Première scène anale de la Française Juli

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Première scène anale de la Française Juli
FSP > Les missions Lettres et arts Colloques arts & lettres France-Amérique latine : littérature et sciences humaines (1945-2022)

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Do Amaral Tarsila (1886-1973) , Carnaval em Madureira , Fondation Nemirovsky (Pinacoteca de São Paulo, Brésil)
Colloque organisé par les universités de CY Cergy Paris et Nantes, en collaboration avec les universités de Londrina, Natal, Sao Paulo (Brésil) et de La Paz (Bolivie).
Ces rencontres se donnent pour objet de faire le point sur les très riches échanges culturels entre la France et les pays d’Amérique latine dans le domaine littéraire, depuis la Seconde Guerre Mondiale jusqu’à nos jours. Par « littéraire », on entend autant la littérature à proprement parler (du récit fictionnel à la poésie, en passant par l’essai) que l’ensemble des sciences humaines, étant donné la forte corrélation entre ces domaines tout au long de la période étudiée (entre l’existentialisme et la déconstruction, en passant par le structuralisme et les différentes variables du poststructuralisme) 
On connaît la passion pour la littérature que partagent les acteurs du monde culturel des deux côtés de l’Atlantique, l’intensité des voyages d’écrivains entre les grandes capitales du monde latin. On connaît bien la French theory , la diffusion de la pensée française d’après-guerre et son appropriation créatrice dans le monde hispanophone, lusophone et anglophone. Aussi curieux que cela puisse paraître, il n’existe aucun travail de synthèse sur l’influence et la transformation de la pensée française en Amérique latine, aussi bien dans le monde hispanophone que dans le monde lusophone. Ce colloque propose un ensemble d’interventions filmées et diffusées sur le site de la Fondation Singer Polignac dont on espère qu’il servira de référence dans le domaine.
La notion d’échange suppose que l’on s’intéresse également à l’empreinte des pratiques francophones (l’Afrique ou la Caraïbe, si proche géographiquement et culturellement de l’Amérique latine) et que l’on accorde une place importante à la manière dont les cultures latino-américaines trouvent un écho en France et ailleurs. La littérature latino-américaine a connu une réception considérable à Paris (en particulier le roman) – réception qui a touché toute l’Afrique francophone, au nord ou au sud du Sahara. Ainsi, le « réalisme merveilleux », le néo-baroque latino-américain ont nourri de nombreux écrivains en quête de nouvelles formes d’écriture, moins orientées vers la culture française.
Seront ainsi abordés les œuvres et la réception d’écrivains et intellectuels aussi divers que Bourdieu, Borges, Carpentier, Deleuze, Foucault, Garcia Marquez, Glissant, Kourouma, Lévi-Strauss, Mammeri – autant de noms qui témoignent de la permanence et de l’intensité du dialogue culturel. 
Une place particulière sera réservée à Roland Barthes dont la réception reste particulièrement vivante aujourd’hui.
10h - ouverture de la deuxième journée
10h30 - ouverture de la troisième journée
Pendant longtemps, l’histoire littéraire française a négligé le baroque au bénéfice du classicisme (opposé à la seule préciosité). Soucieux de revendiquer et d’imaginer une forme de baroque à la fois historique et transhistorique, Barthes paradoxalement néglige les écrivains du XVIIe siècle pour se tourner vers un passé lointain (Tacite) ou vers d’autres horizons géographiques (le Maroc de Khatibi et Morsy). Mais s’il n’est jamais allé en Amérique du Sud et ne s’est guère intéressé à l’émergence culturelle de ce continent, c’est principalement en lisant l’œuvre de son ami l’écrivain cubain Severo Sarduy que Barthes va définir une forme d’écriture « baroque » qui cherche à décentrer la langue et s’émanciper des codes.
Cette intervention a pour but de montrer les lignes générales de la circulation de l’œuvre de Roland Barthes en Amérique Latine, à partir d’une approche comparée de sa réception au Chili, en Argentine et au Brésil. Pour cela, on renverra surtout aux discussions critiques, à la présence de Barthes dans la fiction et aux thèses d’étudiants d’Amérique Latine dirigées par Barthes – sans oublier sa présence dans le marché éditorial (traductions). Ce panorama nous permettra de montrer son rôle dans la légitimation de quelques paradigmes critiques ou, tout au contraire, son rôle dans la mise en question des idées dominantes dans la région. 
Cette communication se donne pour objectif étudier l’irruption de Barthes dans la critique argentine au milieu des années soixante. Pour ce faire, l’analyse veut mettre la lumière sur plusieurs scènes. Premièrement, la réception et les traductions de l’œuvre de Barthes en espagnol. Deuxièmement, l’usage proliférant de concepts-clés de Barthes (« écriture », « écrivain-écrivant », « mythologie », « jouissance ») dans la critique littéraire et culturelle argentine, à l’origine d’une critique créative et autonome — tel est le cas des premiers lecteurs argentins de Barthes, comme Nicolás Rosa ou Oscar Masotta, ou ceux qui se sont réunis plus tard autour des revues Los libros , Literal ou Punto de Vista .
Auteure d'une œuvre critique concentrée sur la littérature française, Leyla Perrone-Moisés est l'une des principales responsables de la diffusion des auteurs français dans l'univers culturel brésilien. Un auteur pourtant se lève au-dessus des autres dans cette œuvre, non seulement pour les traductions et analyses qu'elle a publiées de et sur lui en portugais, mais surtout pour le dialogue qu'elle établit avec Roland Barthes, même dans les livres où il n'est pas cité. Cette intervention portera donc sur les regards croisés des deux auteurs sur la France et le Brésil. 
Comme nous le savons bien, les écrits de Roland Barthes ont joué un rôle fondamental dans la réflexion de tant d’intellectuels et d’écrivains dans le monde. En Amérique Latine, cela n’a pas été différent. En Argentine, l’une de ses premières lectrices est l’écrivaine et critique Beatriz Sarlo, qui depuis les années 1960 écrit sur Barthes et « avec » Barthes, c’est-à-dire qu’elle développe sa réflexion sur la littérature et la culture argentines tout en ayant Barthes à l’horizon. Dans ce sens, La ciudad vista : mercancías y cultura urbana (2009), de Sarlo, se présente comme un vagabondage de l’écrivaine par Buenos Aires où l’incident s’impose sans dire son nom et rend possible la co-présence d’une « ville vue » avec une « ville écrite ». Sarlo et Barthes se conjuguent dans l’instant de l’écriture et promeuvent non seulement la circulation des textes, mais leur imbrication quelque part entre la France et l’Amérique Latine.
Le 16 février 1980, à la pénultième séance du cours La préparation du roman, Roland Barthes témoigne d’un certain « archaïsme » de la littérature (de sa marginalité, de sa désuétude) et à la fois d’un « désir fort de cette même littérature » : « j’aime la littérature d’une sorte d’amour pénétrant et bouleversant même, comme on aime et comme on entoure de ses bras quelque chose qui va mourir ». Ce témoignage pointe de diverses manières dans la trame de l’écriture barthesienne. Or il parvient à toucher aussi, entre autres, « un peu comme les cendres que l’on jette au vent après la mort » (les biographèmes), l’œuvre de deux écrivains boliviens plus ou moins reconnus dans l’espace littéraire sud-américain : Blanca Wiethüchter (1947-2004) et Juan Cristóbal Mac Clean (1958). Cette intervention tentera de détacher quelques incidents de lecture qui relèvent d’une telle connivence : façon de célébrer les avatars d’un « désir fort de littérature » aux antipodes du Collège de France, bien entendu, mais aussi d’apprécier les enjeux que comporte à l’heure actuelle, ici et là-bas, son inactualité.
Cette communication entend présenter certains aspects de l’œuvre de Claude Lévi-Strauss, qui s’est peu à peu construite au contact des Amériques et de la France, comme un héritage vivant susceptible d’alimenter la réflexion sur le monde contemporain. En effet, le regard porté par Claude Lévi-Strauss sur la façon d’appréhender la multiplicité et la diversité culturelles, le sacré et l’interdit, ne peut-il être aujourd’hui considéré comme le révélateur de certains effacements propres à une époque, la nôtre, confondue toujours davantage dans l’uniformisation culturelle ? 
La déconstruction a eu un avenir fécond et pluriel au Brésil. Cette communication veut montrer comment se sont disséminées quelques idées-forces de la pensée derridienne au Brésil et comment la pensée de la différence a permis de penser la spécificité brésilienne. Les notions d' « entre-lieu » (Silviando Santiago), « transcréation » (Haroldo de Campos), « diferonça » (Viveiros de Castro) ou « littérature pensante » et « pensée végétale » (Evando Nascimento) sont autant d'interventions qui mobilisent l'héritage de la déconstruction en faisant un usage créatif et non révérenciel. 
Este trabajo busca problematizar la noción de francofilia, naturalizada en el uso y en la teoría sobre procesos de transferencia cultural entre la Argentina y Francia. Nuestra propuesta es que no se trata tanto de un conjunto de opiniones y afectos respecto de un eventual modelo francés, como de un concepto relacional, atravesado por tensiones y conflictos locales, políticos y sociales. Para explorar esa idea contrastaremos, entre fines del siglo XIX y mediados del siglo XX, una francofilia que se piensa modernizadora y cosmopolita con un ámbito específico donde el discurso francófilo responde a nuevas condiciones de enunciación: las ediciones populares de literatura francesa en la Argentina.
 « La francophilie sans la France »
La notion de francophilie, que nous voudrions ici problématiser, semble naturalisée dans l’usage et dans la réflexion sur les transferts culturels entre l’Argentine et la France. Notre idée est qu’il s’agit moins d’un ensemble d’opinions et d’affects à l’égard d’un éventuel modèle français, que d’un concept relationnel, traversé par des tensions et des conflits locaux, politiques et sociaux. Pour explorer cette idée on s’intéressera, entre la fin de siècle et les années 1950, aux contrastes entre les discours d’une francophilie qui se veut cosmopolite et les formes particulières de francophilie qui se présentent dans les éditions populaires de littérature française en Argentine. 
Analizaré en esta presentacion los aportes y recepción de estos pensadores en el espacio interdisciplinario de las Humanidades y los desencuentros entre los cuerpos de ideas de estos autores y aspectos específicos del desarrollo regional en America Latina desde el punto de vista cultural e ideológico. 
Hare referencia a aspectos concretos de la obra de estos pensadores sobre todo en relacion con tetmas clave de la historia latinoamericana, como las de colonialidad, raza y particularidades vinculadas a la clase social. Aludire tambien a formas diferenciadas de recepcion de estos filosofos y sus proyecciones en los distintos campos de la cultura.
Esta ponencia discute el impacto que el estructuralismo francés tuvo en la crítica literaria, con particular énfasis en los años setenta a ochenta. La polémica tiene dos partes. Primero, se discute la forma en que e estructuralismo francés, parte de una constelación que incluyó también escuelas lingüísticas y semióticas de la Europa del Este, impulsó un giro lingüísitico en los estudios literarios mexicanos que simultáneamente complementó y desafió las tradiciones filológicas que primaban en la época. La ponencia discute legados de esta escuela discutiendo revistas como y Morphé y el trabajo de algunos de los críticos que llevaron la batuta de la semiótica en México. La segunda parte pone énfasis en la obra de Octavio Paz, el rol renuente que jugó en la difusión del estructuralismo francés en México y la forma en que su poesía responde al reto de la arbitrariedad del signo.
Sur les scènes contemporaines, dans les arts, en littérature paraissent aujourd’hui des œuvres pour qui le mot de « baroque » fait signe et sens. Pour approcher la nature et les enjeux de ce mot et des réalisations qui s’en réclament, il est bien sûr toujours nécessaire de revenir à une période historique donnée (bien que ses contours soient flous), à ses œuvres, mais aussi aux documents, archives, traités, images en tous genres, qui ont été transmis à travers le temps. Mais – et ce sera l’hypothèse défendue ici – il importe également de prendre en compte les représentations plus ou moins récentes du baroque, à saisir comme autant de relais de ce monde au fil du temps – parce qu’elles informent sans doute les créations mais aussi la réception qui en est faite aujourd’hui. Concert baroque, d’Alejo Carpentier, est une pièce maîtresse pour cette archéologie du regard baroque qui se cherche et s’interroge ici en filigrane. Ce roman, publié en 1974, et traduit en français en 1976, a fait date, à n’en pas douter, pour les créateurs comme pour le public – qu’ils en aient ou non une connaissance directe.
Deux poètes et penseurs des Antilles françaises, Aimé Césaire (1913-2008) et Édouard Glissant (1928-2011), ont noué et entretenu avec des artistes cubains des relations intellectuelles et complices fondées sur une sensibilité et une histoire communes. Ces deux poètes ont trouvé dans l'oeuvre du peintre Wifredo Lam (1902-1982) une énergie et un vocabulaire en totale adéquation avec les vibrations d'un monde caribéen ontologiquement hybride et métamorphique. Un dialogue avec le peintre a nourri respectivement l'oeuvre poétique et d'essayiste de ces écrivains. Glissant a, par ailleurs, perçu dans la sculpture d'Agustín Cárdenas (1927-2001) un travail de la matière dont il a su mettre en lumière à la fois l'enracinement dans un espace et l'ouverture propre à une poétique du divers.
Dans son essai extraordinaire, Le patois guyanais, essai de systématisation , publié à Cayenne en 1949, Auguste Horth dédicace le volume à sa fille Roberte Agnès, décédée plus de quinze ans avant, à l’âge tendre de 26 ans. La coïncidence de la méthode dans Le patois guyanais avec celle de Jean Paulhan dans sa thèse abandonnée Sémantique du proverbe est flagrante. Horth attribue à sa fille, en majeure partie, le projet sur les dolos , les proverbes en créole guyanais que Roberte avait récoltés pendant sa vie courte. La seule trace de son écriture à elle est la nouvelle intrigante, « Histoire sans importance », publiée à Paris dans La Revue du monde noir en 1932. Quel lien peut-on établir entre, d’un côté, un récit bref sur le sang-mêlé d’une Martiniquaise à Paris et, de l’autre, une vaste étude sur la culture orale faite d’un « cœur brûlant d’une profonde piété » pour son pays natal ?
L’ouvrage de l’écrivain algérien Mouloud Mammeri dont il sera question dans cette communication comporte un drame en trois actes intitulé Le Banquet et un essai sur La mort absurde des Aztèques . La disparition des Aztèques y est présentée comme une catastrophe culturelle. Franchissant les siècles, l’auteur établit aisément un parallèle avec la société contemporaine qui, techniciste, pourrait provoquer elle-même la disparition de l’homme. Il en appelle à la raison et au respect des différences pour sauver tous les « ethnocidés » possibles de la planète. La mise en scène tragique du Banquet explique comment l’hybris des vainqueurs et l’aveuglement des vaincus n’ont pas permis d’échapper à un conflit destructeur alors que comme le préconisait Montaigne « (Notre) monde vient d’en rencontrer un autre. » Anthropologue, M. Mammeri, insiste sur ces rencontres enrichissantes avec les autres pour peu qu’on s’abstienne « de les civiliser et de définir pour eux le bonheur. » 
À partir d'une approche comparative, cette communication se propose de montrer comment le texte de Sony Labou Tansi, La vie et demie entre en dialogue avec celui de G.-G. Marquez, Cent ans de solitude. Dans les deux romans les personnages sont confrontés aux mêmes vicissitudes de l'existence et semblent enfermés dans la fatalité d'un temps bloqué, condamnés à vivre les mêmes déboires. Cependant, si les similitudes entre les deux textes sont évidentes, Sony- Labou-Tansi sait garder la liberté nécessaire pour laisser jouer son imagination à son gré et avec sa touche stylistique ; c'est là que réside l'intérêt essentiel de son roman.
Le Fonds Sud Cinéma est un fonds de soutien français qui a, entre 1984 et 2011, aidé à la production et à la finition de plus de 500 longs métrages de pays du « Sud ». Nombre de films produits dans ce cadre ont ensuite eu une fortune critique et festivalière appréciable, gage d'une « qualité » artistique en adéquation avec les objectifs de ce fonds de soutien sélectif. Toutefois, le mode d'évaluation des projets, fondé sur l'examen des scénarios, fait apparaître le poids des qualités rédactionnelles des candidat.es dans le processus de sélection. Une étude de cas montrera la valorisation des qualités « littéraires » du scénario davantage mises en avant que son potentiel de mise en scène audio-visuelle.
Claude Coste est professeur de littérature française et francophone à l’université CY Paris Cergy. Sa recherche porte principalement sur l’œuvre de Roland Barthes ( Roland Barthes moraliste, 1998, Bêtise de Barthes, 2012 , Roland Barthes ou l’art du détour , 2016) et sur les relations de la littérature et de la musique ( Les Malheurs d’Orphée , 2003, Orphée ou les Sirènes , 2014). En 2015, il a co-organisé le colloque « Barthes et la musique » à la Fondation Singer Polignac ; toujours en 2015, il a participé aux colloques du centenaire qui se sont tenus à Sao Paulo (« Barthes Plural ») et à La Paz (« Roland Barthes amateur »).
Laura Brandini est professeure des Littératures Française et Comparée à l’Université de Londrina. Sa formation académique, obtenue à São Paulo, Genève et Paris, porte sur les rapports entre le Brésil et la France, aussi bien que sur l’œuvre de Roland Barthes. 
Gustavo Guerrero est professeur d’Histoire Culturelle et de Littérature hispanoaméricaine contemporaine à l'Université CY Cergy Paris et à l'Institut d'Études Politiques de Saint-Germain-en-Laye. Parallèlement il est le conseiller littéraire de la maison Gallimard pour le monde hispanique et lusophone à Paris. Il est auteur des essais La estrategia neobarroca (Barcelone, 1988) , Itinéraires (Caracas 1997), La religion du vide (Mexico, 1998), Poétique et poésie lyrique (Paris, 2001), Historia de un encargo : La Catira de Camilo José Cela (Barcelone, 2008), et Paisajes en movimiento, literatura y cambio cultural entre dos siglos (Buenos Aires, 2018). Actuellement il dirige le projet interuniversitaire « Médiation éditorial, d
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