Première anale phénoménale

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Première anale phénoménale
Je n’étais pas vraiment prête pour ma première pénétration


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Illustration : Garance (@garancebb)
Quand tu repenses à l’adolescence alors que t’es bien entamé.e dans la vingtaine, t’as une perspective différente. Une perspective beaucoup plus objective. Parce que tu réalises que la chicane que t’as eu à 15 ans avec ta soeur n’est pas si dramatique que ça. Que si tu ne passes pas ta pratique d’examen de français, bien ce sera de l’histoire ancienne bientôt. Puis le petit nouveau dans ta classe, c’est sûrement pas l’homme de ta vie même si tu voulais y croire fermement.
Dans ces années de découvertes, les hauts sont très hauts et les bas sont très bas. C’est comme être scotché.e au wagon de la montagne russe et la fin du manège est à l’âge adulte. Je veux dire, l’âge adulte n’est pas parsemé de fleurs et de nutella, mais c’est un autre genre de manège. C’est comme passer du Goliath au Monstre . Certains seront rassurés, d’autres non. 
Alors le moteur de ma montagne russe s’appelait Mathias. Il était bien cute , ben intelligent et on avait la même première lettre dans nos noms de famille. Ça, ça veut dire que nos bureaux étaient toujours à côté. Ça faisait quatre ans qu’on était dans la même classe, deux ans qu’on était voisin.e.s de casier et un an qu’on allait aux mêmes party. Ça fait que ça a pas pris beaucoup de temps qu’on est devenu.e.s ben proches! C’était mon meilleur ami, avec qui je textais chaque jour, disais je t’aime chaque soir (toujours en ami.e.s) et que j’avais hâte de le retrouver au matin. Puis, on se donnait de plus en plus de câlins. Il me prenait la main sous prétexte de me guider. Nous étions confortables ensemble.
Mais, j’étais innocente. Même lorsqu’il me demandait ce que je ferais s’il m’embrassait, je pensais qu’il niaisait, qu’il se foutait de moi ou qu’il cherchait à me provoquer. Ce à quoi je répondais : essaie et tu verras. C’était ma réplique principalement parce que je n’avais aucune idée de comment je réagirais! Est-ce que j’allais vouloir continuer de l’embrasser ou j’allais être répugnée? Et notre amitié si précieuse?
Vous devinerez qu’il m’a embrassée… et j’ai bien aimé! Pas longtemps après, on annonçait à nos ami.e.s qu’on était un couple! Un drôle de couple à part de ça. Deux personnalités particulières qui ne se complémentaient pas vraiment. On n’avait pas les mêmes intérêts ou passe-temps, alors encore une fois ce qui nous gardait connectés était l’école. Alors même lorsqu’on se voyait en dehors de l’école, bien, on faisait des devoirs. J’avoue qu’on était plus fun que ça quand même, on allait aussi se baigner, ou jouer dans la neige, ou on regardait des films dans sa chambre.
C’est donc dans le sous-sol de nos parents que nous avons partagé nos premières coquineries au lit. Lui, c’était un séducteur avec expérience. Moi, je me voyais plus comme une vierge marie (et oui, comme dans vierge et sans aucune expérience précédente dans le domaine) un peu curieuse, mais pas trop. Alors dans l’aspect sexuel de notre relation, je l’ai fait languir. Disons qu’avant lui, je ne savais même pas ce qu’on pouvait faire avec une vulve et un pénis, à part une pénétration . Je n’étais pas pressée d’apprendre, pourtant mes limites étaient toujours repoussées et remises en question par Mathias.
Mathias voulait toujours plus. Ce n’était pas assez de toucher mes seins par dessus la brassière. J’étais déjà assez gênée qu’il touche ma brassière, j’avais pas vraiment envie d’aller plus loin. Comment sont mes seins? Va-t-il les aimer? Est-ce que moi je vais aimer le toucher de sa main? Et si finalement, j’aime pas ça? Est-il trop tard pour revenir en arrière? Et c’est vraiment ce mythe dément que j’ai gardé en tête. Qu’une fois qu’une action était posée, ben, à quoi bon dire non la prochaine fois, il est déjà trop tard. Un peu comme s’il avait débloqué un niveau dans Mario Bros : je croyais qu’il y aurait toujours accès. Bien sûr, j’étais naïve, je ne connaissais rien aux relations de couple sauf ce que je lisais dans mes livres de romance. Donc, à force de demander, je cédais à ce qu’il me touche sous la brassière. Par la suite, ce n’était pas assez d’explorer mon corps avec un t-shirt et des pantalons, il en voulait un peu plus. Pourtant, je voyais pas le but de me déshabiller. Ça me rassurait ces couches de vêtements. Comme un bouclier dans une tornade de malaise, de gêne et d’insécurité. Pourtant, après maintes incitations, j’ai accepté de retirer mon chandail. La prochaine fois qu’on allait se voir, je savais déjà que je devrais argumenter pour garder mon pantalon. 
Mais, cette pression à repousser mes limites, elle n’est pas juste venue de Mathias. À l’école, le sexe était un sujet de conversation populaire. Il n’était pas rare que nous en parlions entre ami.e.s et que toustes soient curieux.ses des ébats de toustes. Même si j’étais à l’aise de partager mes aventures sous les draps avec mes amies proches, le sujet de ma virginité me rendaient mal à l’aise. Comme si je la protégeais trop et en même temps, comme si je ne m’en étais pas débarrassée suffisamment rapidement. Comme si la pénétration du P dans le V était la seule façon de faire l’amour et de perdre sa virginité (je tiens à dire que la virginité est un concept social , merci). Je savais que les amis de Mathias étaient aussi impatients que lui que nous passions à L’ACTE. Comme quoi beaucoup de personnes se préoccupaient de notre vie sexuelle. Certaines questions étaient trop familières : L’avez-vous fait? L’as-tu enfin fait? Emphase sur le enfin . Non seulement Mathias souhaitait impatiemment vivre une expérience sexuelle soi-disant complète avec moi, mais les personnes dans mon quotidien commençaient à me mettre de la pression et à porter des jugements sur notre vie sexuelle. 
On s’entend que la relation de Mathias et moi nous appartenait, mais au secondaire, tu veux toujours savoir ce que les autres font ou font pas. Ce qui est cool ou pas cool. Ce qui est acceptable ou ne l’est pas. Mon entourage dictait les règles d’une relation et c’était à moi de m’y conformer ou non. (Après combien de temps c’est correct de faire une pipe ou un cunnilingus? Deux semaines, quatres semaines, six semaines? Après combien de mois c’est correct de faire l’amour – ou plutôt pratiquer la pénétration – avec son chum ou sa blonde? Un mois, trois mois, six mois? Selon mon entourage, trois mois était l’idéal.) Alors, les limites que j’essayais d’imposer étaient facilement balayées par les paroles des autres. Le dialogue dans ma tête ressemblait à ça : Oh, je pense pas que je suis à l’aise d’avoir une main dans ma petite culotte. Ah, mais Jessica, elle, avait déjà fait une fellation à son chum après un mois de fréquentation. Peut-être que je devrais le laisser faire, ça sera sûrement pas si pire et il sera content.
Alors que les expériences d’autrui et les désirs de Mathias guidaient notre exploration sexuelle, je me sentais très détachée de ma sexualité. J’adorais quand on s’embrassait et qu’on se caressait, mais quand venait le temps de toucher les organes sexuels de l’un.e ou de l’autre, ce n’était plus une partie de plaisir. Si j’avais écouté mon corps, j’aurais attendu encore avant de vivre certaines expériences sexuelles. Même chose si j’avais écouté ma tête et non les standards de mes ami.e.s. Et je crois fortement que ce disconnect entre mes émotions et la réalité ont été très néfastes sur mon mental et sur ma relation avec Mathias sur le long terme. Voyez vous, notre relation est passée de meilleur.e.s ami.e.s à amoureux.se à une flamme perdue. Seulement quelques mois plus tard, nous nous sommes séparé.e.s. Notre chimie, notre complicité, on l’avait perdu en cours de route à cause de notre mauvaise communication qui a menée à notre incompatibilité. Je n’étais pas bien du tout, je n’étais plus heureuse, je vivais mes émotions beaucoup trop intensément. Ce fut lourd pour lui, ce fut lourd pour moi et donc nous avons convenu de cesser notre relation amoureuse. 
Alors les relations, les premières relations, elles fessent fort. Ce n’est qu’avec du recul que je peux maintenant dire que je n’étais pas ouverte à explorer ma sexualité avec un partenaire à 15 ans. Je n’aurais jamais analysé ces premières expériences comme traumatisantes si ce n’était pas pour la physiothérapeute du plancher pelvien qui gribouillait premières relations sexuelles traumatisantes dans ses notes lors d’une de nos rencontres . Sur le coup, ça semblait être le parcours normal, populaire, prisé même! Tout le monde semblait s’amuser et vivre des beaux moments avec sa sexualité. En réalité, quand j’ai reparlé à mes ami.e.s du sexe au secondaire, nous en étions toustes un peu affecté.e.s. Pour certain.e.s, ça leur a permis de découvrir leurs préférences sexuelles, de s’aventurer dans des terrains inconnus avec espoir de s’y perdre. Pour d’autres, c’était un chantier miné sur lequel un faux pas pouvait déclencher une crise d’anxiété, une douleur physique ou une envie de se camoufler. 
Ce que j’essaie de dire est : tant mieux si mon histoire ne te rejoint pas, mais si tu te reconnais, que ce soit juste un petit peu, sache que ta sexualité t’appartient et que tu as le pouvoir de t’exprimer. Il est important d’apprendre de ses expériences et de toujours se respecter soi.
Un esprit sain dans un corps sain ,
Princesse Chihiro , jeune femme d’affaires accomplie, enthousiaste des sports et fanatique du continent asiatique, elle voudrait donner une voix à celles.ceux qui ne peuvent pas se le permettre et est horrifiée lorsque les survivant.e.s d’agressions sexuelles ne sont pas pris.e.s au sérieux. #metoo
Pour lire le dernier article de Princesse Chihiro – What’s up après 8 mois de séances chez la sexologue? – c’est ici !
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374 mots - 14.03.2017


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