Porno Avec Des Jeunes Filles

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Rires gênés, œillades en coin à l'adresse des copains qui en disent long. Difficile pour des ados de parler d'une chose aussi intime, le tabou des tabous, à une adulte qui pose ces questions : « Est-ce que vous regardez du porno et à quelle fréquence ? ».
Blocage, ça botte en touche et ça vanne. Allons voir ailleurs et posons la question différemment à des personnes seules cette fois : « 15 % des 14-17 ans affirment en regarder au moins une fois par semaine. Qu'est-ce cela t'inspire ? Tu penses que c'est un pourcentage réaliste ? ».
Paris XXe, Emir, un lycéen de 16 ans fait mine de réfléchir. « Vous voulez dire un film en entier ou juste des scènes ? ». « Juste des scènes » suffira. « Bah oui et je pense que c'est même plus ». Plus ? « Des fois, lorsque vous allez sur Internet, vous avez des messages disons… bizarres qui s'affichent seuls ». « Et tu cliques dessus ? ». « Parfois… pour voir. Pour me marrer. Par curiosité. » « On ne te demande pas si tu es majeur avant de cliquer ? ». « Si, mais je réponds oui . C'est pas très compliqué et puis il y a beaucoup de vidéos qui circulent en streaming librement sans cette précaution. Vous pensez que c'est mal ? »
Je rassure Emir et lui explique que je ne suis pas là pour le juger. « Il y a des longues périodes où je n'en regarde pas du tout et puis, parfois, plusieurs fois par semaine. On s'envoie aussi des trucs entre potes, avec nos portables. »
Parle-t-il sexualité à la maison ? Aïe, il se referme comme une coquille. « Mais non, ça va pas ? ». Bon, posons la question autrement. « Penses-tu que ce que tu regardes représente la réalité de la sexualité ? ». Petit sourire embarrassé : « Bah on y voit ce qui fait plaisir aux filles. »
Dilemme : comment cacher le léger malaise que cette réponse provoque sans tomber dans le ton moralisateur et le gêner ? L'ado le perçoit (pardon Emir…) et ajoute, très vite, comme une leçon qu'il aurait bien apprise : « Mais seulement si elles sont consentantes ! ».
Plus loin, un groupe de lycéennes en classe de terminale discutent. Selon l'enquête, si 18 % des garçons regardent du porno au moins une fois par semaine, le taux est à 12 % chez les filles. A partir de 18 ans, l'écart se creuse et concerne 33 % des hommes contre 16 % des femmes.
Chez les filles, la parole est plus libre. « Les premières images de film porno que j'ai vues ? J'avais 11 ans. Ce sont mes cousins qui me les ont montrées. J'ai trouvé ça horrible et en même temps j'étais fascinée », témoigne Lucile, 17 ans. Pourquoi ? « C'est super secret la sexualité des adultes, là j'y ai accès. On brave l'interdit ».
A ses côtés Anna pense tout haut : « Le problème c'est quand tu tombes sur un mec qui s'imagine qu' il va pouvoir te faire les mêmes trucs pour pouvoir se vanter auprès de ses potes. A force d'en voir, pour certains, le porno c'est la norme ». J'ose un « c'est arrivé? ». « Ouais et je lui ai vite mis un stop. Mais plein de filles se disent que c'est comme ça sinon, elles se considèrent comme nulles. En fait, le porno fout la pression des deux côtés ».
« C'est que du cinéma, souffle sa copine Amandine. Il ne faut pas en faire tout un drame. On sait bien qu'ils en rajoutent, ça ne va pas nous détraquer le cerveau. On sait faire la différence avec nos histoires. C'est que du fantasme, même si je suis déjà tombée sur des choses violentes qui ne devraient pas être disponibles ».
Parle-t-elle sexualité à la maison avec ses parents ? « Oh oui ! Ils n'arrêtent pas de m'alerter là-dessus. Genre : Sois maîtresse de ton corps . » Elle vient peut-être de là, la différence entre les jeunes qui prennent ou non du recul face à ces images.
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Publié le 27/01/2015 à 18h09




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Vous lisez actuellement : "Hot Girls Wanted", des adolescentes dans le porno



Par Ch560 le 28/01/2015 à 13:53




Par Fixpir le 28/01/2015 à 08:19




Par flurry le 28/01/2015 à 08:12


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Elles ont 18 ou 19 ans et sont prises dans les nasses de l'industrie du porno attirées par les promesses d'argent facile et peut-être de gloire. Un documentaire-choc au Festival de Sundance raconte comment l'immense majorité d'entre elles sont jetées au bout de six mois comme un mouchoir en papier. Dans Hot Girls Wanted ("Recherche filles superbes"), Jill Bauer et Ronna Gradus, deux anciennes journaliste et photographe du Miami Herald , dépeignent autant les histoires vraies de jeunes filles un peu candides que la réalité de la lessiveuse d'une industrie constamment à la recherche de viande fraîche.
À l'origine, les deux acolytes enquêtaient sur la consommation de porno en ligne par les jeunes hommes sur les campus de Floride ou de Californie. Mais ce qui les a le plus frappées en allant à leur rencontre, ce sont les jeunes filles, en rang à la sortie des lycées pour tourner une scène diffusée sur un site porno, contre quelques billets. "On se disait que ce n'était pas possible, parce que, si c'était vrai, il y aurait déjà eu des articles là-dessus. On ne pouvait littéralement pas y croire", s'étrangle Ronna Gradus, coréalisatrice.
"C'est la loi de la jungle", reprend Jill Bauer, après la diffusion du documentaire au festival qui se tient dans l'Utah (ouest des États-Unis ). "Tout le monde peut tourner ce genre de film. N'importe qui peut aller sur Craigslist (le précurseur américain de leboncoin, NDLR) pour recruter une fille. Il suffit de prouver qu'elle a 18 ans", poursuit-elle. Jill Bauer a déjà réalisé un film sur un sujet similaire à celui qu'elle présente aujourd'hui : Sexy Baby , sorti en 2012, s'inspirait de la vie d'une préadolescente de 12 ans pour brosser le portrait d'une société obnubilée par le sexe.
Les filles dont elle suit les pérégrinations dans son nouveau documentaire, elles, tournent pour un cachet de misère, attirées par des pubs comme "Hot girls wanted" sur Craigslist, qui leur vendent "un ticket vers la liberté, l'aventure et leurs rêves de gloire immédiate". Le documentaire, qui montre des scènes crues, est rythmé par des chiffres surprenants, comme ceux du nombre de visites sur les sites pornos. En plein film, des bannières publicitaires "Latina Abuse" ("Filles latines agressées") ou "18 & Abused" ("18 ans et agressée") surgissent comme sur un écran d'ordinateur, accompagnées d'un bruit sourd.
Jill Bauer et Ronna Gradus espèrent, avec leur documentaire, provoquer un débat dans la société américaine et peut-être des modifications dans la loi, surtout celle du travail, qui devrait, selon elles, imposer des règles plus strictes aux producteurs. Les scènes les plus dérangeantes du film sont les passages concernant les vidéos dites extrêmes. Parmi elles, certaines évoquent la pratique du "facial abuse" ("agressions faciales", soit les scènes de fellations forcées), que les nouvelles recrues sont incitées à pratiquer, moyennant une prime.
"On ne pouvait même pas regarder, alors on a demandé à notre monteuse de regarder pour nous et de faire les choix", se souvient Jill Bauer, en parlant d'une séquence en particulier, qui a été coupée à l'image mais dont le son a été conservé. L'une des rares raisons de se réjouir dans tout cela, dit-elle, est que l'industrie du porno se lasse rapidement de ces filles, généralement avant six mois. Et la réalisatrice a trouvé deux raisons à cela. "La première, c'est soit que les parents le découvrent, soit qu'elles ont un nouveau petit ami. La seconde, c'est l'affaire de l'industrie : les filles ne doivent pas rester longtemps sur le marché, car les gens demandent de nouveaux visages."
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Je trouve un peu sinistes, voire cyniques les commentaires faits ici. Je suis enseignante de lycée et je connais donc bien cette tranche d'âge, 18-19 ans n'étant pas rare en Terminale. Appelez-les post-ados si cela vous arrange, peu importe le nom qu'on leur donne. Ce que mon expérience me montre tous les jours c'est que, comme dans bien des cas, on ne peut pas mettre tout le monde "dans le même panier". Certaines jeunes filles sont extrèmement matures à cet âges, totalement responsables et tout à fait prêtes à vivre en autonomie. D'autres sortent à peine de l'adolescence, sont encore très fragiles, sensibles et naïves. Je ne peux que me désoler de voir ces gosses (droit de vote ou pas ce sont des gamines) se faire embarquer dans des réseaux destructeurs, où elles vont perdre toute estime d'elles-mêmes. Quelle que soit la durée de ce cauchemar, c'est dévastateur et elles en seront marquées à jamais. C'est consternant.

Les documents US parlaient très probablement de "teenagers" que Le Point a traduit par "adolescentes". C'est une faute de traduction. Les deux termes ne se superposent pas complètement, "teenagers" incluant les âges depuis 13 jusqu'à 19 ans (thirTEEN - nineTEEN).

En l'occurrence ces jeunes femmes de 18 et 19 ans ne sont pas des adolescentes suivant les définitions en France.

Non pas que cela change quoi que ce soit au problème présenté.

Mais réveillez-vous papy, il suffit de trifouiller un peu dans l'Histoire pour voir que c'est pas nouveau. Et vous pensez peut-être qu'en France on est différent ?
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Pourquoi dans la plupart des écoles, les filles ont des douches avec séparations et portes qui barrent et les gars doivent se contenter de douches communes?
Ya une mentalité derrière ça mais je n'arrive pas à saisir pourquoi à un moment donné c'est devenu un consensus que les p'tits gars devaient obligatoirement se pavaner tout nus devant les autres petits gars.
Cégep Saint-Laurent, 2002. J'avais jamais comprit le concept de pourquoi les portes des vestiaires sont des portes battantes, donc à chaque fois que quelqu'un entre tout le monde à l'extérieur des vestiaires voit tout le monde nu en train de se changer.
Dans le vestiaire des filles, ils ont mis une rangée de case pour cacher l'intérieur du vestiaire, tu vois juste des cases.
Dans le vestiaire des gars...tough luck boys.
Dans Porky's, Police Academy et dans les Lavigueur déménagent les douches de filles sont communes en tout cas.
Pour la même raison que les gars on pisse sur un mur devant tout le monde comme à l'écurie alors que les filles ont droit à leur cabine privée.
On parle juste de sexisme d'un bord, mais c'est une avenue à deux sens. Reste que les gars sont jamais considérés des humains aussi valables. Comme disait Bill Burr : in the unlikely event we're both on the Titanic, for some fucked up reason you get to leave and I get to die.
J'estime que c'est pour la même raison pour laquelle à mon lieu de travail, les toilettes des femmes ont 6 à 8 toilettes alors que les toilettes des hommes on 1 ou 2 toilettes (incluant la toilette pour handicappés qui est unisexe) et 1 ou 2 urinoirs.
Je ne sais pas pour les gars mais peut être que pour les filles c'est juste plus hygiénique quand elles sont menstruées, pour pas qu'une fille se ramasse avec le sang d'une autre dans les orteils.
Collège de l'Assomption, 1995 ou 1994, secondaire 1. Je me souvient vivement du prof d'éduc (homme) qui rentre dans la salle des casiers ou l'on se change à la fin de la période et qui lance « Ici au Collège ont aime pas ça des tits-gars qui puent, les filles non plus. Facque tout le monde dans les douches. »
Puis pendant que les douches étaient pleines il est revenu se mettre dans la porte et nous a demander si un de nous avait pas perdu sa montre Casio, en faisant le tour des lieux lentement. Et les douches c'était une grande pièce carré avec 9 pommeaux.
Le plus fou c'est qu'en sortant de là, un des plus anciens au collège nous a demandé s'il nous avait fais le coup de la montre!
oh j'ai pas envie de me doxxer mais ... je me rappelais plus du coup de la casio, début 90s avec Gerry je pense. Il est décédé en 2020. Sincèrement ça m'a jamais intimidé de me laver en groupe, je sais pas pourquoi mais je comprends que les gens préfèrent des cabines.
tu dois parler de Gerry. le gars qui etait aussi le coach de l'equipe de football. je me souviens de lui.
edit: je viens d'avoir un flash, quand on jouait au football, il disait toujours: avance le ballon d'une longueur de penis.
Pour te rassurer ça avait changé en 2002... Mais bon j'étais peut-être un "tits-gars qui pue".
Sur 5 profs d'éduc au secondaire j'en ai eu 2 qui faisaient ce genre de trucs. J'dis ça de-même..

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