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Entreprise : comment éviter les pertes d’argent ?

10 août 2022 10 août 2022 by Alex-Greta

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La perte d’argent est un risque auquel sont exposées la plupart des entreprises, à cause des opérations financières qu’elles sont amenées à effectuer au quotidien. Cet incident peut être la conséquence de plusieurs facteurs internes ou externes à l’entreprise. Il peut aussi simplement être dû au gaspillage au sein de l’entreprise ou à un vol commis par un membre du personnel. Peu importe l’origine de la perte d’argent en entreprise, il est possible d’y remédier définitivement en prenant certaines mesures. Découvrez ici les conseils les plus pratiques pour éviter les pertes d’argent dans votre entreprise.
L’assurance-crédit est l’un des moyens les plus efficaces d’éviter les pertes en entreprise. Elle a pour mission principale de vous aider à prévenir les risques de factures non payées par d’autres entreprises ayant des dettes financières envers vous. Pour jouer ce rôle, la compagnie d’assurance-crédit se charge elle-même d’effectuer le recouvrement auprès de vos débiteurs, dès la fin du délai normal de remboursement. Certaines agences de recouvrement comme Assurance-credit-entreprise.fr disposent d’une équipe de spécialistes chargés d’entreprendre les démarches pour récupérer votre argent auprès des débiteurs.
Selon une étude réalisée par L’Agefi en 2018, les entreprises françaises perdent chaque année 56 milliards d’euros à cause d’impayés. Grâce à l’expertise d’une compagnie d’assurance-crédit, vous avez la garantie de récupérer rapidement votre dû, et d’éviter ainsi les pertes d’argent dans votre entreprise. De plus, si elle n’arrive pas à récupérer votre dû, la compagnie d’assurance prend en charge votre indemnisation complète . En somme, même si cela génère des frais, souscrire une assurance-crédit est une des meilleures solutions pour vous mettre à l’abri des pertes d’argent.
L’avantage le plus connu de l’externalisation des tâches en entreprise, c’est qu’il vous permet de vous concentrer sur le cœur de votre métier. Ce procédé vous permet donc de gagner en performance et d’optimiser les prestations de votre entreprise. Autrement dit, il vous permet de mieux satisfaire vos clients et ainsi de les fidéliser plus facilement. L’externalisation des tâches est aussi un moyen efficace pour éviter les pertes d’argent dans votre entreprise. En effet, externaliser certaines tâches vous permet d’adapter sur mesure vos services aux besoins spécifiques du client.
Ainsi, au lieu des coûts fixes que nécessitent vos prestations, vous avez désormais affaire à des coûts variables, en fonction de la demande du client. D’un autre côté, externaliser vos tâches vous permet de réduire votre masse salariale parce que vous pouvez désormais payer vos prestataires de façon ponctuelle. Autrement dit, au lieu d’engager un employé à payer mensuellement, l’externalisation vous permet d’économiser en optant ponctuellement pour des services de sous-traitance. De plus en plus d’entreprises choisissent l’externalisation à cause de son influence positive non négligeable sur leur chiffre d’affaires.
Optimiser les services de votre entreprise est un moyen efficace d’éviter la perte d’argent parce que c’est avant tout un moyen d’éviter la perte de vos clients. En optimisant vos services, vous améliorez la satisfaction de vos clients, et par conséquent, vous favorisez leur fidélisation. Pour optimiser les services de votre entreprise, vous devez en premier lieu améliorer votre connaissance de chacun de vos clients, afin de mieux le servir. Vous pouvez réussir cela en demeurant à l’écoute de leurs besoins grâce au service client de bonne qualité que vous mettez en place.
Ainsi, vous pourrez améliorer les produits que vous proposez, en sorte qu’ils correspondent aux préférences de la cible de clients que vous visez. Pour optimiser vos services, vous pouvez aussi engager des personnes qui sont dotées de plusieurs compétences et qui peuvent offrir les prestations en moins de temps. Cela vous permet d’offrir à vos clients des services à la fois de bonne qualité et plus rapides que vos entreprises concurrentes. Enfin, n’hésitez pas à poser des questions à vos clients pour recueillir leurs avis afin de leur offrir de meilleures prestations.
L’un des facteurs qui favorisent le plus la perte d’argent dans une entreprise, c’est le gaspillage. Pour l’éviter, il est important qu’en tant que responsable, vous preniez le temps de sensibiliser votre personnel à la bonne gestion des ressources de l’entreprise. Cela passe par le fait de concevoir des supports de communication que vous devez ensuite mettre à la disposition de tous vos collaborateurs.
Vous pouvez par exemple coller dans chaque bureau des affiches de signalétique pour rappeler aux employés d’éteindre la photocopieuse dès la fin de son utilisation. Vous pouvez aussi mettre une limite d’utilisation au téléphone de l’entreprise, pour éviter qu’il soit utilisé de façon anarchique par les employés. Par ailleurs, n’hésitez pas à instaurer des sanctions si vos tentatives de sensibilisation semblent ne pas porter leurs fruits.
Notre blog a pour but de guider les entrepreneurs, étudiants ou salariés dans le monde du travail et de la formation. Nous délivrons plusieurs conseils pour développer et gérer votre entreprise. Greta TPC ajoute aussi régulièrement des vidéos de conseils pour mieux appréhender la vie d’entrepreneur.
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À cause de la sécheresse, le prix du lait va continuer d'augmenter
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Déjà à un niveau très élevé, le prix du lait va encore augmenter à cause de la sécheresse historique en cours en France, car les éleveurs n'ont plus assez d'herbe pour nourrir leurs vaches, avec des conséquences en cascade sur l'ensemble des produits laitiers. "Les augmentations de prix, qui existent depuis plusieurs mois, vont perdurer sur les produits laitiers", dit Benoît Rouyer, directeur économique du Centre National Interprofessionnel de l’Économie Laitière (Cniel). En un an, une succession de chocs a nourri l'inflation sur les produits alimentaires, entre la rapide reprise post-Covid et la guerre en Ukraine.
Pour les produits laitiers, le prix des yaourts a augmenté de 4,5 % entre juin 2021 et juin 2022, le lait demi-écrémé en brique ou en bouteille de 4,5 %, le beurre de 9,8 % et le fromage de 5,2 %."Mauvaise nouvelle pour le consommateur, on ne voit pas l'inflation baisser sur les produits laitiers dans les semaines à venir", poursuit l'économiste. Le réchauffement climatique a lui aussi eu un impact très concret. Il y a d'abord eu un mois de mai anormalement chaud et sec, puis trois épisodes de canicule en juin, en juillet et début août. La sécheresse est "la plus marquée des 70 dernières années", relève Christian Huyghe, directeur scientifique Agriculture de l'Inrae.
Résultat, la production d'herbe a baissé de 21 % au 20 juillet par rapport à la normale, à une période où les vaches laitière se nourrissent en grande partie au pâturage, selon les données d'Agreste, le service statistique du ministère de l'Agriculture. Lorsque dans les prairies, l'herbe n'est plus verte, trois options se présentent aux éleveurs : puiser dans leurs stocks de fourrage prévus pour l'hiver, acheter de l'alimentation animale, ou vendre une partie du cheptel pour réduire leurs charges. Les prix des aliments pour les vaches laitières ayant augmenté de 25,9 % en mai par rapport à mai 2021 selon Agreste, de nombreux éleveurs s'accordent à dire que le plus rentable reste de se séparer d'une partie de ses animaux.
Il y aura encore du lait dans les rayons, mais un "manque de lait" pourra se faire sentir, estime Benoît Rouyer. "Globalement, un manque de lait va induire une diminution des possibilités de produire du beurre, de la crème, des briques de lait, des fromages… Et quand vous avez un manque de produit, qu'importe la filière, il y a un impact sur le prix", explique-t-il. Avec une subtilité : dans le système agroalimentaire actuel, des négociations commerciales sur les prix alimentaires ont lieu une fois par an et les prix auxquels les distributeurs (hyper et supermarchés…) achètent le lait aux producteurs ne montent pas automatiquement au rythme des hausses des coûts de production subies par les éleveurs.
Les négociations ont été rouvertes au printemps, et la Fédération nationale des producteurs de lait (FNPL) demande que le litre de lait vendu dans les rayons de supermarchés approche l'euro d'ici la rentrée "contre 78 centimes en hard-discount", selon les observations que leur réseau a menées cet été. En 2021, les prix du lait de vache payés aux producteurs s’élevaient à environ 390 euros les 1.000 litres en moyenne, en hausse de 4,3 % par rapport à 2020. Si le prix est monté à 427 euros en mai 2022, les syndicats clament que ce nouveau prix ne couvre toujours par leurs coûts de production et demandent de nouvelles hausse. En comparaison, "en Allemagne, la tonne de lait coûte 480 euros, en Belgique c'est environ 500 euros et aux Pays-Bas on monte à 540 euros les mille litres", explique Thierry Roquefeuil, président de la FNPL. Si la France n'atteint pas les niveaux de ses voisins européens sur le prix du lait, la fédération menace de passer à "un syndicalisme de destruction" à la rentrée, prévient-il.

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Le prix du lait va continuer à augmenter. (xavier FRANCOLON/SIPA / xavier FRANCOLON/SIPA)
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Sanglier 0851 a posté le 10 août 2022 à 15h35
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marc12200 a posté le 09 août 2022 à 10h02
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je ne suis pas R T a posté le 09 août 2022 à 09h30
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Christian_e a posté le 09 août 2022 à 08h59
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je ne suis pas R T a posté le 09 août 2022 à 09h56
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syntholpomme a posté le 09 août 2022 à 08h54
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En un an, le prix des yaourts a augmenté de 4,5 %, le lait demi-écrémé de 4,5 %, le beurre de 9,8 % et le fromage de 5,2 %.
Déjà à un niveau très élevé, le prix du lait va encore augmenter à cause de la sécheresse historique en cours en France, car les éleveurs n’ont plus assez d’herbe pour nourrir leurs vaches, avec des conséquences en cascade sur l’ensemble des produits laitiers.
« Les augmentations de prix, qui existent depuis plusieurs mois, vont perdurer sur les produits laitiers » , dit Benoît Rouyer, directeur économique du Centre national interprofessionnel de l’Economie laitière (Cniel).
En un an, une succession de chocs a nourri l’inflation sur les produits alimentaires, entre la rapide reprise post-Covid et la guerre en Ukraine. Pour les produits laitiers, le prix des yaourts a augmenté de 4,5 % entre juin 2021 et juin 2022, le lait demi-écrémé en brique ou en bouteille de 4,5 %, le beurre de 9,8 % et le fromage de 5,2 %. « Mauvaise nouvelle pour le consommateur, on ne voit pas l’inflation baisser sur les produits laitiers dans les semaines à venir » , poursuit l’économiste.
Le réchauffement climatique a lui aussi eu un impact très concret. Il y a d’abord eu un mois de mai anormalement chaud et sec, puis trois épisodes de canicule en juin, en juillet et début août. La sécheresse est « la plus marquée des 70 dernières années » , relève Christian Huyghe, directeur scientifique Agriculture de l’Inrae.
Résultat, la production d’herbe a baissé de 21 % au 20 juillet par rapport à la normale, à une période où les vaches laitières se nourrissent en grande partie au pâturage, selon les données d’Agreste, le service statistique du ministère de l’Agriculture.
Lorsque dans les prairies, l’herbe n’est plus verte, trois options se présentent aux éleveurs : puiser dans leurs stocks de fourrage prévus pour l’hiver, acheter de l’alimentation animale, ou vendre une partie du cheptel pour réduire leurs charges.
Les prix des aliments pour les vaches laitières ayant augmenté de 25,9 % en mai par rapport à mai 2021 selon Agreste, de nombreux éleveurs s’accordent à dire que le plus rentable reste de se séparer d’une partie de ses animaux.
Il y aura encore du lait dans les rayons, mais un « manque de lait » pourra se faire sentir, estime Benoît Rouyer.
« Globalement, un manque de lait va induire une diminution des possibilités de produire du beurre, de la crème, des briques de lait, des fromages… Et quand vous avez un manque de produit, qu’importe la filière, il y a un impact sur le prix » , explique-t-il.
Avec une subtilité : dans le système agroalimentaire actuel, des négociations commerciales sur les prix alimentaires ont lieu une fois par an et les prix auxquels les distributeurs (hyper et supermarchés…) achètent le lait aux producteurs ne montent pas automatiquement au rythme des hausses des coûts de production subies par les éleveurs.
Les négociations ont été rouvertes au printemps, et la Fédération nationale des Producteurs de Lait (FNPL) demande que le litre de lait vendu dans les rayons de supermarchés approche l’euro d’ici la rentrée « contre 78 centimes en hard-discount » , selon les observations que leur réseau a menées cet été.
En 2021, le prix du lait de vache payé aux producteurs s’élevait à environ 390 euros les 1 000 litres en moyenne, en hausse de 4,3 % par rapport à 2020. Si le prix est monté à 427 euros en mai 2022, les syndicats clament que ce nouveau prix ne couvre toujours pas leurs coûts de production et demandent de nouvelles hausses.
En comparaison, « en Allemagne, la tonne de lait coûte 480 euros, en Belgique c’est environ 500 euros et aux Pays-Bas on monte à 540 euros les mille litres » , explique Thierry Roquefeuil, président de la FNPL.
Si la France n’atteint pas les niveaux de ses voisins européens sur le prix du lait, la fédération menace de passer à « un syndicalisme de destruction » à la rentrée, prévient-il.
Ou les prix s'ajustent (finalement relativement modérément, le lait sera loin du prix d'un mauvais vin !! et même d'une bière) ou bien il faut avoir recours à une méthode ancestrale : taxer tout le monde , ça c'est vu en 75 (?) avec l'impôt sécheresse de Chirac ....
""Moins d’herbe, moins de lait""
Et plus de primes !
""Plus d’herbe, plus de lait""
Et plus de primes !
Devenez éleveur laitier et vous vous gaverez avec les primes...
Les retraités attendront l'augmentation de la retraite de base.
Marine Le Pen ne fait rien pour ce retard .
Elle n'y connait rien.
Elle ne sait que dire "il y a trop de migrants".
Outre que c'est factuelle faux, cela n'aide en rien l'économie.
Elle est incapable de s'occuper d'économie, ce n'est pas son domaine.
Son domaine c'est "total soutien aux FDO et dehors les migrants".
Voilà.
Voilà son viatique pour gouverner la France !!!!
Et il y en a des millions qui ont voté pour ça...
Faut franchement pas être difficile...
Ni futé...
Par contre, le prix du lait en poudre va baisser puisque avec la sécheresse les vaches le produiront directement...
De l'humour qui, n'en doutons pas , fera bien rire les éleveurs laitiers...
on va revenir a certaines methodes? des extractrices a lait pour certaines femmes?


Qu’on arrête de prendre les entreprises pour des vaches à lait !
alkainel - vache-agriculture(CC BY-NC-ND 2.0)

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OPINION : pour le moment on se gargarise du nombre de faillites qui n’explose pas mais on se doute bien que le naufrage va arriver.
Mais cela peut aider à réduire vos impôts de 66%
Il ne vous a sans doute pas échappé que la crise hystérico-sanitaire qui sévit dans notre pays a mis à mal la bonne santé de nos entreprises. Pour le moment on se gargarise du nombre de faillites qui n’explose pas mais on se doute bien que le naufrage va arriver.
En attendant, nous entrepreneurs, PME, artisans, commerçants, restaurateurs non issus du monde financier nous sentons sensiblement méprisés malgré les miettes distribuées pour nous empêcher de couler tout de suite.
En effet, notre quotidien devient vraiment difficile suite aux différentes décisions que vous prenez du haut de votre tour d’argent. Vous n’êtes bien sûr pas vraiment conscient des conséquences de vos actes.
Je veux parler des multiples privilèges, passe-droits et autres petites démissions que vos délibérations successives avec les syndicats politisés provoquent dans le monde du travail.
Ainsi les possibilités innombrables pour nos salariés de se mettre en congé maladie à la moindre occasion :
La démission quasi systématique des médecins pour arranger le pauvre travailleur exploité y est pour beaucoup. À tel point que les patrons recherchent ardemment les rares médecins conseil qu
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