Prenant la bite de papa

Prenant la bite de papa




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Prenant la bite de papa

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Série : La fille à papa

Premier texte : La fille à papa (1)
Texte précédent : La fille à papa (2)
Texte suivant : La fille à papa (4)

— Non, pour votre parrain, votre promis
 Il nous veut, vraiment nues !

Alors, je la laisse faire, je ne sais plus, il m’est arrivĂ© tant de choses en moins de deux heures, j’ai dĂ©couvert un cĂŽtĂ© de moi
 Comment ai-je pu me soumettre ainsi et surtout aimer cela !

Une fois qu’elle a fini, je me sens effectivement vraiment nu ! Mary me sourit, caresse mon entre jambe glabre
 et me fait me lever, elle m’amĂšne devant le grand miroir et je nous vois toutes deux nues
 nos sexes rasĂ©s
 Nos verges


Il bande merveilleusement, ce n’est plus Mary qui est devant moi, mais bien le John de mon enfance.

Sans vraiment y rĂ©flĂ©chir, nous sommes enlacĂ©s, nos bites chacune dans les cuisses de l’autre.

Mais on m’appelle ! C’est Maman qui me demande de venir la rejoindre ! Alors Ă  regret, nous nous sĂ©parons. Mary, puisque c’est elle maintenant, m’aide Ă  m’habiller, il est passĂ© 10 heures et selon la coutume, la tradition, elle me fait passer une robe rose pale.

— Puisque vous ĂȘtes fiancĂ©e maintenant


C’est vrai qu’elle est jolie, mais j’ai quand mĂȘme droit au laçage du corselet dans le dos
 et vraiment bien serrĂ©, j’en ai du mal Ă  respirer !

— Je sais, mais puisque vous ĂȘtes une demoiselle
 La rigueur de la tenue, entraine celle de l’esprit !

Mais, puisque je n’ai plus d’obligation vis-Ă -vis de mon pĂšre et de son sexe, "ma fille doit toujours ĂȘtre disponible pour se faire baiser par son pĂšre !" j’ai heureusement le droit de mettre un jupon de satin dont j’apprĂ©cie la douceur sur mes jambes
 ainsi que ce doux chants, ce glissement du nylon de mes bas contre le satin
 TrĂšs Ă©rotique
 J’aime !

VoilĂ  Ă  quoi je pense en descendant l’escalier, mais je me dis quand mĂȘme que la vie... la tradition
 et surtout la verge de papa ! J’en avais rĂȘvĂ© et je ne croyais pas cela possible, il a fallu que je devienne Christiane ! Cela valait la peine !

Maman, m’attends dans le salon, un regard... Ah oui, la rĂ©vĂ©rence ! Elle me regarde entrer le visage inquiet.

— Mon pauvre chĂ©ri
 Mais je vois que tu te fais Ă  ta nouvelle situation, j’espĂšre que ton pĂšre ne t’a pas fait trop souffrir, il attendait tellement ce moment ! Nous te savions homosexuel et cela correspondait aux attentes de ton pĂšre et surtout de ton parrain !

Comment lui dire que j’attendais aussi que papa me prenne, me fasse dĂ©couvrir l’amour, que je ne pouvais repenser Ă  sa bite sans un frisson de plaisir
 Que j’avais adorĂ© sa façon de m’enculer, de glisser sa grosse bite dans mon petit cul vierge


Maman doit lire en moi, car elle me sourit et me dit en me congĂ©diant qu’elle doit aller faire des courses en ville, pour elle et moi, et que je dispose de ma journĂ©e.

Je retrouve Mary dans le couloir, oui c’est bien Mary, ce n’est plus ce vigoureux John, dont la verge m’avait Ă©mu dans la chambre, mais une jolie soubrette en robe noire. TrĂšs jolie ! Et puis ce dĂ©colletĂ©, la naissance de cette poitrine ? Il faut que je lui demande !

Puisque, je n’ai pas d’obligation sauf celle de revenir pour l’heure du thĂ©, nous dĂ©cidons de revenir sur les lieux de notre jeunesse, peut ĂȘtre pas sans certaines arriĂšres pensĂ©es ! Nous bavardons en marchant, elle me raconte ses aventures, les sorties Ă  Londres avec parrain, sa dĂ©couverte des maisons "d’hommes" dans lesquelles les travesties se rencontrent et donnent du plaisir
 Cela m’aurait peut ĂȘtre choquĂ© il y a peu, mais maintenant
 La dĂ©couverte du sexe me donne des envies


Nous arrivons Ă  la riviĂšre de notre enfance et comme jadis nous dĂ©cidons de nous baigner. Naturellement il ne saurait ĂȘtre question de gĂąter nos jolies robes et comme avant, sans nous concerter, dĂ©cidons de nous baigner nus ! Si pour Mary, cela est encore facile, son corset est lacĂ© par devant, pour moi... J’ai besoin de son aide pour me libĂ©rer
 C’est une Mary, toute nue qui se glisse derriĂšre pour enlever ma robe. Mary ? Non je ne crois pas ! C’est bien John que je sens lĂ  derriĂšre moi, sa verge en Ă©rection qui se colle contre mes fesses.

— Elle se penche en avant, la petite demoiselle, la petite salope, ou plutĂŽt quand je te vois nu, comme cela, la bite en Ă©rection
 C’est plutĂŽt Christian, le pĂ©dĂ© que je vais enculer. Tu le veux ?

Je ne peux que murmurer un son qui est censĂ© dire oui
 Mais cela ne lui suffit pas ! Il retient son gland, juste au bord de mes fesses qui rĂ©clament leur nourriture, qui rĂ©clame ce sexe


— Je n’ai pas entendu
 qui es tu et que veux-tu ?

Le "méchant" sent mon désir, la soif de sa bite... Il joue à juste me pénétrer de quelques centimÚtres puis se retire ! Alors je craque, et je lui crie presque :

— Je suis une salope et je veux que vous me baisiez !

Il me rĂ©compense en faisant enfin venir sa verge dans mon trou dilatĂ©, je ne ressens pas les suites de la dilatation anale de tantĂŽt, ou plutĂŽt si, il peut m’enculer avec douceur, jouer dans mon ventre et comme il me l’a appris tantĂŽt je participe, j’anticipe ses actions
 Que c’est bon ! Il a le sexe sensible et trouve vite mon point G, qu’il caresse de son gland, je crois mourir de plaisir
 Les mots obscĂšnes qu’il me dit Ă  l’oreille ne font qu’accroĂźtre ma jouissance
 Ce n’est plus ni Mary ni John, mais un salaud d’enculeur, qui fait de moi sa salope jouisseuse !

Et quand il Ă©jacule en moi, sa "petite pute" l’accompagne par ses deux sexes
 Je jouis en garçon, mais aussi en fille, j’ai le ventre en feu !

Nous nous Ă©croulons de concert, lui sur mon dos, j’aime la chaleur, le poids de son corps sur le mien, mais aussi sa verge qui est encore en moi et que je sens rĂ©trĂ©cir. Je tourne un peu des fesses, me soulĂšve pour profiter encore de ce ‘serpent’ qui s’échappe. Mais une grosse voix nous tire de notre rĂȘverie.

— Mais qu’est ce qui se passe ici !

Je sursaute, rouge, j’essaye de cacher mon sexe et curieusement une poitrine que je n’ai pas !

C’est le pĂšre de John, qui nous regarde d’un air mi courroucĂ©, mais aussi Ă©grillard. Son regard se porte sur moi, sur mon corps nu que j’essaye de cacher.

— Je croyais que tu Ă©tais devenu Mary
 Mais j’ai pu constater que John savait encore enculer une petite demoiselle ! Retourne de suite Ă  ton travail au chĂąteau, cela va ĂȘtre l’heure du thĂ©, je m’occupe de la "petite folle" ! Ne perds pas ta place pour une affaire de fesses !

Je me sauverais bien, je me sens honteux, il a tout vu, il sait tout
 Mais il ouvre son pantalon, le fait glisser au sol, et je vois sa verge en Ă©rection ! Je devrais m’enfuir, lui dire que
 Mais je ne peux dĂ©tacher mon regard de cette masse de chair, lĂ  juste devant moi. Une chaleur, que je commence Ă  bien connaĂźtre emplie mon ventre, me monte Ă  la tĂȘte


John fini se s’habiller, et c’est Mary, dans sa jolie petite robe qui s’apprĂȘte Ă  partir, me laissant seul !

Son pĂšre l’attire Ă  lui, l’embrasse Ă  pleine bouche et glissant ses grosses mains sous sa robe, lĂ  juste Ă  l’endroit oĂč je sais qu’elle cache sa bite
 Mary se tortille, je sais que ce n’est pas pour se libĂ©rer, mais par plaisir. La situation est sans Ă©quivoque


Mary est aussi la maĂźtresse de son pĂšre ! Nous ne sommes donc que des objets sexuels, des objets de plaisirs ! Les idĂ©es tournent dans ma tĂȘte et sans vraiment le vouloir mon corps me trahi.

Mon petit "truc" reprendrait bien de la vigueur, mais je ne peux que m’allonger sur le dos. J’ouvre les cuisses, je lui dĂ©voile mon intimité  Il me regarde sans dire un mot, je ne lui plais pas ?

Je caresse mon entre cuisse en lui souriant et je suis exaucé !

Oh oui, je vois, enfin surtout je sens
 je commencerais bien par embrasser, sucer cette bite, mais il est beaucoup plus radical et il sait ce qu’il veut: mon cul ! Il me soulĂšve comme une paille, un bras sous mon ventre, je suis de suite en position
 Autant jusqu’à prĂ©sent, mes amants m’avaient "fait l’amour", mais lĂ  il me viole, il m’encule comme un sauvage ! Il trouve mon sexe de fille sans faillir et je n’ai que le temps d’essayer de m’ouvrir pour avaler cette colonne qui s’engouffre en moi, en mĂȘme pas deux coups !

C’est de la chair ou de l’acier qu’il a entre les jambes ? C’est un pieu que je sens m’envahir, me pĂ©nĂ©trer de plus en plus loin
 il va me perforer ! OubliĂ©es les bites que je connaissais, mĂȘme le gros godemiché ! J’ai quand mĂȘme le temps de me dire que heureusement que Mary, m’avait "prĂ©parĂ©e" car j’aurai Ă©tĂ© dĂ©chirĂ©e ! Et en plus il est endurant, pour mon plus grand plaisir
 passĂ©s les premiers coups, dans lesquels il est sans retenue, me faisant bondir en avant, heureusement qu’il me tient bien. Par reflex, par plaisir, j’applique ma nouvelle ‘technique’, je l’accompagne, je roule mes fesses Ă  son rythme et je lui impose le mien


Les hommes se croient les "maütres du jeu"


Ce n’est pas facile de lui faire presque sortir le gland pour me l’enfoncer encore plus loin, d’un coup de reins
 Je ne sais pas s’il connaissait mais il apprĂ©cie, par contre, pour me faire chatouiller le point G
 Il est trop rustre pour pouvoir s’arrĂȘter juste là
 Tant pis, je suis lĂ , les cuisses grandes ouvertes, offerte, et je ne suis qu’une boule de plaisir pendant qu’il m’encule ! Par contre, il est comme tous les hommes du coin, il ne peut s’empĂȘcher de parler, de me dire des choses
 Ils aiment tous, me traiter de salope, de pute
. Cela doit les aider Ă  jouir. Je ne sais pas, mais j’aime assez, de le dire me fait le devenir !

AprĂšs l’épisode John, je ne peux plus Ă©jaculer et c’est aussi bien car lorsqu'il crache son sperme en moi dans un dernier coup de rein, je profite du plaisir au fĂ©minin. Je suis gĂątĂ©e, il tire trois longs traits qui m’inondent le ventre tout en me plaquant trĂšs fort contre lui, peut ĂȘtre un peu trop. Il va me casser !

Un grand soupir dans mon cou trempĂ© de sueur, il m’embrasse l’oreille, me dit enfin des mots doux
 Il reste vulgaire, mais de la façon dont il les dit, ce sont des mots d’amour
.

Mais il va falloir que je rentre, c’est bien beau tout cela, j’aime me faire prendre, mais Mlle Christiane doit rentrer prendre le thĂ© avec sa mĂšre
 Il est calmĂ© et je crois un peu penaud d’avoir cĂ©dĂ© Ă  ses pulsions
 Je commence Ă  m’habiller devant lui en prenant des poses
 J’ai remarquĂ© que les hommes adorent me voir m’habiller ! Je crois qu’il me reprendrait bien, lĂ  en porte-jarretelles
 Sa bite reprend des proportions
 Alors, comme je suis "bonne fille" je m’agenouille devant lui et embrasse sa bite ! Pas facile, car la chose est Ă©norme ! J’ai du mal Ă  la prendre en bouche
 je peux juste le sucer, avec parfois un coup de langue sur sa grosse veine
 mais cela lui suffit semble-t-il, car il me crache une Ă©norme giclĂ©e qui me fait presque Ă©touffer !

Je le devine
 Alors je n’avale pas tout son miel et pose mes lùvres sur les siennes, nos langues se rejoignent et nous partageons son foutre
 Il aime


Il a beau se comporter en mec, il aime aussi boire le miel de l’homme !

La vie à la campagne
 C’est vrai que par tradition, les filles doivent arriver vierge à l’autel, alors il reste les garçons pour trouver le plaisir


En parlant de fille
 Il est temps que je le redevienne ! Que je redevienne Mlle Christiane! Je remets un peu d’ordre dans ma tenue, lui ordonne de serrer les lacets de mon corset, il y va, un peu fort d’ailleurs, mais c’est son fils qui a une formation de femme de chambre ! Il semble un peu gĂȘnĂ© quand mĂȘme, mais maintenant que je connais mon pouvoir sur lui, je lui fais une gentille bise sur la bouche.

— Je vous revois ce soir ? je sortirais peut ĂȘtre aprĂšs le dĂźner
!

En lui disant cela je caresse sa braguette. Je ne peux m’empĂȘcher de glisser un doigt, puis une main sur cette bite que je sens grossir. Il m’attire Ă  lui, me plaque, glisse deux mains possessives sous ma robe, sur mes fesses
 Il m’embrasse goulĂ»ment


C’est bon, j’aime le sentir contre moi, ses doigts qui se glissent dans mon petit trou
 Il faut faire quelque chose ! Je le branle doucement puis de plus en plus fort, deux doigts glissĂ©s sur sa verge qui caressent ses bourses velues
 Et il Ă©jacule dans ma main, je le sens se raidir.

Ses doigts dans mon cul dilaté  Je retire ma main, je la regarde, je souris, elle est remplie de son sperme. Je plonge mes yeux dans les siens, et je lĂšche Ă  petits coups de langue
 C’est bon, c’est chaud


Ouf, j'ai chaud, j’ai encore envie de lui mais il faut que je me calme, je dois rentrer ! Le thé 

Le thĂ©, encore une tradition bien ancrĂ©e ! Il faut que je sois soignĂ©, mĂȘme Ă©lĂ©gante, quoique maman ne reçoive que peu. Elle n’a pas beaucoup d’amies. En fait, je l’appelle maman, mais c’est ma belle mĂšre.

C’est une jolie femme, quoique qu’un peu trop grande, fĂ©minine, mais quand mĂȘme, maintenant que je le connais mieux, je me demande si mon pĂšre... Allons, il faut que j’arrĂȘte, cela n’est pas possible, quoique
.

Dans la chambre Mary m’aide Ă  me prĂ©parer, je suis un peu rĂȘveur, ou plutĂŽt rĂȘveuse et je m’intĂ©resse Ă  des dĂ©tails, mes cheveux ne sont pas assez long pour un chignon
 mes oreilles ne sont pas percĂ©es
 Nous papotons de cela avec Mary, qui est vraiment redevenue ma femme de chambre mĂȘme si parfois ses mains s’égarent mais je n’ai pas le temps !

Je le prends quand mĂȘme, celui de passer des mains curieuses sous sa robe que je remonte jusqu’à la taille et je dĂ©couvre qu’elle n’a pas de culotte et surtout qu’il a gardĂ© sa jolie petite bite libre, et que je peux le caresser, glisser un doigt le long de ses fesses, je chatouille son petit trou
 Elle dĂ©faille et je dois la retenir, je pose mes lĂšvres sur les siennes, puis lui murmure, tout en lui caressant "l’intime".

— Je ne dois pas, mais elle vous le dira sans doute bientît


— Allons, ne soit pas mĂ©chante
 Je ne sais d’elle que papa l’a ramenĂ© de Londres
.

Je continue mes caresses, elle tremble
 et elle craque !

— Votre pùre l’a connue dans la maison des "messieurs-dames"


La maison des messieurs-dames, j’en ai entendu parler, un lieu de rendez vous pour les travesties
 Donc Maman 


Je comprends mieux son attitude vis-Ă -vis de mes jeux d’enfants, de ses encouragements lorsque je m’habillais en fille
 C’est confiant, mais un peu troublĂ© que je descends au salon oĂč je suis attendue.

Je n’oublie pas la rĂ©vĂ©rence, en fille de bonne famille, respectueuse de sa ‘mĂšre’
 Tout est parfait, Mary fait le service, maman et ces deux amies parlent de choses et d’autres, mais je ne peux m’empĂȘcher de les scruter, de guetter
 Effectivement en y regardant bien, dans maman transparaĂźt encore un peu de son ancien Ă©tat, il en va de mĂȘme de Lady X
 drĂŽle de monde, quoique je sois mal placĂ©e pour critiquer !

Maman, m’annonce que nous irons demain, en ville pour l’essayage de mes nouvelles tenues, robes et accessoires... Car papa doit revenir aprùs demain, enfin, s'il ne s’attarde pas en ville !







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