Plan à trois des années 80

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Plan à trois des années 80


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1 Historique du plan de numérotation

1.1.1 Plan manuel à 5 chiffres (1896)

1.2.1 Plan manuel à plusieurs caractères (1912)

1.3.1 Plan automatique à 7 caractères (1928)

1.3.2 Plan automatique national alphanumérique (1946)

1.3.3 Plan automatique national tout numérique (1953-1963)

1.4 Réaménagement du plan initial de 1955 en 1974

1.5 Plan de numérotation à 8 chiffres du 25 octobre 1985

1.6 Plan de numérotation à 10 chiffres du 18 octobre 1996

1.7.1 Appel d'un numéro selon le lieu de l'appelant

2 Plan de numérotation actuel (depuis 1996)

2.3.1 Choix d'un opérateur téléphonique alternatif

2.3.2 Obsolescence de la sélection de l'opérateur par un préfixe

2.4 Indicatifs téléphoniques régionaux et particuliers

2.5 Les numéros réservés pour les œuvres audiovisuelles
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Cette section détaille les changements introduits par le plan de numérotation de 1996. Pour une description consolidée de ce plan, toujours en vigueur, voir la section ci-dessous : Plan de numérotation actuel .
Cette section doit être actualisée .
Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés. Améliorez-la ou discutez-en .

3000 : Ligne fixe Orange ;
3001 : Département de l'Ain [ archive ]
3003 : Carte Kertel ;
3006 : Service PCV Orange ; (suppression du service PCV le 1 er août 2014)
3010 : Ligne fixe étendue Orange ;
3030 : Service client SFR ;
3040 : Service client Toupargel ;
3089 : Ticket téléphone Orange ;
3099 : Service client Direct Énergie .


3100 : Bouygues Telecom Pro ;
3103 : Messagerie vocale Orange ;
3106 : Service client Bouygues Telecom ;
3117 : Assistance aux voyageurs SNCF ;
3122 : Canal Connect ;
3123 : 3123 Obsèques ;
3131 : Dernier numéro d'appel en absence Orange et Free ;
3150 : Prixtel ;
3179 : Obtention du RIO fixe ou mobile.


3201 : La Chaîne météo ;
3203 : Messagerie vocale Orange ;
3210 : RTL (radio Française) ;
3211 : Agence nationale des services à la personne ;
3213 : Afone ;
3216 : RMC (radio Française) ;
3217 : Renseignements téléphoniques Free ;
3220 : Numéro Magique Vert Orange ;
3222 : Association générale de prévoyance militaire ;
3223 : Numéro Magique Audiotel Orange ;
3224 : Fil santé jeunes ;
3225 : Crédit agricole ;
3228 : Fun Radio et RTL2 (radio Française) ;
3230 : CAF ;
3233 : Macsf ;
3234 : DartyBox ;
3235 : Carrefour ;
3237 : Pharmacie de garde ;
3240 : Numéro Magique Azur Orange ;
3241 : Caisse d'épargne ;
3243 : France Télévisions ;
3244 : Free ;
3245 : France Télévisions ;
3246 : RATP ;
3250 : Météo-France ;
3251 : Crédit immobilier de France ;
3256 : Française des jeux ;
3260 : Numéro Magique Indigo Orange ;
3264 : La Chaîne Météo ;
3272 : Flying Blue ;
3273 : Ligne Banque Privée BNP Paribas ;
3275 : Billetterie PSG ;
3280 : TF1 ;
3281 : TF1 ;
3288 : Annuaire inversé Pages Jaunes ;
3289 : Le Monde ;
3292 : ENGIE ;
3299 : Simplicitel.


3600 : Annuaire Inversé Gibmedia ;
3601 : Geny Courses ;
3605 : Vinci Autoroutes ;
3606 : M6 ;
3607 : Taxis G7 ;
3609 : Taxi Bleus ;
3620 : Idelio ;
3621 : Service Réunion Flash Orange ;
3624 : SOS Médecins ;
3626 : M6 (télévision Française) ;
3628 : Centre-France , Swigg ;
3630 : Allô Père Noël ;
3631 : La Poste ;
3632 : France Télévisions ;
3634 : La Poste ;
3635 : SNCF ;
3636 : Services publics ;
3637 : Téléthon ;
3639 : La Banque postale ;
3640 : Allô Père Noël ;
3646 : CPAM ;
3648 : RSI service ;
3651 : Passage en numéro masqué ;
3652 : Sortie du numéro masqué ;
3654 : Air France ;
3655 : Orange Télégramme (arrêté en 2018) ;
3658 : Transilien ;
3676 : MGEN ;
3698 : RSI Compte (non joignable avec SFR) ;
3699 : Horloge parlante (arrêté en 2022).


3605 : numéro vert Minitel ;
3609 : services de radio-messagerie Minitel ;
3611 : annuaire électronique national sur Minitel ;
3612 : messagerie par Minitel (Minicom) ;
3613 : kiosque Minitel commercial ( Télétel 1) ;
3614 : kiosque Minitel commercial (Télétel 2) ;
3615 : kiosque Minitel commercial (Télétel 3) ;
3616 : kiosque Minitel commercial (Télétel 3 professionnel) ;
3617 : kiosque Minitel commercial (Télétel 4) ;
3618 : communication de Minitel à Minitel ;
3619 : Minitel international [ 33 ] ;
3622 : I-Minitel (Minitel par Internet) ;
3623 : Télétel Vitesse Rapide ;
3625 nn nn : kiosque Minitel commercial (Télétel 3) ;
3626 nn nn : kiosque Minitel commercial (Télétel 3 Professionnel) ;
3627 nn nn : kiosque Minitel commercial (Télétel 4) ;
3628 nn nn : kiosque Minitel commercial (Télétel 6) ;
3629 nn nn : kiosque Minitel commercial (Télétel 7) ;
3656 : envoi de Télégrammes par minitel.


3900 : Opérateur Téléphonique & Internet Orange ;
3919 : Violences Femmes Info ;
3921 : Europe 1 (radio Française) ;
3932 : Malakoff Humanis ;
3933 : Société générale ;
3937 : Audiotel ;
3938 : Crédit lyonnais ;
3939 : Allô service public ;
3949 : Pôle emploi Service public Pôle-emploi ;
3950 : Aéroports de Paris ;
3957 : URSSAF ;
3970 : Opérateur Téléphonique Mobile Orange ;
3976 : Opérateur Téléphonique Mobile Sosh ;
3990 : Opérateur téléphonique & Internet Numericable ;
3994 : Département du Val-de-Marne [ 34 ] ;
3995 : Pôle emploi (ex- ANPE ).

Indicatifs téléphoniques (ou plan de numérotation)





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Le plan de numérotation téléphonique en France détermine la structure des numéros de téléphone en France. Depuis le 18 octobre 1996 , il est fondé sur une numérotation normale à 10 chiffres qui concerne toutes les lignes téléphoniques (téléphone analogique traditionnel POTS , mobile, voix sur IP).

Le début de l’exploitation des réseaux téléphoniques en France date de 1879. L'utilisateur demande à une opératrice ( demoiselles du téléphone ) d'effectuer une connexion avec son correspondant en prenant en compte le nom et souvent en l'épelant. À la suite de la fusion des trois réseaux téléphoniques existants en une société unique, la Société Générale des Téléphones , la gestion passe à l’État, en 1889, par décision de l'Assemblée Nationale. Il y a alors 11 314 utilisateurs, dont 6 425 à Paris.

En 1896 paraît le premier annuaire téléphonique, avec les utilisateurs des bureaux parisiens de Wagram et Passy .

Un numéro à cinq chiffres est alors attribué à chaque utilisateur des bureaux parisiens :

En 1897, c'est ce numéro qu'il est demandé d'annoncer aux opératrices, et non plus le nom du correspondant.

En octobre 1912, le plan précédent évolue. Le numéro passe à cinq caractères avec la modification suivante :

À Paris, l'abonné 21 du 12 e standard du bureau Gutenberg devient GUTENBERG 12 21 au lieu de 1 12 21 .

L'automatisation [ 1 ] , qui permet la suppression totale de l'intervention des opératrices pour l'établissement des communications entre abonnés, est déjà réalisée dans un certain nombre de cas - dès 1913 à Nice et en 1928 à Paris. Elle nécessite de résoudre un problème lié au plan de numérotation dans l'ensemble du territoire.

Lors de l'automatisation des centraux, les appareils possédant un cadran à 10 ouvertures permettent de composer des numéros alphanumériques. En octobre 1928, à la suite de la mise en service du premier autocommutateur à Paris au central Carnot , il faut tout d'abord composer les trois premières lettres du bureau souhaité (par exemple CAR , pour joindre un abonné dépendant de ce central).

L'étude d'un plan de numérotation est confiée en 1941 à une Commission spéciale. Elle se termine à la fin de 1942 sans obtenir de conclusions définitives. Le sujet est repris en 1945 par la Section Technique de l'Administration des PTT , qui aboutit à la définition d'un plan de numérotation national en 1946.

En 1946, le plan est modifié et l'utilisateur dispose d’un numéro en deux parties :

Dans les très grandes villes, le nom des centraux est conservé ; l'utilisateur doit composer les deux premières lettres du nom du central (trois lettres pour la région parisienne). Dans tous les autres cas, l’indicatif de série correspond à un nom de ville caractéristique de l'acheminement, suivi d'un chiffre.

Les lignes sont donc référencées de manière alphanumérique :

En 1953, il est décidé d'arrêter l'emploi de lettres pour la numérotation, sauf pour la région parisienne qui conservera cette particularité jusqu'au 1 er octobre 1963.

Lors de l'établissement des liaisons interurbaines automatisées, principalement au départ de Paris, la numérotation à sept caractères montre ses limites. Dès 1957, compte tenu des nécessités de l'acheminement des communications, il apparaît impossible de numéroter l'ensemble des abonnés français avec un système à 7 caractères. De plus, il s'avère nécessaire de limiter autant que possible les manœuvres du cadran téléphonique par les abonnés.

Un plan de numérotation pour les abonnés français est établi en 1955, avec pour principes :

Chaque abonné possède un numéro national à 8 caractères comportant l'indicatif départemental à 2 chiffres (sauf en région parisienne, avec pour indicatif commun 1 ) puis le numéro régional à 6 chiffres (7 en région parisienne).

L'annuaire téléphonique fournit la liste des indicatifs départementaux à utiliser pour toutes les relations automatiques interurbaines à grande distance. Ainsi, pour obtenir le secrétariat d'État aux PTT ( SÉGur 16 40 ), un abonné de province doit composer le 1 6 ~ 1 S E G 1 6 4 0 .

Pour les relations interdépartementales, l'abonné demandeur doit composer 10 chiffres :

Dès 1959, cette numérotation à 10 caractères est déjà utilisée en automatique dans les grands centres de province : Bordeaux, Le Mans, Lille, Montpellier, Nice, Paris, Rouen et Strasbourg.

Le 10 permet d'obtenir le service manuel interurbain [ 2 ] .

Vers l'étranger, l'indicatif est le 19 avec attente de tonalité. Pour les pays où l'appel automatique n'est pas possible, l'usager compose le 19 33 (indicatif international de la France) et demande la communication à un opérateur des PTT.

En 1974, le plan subit quelques modifications pour pallier des pénuries locales de numéros [ 3 ] , notamment le passage à 7 chiffres pour les agglomérations de Lyon et Metz-Nancy.

La France métropolitaine comprend 66 zones de numérotage à 6 chiffres et 5 zones à 7 chiffres, soit :

À la fin des années 1970, l'indicatif interurbain 15 devient un numéro unique destiné aux urgences médicales (SAMU). Il est généralisé au milieu des années 1980, sur le modèle de la Police ( 17 ) ou des pompiers ( 18 ). Pour obtenir l'interurbain, on compose désormais le 16 .

Le 25 octobre 1985 à 23 heures, un nouveau plan prend effet pour pallier une pénurie nationale de numéros :

Le 19 vers l'étranger reste inchangé.

Face à l'explosion de la demande de numéros liée à la généralisation des lignes directes ( SDA ), du fax et de la téléphonie mobile, et pour prévoir l'attribution de numéros aux nouveaux opérateurs fixes sur les années à venir, France Télécom développe un nouveau plan, mis en œuvre le 18 octobre 1996 à 23 heures.

Tous les numéros (sauf cas particuliers ci-dessous) sont standardisés à 10 chiffres :

Il existe toujours des numéros courts :

Le 16 (ancien préfixe Paris-province et province-Paris) disparaît car les numéros à 10 chiffres sont uniques sur tout le territoire national (métropole ou DOM). La numérotation se fait désormais, sans exception, avec 10 chiffres, même pour les appels locaux - avec la particularité des DOM-TOM qui pourront continuer jusque courant l'an 2000 à s'appeler dans leur zone locale avec un numéro resté à 6 chiffres avant qu'il n'adopte un format standardisé [ 4 ] malgré, pour l'utilisateur, une complication de la numération depuis l'étranger [ 5 ] car ne répondant pas au format français.

La tonalité d'acheminement qui suivait la composition du numéro, et pouvait faire croire à une occupation du numéro appelé, est supprimée. Les appels sont établis dans une moyenne de 3 secondes.

Les appels vers la France depuis l'étranger se font désormais en omettant le 0 , selon l'usage dans le reste de l'Europe. Ainsi, il faut composer 33 1 .. .. .. .. pour appeler le 01 .. .. .. .., à l'exception notable - voire contestée [ archive ] - des DOM-TOM depuis l'international.

Pour appeler l'étranger depuis la France, le 19 est remplacé par le 00 , d'usage général en Europe (ce qui signifie que, pour appeler l’Île-de-France depuis un autre pays Européen, il faut composer 0033 1 .. .. .. .. ).

Dès 1996, dans tous les annuaires [ 6 ] et les agences France Télécom, les Français trouvent un encart cartonné muni d'un tableau récapitulant tous les changements de numérotation.

Depuis son introduction en 1996, le plan a subi des évolutions, sans toutefois que son organisation générale soit fondamentalement modifiée. Cette section décrit les principaux changements.

En 1998, le marché du « transport » des communications sur le réseau téléphonique commuté s'ouvre à la concurrence. Les numéros 13 et 14 (dérangements et service clients France Télécom) deviennent respectivement 1013 et 1014. Plus généralement, on introduit une tranche entière de numéros pour les services des opérateurs de télécommunication : 10 XY . Le préfixe 16 XY est introduit pour permettre le choix appel par appel de l'opérateur de transport.

En 2005, le marché des renseignements est ouvert à la concurrence. Le 12 disparaît, remplacé par la série 118 XYZ . De nombreux opérateurs sont présents au départ, puis le marché se consolide drastiquement.

Fin 2005, la tranche de numéros 09 (initialement inutilisée) est attribuée à la téléphonie sur IP ( box Internet ).

En 2009, la tranche de numéros 07 (initialement inutilisée) est attribuée à la téléphonie mobile, en complément du 06 [ 7 ] , [ 8 ] .

Le tableau suivant récapitule l'évolution successive d'un numéro célèbre, celui de l'agence de publicité Jean Mineur .

* : Lors de la composition d'un numéro de téléphone international, l'appelant doit composer le préfixe d'appel international. Le préfixe d'appel international est 011 dans les pays utilisant le Plan de numérotation nord-américain alors qu'il est 00 dans la plupart des pays européens.

Le plan de numérotation actuel est entré en vigueur le 18 octobre 1996. Il a depuis évolué régulièrement. Il est actuellement défini par la décision 2019-0954 de l'ARCEP en date du 16 juillet 2019 [ 9 ] .

Le plan national de numérotation présente la particularité d'être découpé en 6 codes-pays du plan E.164 :

Les départements d'outre-mer n'ont pas adopté le code-pays +33 pour raisons techniques, comme la dégradation de la qualité et l'augmentation du coût des communications avec les pays voisins, par exemple, l' Île Maurice vers la Réunion [ 10 ] . Les autres territoires français (Nouvelle-Calédonie, Wallis-et-Futuna, Polynésie française) ne font pas partie du plan national de numérotation français.

Tous les correspondants du territoire national (métropole ou DOM) peuvent s'appeler entre eux en utilisant le plan de numérotation français à dix chiffres, sans composer le code pays pour la voix, les SMS et les MMS. À Saint-Pierre-et-Miquelon, les abonnés peuvent se joindre en composant les six derniers chiffres de leurs numéros.

Au format international, les numéros du plan de numérotation français sont composés du code-pays ( 33 pour la France métropolitaine) suivi du numéro national du destinataire appelé, sans le premier zéro.

Dans le cas particulier de Saint-Pierre-et-Miquelon, le format international des numéros est le 508 suivi des six derniers chiffres du numéro national.

Un numéro à 10 chiffres se décompose selon le codage E Z AB PQ MCDU :

Le code Exploitant est défini par l' autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) [ 13 ] . La décision définit notamment que sept valeurs seront attribuées, les autres étant réservées pour des usages globaux.

Le premier chiffre du numéro E permet depuis 1998 de choisir sur une ligne RTC classique un opérateur (transporteur) autre que l'opérateur téléphonique par défaut.

L'attribution a été réalisée par tirage au sort par vagues (les principaux opérateurs pouvaient émettre deux vœux, un prioritaire, un secondaire) jusqu'au 16 septembre 1997 . Les sept préfixes ont d'abord été attribués, avant une consolidation du secteur. La sélection du transporteur est entrée en vigueur pour les appels longue distance le 1 er janvier 1998 .

A noter : tous les opérateurs autorisés dits de "longue distance" de la fin des années 90 (hors cartes prépayées, post-payées, ou opérateurs sans infrastructure le rendant éligible au préfixe " E " ) ont en réalité un préfixe de sélection de la forme 16 XY avec XY allant de 16 02 à 16 99, exception faite du 16 03. Le " E " agit donc comme un raccourci vers le code 16 "X E " du transporteur.

A titre d'illustration, un utilisateur final voulant utiliser les services de Siris (préfixe E = 2) remplaçait le premier 0 par un 2, ce qui revenait à composer le 16 02 suivi du n° complet du destinataire.

Cette particularité proche de l'anecdote n'était remarquée que très essentiellement par la clientèle professionnelle disposant d'un autocommutateur (ou PBX ) et/ou ayant recours à un installateur privé, pour des raisons de compatibilité et/ou d'ergonomie avec leur réseau interne (par exemple pour le rappel du correspondant, toutes les lignes ne présentant pas le 0 initial de l'appelant sur l'écran du receveur de l'appel ou pour l'international).

Un mécanisme voisin fut un temps utilisé par des opérateurs pour "capter" et acheminer les appels locaux ou vers les mobiles, initialement non-éligibles à la sélection du transporteur (par exemple, les 36 90 de 9Télécom, ou 36 92 de Cegetel).

La sélection de l'opérateur est devenue rare voire marginale depuis l'arrivée de la présélection (au lieu de saisir à chaque appel un préfixe E ou 16 XY, l'abonné indique quel est son transporteur par défaut et compos
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