateurs. Nous sommes tour à tour utilisés ou utilisateurs selon les situations. Dans un même couple, par exemple, le mari peut un jour faire preuve d’utilitarisme lorsqu’une tendresse ou une générosité soudaines envers sa femme cachent en réalité des attentes sexuelles. Et le lendemain, ce sera peut-être sa femme qui lui suggérera : « Peux-tu tondre la pelouse ? Cela t’aérera ! », faisant ainsi croire qu’elle prend soin de lui alors qu’elle recherche son bien à elle.
Plus complexe encore, une seule et même action peut contenir en elle-même bienveillance et intérêt personnel. En effet, nos intentions sont-elles toujours 100% limpides ? « Comment être assuré que, en rendant visite à ma voisine qui est seule, je ne cherche pas aussi secrètement à nourrir une bonne image de moi ? », interroge Pascal Ide. C’est également l’exemple d’une grand-mère qui couvrirait de vêtements ses petits-enfants. Est-ce pour leur faire plaisir, donner une leçon à leur mère négligente ou bien retirer de la fierté d’avoir des petits-enfants aussi bien habillés ? Si la première raison est désintéressée, les deux autres sont utilitaristes. Lorsque l’on pose la question à un collègue : « Comment vas-tu ? », s’agit-il d’un réel intérêt pour l’autre ou est-ce une perche pour qu’à son tour il prenne de nos nouvelles ?
Cela signifie-t-il la fin de tout acte charitable, au risque qu’il soit empreint d’utilitarisme ? Non. Il s’agit plutôt d’aller interroger son cœur pour sonder son intention : pourquoi est-ce que j’agis, est-ce pour le bien de l’autre ou pour mon propre bien ? « Il n’y a que deux réponses possibles », assure Pascal Ide, « soit je l’aime ; soit je l’utilise ». L’étape suivante consiste à choisir d’aimer, et de se refuser à utiliser l’autre. Un réflexe qui ne vient pas du jour au lendemain, qui s’acquiert progressivement. Pascal Ide donne l’exemple de Dorothy Day , dont le procès en béatification est en cours, qui au fil des années a épuré ses motivations en tant que militante socialiste : « Ce désir d’être avec les pauvres et les petits et les abandonnés n’était-il pas mélangé du désir pervers d’être avec les dissipés ? » se demande-t-elle dans son journal intime. Ou encore : « Je voulais me mêler aux piquets de grève, aller en prison, écrire, influencer les autres pour laisser ma marque sur le monde. Que d’ambition personnelle et de recherche de soi il y avait dans tout cela ! », confesse celle qui voua une grande partie de sa vie au service des plus pauvres, notamment à travers le réseau des « hospitality houses ».
L’homme est appelé au « don sincère de lui-même » : « L’homme, seule créature sur terre que Dieu a voulue pour elle-même, ne peut pleinement se trouver que par le don sincère de lui-même », rapporte le Concile œcuménique Vatican II . « L’amour, ou le service du bien de l’autre, est ce qui nous rend le plus rapidement saints, le plus durablement heureux et le plus profondément sains », explique Pascal Ide. Les occasions ne manquent pas dans la vie quotidienne : à chacun de les saisir de la manière la plus désintéressée qui soit !
Aimer l’autre sans l’utiliser, Pour des relations transformées , Pascal Ide, Éditions de l’Emmanuel, 20 novembre 2019, 220 pages, 17 euros.
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la langue française est-elle une langue pure? est ce qu'il est juste de parler de pureté quand on parle d'une langue?
Il faudrait savoir ce que vous entendez par « langue pure ». Dites-nous comment vous définissez cette expression. Si c'est une question relative au vocabulaire, la réponse est non. La base de notre langue est le latin, qui lui a donné naissance. Mais, à la Renaissance, un sérieux engouement pour le grec y a fait introduire de nombreux hellénismes. La médecine, qui parlait latin, s'est mise à parler grec sous l'impulsion d'Ambroise Paré, qui n'était d'ailleurs pas médecin. À l'époque les médecins ne pratiquaient pas la chirurgie.
Il serait donc juste de dire que le français est une langue gréco-latine.
Cependant ce n'est pas tout : nous avons intégré au français de nombreux mots étrangers, arabes, hébreux, japonais, espagnols, italiens, allemands, russes et bien d'autres encore. Le francique a également sérieusement envahi le vocabulaire, c'est d'ailleurs à lui que nous devons le mot français (langue des Francs). Donc il n'y a pas de pureté lexicale, si c'est ce que vous voulez dire, mais un mélange. Rien que pour l'arabe, on dénombre je crois trois centaines de mots (à confirmer), dont certains n'ont plus une apparence arabe, comme jupe, amiral ou abricot (par opposition à almanach, alambic, souk, toubib, etc. qui ne dissimulent pas leur origine).
Et je ne parle pas de la pollution par les anglicismes, surtout en fait les américanismes.
Si haut qu'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul (MONTAIGNE).
Je me demande s'il existe actuellement des langues pures parlées.
Avatar : petit Gaulois agité (dixit Perkele)
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