Première expérience anale en classe

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Première étape de l’expérience : mise en place







mardi 31 mars 2020


par CE1C Murielle








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Je te propose de refaire l’expérience que nous avons commencée en classe.
Matériel :
 2 bouteilles en plastique + les bouchons
 de la matière organique : des épluchures de fruits et de légumes (interdits : citron, orange, ail, oignon)
L’expérience :
 Remplir la moitié d’une bouteille en plastique de matière organique.
Fermer la bouteille. Mettre la bouteille au soleil ou proche d’un radiateur.
 Fermer l’autre bouteille, sans matière organique. Mettre cette bouteille au même endroit que l’autre.
 Ouvrir les bouteilles au bout d’une semaine.
Ne pas ouvrir les bouteilles pendant une semaine. C’est très important !
Dans une semaine, je t’enverrai les consignes pour ouvrir les bouteilles pour pouvoir bien finir l’expérience.
Tu peux prendre les bouteilles tous les jours en photo. Tu pourras les ajouter à ton compte rendu d’expérience.

(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
J'ai quitté le lycée en fin de 3 ème pour rejoindre une école d'électronique en 2 ème T1. Jusqu'au BAC tout s'est passé normalement. J'avais 18 ans à ce moment là et je suis rentré en classe de BTS électronique pour deux ans. Moi qui n'avais jamais été spécialement attiré par les garçons, j'ai ressenti un phénomène étrange quand je me suis retrouvé en face d'un garçon blond comme les blés avec des cheveux mi-long et des yeux bleus à faire pâlir n'importe quelle fille. Bizarrerie des choses, je me suis trouvé assis à côté de lui au premier cours ce qui nous a permis de faire plus ample connaissance. Je ne savais pas ce qui m’arrivait mais j'étais très attiré par ce garçon. Nous commençâmes à faire plus ample connaissance et je ne sais si c'est ma façon de le regarder mais il a senti en moi qu'il se passait quelque chose. Quelques jours plus-tard, le prof de techno nous confia un travail en binôme et effet du hasard je me retrouvai avec lui. Nous n'avions que 3 jours pour préparer notre sujet et il me proposa de travailler chez lui après les cours. Je m'empressai de valider cette idée sans comprendre vraiment pourquoi. Le soir même, après les cours et après avoir prévenu mes parents que je rentrerai pas tout de suite, nous allâmes chez lui.

Ses parents étaient absents pour plusieurs jours pour raison professionnelle. Je me retrouvai donc chez lui et seul avec lui. Nous nous sommes mis au travail et étions de ce fait très proche l'un de l'autre. Je sentais la chaleur de son corps très proche de moi ainsi que son odeur. Je ne sais pas pourquoi mais je me suis mis à bander et à trembler comme un jeune chiot à qui l'on offre une friandise. Il me posa une question et je me mis à bafouiller.

— Je crois que j'ai compris ce qui te perturbe…

Et avant même que j'ai le temps de répondre, il enroula ses bras autour de mon cou, me tira vers lui et me roula une énorme pelle. Sans que j'ai le moindre temps de réagir, je me laissai aller à ce moment tellement agréable. J'étais en train de découvrir une sensation que je ne soupçonnai même pas, embrasser un garçon. Je mis mes bras autour de son cou et je découvrais aussi la douceur de la peau d'un garçon. Qui eu cru qu'un garçon avait la peau aussi douce que cela, bien plus agréable que la peau des filles. Est-ce d'avoir été depuis trois ans dans une école où 99% des étudiants étaient des garçons qui me conduisait à cette situation ? Néanmoins j'étais très bien au contact de ce garçon. Après cette façon qu'il avait eu de me rouler cette pelle, je ne me sentais plus et le sujet que nous devions travailler me paraissait bien loin.

J'avais qu'une seule envie, celle de me retrouver à poil avec lui contre moi. Il attrapa ma main et me demanda de le suivre. Il m'emmenait dans sa chambre en fait. Sans que j'ai eu même le temps de réagir, il avait retiré son tee-shirt et là je découvris le torse imberbe de ce garçon superbe. Pour mémo, il s’appelait Patrick. Emporté par l'envie, je faisais pareil et nos deux corps s’enlacèrent sans retenue. J'adorai sentir sa peau, sa chaleur, son odeur contre moi. Nous nous frottions l'un contre l'autre, nos deux sexes se touchèrent à travers nos pantalons. Je sentais son membre dur contre le mien tout aussi dur. En moins de temps pour le faire que le dire, nous nous sommes retrouvés en boxer (c'était la mode à ce moment là), il avait des jambes splendides, imberbes, tout comme moi du reste. Jusque là, c'est lui qui avait pris les initiatives, mais là ça a été moi. J'ai baissé son boxer et devant sa queue en érection j'ai posé ma main dessus. Quelle chaleur et quelle douceur !!! Sur mon élan je me suis mis au niveau de cette queue si agréable à caresser. Sans encore comprendre ce qui m'a pris, j'ai enfourné sa queue dans ma bouche et là quelle surprise, que c'était bon, je découvrais un plaisir insoupçonné mais je n'étais pas encore au bout de mes surprises mais çà c'est pour la suite.

















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Par Maryse Esterle, 16 ans, lycéenne au lycée Claude-Debussy, Saint-Germain-en-Laye (Yvelines).[1]
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
J’ai grandi à l’école des filles. Plus exactement, j’ai eu des copains à l’école maternelle, mais dès le cours préparatoire, ce furent les filles d’un côté et les garçons de l’autre.
Je fus lycéenne (à l’époque, il n’y avait pas encore le collège unique) au lycée public de filles de Saint-Germain-en-Laye, jusqu’en 1969.
J’avais 16 ans et demi en mai 1968, je terminais ma première et je n’avais jamais parlé avec un garçon. Bien sûr j’en avais côtoyé quelques-uns : j’avais deux frères plus âgés que moi, qui amenaient quelquefois des copains à la maison. J'avais aussi trois cousins et une fois, vers l’âge de 14 ans, je suis sortie en cachette de mes parents avec deux copines et le frère de l’une d’entre elles. J’avais dit que j’allais au musée du Louvre (mes parents étaient professeurs, je pensais que ça passerait bien), et en fait j’étais allée dans les grands magasins parisiens, Printemps et Galeries Lafayette. L’événement était tellement exceptionnel que je me souviens encore du visage du jeune garçon. Ma mère ne m’avait pas crue, avait piqué une monumentale crise de nerfs et je l’avais entendue dire à mon père : « Cette petite reviendra enceinte. » Je ne savais même pas comment je pourrais m’y prendre pour ça.
Mon adolescence, comme celle de beaucoup de mes camarades, s’est déroulée sans garçons jusqu’en mai 1968, avec beaucoup d’interdits à propos de relations qui pourtant n’existaient pas. Ils n’étaient cependant pas loin, ces garçons : à quelques dizaines de mètres des quelque deux mille filles du lycée Claude-Debussy se trouvaient deux mille garçons au lycée Marcel-Roby. Si garçons et filles ne se rencontraient pas car les sorties se situaient dans deux rues différentes, les installations sportives des deux lycées étaient accolées. De loin, en courant autour du stade des filles, nous pouvions apercevoir des garçons qui nous regardaient. Les surveillantes faisaient la chasse à ceux qui franchissaient les limites des installations des filles et, régulièrement, on apprenait « qu’un garçon avait été trouvé dans le gymnase des filles ».
Certaines d’entre nous étaient chanceuses : elles avaient des frères de leur âge ou bien leurs parents les laissaient fréquenter quelques garçons. C’étaient en général des filles de la grande bourgeoisie, dont les parents étaient sans doute un peu plus libéraux que ceux de la petite, dont j’étais.
J’ai grandi, comme les filles de ma génération, avec des professeurs femmes. La ségrégation des sexes à l’école, c’est aussi ça : des millions de garçons et de filles qui grandissent, apprennent, sont éduqués, s’amusent dans une fausse société, sans hommes ou sans femmes. À l’époque, comme mes copines, je rêvais d’être en classe avec des garçons. Perspective inaccessible, indicible, suspecte si elle était évoquée. Que diable voulions-nous faire avec des garçons dans les classes ? Alors nous nous taisions et gardions pour nous nos rêves de prince charmant venant nous cueillir du haut de son destrier (ou plutôt au volant de sa DS 19) pour nous emmener vers les paradis de l’amour. Pour ma part, cela donna par la suite quelques petits amis motards et un goût pour les voyages jamais démenti jusqu’à présent.
Nous portions des blouses roses ou bleues (on disait « c’est la semaine rose ou c’est la semaine bleue ») et nous devions dissimuler nos vêtements sous ces blouses. Nous avions à les fournir et à les entretenir nous-mêmes. Il y avait des boutiques spécialisées où on pouvait en trouver. Quand une fille s’était trompée de semaine, elle était facile à repérer et à sanctionner : une bleue dans une vague de roses, une rose au milieu des bleues.
Les adeptes des blouses disaient qu’ainsi les filles de condition plus modeste ne se formalisaient pas des vêtements de bonne coupe de leurs camarades plus riches. C’était gentil de penser à ça, où va se nicher la mixité sociale… Dans ce lycée hautement élitiste de Saint-Germain-en-Laye, tout indiquait aux plus pauvres (fort rares au demeurant) que les autres avaient eu en naissant ce qu’elles mettraient des années à ne pas acquéri
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