Juan Branco arrêté !
On peut incarcérer Juan Branco, mais on ne peut pas arrêter son message : « Pour et par le peuple ! ».
Depuis des années, à travers la défense de Julian Assange, des Gilets Jaunes, des grands-frères de Guadeloupe, comme Ousmane Sonko aujourd’hui, il travaille inlassablement à défendre la liberté et la souveraineté du peuple.
Ses livres dénoncent avec une précision chirurgicale la corruption et l’injustice qui rongent notre société : il veut simplement que triomphent, enfin, « nos aspirations à la beauté et à la dignité ».
Tenace et pugnace, il a d’ores et déjà annoncé que, peu importe le sort qui lui sera réservé, les crimes qu’il a dénoncé « sont imprescriptibles, ont été communiqués à la Cours Pénale Internationale et une plainte a été déposée auprès des institutions françaises. »
Très clairement, même si « le pouvoir a montré sa véritable face, celle d’une tyrannie sale, qui ne supporte pas l’opposition politique et qui vise par tous moyens à se perpétuer au sein d’instances dominantes qu’elle utilise pour piller et pour accaparer des ressources au détriment du reste des sénégalais », et même si en France « notre démocratie a été tellement avariée par ses jeux oligarchiques, par ses compromissions successives, par ses distorsions institutionnelles, qu’elle a perdu tout goût à la liberté et à la démocratie », nous savons qu’un peuple uni ne peut être vaincu.
Tiens bon Juan, l’Histoire s’avance et nous sommes des millions à vouloir l’écrire démocratiquement : « pour et par le peuple ! ».