Plusieurs étalons noirs pour un petit mec blanc

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Plusieurs étalons noirs pour un petit mec blanc

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Archivé de: Histoire de mec – Numéro 2
Date de parution originale: Mai 1988

Date de publication/archivage: 2017-10-18

Auteur: Cyrille
Titre: Deux blancs pour un black
Rubrique: Soumission
Note: Le magazine Histoire de mec ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant été publiés au fil des ans, à titre d'archive, notre but premier étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 5549 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)

Mon histoire est celle d’une relation érotique et sexuelle à trois, simple et sensuelle. On pourrait la résumer en une soumission partagée envers notre maître de couleur.

J’ai rencontré Sylvain il y a deux ans, lors d’un voyage. Superbe mec antillais, la trentaine, craquant, bien dans sa peau et dont la silhouette laissait deviner un corps admirablement proportionné. J’avais très vite suspecté son homosexualité dans sa manière de provoquer des contacts physiques lors de nos conversations. Ce besoin de toucher une main, une épaule, ou de passer furtivement une main sur la nuque au cours de nos dialogues me comblait d’aise. Avant que ne prenne fin notre rencontre, il m’avoua son penchant pour les hommes, et qu’il avait un ami régulier du nom de Cédric. Je lui ai dévoilé de même mes attirances, mais nous n’avions pas été plus loin.

Nous reprîmes contact, comme convenu, à notre retour en France. Une relation à trois était pour moi une nouveauté. Très vite, les rôles de chacun se définirent, conduisant à une parfaite harmonie. Sylvain avait un corps de rêve, bien bâti, excitant, aux muscles fins et dessinés, une peau satinée et imberbe où seule se détachait une petite touffe de poils noirs et crépus au-dessus des volumineux bijoux. Cédric, petit minet un peu efféminé, était depuis plusieurs mois sous le charme de ce viril, prêt à s’offrir à tout instant. J’allais à mon tour tomber instantanément en adoration devant cet être divin. Conscient de la force et de la beauté que dégageait son corps, Sylvain voulait être désiré pour cela et amener ainsi ses partenaires à se soumettre à sa virilité triomphante. Fascinés, nous n’attendions que cela. Tout était réuni pour qu’une relation fougueuse et complice s’établisse. Elle dure maintenant depuis plusieurs mois.

Cédric et moi sommes prêts à tout en amour pour satisfaire Sylvain. Ce dernier a un rôle essentiellement actif et nous réserve strictement à son usage, nous interdisant par exemple de baiser ensemble ou de nous toucher sans sa permission. Nos corps sont disponibles et offerts à ses moindres désirs, sans que nous pratiquions la violence ou la perversion. Souvent, des préliminaires sous la douche où nous nous savonnons joyeusement nous amènent à le sécher et le masser d’une huile de santal. Puis nous jugeant plus dociles au service de son corps quand nous sommes bien vidés, il nous demande de nous soulager avant que commencent nos ébats. Ainsi, il n’est pas rare qu’il ordonne à chacun de se caresser, nu, debout devant lui et de se branler. Le premier d’entre nous qui jouit en l’ayant le plus excité est promis en priorité à une bonne baise. Le cérémonial peut être différent et plus diabolique quand il nous demande de nous branler réciproquement, le meilleur branleur étant récompensé par l’hommage de sa queue. Situation cruelle où il me faut à la fois m’activer de mon mieux sur la tige de Cédric, tout en essayant de retenir au maximum ma jouissance si je veux être élu. D’autres fois encore, il arrive que Sylvain nous branle tous deux à quatre pattes au-dessus de son corps, petite séance qui se termine en léchant notre sperme pour le nettoyer.

Cette exhibition est déjà une soumission qui nous conditionne. Durant ce prélude, destiné à nous mettre ensuite mieux à l’ouvrage, il nous excite par des paroles d’encouragement qui redoublent notre ardeur, la suite de nos ébats étant généralement plus silencieuse. Une longue habitude nous a appris ce que chacun attendait et devait faire. Un geste, une expression, un mot, suffisent à indiquer la volonté de celui à qui nous voulons spontanément nous donner.

C’est à partir de ce moment que commencent les choses sérieuses. Deux mecs pour satisfaire un beau mâle, c’est l’idéal, et il n’y a pas besoin de se faire prier pour que nos mains et nos bouches avides s’affairent sur l’objet de tous nos désirs. Nos doigts, nos lèvres et nos langues s’activent sur l’autel de l’amour et nous nous partageons oreilles, aisselles, seins, orteils... La joute devient plus animée, bousculades amicales, lorsqu’il s’agit d’honorer sa bouche et son membre dressé. Mais quel plaisir et récompense de sucer sa langue épaisse et coquine, d’engloutir ses bourses chargées. Durant ces ébats, ses mains baladeuses nous flattent et ses doigts s’imiscent dans notre intimité, qui pour lui ne l’est plus depuis longtemps. Mais toujours notre instinct et notre goût nous ramènent vers sa verge d’étalon, longue juste ce qu’il faut pour bien nous remplir, en véritable adoration baveuse et frénétique à Priape, dont nous ne sommes rassasiés et que nous nous repassons de bouche à bouche. Lorsque monte le désir et que tombe le nom de celui dont le jardin sera ensemencé, l’élu poursuit seul son hommage humide, redoublant d’efforts. Le troisième larron sait alors qu’il lui faut préparer le petit cul de son copain pour la défonce et s’en acquitte naturellement à la langue, mouillant au maximum ce trou qui déjà frétille.

Quand Sylvain est bien chaud, arrive la petite phrase « En position les mecs », et le cul désigné de s’offrir et de se tendre vers l’objet du plaisir. Nous sommes généralement pénétrés dans la position que nous préférons. Cédric, en chien de fusil, les jambes emprisonnées et moi, sur le dos à la renverse. Je raffole de cette position qui me permet de sucer la langue de mon maître et lui de me malaxer les seins pendant la voluptueuse intromission. Sylvain est un expert, sensuel et doux. C’est de cette manière qu’il nous conduit à satisfaire tous ses désirs. Une fois que le gland, gros abricot, a forcé difficilement le passage, c’est l’enculé qui vient s’empaler jusqu’à la garde avant que ne commence le délicieux va-et-vient. Sensation éternellement renouvelée du mandrin qui coulisse et dont on espère chaque fois qu’il revienne plus profond.

Cédric ayant la dernière fois eu le bonheur d’être sailli, faisant allégeance par l’offrande de son cul, je me devais pendant l’accouplement de rendre l’hommage en m’occupant de la croupe en mouvement, ce morceau de roi, de notre maître besognant afin de décupler son plaisir. Autres délices que de chercher la raie profonde et sombre, encadrée de deux mamelons bien arrondis que la cambrure des reins met en valeur, oreillers sur lesquels j’aimerais chaque nuit dormir. Ma langue titillait et fourrageait son bouton secret avant de forcer son puits étroit, seule pénétration que Sylvain nous autorise. Aux contractions ressenties, à la claque qu’il me donna affectueusement et à la manière dont il s’activait sur sa monture ondulante, j’ai compris qu’il appréciait mon ouvrage et que la jouissance était proche. Chevauchée lente puis progressivement endiablée qui s’acheva avec fougue, un quart d’heure plus tard, dans l’explosion de sève et l’extase. Chacun de nous se comporte différemment pendant l’orgasme. Ahanements gueulés de Cédric, rire tonique et communicatif de Sylvain qui nous confirme que nous avons bien travaillé, gémissements ininterrompus et étouffés en ce qui me concerne.

Après avoir repris nos esprits, celui qui a le mieux œuvré est souvent récompensé par une pipe gourmande et magistrale de Sylvain pendant que nous lui nettoyons méticuleusement le sexe au lait de toilette. Une saine émulation entre Cédric et moi nous incite de la sorte à toujours nous surpasser. Juste contrepartie, j’eus le droit le lendemain de le réveiller en suçant son manche, buvant la liqueur à sa source jusqu’à plus soif, Cédric quant à lui gobant de son mieux les lourdes couilles à la peau délicate. Ainsi, si je n’ai pas été bourré par mon mâle, j’ai pu successivement goûter à ses orifices les plus précieux, me délectant de son cul, puis le pompant de son jus laiteux et amandé, ce qui m’a parfaitement comblé en attendant mieux.

Voilà le récit d’une nuit ordinaire. Mais il arrive aussi que nous passions tous les trois le weekend à poil et alors, ce n’est pas triste quand on sait que Sylvain peut assurer quatre fois en une seule journée, comblant alors les adorateurs que nous sommes, demandant l’aumône à notre Dieu de l’amour et à son phallus. Il n’y a ni asservissement, ni avilissement dans nos rapports, car ils sont dominés par la complicité et l’affection. Chacun a voulu, et accepté son rôle parce qu’il lui permet d’assouvir ses fantasmes. Ouvrir au maximum son petit cul aux assauts de son homme et se sentir protégé, être aimé ; dominer, embrocher et limer des mecs toujours disponibles pour Sylvain, être soumis ; et possédé par un beau mâle amoureux que j’admire et capable d’affoler mes sens. Et je ne me sens pas moins homme, même lorsqu’il me plante et me perfore divinement de son pieu vigoureux.

Nous avons parfaitement conscience de vivre quelque chose d’équilibré et d’exceptionnel et nous sommes bien décidés à faire tous nos efforts pour que cela dure, ce qui nous interdit toutes autres relations extérieures intimes et plus encore, l’immixtion d’un nouveau partenaire dans notre petit groupe.



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L’encyclopédie universelle en ligne
Par La Redaction
dans Amour et séduction Mis à jour le 17 août 2019

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Lu: 17656 fois
L’une des questions que les gens se demandent très souvent est « pourquoi les hommes noirs préfèrent les femmes blanches », oubliant aussi que les femmes blanches préfèrent beaucoup plus les hommes noirs…
A chaque année, des milliers des femmes blanches débarquent en Afrique subsaharien à la cherche de leurs princes charmants, des hommes noirs.
Pourquoi alors la femme blanche laisse l’homme blanc en occident, qui est parfois financièrement construit, pour aller chercher un black en Afrique ?
Cet article a été écrit pour élucider le mystère.
Mythe ou réalité ? On raconte partout dans le monde que l’homme noir est doté d’un engin d’un gros calibre. Et puisque les femmes, surtout les blanches, sont naturellement attirées par les hommes trop généreusement gâtés par la nature, la femme blanche aime alors avoir un homme noir dans son lit.
Quand il s’agit d’aborder les femmes, l’homme noir est quelqu’un de plus confiant. Il sait aussi charmer les femmes grâce à son assurance et sa bonté. Il donne autant d’affection et du respect à la femme. IL est aussi un homme protecteur. Ajouter à cela le fait qu’il soit un vilain garçon, l’homme noir est l’homme dont la plupart des femmes rêvent avoir à leurs côtés.
Un vilain garçon ne signifie pas ici un garçon moche. Il s’agit d’un homme qui sait imposer des limites. Il ne s’abaisse pas devant quelqu’un ou une femme pour faire plaisir. Il dit non quand il le faut. C’est un homme responsable.
Bref, l’homme noir est un vrai homme qui sait prendre ses propres décisions. Il ne se laisse pas dicter sa conduite. En plus de cela, il sait aimer et protéger sa dulcinée ; et les femmes adorent ça.
Et comme l’a dit Maire Pehkone, une suédoise qui n’aime vivre l’amour qu’avec des hommes noirs : « l’homme noir est très gentil… »
C’est bien connu chez les mamies blanches. Les hommes noirs sont des gens très reconnaissants. Et la plupart des jeunes africains souhaitent quitter le continent pour une vie meilleur en Europe. Ils sont donc prêts à aimer, chérir, et même s’engager avec des vieilles blanches si cela leur permettra d’avoir le ticket pour l’Europe.
Beaucoup des vielles femmes blanches veulent profiter de la vie. Elles veulent être aimées et se sentir aimées. Et elles savent que les jeunes blacks peuvent leurs offrir de l’amour. C’est pour ça qu’elles préfèrent partir chercher leurs anges gardiens en Afrique.
Les hommes noirs veulent des femmes blanches car ils les trouvent plus belles plus douces et plus aimantes que leurs femmes noires
Je suis tombée sur cette lettre par hasard en surfant sur internet et je trouve ça tellement stupide ! Aussi bien de la femme blanche que de l’homme noir. Je précise bien les couleurs puisque apparemment c’est bien plus important que notre « race » humaine ! Si quelqu’un lit ce commentaire qu’il m’explique pourquoi tant de racisme, tant de distinction ?! Voila pourquoi aujourd’hui il y a tant de haine dans le monde, les gens perdent leurs temps a jalouser, se vanter de leurs pays, leurs couleurs comme ci c’étaient plus importants que ce qu’ils sont vraiment, c’est a dire humain. Mes chers sœurs et frères, nous sommes tous pareils, nous respirons le même air, voyons le même ciel peu importe l’endroit ou l’on se trouve. Alors pourquoi s’attarder sur ces futilités ?! A l’époque; il y a eu l’esclavage envers toutes les nations; principalement l’esclavage du peuple noir parce que des imbéciles ont décidé du jour au lendemain qu’ils étaient supérieurs. Mais je ne pense pas que tous le peuple blanc avait cette haine contre nos frères, le peuple noir. Seulement ceux qui étaient assoiffés de pouvoirs et malheureusement cela nous a divisé et affaibli car nous sommes forts quand nous sommes tous unis. Aujourd’hui cela se passe dans le monde entier. Des guerres de division à cause de cette haine alimentées par ceux qui nous lavent le cerveau alors qu’eux même, pour de l’argent, ils vendent leurs propre patrie. Je ne pense pas que la couleur fasse la différence mais l’expérience que nous traversons, nous forme et crée notre identité et les expériences font partie de l’être humain peu importe sa couleur, nous traversons tous des moments qui nous forgent. Une femme universel
C’est un mythe. C’est plutôt l’inverse qui est vrai , l’homme noir est attiré par la femme blanche.
En occident, très peu de jeunes femmes blanches vont avec des noirs sauf si ce sont de vieilles femmes dont les blancs, pour plusieurs raisons, ne veulent plus.
Greg, ton commentaire m’amuse un peut étant donné que bon nombre de femmes blanches( tres jeunes européennes dailleurs ) sont soit en couples soit mariés à un homme noirs africains ou des Dom-Tom. C’est une alchimie que personne n’explique et l’inverse existent aussi.
Je pense que le mélange Se fait naturellement sans a avoir à chercher pourquoi la femme se fait vite fait endormir par les hommes de couleur parce qu’elle cherche en eux une relation pour passer un bon moment sans prise de tête. Pour ma part, je trouve dommage d’essayer à chercher à expliquer le pourquoi du comment chacun trouve sont bien-être là où il est le mieux
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