Première expérience lesbienne pour une jeune brune hétéro

Première expérience lesbienne pour une jeune brune hétéro




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Première expérience lesbienne pour une jeune brune hétéro
(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
Je ne peux pas me qualifier de nymphomane, mais disons que je suis très portée sur le cul... J'ai eu souvent de torrides aventures avec des amants qui ont su me faire jouïr jusqu'à ce que j'en frémisse de tout le corps. Mais bien que cela puisse paraître étrange, malgré que j'eus toujours été satisfaite à volonté dans la vie, mon aventure la plus excitante a été une aventure lesbienne.

Tout a commencé bien banalement... Je passait par les portes pour ramasser des fonds pour un certain organisme. Je frappai à la porte d'une maison et ce fut très long avant que quelqu'un ne vienne répondre. J'étais sur le point de m'en aller quant une femme est venue ouvrir... Qu'elle ne fut pas mon étonnement de voir une femme d'environ 25-26 ans répondre (moi qui en ai 18) et qui porait une robe de chambre attachée assez lâche pour que je puisse voir la courbe de ses seins et son triangle de poils bruns foncés. La chose qui m'étonna plus encore fut de constater que ma chatte était exitée et mouillée.

La femme m'invita à entrer chez elle... J'étais tellement bouche bée que je l'ai suivit s'en rien dire jusqu'à son salon. Mal à l'aise, je commençai à lui expliquer le but de ma visite. Elle s'emblait ne pas tellement s'y intéresser et pendant que je radottais inutilement, elle défit complètement sa robe de chambre et commença à se flatter. J'ai cessé de parler. Elle comprit sûrement que j'étais exitée juste à voir surement comment je la fixais et comment je me tortillais sur le divan. Elle me dit de me déshabiller sur un ton chaud mais autoritaire. Ce que je fis. Elle s'approcha de moi, et sans hésitation, elle alla directement d'une main sur ma chatte humide, et de l'autre, elle commença à pétrir mes seins avec force. Elle commença à tracer des cercles sur mon clitoris avec trois de ses doigts. Les cercles étaient de plus en plus rapide et elle mettait de plus en plus de pression. Déjà je croyais m'évanouir tellement que j'étais excitée. Mais ça ne s'arretait pas là...

Toujours en me pétrissant le clito de sa main experte, elle amana sa langue vers mon minou au comble de l'excitation. Je respirait très fort et poussait de petits cris. Elle léchait sans plus s'arrêter et mon vagin en entier vibrait à chaque coup de langue qu'elle me distribuait. Avec mon pied je lui chatouillais le minou et elle aussi je voyais bien qu'elle en raffolait. Ma timidité commençait à fondre complètement. Je lui pressait la tête tellement j'étais excitée et là, j'ai eu le plus bel orgasme de ma vie.

Je lui ai offert de lui rendre l'appareil et sans rien répondre, elle s'est étendue en s'écartant les jambes pour me laisser voir sa petite langue rose qui ne demandait qu'à être embrassée. Nous ne parlions pas beaucoup, nous étions bien trop occuper à jouïr ou lécher... Je la lichais et le jus que sa chatte produisait ne m'écoeurait même pas...Au contraire. Après qu'elle aille crier de plaisir à son tour, nous avons essayer un autre truc...

Chatte contre chatte, nous avons commencée à nous frotter ensemble. Le contact de son poil frisé sur le mien m'électrisait. Elle me massait les seins avec vigueur et puis tout d'un coup elle s'est levée brusquement me laissant là, toute mouillée et excitée... Heureusement elle est vite revenue avec quelque chose à la main. C'était un vibrateur tout en relief. Du genre parfait pour faire joïr à la mort. Elle a commencé à me le pénétrer dans des mouvements lents de va et viens. Je lui disait d'aller plus vite, étant trop pressée de venir une nouvelle fois, mais elle ne m'écoutait pas et faisait prolonger mon plaisir. Elle faisait tourner le vibrateur en dedans de moi, et je sentais les relief du plastique qui me chatouillait. Elle commença soudainement à aller plus vite et de l'autre main, elle me branlait encore le clito. J'ai été très étourdis et je crois que j'ai vu noir un moment... Elle me lâcha un peu et se m'asturba devant mes yeux avides de spectacles avant de recommencer à me licher de nouveau.

Les émotions remis, je me r'habillai et alla regagner ma piaule en repensant à cette aventure incroyable. Tout avait été trop bon et je ne regrettais rien. Je n'ai jamais eu après d'autres relations avec cette femme (qui ne m'a jamais dit son nom) ni avec aucune femme d'ailleurs. Je ne suis pas lesbienne mais je ne regrette en rien cette expérience. Souvent, ou même présentement seulement en écrivant cette histoire, je me flatte, me branle le clito en repensant à cette licheuse de minou qu'aucun gars n'a réussit à battre jusqu'à maintenant...

J'espère que vous ferai de même en lisant mon histoire, comme j,ai fait de même en lisant les vôtres.



Laisser un commentaire Annuler la réponse.









Bienvenue sur mon blog ! Je m’appelle Agathe
© 2017-2020 | Du bruit sous la couette



WordPress Theme: Tortuga by ThemeZee .







Confidentialité et cookies : ce site utilise des cookies. En continuant à naviguer sur ce site, vous acceptez que nous en utilisions.
Pour en savoir plus, y compris sur la façon de contrôler les cookies, reportez-vous à ce qui suit :

Politique relative aux cookies

On entend beaucoup parler de « LA première fois ». C’est un moment spécial entouré de questionnements, doutes, envies… redouté ou attendu avec im patience ! Et c’est la première étape d’une sexualité avec autrui.
Olivier, un homme-cis hétéro de la trentaine a replongé dans ses souvenirs adolescents pour nous raconter sa première fois avec sincérité :
Ma première fois… je m’en souviens comme d’un moment très sensuel.
C’était l’été de mes 16 ans. J’étais parti en camping avec mes parents pour mes dernières vacances avec eux (l’été d’après je travaillais), on avait loué un mobil-home pour deux semaines.
Coralie était en vacances avec ses grands-parents, dans le mobil-home voisin de celui de mes potes. Elle avait le même âge que moi, juste quelques mois de plus. Un soir, on faisait une petite soirée avec mes potes et elle nous a rejoints. À un moment de la soirée, on s’est retrouvés seuls… et on s’est embrassés ! Notre histoire commençait.
Une semaine plus tard, on est allés sur la plage le soir, on a regardé le coucher de soleil ensemble (qu’on regardait pas forcément en fait !). On s’embrassait. Puis de fil en aiguille, j’ai glissé ma main dans sa culotte pour la caresser… Je lui ai demandé si elle était d’accord, et elle m’a dit de continuer. Puis on est allés dans son mobil-home vide (ses grands parents étaient partis au restaurant). On était tous les deux super excités : j’avais la barre et elle mouillait à fond. On s’est déshabillés. Coralie était magnifique. Je me suis allongé au-dessus d’elle en position du missionnaire. Je savais pas trop comment m’y prendre… Du coup, après c’est elle qui s’est couchée sur moi. Ça rentrait plus facilement comme ça. Ça a duré une ou deux minutes. J’ai joui direct ! Par contre, Coralie je pense pas, elle n’a rien dit. On ne s’était pas protégés. Y’avait pas de distributeur de capotes dans le camping ! Mon père m’en avait filées quelques-unes mais je les avais pas sur moi quand le moment fatidique est arrivé avec Coralie (NDLR : ceci est l’histoire d’Olivier, pour votre propre histoire, prenez soin de votre santé et de celle des autres : Protégez-vous ! Dépistez-vous !) . Elle n’a pas eu spécialement mal, et il n’y a pas eu de sang. C’était notre première fois à tous les deux, c’était un bon moment ensemble. Ensuite, on a continué à s’embrasser et à se caresser tous nus… on aimait bien s’embrasser. Puis il a fallu que j’y aille car ses grands-parents allaient rentrer du restau (dommage ! je serais bien resté).
C’était déjà la fin des vacances, et elle est partie deux jours après… On n’a pas pu le refaire. J’étais un peu triste, deux semaines de vacances c’est trop court. On s’était dit qu’on allait se revoir, mais Coralie habitait trop loin et au final on s’est jamais revus. On s’est appelés quelques fois jusque l a fin de cette année-là, puis on ne s’est plus donné de nouvelles. 
Après avoir raconté sa première fois avec sincérité, Olivier nous confie l’état d’esprit dans lequel il était à ce moment spécial :
Ça faisait un moment que j’avais envie d’essayer de faire l’ amour : chez un garçon ça travaille. J’étais sorti long temps avec une fille en sixième, on s’était caressé les sexes, mais sans jamais se retrouver seuls le soir (sa mère voulait pas que je dorme chez elle). Donc on en était restés là.
Quand le moment de faire l’ amour pour la première fois est arrivé avec Coralie, je me demandais si j’allais pas jouir trop vite. Surtout quand je l’ai vue toute nue, elle était trop belle, c’est la plus belle fille avec laquelle je sois sortie, mes potes étaient jaloux ! Du coup j’appréhendais un peu. J’avais peur de ne pas tenir long temps … Et en plus j’étais ado, et après l’acte j’avais envie de dire à mes potes : « j’ai fait jouir ma copine toute la nuit ! ». Au final, ça ne s’est pas vraiment passé comme ça ! Je pensais que ça durerait un peu plus long temps quand même, mais bon. Je l’ai quand même dit à mes potes, sans aborder la durée par contre : « oh les gars, ça y est ! je L ’ai fait ! ». 
Après cet amour de vacances, j’ai fait l’ amour une deuxième fois (et plein d’autres fois ensuite !) environ un an après, quand je suis sortie avec ma deuxième copine.
Je remercie Olivier qui a joué le jeu en racontant sincèrement sa première fois, sans en rajouter. J’aime sa transparence !
Et vous ? Comment s’est passé votre première fois ? Ou alors êtes-vous encore vierge ? Si c’est le cas, quel est votre état d’esprit par rapport à votre « situation » ?
Laissez-moi votre témoignage en m’écrivant ici ou commentez directement cet article (plus bas). Merci !
Si vous hésitez à vous confier, rendez-vous sur cette page .
Crédit photo : moi lors de mon séjour en Guyane ^^
Témoignage 6/21 : Depuis le 16 Février 2018, je réalise mon défi de blogueuse follement motivée ! Comme expliqué dans mon article vous l’annonçant, je recueille les témoignages de 21 abonné-e-s motivé-e-s et les publie sur mon blog, chaque jour pendant 21 jours ! Il n’y a aucune norme en sexualité et je…
Ah... LA première fois ! Elle fait parler d'elle ! Une simple requête "première fois" dans le moteur de recherche Google donne 285 millions de résultats, c'est dire si le sujet fait couler de l'encre (virtuelle) ! Le problème quand on parle de LA première fois Habituellement, on désigne…
Aujourd’hui commence mon défi de blogueuse follement motivée ! Comme expliqué hier dans mon article vous l’annonçant, à partir d'aujourd'hui je recueille les témoignages de 21 abonné-e-s motivé-e-s et les publie sur mon blog, chaque jour pendant 21 jours ! Il n’y a aucune norme en sexualité et je souhaite en parler sans…
Le contenu de ce site est protégé par les lois et traités internationaux sur le Copyright. Toute reproduction ou exploitation non autorisée, en tout ou partie, est passible de lourdes sanctions civiles et pénales, et sera poursuivie dans la mesure permise par la loi.

Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Paramétrer les cookies Accepter et fermer


Se connecter







Rechercher sur le site











Partager sur facebook









Partager sur twitter









Partager sur pinterest









10






Voir la galerie







10 célèbres couples gays qui n’ont pas peur de s’afficher

Suivez-nous





Lien vers réseau social facebook








Lien vers réseau social twitter








Lien vers réseau social pinterest








Lien vers réseau social youtube








Lien vers réseau social instagram








Lien vers réseau social snapchat










Newsletter Psycho-Sexo
Je m'inscris


Contacts





Annonceurs




Abonnez-vous




La rédaction




Et depuis toujours, Elle s'efforce de vous proposer des articles de qualité, engagés et exclusifs. La publicité est un des moyens de nous soutenir. En acceptant ces cookies, vous nous permettez de maintenir cette exigence éditoriale.
Nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des données personnelles vous concernant comme celles liées à votre visite sur ce site. Nous pouvons également utiliser des traceurs exemptés du recueil du consentement pour le dépôt de cookies de mesure d’audience. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur 'Paramétrer' ou dans notre page 'Données personnelles et cookies' .
Elles se croyaient hétérosexuelles, vivaient en couple... Et elles sont tombées amoureuses d'une femme. Témoignages de ces basculements heureux et souvent libératoires. 
« J'ai toujours été gênée par les décolletés plongeants, jusqu'au jour où j'ai compris que j'étais attirée ! Mon amoureuse dit que je suis carrément fétichiste des seins ! se marre Florence*, 52 ans, ingénieure, mère de trois enfants, en couple avec Chantal depuis quatre ans. Il m'aura fallu un divorce et une psychanalyse pour accepter le fait que j'aime les femmes. Mon mariage n'était pas une catastrophe, j'étais sincère. Je me disais juste que la vie n'était pas terrible... Je faisais tout bien comme on m'avait dit. Maintenant, je vis enfin ce que je veux ! » Vivre en accord avec soi-même, se débarrasser des diktats sociaux intériorisés pour s'autoriser à être heureux... Comme Florence, ou l'héroïne de Constance Debré dans « Play boy », qui vient de paraître aux éditions Stock, de plus en plus de femmes, après une vie hétérosexuelle très construite, osent enfin exprimer leur amour pour une personne du même sexe. Partout, autour de nous, des couples de femmes qu'on croyait hétéros se forment, s'épanouissent dans cette nouvelle sexualité à laquelle elles n'avaient pas forcément pensé jusque-là. Plus nombreuses ou seulement plus visibles, plus assumées ? Impossible de trancher. Mais les temps changent. « La sexualité homosexuelle a longtemps été vécue hors mariage. L'idée que nous devons vivre selon nos désirs profonds est très récente », remarque le sociologue Sébastien Chauvin, qui a publié, avec Arnaud Lerch, « Sociologie de l'homosexualité » (éd. La Découverte). Cette aspiration infuse tous les niveaux de la société. « 35, 40 ans, c'est l'âge des premiers bilans. L'identité sexuée est un enjeu fondamental. Et on se retrouve souvent dans un couple 'fraternisé', où on ne se sent plus exister en tant que femme, analyse le psychanalyste Robert Neuburger, auteur du 'Couple : le désirable et le périlleux' (éd. Payot). L'être humain est bisexuel de naissance : il suffit parfois d'une rencontre pour réveiller une possibilité latente. On peut se sentir plus pleinement femme dans les yeux d'une autre femme. » De fait, dans son cabinet, le psychothérapeute voit de nombreuses patientes, au sein d'un couple en crise, partir avec une femme, lesbienne en général. Souvent, elles ne se disent pas « homos » ou « lesbiennes », mais déclarent juste « être tombées amoureuses de cette personne - là ».
« J'aurais pu passer ma vie dans le déni total, à chercher le bonheur parmi les hommes. »
Une réalité dont les filles qui aiment les filles ont fait une blague, imprimée sur leurs T-shirts lors des manifs pour les droits LGBT : « I'm not a lesbian, but my girlfriend is » (je ne suis pas lesbienne, mais ma petite amie l'est). Une formule miroir pour nos témoins. « Ma chérie, elle, c'est une vraie ! » glissera Margot, spontanée. Une vraie ? Comprendre « une lesbienne qui a toujours su qu'elle l'était, le revendique et l'affiche », explique-t-elle. Il y a deux ans à peine, « une éternité ! », la jeune productrice de cinéma au visage poupin et au sourire pudique parlait bébé et papier bleu d'azur avec l'homme qui partageait sa vie depuis six ans. Quand, séparée pour la première fois de lui pendant le Festival de Cannes, un vent de liberté et une femme lui font tourner la tête. « Elle était sur le point de se marier ! J'ai juste passé une soirée à parler avec elle. Mais elle m'attirait comme un aimant. Quand j'ai compris que je ne la verrais plus, ça m'a brisée ! Je ne savais plus où j'en étais. » Une porte s'est ouverte, le début d'un long chemin vers la renaissance : « Avant, j'étais spectatrice de ma vie, maintenant, j'en suis l'actrice ! poursuit Margot. Et je remercie la première lesbienne qui m'a embrassée juste après le festival, même si elle m'a beaucoup baladée... Sans elle, j'aurais pu passer ma vie dans le déni total, à chercher le bonheur parmi les hommes. » De fait, dans une société encore très hétéronormée, où toute personne, sauf mention contraire, est supposée hétérosexuelle, la prise de conscience peut être très tardive, car on ne l'envisage même pas.
Que de temps perdu ! commentent nos témoins. « Je ne savais pas qu'on pouvait être aussi heureux ! Si c'était à refaire, je le ferais beaucoup plus tôt, mon seul regret ! Mais mon père était militaire », raconte Sophie dans un rire haut perché. « Beaucoup de personnes dans le déni ou le mensonge ne le seraient plus si elles savaient combien c'est plus simple de le dire, assure Marianne, 47 ans, écrivaine, en couple depuis cinq ans avec Véronique. On cesse à la fois d'être une proie pour les hommes et une rivale pour les femmes. Quelle libération ! » Sans occulter les nombreuses réactions lesbophobes, toujours inévitables et très violentes (lire l'encadré), en particulier au sein de la famille (« Ça va te passer, t'es sous le choc de ta rupture ! », « Aaah ! Moi, je pourrais jamais lécher une... » et on en passe), le cercle de leurs amis est resté le même et se réjouit de l'évident mieux-être de nos t
Who's Nailin' Paylin
Excellente scène hardcore anale de Riley Reid
Lesbienne Sadique

Report Page