Prête à se faire pilonner profondément

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J’avais un mal de gorge persistant depuis plusieurs jours et j’avais enfin décidé d’aller consulter mon médecin. Ce ne fut cependant pas lui qui me reçut mais un remplaçant. C’était en fin de journée. La consultation démarra de manière fort banal. Il me demanda mes symptômes puis m’emmena sur la table d’auscultation. C’est là que les choses commencèrent à déraper.
D’abord il me fit allonger pour m’ausculter. Je ne me méfiais pas, pensant juste qu’il avait l’habitude d’agir ainsi. Puis il me fit ôter mon haut. Mais aussi mon soutien-gorge. J’hésitais un peu, pas vraiment habituée à m’exhiber ainsi. Et il commença à me palper. Il ne m’avait même pas vérifié la gorge… Je sentis ses mains sur mon ventre et une douce chaleur monta en moi. Puis il plaça ses mains juste sous mes seins. Et enfin il les prit en main. Je sursautais légèrement mais il demanda d’un ton détaché :
« – Un problème, Justine ? »
Je bafouillais, rougissante :
« – N… Non, aucun. »
« – Bien. Tu veux bien tousser un peu ? »
Je devais me faire des idées, c’était juste sa façon de procéder… C’est vrai qu’il était plus jeune que mon médecin habituel et probablement moins pudique… Je toussotais alors. Il fit mine de vérifier mes poumons mais ses caresses devenaient de plus en plus équivoques… Mes tétons raidir doucement, pour ma plus grande honte. Et il les effleura. Je faillis pousser un cri de plaisir. Je me retins mais ma chatte se fit humide tout à coup. Cette consultation devenait une véritable torture…
Les choses se calmèrent un peu et il vint cette fois masser ma gorge, chose somme toute normal dans le cadre d’une auscultation. J’aurais juste souhaité qu’il me permette de remettre mon soutien-gorge, mes tétons se durcissant chaque seconde davantage. Je me surpris à jeter un œil vers son pantalon et le vit gonfler par son propre désir. Je rougissais encore. Sa main se posa sur mon front et il dit :
« – Vous paraissez fiévreuse… Vous avez mal à la tête aussi ? »
Je pouvais difficilement lui avouer la raison de mon émoi… Je croassais un « Non, non. » bien peu convaincant. Il soupira. Puis il me dit en replaçant ses mains sur mon ventre :
« – Détendez-vous, Justine, fermez les yeux. »
J’obéis et il m’ausculta à nouveau le ventre et les flancs. Mais j’avais plutôt l’impression d’un massage sensuel que d’une auscultation. Et cela ne contribua pas à calmer l’érection de mes mamelons. Ni la moiteur de mon intimité…
Je sentis ses mains quitter mon corps avec une pointe de dépit. Je perdais un peu pied. Et je sentis qu’il m’ôtait mes chaussures, puis mes chaussettes. Je ne comprenais pas trop mais le laissais faire. Il caressa longuement mes deux pieds, les massant. Je sentis même son souffle sur ces derniers. Et sa langue, du moins il me sembla. Je crus l’entendre murmurer :
« – Que voilà des jolis petits pieds pour une jolie petite salope… »
J’aurais du protester, me révolter. Mais je ne pus. Et puis je n’étais pas sûre d’avoir bien entendu… Il se redressa et continua à caresser mes pieds. Je n’en pouvais plus : ma chatte se liquéfiait sous l’effet du plaisir. Dire qu’il n’avait fait qu’effleurer mes seins, masser mon ventre et mes pieds… Il n’avait probablement pas tort : j’étais une sacrée salope pour réagir ainsi !
Je sursautais alors : quelque chose de gros s’était glissé entre mes deux pieds qu’il continuait à caresser. Je restais pétrifiée en ouvrant grand les yeux. Ce n’était pas possible, il ne pouvait pas être en train de se branler entre mes pieds ! Sa respiration semblait plus courte cependant… Non, je devais me faire des idées. Il fit quelques aller et retour en me regardant. Je tentais de voir mais je n’osais me redresser et ses mains m’empêchaient de voir ce qui glissait entre mes pieds. Quand il stoppa je le vis faire un geste comme si il rangeait sa queue mais je n’avais pas encore osé me redresser et n’étais sûre de rien. Je tentais de chercher un instrument qu’il aurait pu utilisé et qui aurait eu la forme adéquat. Et surtout qui aurait pu être aussi chaud. Mais je savais que je ne faisais que chercher à nier l’évidence. Mais je n’arrivais pas plus à accepter de m’offrir à lui que de prendre mes jambes à mon cou. Il revint vers moi et dit :
« – Je vais regarder ta gorge maintenant, ouvre la bouche. »
Je ne me méfiais pas. D’autant qu’il commença par regarder de manière tout à fait normal en me plaçant un de ces bâtons de bois qui m’asséchait la gorge sur la langue. Mais il ne me dit pas de refermer la bouche. Il me dit juste de fermer à nouveau les yeux. Il fit bouger ma tête de gauche à droite, massant mon cou à la recherche de je-ne-sais quoi. Et il enfourna son sexe dans ma bouche, sans prévenir.
Je paniquais, voulus reculer la tête. Mais il me retint en murmurant :
« – Allons, petite pute, sois docile, veux-tu ? »
Il venait de m’insulter. Et il me violait la bouche. Et pourtant… Pourtant, quand sa main caressa mon sein, quand son doigt titilla mon téton je tendis le torse vers lui. Je sentais que ma fleur était détrempée. J’étais sûre que cela devait être visible jusque sur mon pantalon. J’avais honte. Et je tendis mon cou vers lui, permettant à sa verge d’entrer davantage. Enfin elle buta dans ma gorge. J’étais un peu étouffée mais j’avais envie de l’avaler plus. Il murmura gentiment :
« – Il en reste, petite cochonne. Tu veux l’avoir en entier ? »
Je ne pouvais répondre mais le fait que je ne résiste plus à ses avances indiquait clairement mon envie… Alors il dit :
« – Bien. Je vais compter jusqu’à trois et avancer ensuite ma hampe. Avale ta salive à ce moment, ça aidera. »
Je hochais doucement la tête, sa bite en bouche. Puis il compta. J’étais tendue, j’avais envie de lui plaire. Quand il dit « Trois » et que je le sentis pousser j’avalais ma salive. Ma gorge s’ouvrit et son sexe avança plus que je ne l’aurais cru. Il était maintenant bien calé au fond et m’empêchait de respirer librement. Mais j’étais heureuse. Et lui aussi :
« – Très bien, Justine, j’adore ta bouche. Lèche et aspire un peu. »
Je m’exécutais tentant de satisfaire sa verge du mieux que je pouvais. Quand il m’informa qu’il allait faire entrer l’ultime centimètre je le devançais et avalais à nouveau ma salive en avançant la tête. Et je me retrouvais le nez collé à son pubis, les lèvres sur son aine. Il rit :
« – Mais quelle gourmande ! Tu es parfaite. »
Il joua un peu avec mes seins. Je commençais à manquer d’air. Il dit enfin :
« – Je vais te baiser la bouche, ma belle, prépare-toi. »
J’avais un peu peur mais me préparais du mieux que je pouvais. Il saisit fermement ma tête et commença à pilonner doucement ma gorge. J’eus un peu de mal au début mais cela devenait de plus en plus facile. Alors il accéléra. Et je collais ma tête plus près de lui. Il ahana :
« – Bordel… Tu es bonne, Justine ! »
Et il sortit d’un coup son sexe de ma bouche.
J’avais la tête dans le coton, le souffle court. J’essuyais un peu de bave qui avait coulé aux commissures de mes lèvres. Et il me prit sous les bras et me tira vers le bord de la table. Je me retrouvais la tête dans le vide. Il la redressa avec sa main et je compris vite son intention : il allait de nouveau me pilonner profondément. Et pour cela il voulait que ma gorge soit dans l’alignement de ma bouche. Il pénétra doucement mes lèvres et avança doucement sa verge en massant ma gorge et en m’encourageant de la voix. Il venait parfois flatter mes seins et je me cambrais dans ces moments là, lui offrant tout mon corps. Je le sentis même déboutonner mon pantalon et ouvrir ma fermeture éclair. Mais il n’explora pas plus loin, se contentant d’observer ce qu’il entrevoyait. Puis il se pencha sur moi. Sa bite entra profondément. Mais j’étais prête et l’avalais sans soucis. Je m’attendais à ce qu’il me lèche, m’offre un délicieux soixante-neuf. Mais non. Ses mains caressèrent mes jambes et il ramena mes pieds contre mes fesses avant de commencer à les masser, les lécher. Il me rendait folle. Et je le lui rendais en suçant comme une damnée. Enfin il soupira :
« – Tu t’y prends trop bien : je vais bientôt venir… »
Il se redressa et sortit sa verge. Il la frotta sur mon visage et je la léchais, la caressais. Enfin il dit :
« – Ta gueule de pute me donne envie d’éjaculer dessus. Mais j’ai d’autres projets. »
Et je vis son sexe disparaître de mon champ de vision.
J’attendis, impatiente, angoissée même. Et il prit mes pieds et les fit se refermer sur son sexe. Et il se branla ainsi. Je n’en pouvais plus : je me mis à gémir en me caressant la poitrine. Et je sentis sa semence couler sur mes pieds alors qu’il se vidait dans un râle… Il me regarda alors. Il semblait un peu ailleurs, je lui faisais visiblement de l’effet… Il sourit :
« – Tu était ma dernière consultation. Je crois qu’on va la prolonger un peu… »
Je me redressais et lui souris juste en guise de réponse. Il saisit doucement mes hanches et me tira de nouveau sur la table. Il monta dessus et m’embrassa. Puis il caressa mes cheveux, dégagea mon oreille et la contempla comme un objet précieux. Il susurra :
« – Tu es très belle. J’aime ton corps. »
Nous échangions un sourire, un regard brûlant. Puis un baiser. Un baiser tout doux, du bout des lèvres. Et sa voix se fit sensuelle lorsqu’il me demanda :
« – Tu veux bien te lécher les pieds, ma puce ? »
Je n’avais jamais été une femme du goût du sperme. Mais là j’avais envie de lécher jusqu’à la dernière goutte. Je hochais la tête, incapable de parler. Il se recula et se masturba doucement en me regardant. J’entrepris alors de me lécher les pieds de la manière la plus érotique possible. Mais ce n’était guère facile et je pouffais alors que je manquais de perdre l’équilibre. Il rit lui aussi. Puis il lâcha sa queue et vint se placer derrière moi. Ses mains se posèrent sur mes seins. Il me lécha le cou. Puis il murmura, sa tête sur mon épaule :
« – Je te tiens, ce sera plus facile… »
Et je continuais alors à lécher, terriblement excitée…
Quand j’eus fini j’avais envie d’être prise, là, tout de suite. Il le savait j’en étais sûre. Mais il prenait son temps. Il m’enleva doucement mon pantalon. Puis il caressa et embrassa longuement mes mollets, mes cuisses. Je me sentis s’approcher très près de mon intimité et faillis défaillir. Mon ventre était noué par le désir. Je ne pouvais plus parler, juste ahaner, gémir. Et ma culotte glissa. Je n’en pouvais plus et ma voix brisée retentit :
« – Oui, oui ! Prenez-moi ! »
Mais il n’en fit rien. Au lieu de ça je sentis son corps glisser contre le mien. Et il m’embrassa passionnément. Sa main caressa mon sein. Et l’autre joua avec les fines lèvres de ma chatte. Il me regarda longuement. Et il dit :
« – Tu es à moi… »
Puis il descendit lentement le long de mon corps. Je retins ma respiration. Et je la relâchais dans un long gémissement lorsqu’il me lécha la chatte. Il fit entrer sa langue et l’orgasme me prit. Je criais mon plaisir et lui tenais fermement mes cuisses agiter de spasmes en se concentrant sur le centre de mon désir. Je repoussais sa tête, voulant me débarrasser de cette délicieuse torture. Puis j’abandonnais. Je m’abandonnais. Il continua à me doigter, me lécher. A sucer mon clitoris. Je m’agrippais à la table, me recroquevillait, me cambrait. Je me rongeais les ongles. Et je le sentis monter sur moi. Et me pénétrer. Je jouis à nouveau. C’était horrible. J’avais l’impression d’être une pute, une chienne en chaleur. J’étais totalement ailleurs, à lui. Je me serrais contre lui alors qu’il voyageait en moi. J’aurais voulu que ça dure toujours. Ses mains caressaient mon dos, mes fesses. Les insultes se mêlaient aux mots doux le plus naturellement du monde. Quand je le sentis sortir de moi je ne pus m’empêcher de le serrer et de crier :
« – Encore, encore ! Prenez-moi ! »
Mais il se dégagea et me laissa tremblante, presque sanglotante, sur la table.
Il regardait mon corps fou de désir et écoutait silencieusement mes suppliques. Puis il me tourna délicatement sur le ventre. Je ne compris pas tout de suite. Mais il écarta doucement mes fesses et dit :
« – Tu as un joli petit anus. Tu te fais souvent sodomiser ? »
Je rougis et balbutiais :
« – Euh, non… »
« – Tu n’aimes pas ? »
« – Et bien… En fait… »
Je restais silencieuse. Il me doigta doucement la chatte avant de demander :
« – En fait ? »
« – Je… J’ai envie mais ça se passe toujours mal… »
« – Tu veux essayer avec moi ? »
J’avais peur. Peur d’être encore déçue. Mais je hochais finalement la tête. Et je sentis sa langue sur mon petit trou. Il me léchait le cul le plus naturellement du monde. Je trouvais ça délicieux. Honteux et délicieux. Il poussa même à l’intérieur. Puis il fit le tour de la table, ses doigts ne quittant jamais mon anus. Je vis sa verge s’approcher de mon visage. Il enfonça lentement un doigt dans mon cul. J’eus un petit rictus. Il murmura :
« – Tu es très étroite. Il va falloir bien lubrifier… »
Et il guida son sexe dans ma bouche. Je ne compris pas le rapport entre cela et la lubrification. Du moins pas sur le coup. Le fait est que j’avais juste terriblement envie de le sucer… Mais lui n’oubliait pas. Je sentis son index forcer un peu mon cul. Il dit alors :
« – La salive ne suffira pas… »
Il ressortit son doigt et s’éloigna pour chercher dans sa pharmacie.
Quand il revint il me prit la main et y versa une noix d’un produit que je ne connaissais pas. Puis il dit :
« – Tu vas t’occuper de ma verge et moi de ton anus. Je pense que nous devrions y arriver. »
Cette fois-ci je compris immédiatement et entrepris de le branler vigoureusement. Il se mit à rire :
« – Pas si vite ! Le but est de me lubrifier, pas de me faire juter sur ta petite gueule de salope ! »
Je rougis et balbutiais une excuse. Il sourit et me caressa la joue. C’était si doux… Je fermais les yeux et soupirais. Et je le branlais, nettement plus doucement, tendrement même. Il susurra :
« – Donne-moi ta paume, je vais remettre un peu de lubrifiant, Justine. »
Et j’obéis. Il déposa encore un peu du produit puis me laissa m’occuper de sa queue alors que ses doigts étalait le lubrifiant sur mon anus. Puis à l’intérieur. Il parvint enfin à entrer un doigt. Doucement. Puis deux. Il bougea doucement mais n’insista pas plus.
Il vint alors se placer derrière moi. Je me tendis, prête à ressentir le douleur de la pénétration. Je sentis ses mains sur mon dos. Puis sa bouche. Il murmurait :
« – Calme-toi… Nous n’arriverons à rien si tu es si tendue… Détends-toi, n’ai pas peur, je vais y aller tout doucement. »
Je tentais de me détendre du mieux que je pus. Il me caressa doucement la chatte. Je gémis. Et je levais le cul en l’air sans même y penser. Il sourit :
« – C’est bien mieux comme ça, non ? »
« – Oui… Oh oui… Bien mieux… »
Il attendit un peu, me caressant encore. Enfin il dit :
« – Je vais entrer, Justine, souffle, détend-toi. »
J’obtempérais. Mais je ne pus retenir une crispation lorsque son gland viola mon anneau. Il s’arrêta et attendit. Je finis par me relâcher et il poussa doucement. Je serrais les dents et me tendis en murmurant :
« – J’ai… J’ai mal. »
Il cessa encore sa progression. Il me caressa doucement et dit :
« – C’est normal. La sensation va être désagréable au début. Essaie de ne pas trop garder ça en tête et de te concentrer sur ce qui va venir. Essaie de penser à tes tétons, à ta chatte brûlante. »
Il caressait ma poitrine et mon intimité en disant ça. Je soupirais d’aise en le sentant me caresser. Il bougea un peu. Puis il avança encore. Enfin il s’arrêta :
« – Ça devrait être suffisant pour commencer. Tu n’as pas trop mal ? »
« – N… Non, ça va. Ça me tire un peu, c’est tout. »
« – C’est bien. Essaie de dépasser cette sensation, d’accord ? »
Je hochais la tête. Et il commença à bouger lentement. Ça me tiraillais. une larme me vint à l’œil. Il s’arrêta à plusieurs reprises, caressant mon corps, m’embrassant les épaules. Il attendait que je me relâche pour reprendre ses mouvements. Et je sentais que mon anus s’assouplissait peu à peu…
Lui aussi devait l’avoir senti car il me prenait désormais plus fort, faisait de plus amples mouvements. Je soupirais alors :
« – Oui… C’est bon… »
Il devint alors plus audacieux. Il plaqua mes hanches sur la table et commença à me prendre de plus en plus fort. La douleur revint un moment mais, bien vite, je sentis le plaisir me prendre. Ma chatte se liquéfiait. Ses caresses sur le reste de mon corps devenaient secondaires comparées à cette sensation qui m’emportait. Il s’enfonça plus profondément et je criais. Il s’arrêta et dis doucement :
« – Désolé, je me suis laissé aller. »
Mais j’avais passé un cap. Le savait-il ? Avait-il forcé à dessein pour me tester ? Je ne savais pas. Je m’en fichais. Je lui dis juste :
« – Défonce-moi, je suis prête. »
Il resta un instant en suspens. Puis il pris son élan et me la mit profond. Je criais, sanglotais. Il me serra contre lui. Je me calmais peu à peu. Et il repris ses mouvements. Moins profondément cette fois-ci. Apparemment ce geste brutal avait eu pour but d’ouvrir le passage. Et cela fonctionnait : mon cul se dilatait de plus en plus et je sentais sa verge presque entièrement engloutie. Et il allait et venait désormais à un rythme frénétique. Et j’adorais. C’était juste comme je l’avais toujours rêvé. Ma mouille coulait à flot. J’allais jouir, j’en étais certaine. J’espérais juste qu’il ne le ferait pas avant moi. Ses doigts explorèrent mon corps. Puis il grogna :
« – Non, non… »
Je serrais sa tête contre la mienne et répondais en écho :
« – Oh si, si… Met-la bien au fond… »
Mais il répéta :
« – Bordel… Non ! »
Et il éjacula, me laissant sur ma faim.
Je n’en revenais pas. Je ne l’a
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