Prend mon innocence

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Prend mon innocence
REGARDEZ CE VISAGE DE VIEILLE MEGERE. CELLE QUI ACCUSE SANS FONDEMENT, CELLE QUI ACCUSE SANS PREUVE, CELLE QUI N'AIME QUE LES OURS MAIS PAS LES PD... REGARDEZ LA BIEN ! J'ACCUSE NELLY OLIN DE M'AVOIR DIFFAMER, D'AVOIR MIS MA VIE EN DANGER. ELLE EST ODIEUSE, AUTORITAIRE ET SE PREND SANS MANIFESTE POUR LA REINE DES FORETS... SON ALTESSE EST TOTALEMENT HOMOPHOBE.
Cousine de l'affaire Seznec et des Accusés d'Outreau, mon histoire est le témoignage d'une justice corrompue, lente et évidemment politique. Elle est le reflet de l'injustice française dans laquelle je ne crois plus au fondement même des lois régaliennes. Ancien fonctionnaire de police territoriale, et chef d'une unité de police judiciaire durant 15 années, je me retrouve au bas de l'échelle. Titulaire d'un Doctorat ès Droit avec une spécialité en Droit Pénal, je ne peux plus prétendre à remplir des missions de confiance et principalement dans la sécurité. Après une plainte formulée par Madame Nelly OLIN (alias Miss Bears), aujourd'hui Ministre de l'Environnement avant son passage au Ministère de l'Action Sociale et de la Précarité , je me retrouve sans réelle fonction noble et bientôt SDF. Cette dernière avait appris mon homosexualité entraînant des quolibets et des humilités devant des autorités politiques et judiciaires. J'ai été placé en garde à vue durant 48 heures pour des actes où je clame mon innocence. Je suis poursuivi pour avoir volé un téléviseur à l’administration alors que je travaillais sur du matériel vidéo pour défendre les intérêts de jeunes enfants, victimes d’accidents de la route. En étroite collaboration avec l’Education Nationale et le Ministère de la Justice , nous élaborions un projet permettant d’éviter les imprévus trop souvent répétés devant les points écoles. Sensibiliser les petits comme les grands, était mon indispensable objectif. Pour cela je travaillais à l’aide d’un téléviseur avec magnétoscope incorporé. Mes collègues se sont empressés de déclarer cet état de fait en précisant que je l’avais volontairement derobé. Un téléviseur à 160 euros ! A mon rang dans la hiérarchie et après autant d’années passées dans les services de police, aurais je vraiment soustrait ce matériel si peu coûteux alors que l’administration m’avait autorisé de l’acquérir dans ce seul but ? Puis vint l’accusation des heures supplémentaires validées par mes supérieurs hiérarchiques ,qui, m’ont été reprochées à la suite ! Ils m’ordonnaient de travailler sans compter pour m'accuser de détourner volontairement des fonds administratifs par la suite ! Je signale tout de même que l’administration a validée ces heures et le trésor public a réglé mes honoraires sans aucun problème ! Ensuite, le reproche que mon service de police a dépassé le budget pour l’ensemble des communications téléphoniques… puis l’accusation d’avoir volé 5 cartes de police, et enfin, parce que je suis homo, le recel d’image à caractère pédophile sur l’ordinateur usuel de mon lieu d’exercice judiciaire. Après enquête, une image a été retrouvée sur une unité centrale dans un bureau différent du mien et j’ai été accusé à tort et sans fondement. Révoqué, j’attends le suivi de l’affaire. Au jour d’aujourd’hui j’en suis au 5ème juge d’instruction et malgré mes réitérations d’être reçu par un magistrat, personne n’ose me recevoir. Selon la Législation Française, je devais être convoqué tous les ans afin de faire lepoint sur l'affaire devant un juge digne de ce nom. J’apparais désormais sur les fichiers de police comme pédophile et je ne peux plus exercer de profession à responsabilités. Voilà la vraie République ! Papa d’un petit garçon de 5 ans, la garde m’a été retirée. Je ne le vois plus depuis 4 années. En attendant, ne trouvant pas de fonction professionnelle, je suis même poursuivi pour non paiement de pension alimentaire ! J’ai sollicité plusieurs associations qui m’ont lâchement abandonnées. Les SOS HOMOPHOBIE, les ACT UP, LES FLAG… et j’en passe, savent très brillamment défiler sur les boulevards parisiens pour la Gay Pride mais pas vraiment prestes de pouvoir aider ses potentiels adhérents. Après l’affaire OUTREAU, on s’aperçoit que des petits comme moi souffre sans véritable raison. La Justice a été contactée depuis plusieurs mois de mon état social et moral. J’ai fais 4 tentatives de suicide et un mois en milieu psychiatrique hospitalière. Je ne sais plus vers qui me retourner et comment réagir devant cette invraisemblable histoire. En tout état de cause j’ai perdu beaucoup de choses, une personne que j’aimais plus que tout, ma confiance, mon honneur, mon fils, ma famille. Le 21 février 2006, mon avocat m'informe que les accusations restent infondées. Nous sommes convoqués au Tribunal de Grande Instance de Pontoise le 28 février 2006 pour, au bout de 4 années d'attente, être enfin entendus par un juge d'instruction. Les seuls éléments de l'enquête prouvent actuellement que j'ai été victime d'un trucage mené par l'Administration. En date du 05 juillet 2006, ne voyant toujours aucune réponse provenant du Tribunal de Pontoise, je rédige une lettre au Procureur Général de la République en ces termes : " Monsieur le Procureur, Connaissant vos hautes responsabilités et vous sachant très sollicité, croyez bien que c'est en dernier ressort - après avoir vécu des évènements aussi destructeurs que douloureux - que je me résous à vous écrire cette lettre, dans l'espoir qu'elle éveille votre attention et peut être votre sollicitude. Il y' a cinq ans, suite à des accusations calomnieuses que je n'ai eu cesse de dénoncer, ma vie basculait dans l'horreur, le mot n'est pas trop fort en regard de la spirale infernale m'yant conduit à certaines extrêmités. En effet, ce furent cinq années de souffrances morales et physiques (mon état de santé s'est dégradé de mois en mois), de fractures familiales, professionnelles, relationnelles, cinq années à survivre sous le poids permanent d'une mise en examen. Après avoir accompli avec coeur un service à la Nation, n'ayant hélas pas réussi à trouver un emploi provisoire, je me suis retrouvé sans ressources, rapidement sans domicile fixe, écrasé de dettes (notamment dans l'incapacité de payer mes pensions alimentaires) et donc harcelé par mes créanciers. A bout d'espoir, détruit par l'injustice des accusations dont j'étais la victime impuissante, j'ai même tenté de mettre fin à mes jours. Aujourd'hui, il m'est toujours interdit d'honorer la mission sécuritaire que j'ai remplie durant cette dernière décennie. Le 28 février dernier, j'ai été convoqué par monsieur XXXXX, Juge d'Instruction, qui , conformément à l'article 175 du Code de Procédure Pénale, vous avait transmis l'ensemble du dossier. Mon état de santé s'étant encore détérioré depuis cette rencontre, je suis plus que jamais dans l'espoir d'obtenir un réquisitoire définitif de votre part sur cette affaire qui m'a passablement usé. Bien sûr, je ne sollicite aucune indulgence, ni clémence particulière, simplement une conclusion rapide à cette triste affaire qui a bien failli me détruire, et que j'aimerais pouvoir oublier en reconstruisant ma vie. En vous remerciant vivement de l'attention que vous aurez bien voulu m'accorder à ma requête, je vous prie de croire, monsieur le Procureur de la République, en l'expression de mes salutations respectueuses et dévouées." En tout état de cause ma vie reste un enfer. Merci à tous vos témoignages de soutien et de réconfort que vous pouvez me laisser à travers vos commentaires. Je dédie ce blog à un ex qui m'a lâchement abandonné et à qui je souhaite autant de souffrances même si cela n'est pas dans ma nature de vouloir faire ou prescrire du mal. Il se reconnaîtra ! N'est ce pas Tof...??

posted by ACCUSE A TORT at 9:52 PM

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Auguries of innocence est un des poèmes les plus célèbres du poète britannique William Blake (1757-1827) . Les 4 premiers vers sont les plus connus, mais on trouve rarement la totalité du texte.
Le voici donc, suivi de sa traduction française par Pierre Boutang (seule traduction complète que j’ai trouvée…) :
To see a world in a grain of sand
And a heaven in a wild flower,
Hold infinity in the palm of your hand
And eternity in an hour.
A robin redbreast in a cage
Puts all heaven in a rage.
A dove-house filled with doves and pigeons
Shudders hell through all its regions.
A dog starved at his master’s gate
Predicts the ruin of the state.
A horse misused upon the road
Calls to heaven for human blood.
Each outcry of the hunted hare
A fibre from the brain does tear.
A skylark wounded in the wing,
A cherubim does cease to sing.
The game-cock clipped and armed for fight
Does the rising sun affright.
Every wolf’s and lion’s howl
Raises from hell a human soul.
The wild deer wandering here and there
Keeps the human soul from care.
The lamb misused breeds public strife,
And yet forgives the butcher’s knife.
The bat that flits at close of eve
Has left the brain that won’t believe.
The owl that calls upon the night
Speaks the unbeliever’s fright.
He who shall hurt the little wren
Shall never be beloved by men.
He who the ox to wrath has moved
Shall never be by woman loved.
The wanton boy that kills the fly
Shall feel the spider’s enmity.
He who torments the chafer’s sprite
Weaves a bower in endless night.
The caterpillar on the leaf
Repeats to thee thy mother’s grief.
Kill not the moth nor butterfly,
For the Last Judgment draweth nigh.
He who shall train the horse to war
Shall never pass the polar bar.
The beggar’s dog and widow’s cat,
Feed them, and thou wilt grow fat.
The gnat that sings his summer’s song
Poison gets from Slander’s tongue.
The poison of the snake and newt
Is the sweat of Envy’s foot.
The poison of the honey-bee
Is the artist’s jealousy.
The prince’s robes and beggar’s rags
Are toadstools on the miser’s bags.
A truth that’s told with bad intent
Beats all the lies you can invent.
It is right it should be so :
Man was made for joy and woe ;
And when this we rightly know
Through the world we safely go.
Joy and woe are woven fine,
A clothing for the soul divine.
Under every grief and pine
Runs a joy with silken twine.
The babe is more than swaddling bands,
Throughout all these human lands ;
Tools were made and born were hands,
Every farmer understands.
Every tear from every eye
Becomes a babe in eternity ;
This is caught by females bright
And returned to its own delight.
The bleat, the bark, bellow, and roar
Are waves that beat on heaven’s shore.
The babe that weeps the rod beneath
Writes Revenge in realms of death.
The beggar’s rags fluttering in air
Does to rags the heavens tear.
The soldier armed with sword and gun
Palsied strikes the summer’s sun.
The poor man’s farthing is worth more
Than all the gold on Afric’s shore.
One mite wrung from the labourer’s hands
Shall buy and sell the miser’s lands,
Or if protected from on high
Does that whole nation sell and buy.
He who mocks the infant’s faith
Shall be mocked in age and death.
He who shall teach the child to doubt
The rotting grave shall ne’er get out.
He who respects the infant’s faith
Triumphs over hell and death.
The child’s toys and the old man’s reasons
Are the fruits of the two seasons.
The questioner who sits so sly
Shall never know how to reply.
He who replies to words of doubt
Doth put the light of knowledge out.
The strongest poison ever known
Came from Caesar’s laurel crown.
Nought can deform the human race
Like to the armour’s iron brace.
When gold and gems adorn the plough
To peaceful arts shall Envy bow.
A riddle or the cricket’s cry
Is to doubt a fit reply.
The emmet’s inch and eagle’s mile
Make lame philosophy to smile.
He who doubts from what he sees
Will ne’er believe, do what you please.
If the sun and moon should doubt,
They’d immediately go out.
To be in a passion you good may do,
But no good if a passion is in you.
The whore and gambler, by the state
Licensed, build that nation’s fate.
The harlot’s cry from street to street
Shall weave old England’s winding sheet.
The winner’s shout, the loser’s curse,
Dance before dead England’s hearse.
Every night and every morn
Some to misery are born.
Every morn and every night
Some are born to sweet delight.
Some are born to sweet delight,
Some are born to endless night.
We are led to believe a lie
When we see not through the eye
Which was born in a night to perish in a night,
When the soul slept in beams of light.
God appears, and God is light
To those poor souls who dwell in night,
But does a human form display
To those who dwell in realms of day.
William Blake , in The Pickering Manuscript , 1803.
Dead Bird , par morfireglbl.deviantart.com
Voir le monde en un grain de sable,
Un ciel en une fleur des champs,
Retenir l’infini dans la paume des mains
Et l’éternité dans une heure.
Rouge-gorge mis en cage,
Voilà tout le ciel en rage.
Un colombier plein de colombes et de ramiers
Fait frissonner l’enfer en tous ses ateliers.
Un chien qui meurt au seuil de la maison du maître
Prononce que l’Etat bientôt va disparaître.
Cheval frappé sur le chemin
Réclame du sang humain.
A chaque cri plaintif du lièvre que l’on chasse
C’est un fil de la cervelle qui casse.
Alouette à l’aile blessée
Un chérubin cesse de chanter.
Le coq dressé pour le combat,
Fait du soleil levant l’effroi.
Tout hurlement de loup, de lion sur la terre
Réveille une âme et la retire hors de l’enfer.
Le cerf errant par les taillis
Tient l’âme humaine hors du souci.
L’agneau prétexte du pêché
Pardonne au couteau du boucher.
Chauve-souris volant lorsque tombe le soir
Fuit l’esprit de celui qui n’a pas voulu croire.
La chouette, dans la nuit, en appelant
Dit la frayeur des mécréants.
As-tu blessé le roitelet ?
Hommes ne t’aimeront jamais.
Qui a mis le bœuf en courroux
De femme n’aura les yeux doux.
L’enfant cruel qui tue la mouche,
L’araignée lui sera farouche.
Qui tourmente du hanneton l’esprit
Tisse une charmille en fin de nuit.
La chenille sur la feuille
Redit de ta mère le deuil.
Ne tue papillon ni phalène
Crainte qu’à Jugement ne viennes.
Qui pour la guerre un cheval dressera
Barre du Pôle jamais ne passera.
Le chien du mendiant, le chat de la veuve,
Nourris-les, tu feras peau neuve.
La mouche qui, chantant l’été, bourdonne
La calomnie vous l’empoisonne.
Poison de vipère et d’orvet
Sous le pas d’Envie il se fait.
Le poison tueur de l’abeille,
L’artiste jaloux le réveille
Les vêtements royaux, les hardes du mendiant
Prolifèrent dans le bagage de l’avare.
Vérité dite à fin méchante
Bat tout mensonge que tu inventes.
Il est bien qu’ainsi tout se fonde :
Pour joie et peine homme fut fait,
Et quand nous savons bien que c’est,
Nous allons saufs de par le monde.
Joie et peine en fin tissage
Habit pour l’Ame divin,
Sous chaque dol et chagrin
Court un fil de soie et de joie.
Plus est l’enfant que son maillot
Chez l’homme, par monts et par vaux.
On fait l’outil, naissent nos mains,
Un fermier comprend ça très bien.
Chaque larme d’un œil tombé
Devient un enfant dans l’éternité
Le recueillent des femmes claires
Et le rendent à sa lumière.
Qu’il aboie ou mugisse ou rugisse ou qu’il bêle,
C’est le Flot qui vient battre le rivage du ciel.
L’enfant criant sous le bâton
Inscrit vengeance chez Pluton.
Les loques de pauvre qui flottent au vent
Disloquent les cieux à chaque moment.
Soldat qui prend l’épée et le fusil,
Pour le soleil de l’été paralysie.
Le sou du pauvre a plus de prix
Que tout l’or des côtes d’Afrique.
Pris des mains du travailleur un seul liard
Achète et vend les terres de l’avare ;
Mais si le vol est d’en haut garanti,
Il vendra et achètera tout ce pays.
Qui rit de la foi d’un enfant
Sera moqué, vieillard, mourant.
Qui enseigne à l’enfant le doute
Hors du tombeau pourri ne trouvera sa route.
Qui respecte la foi de l’enfant,
D’enfer et de mort sera triomphant.
L’enfant a ses jouets, le vieillard sa raisons,
Ce sont les fruits des deux saisons.
Le questionneur assis, avec l’air si malin,
Ignorera quelle est la réponse, sans fin.
Qui répond au doute bavard
Souffle la lumière du savoir.
Le plus fort poison jamais essayé
Vient de César et sa couronne de laurier.
Rien ne défait l’humaine nature
Si bien que le fer des armures.
Quand d’or et de joyaux la charrue s’ornera
L’envie devant les arts de paix s’inclinera.
Énigme, ou chant du grillon
Est au doute un bon répons.
Un pouce pour la fourmi, c’est pour l’aigle une lieue,
Ça prête à rire au philosophe boiteux.
Qui va doutant de ce qu’il voit
Ne croira en ce que tu fais, quoi que ce soit.
Soleil et lune, s’ils entraient jamais en doute,
Ils sortiraient aussitôt de leur route.
En passion tu peux bien faire,
Passion en toi, elle te perd.
Sous licence d’Etat le joueur, la putain,
Pour cette nation bâtissent un destin.
Le cri des filles, de seuil en seuil,
À la vieille Angleterre va tisser son linceul.
Hurrahs et jurons de qui gagne ou perd
Conduisent les funérailles de l’Angleterre.
Chaque soir, chaque matin,
Tels naissent pour le chagrin.
Chaque matin, chaque soir,
Tels pour délices d’espoir.
Tels naissent pour les délices,
Tels pour nuit qui ne finisse.
Un mensonge tu peux le croire
Tant que tu ne vois pas plus loin que ton regard.
Qui naquit une nuit, pour périr une nuit
Quand aux rayons du Jour l’âme était endormie.
Dieu apparaît, Dieu est lumière
Aux âmes ayant en la nuit repaire,
Mais il montre une forme d’homme
À ceux qui dans le Jour ont leur royaume.
William Blake , in Chansons et mythes : poèmes choisis , Ed. La différence, 1989.
Textes traduits de l’anglais et présentés par Pierre Boutang.
William Blake , par Thomas Phillips
Moi je préfère decker, « black et decker » lol…
C’est une très riche poésie, avec cette jolie perceuse que me chanter mon papa, il y a beaucoup de poussière…
La traduction me semble un peu faible… mais c’est parlant… tels naissent pour des nuits infinies.
Merci pour votre commentaire.
Si vous connaissez une meilleure traduction que celle de Pierre Boutang, je suis intéressé.
Pierre Leyris dans William Blake Oeuvres II Aubier/Flammarion
Merci pour votre référence. Je vais m’intéresser à cette traduction par Pierre Leyris.
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It is five o'clock The evening - glow tells me A treasure of our memories It's become empty somehow
You held out a small hand Smiling like to you it was so natural It may have no meaning But it is something I cannot do
You touched my hand without thinking But it was nice for me
All the time we believed That the world was in your hands We were w
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