Plan à trois allemand

Plan à trois allemand




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Plan à trois allemand




English 


Français







Jun 13, 2022 -
When it comes to bioprotective solutions, Lallemand Specialty Cultures (LSC) strives to cater to all...

Feb 24, 2022 -
The Monde des Grandes Écoles et Universités has just published an interview with our colleague M...

Jan 14, 2022 -
Lallemand Specialty Cultures (LSC) continues to bring solutions to the cheesemakers with the launch ...

Dec 20, 2021 -
Lallemand Health Solutions invites you to discover its brand-new 11 000 square meter cutting-edge pl...

Nov 26, 2021 -
LalBrew Farmhouse™ wins a Brassinov Competition Innovation Award during Salon du Brasseur in Nancy...

LALLEMAND Inc.
is a privately held Canadian company, founded at the end of the 19th century, specializing in the development, production, and marketing of yeasts and bacteria.

This website uses cookies to improve user experience. By using our website you consent to all cookies in accordance with our Cookie Policy .
Lallemand is a global leader in the development, production and marketing of yeast, bacteria and specialty ingredients.
Serving as the meeting place of the global dairy industry, World Dairy… Read more
© 2022 Lallemand Inc. All right reserved



Afficher / masquer la barre latérale











Sur cette version linguistique de Wikipédia, les liens interlangues sont placés en haut à droite du titre de l’article. Aller en haut .

1.1 Plans traditionnels, plans contemporains

4 Églises médiévales de plan basilical

5 Église en croix latine avec nef basilicale

6 Église à nef centrale et transept formant une croix grecque
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Article détaillé : Église à plan centré .
Article détaillé : Église à nef unique .

↑ On peut avoir un, deux, trois, quatre ou cinq vaisseaux. Vogüé et Neufville (1989, p. 306 ) notent que les premières basiliques chrétiennes ont compté jusqu'à cinq vaisseaux, et que les cathédrales médiévales en présentent le plus souvent trois, parfois cinq.



↑ Wilfried Koch ( trad. de l'allemand par Léa Marcou), Comment reconnaître les styles en architecture. De la Grèce antique au xx e siècle , Paris, Solar, 1989 ( 1 re éd. 1967), p. 80-81

↑ Edward Norman ( trad. de l'anglais par Denis A. Canal), Maisons de Dieu. Art et histoire des églises de la chrétienté des origines à nos jours , Paris, Thames & Hudson, 2005 ( 1 re éd. 1990), 312 p. ( ISBN 978-2-878-11263-4 ) , p. 280-305 ("Les églises du monde moderne")

↑ Hugh Pearman ( trad. de l'anglais par Jacques Bosser), Architecture du monde contemporain , Paris, Phaidon, 2006 ( 1 re éd. 2002), 511 p. ( ISBN 978-0-714-89670-0 ) , p. 137-175 ("Religion")

↑ [Vogüe & Neufville 1989] Dom Melchior de Vogüe et Dom Jean Neufville, Glossaire de termes techniques à l'usage des lecteurs de « la nuit des temps » , éd. Zodiaque , 1989 , 4 (revue par Raymond Oursel ) éd. ( ISBN 2-736-90164-9 ) , p. 306 .

↑ Vogüe & Neufville 1989 , p. 385.







La dernière modification de cette page a été faite le 19 février 2022 à 12:52.
Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques . En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence .
Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc. , organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.



Politique de confidentialité
À propos de Wikipédia
Avertissements
Contact
Version mobile
Développeurs
Statistiques
Déclaration sur les témoins (cookies)
Modifier les paramètres d’aperçu











Pages pour les contributeurs déconnectés en savoir plus


Sommaire

déplacer vers la barre latérale


masquer


Les plans types d'une église sont les principales sortes de plan que peut présenter une église dans son histoire, essentiellement jusqu'à la fin du xix e siècle. Il s'agit ici de présenter sous forme graphique ces types de plan et le vocabulaire des principales parties d'une église.

On peut dire que depuis l' architecture carolingienne , les principaux types d'architecture sacrée sont la basilique (plan rectangulaire, avec ses variantes) et le plan centré (plan en carré ou circulaire, et leurs variantes). On notera aussi que les termes « cathédrale » et « dôme » (ou « duomo ») renvoient à une fonction (la cathédrale est l'église d'un évêque) et pas à une forme spécifique [ 1 ] .

Les plans présentés dans cette page vont connaître des évolutions importantes au xx e siècle, surtout après 1945 (la première moitié du siècle restant relativement proche des canons traditionnels), un phénomène qui sera accentué par les réformes liturgiques du concile Vatican II , à la suite desquelles on modifie la disposition des églises existantes ainsi que les plans de celles qui allaient être construites [ 2 ] . Ainsi sont apparues des formes souvent très nouvelles (tant dans le plan que dans le volume), permises aussi par des matériaux comme le béton , l' acier , le verre . Toutefois, ces bâtiments gardent un lien avec les deux grandes formes que sont les plans en longueur (voir la Chapelle-Mémorial Mildred B. Cooper ) et les plans centrés (voir la cathédrale de Brasilia ), ainsi qu'avec certains éléments traditionnels comme l' abside , le transept ou encore le clocher (voir l' église de Grundtvig , l' église Notre-Dame de Royan , l' église Saint-Michel du Havre ou encore les réalisations de Imre Makovecz ) [ 3 ] .

En ce qui concerne le vocabulaire, une « nef » est « le vaisseau d'une église; c'est la partie antérieure comprise entre la façade et le sanctuaire » [ 4 ] . La nef est l'espace réservé aux laïcs par opposition à l' abside , dans laquelle se trouve le sanctuaire (au sens de « partie de l'église située autour de l' autel principal, où s'accomplissent les cérémonies liturgiques » [ 5 ] , et qui est réservé au clergé.

Toutefois, on peut aussi distinguer la nef du vaisseau : la nef désigne alors toute la parte longitudinale de l'église, par opposition au transept . Cet espace longitudinal peut être composé de un ou plusieurs vaisseaux [ note 1 ] . Dans ces deux derniers cas, on distingue le vaisseau principal - qui est souvent le vaisseau central - ; et le ou les collatéraux (ou bas-côtés).


On peut trouver des églises à une ou trois vaisseaux, comme les coupes ci-dessous le montrent.
Nef unique simple avec un plafond. en principe en bois. L'éclairage se fait par les fenêtres sur les côtés.

Basilique à trois nefs. Le vaisseau central (A) est couvert par un toit sur charpente; les collatéraux (B) par un plafond, surmonté par une tribune (C). Les claires-voies (E) assurent un éclairage direct du vaisseau central. (Ici, plan civil romain repris par les chrétiens.)

Pseudo-basilique : le vaisseau central a un étage de plus que les collatéraux, mais pas de fenêtres supérieures.

Structure basilicale : le vaisseau central a une claire-voie , rendue possible par le contrebutement de voûte du vaisseau central par des arcs-boutants .

Église-halle avec plafond sur le vaisseau central et plafonds obliques sur les collatéraux.

Église-halle : les voûtes des trois vaisseaux sont au même niveau.

Église-halle échelonnée : le vaisseau central est un peu plus haut que les collatéraux , mais sans présenter d'étage supplémentaire.

Nef unique avec des extensions latérales [Quoi ?] et une claire-voie


Plan des principaux types d'églises paléochrétiennes, inspirées par les basiliques civiles romaines, auxquelles on ajoutera bientôt un transept afin que le bâtiment prenne la forme d'une croix.
Basilique Saint-Apollinaire in Classe , Ravenne , trois vaisseaux, sans transept . Premier plan basilical, inspiré par les basiliques civiles de la Rome antique.

Développement du plan basilical: Basilique Saint-Jean-de-Latran , Rome , cinq vaisseaux avec transept , mais sans croisée .

Autre exemple d'extension, proche du plan du Latran: Basilique Saint-Paul-hors-les-Murs , Rome , avec transept mais sans croisée ,


On trouve des églises médiévales, voûtées en berceau ou en arêtes , qui présentent un plan basilical sans transept.
St-Nicolas de Lunebourg : plan à trois vaisseaux.

Cathédrale de Stargard Szczeciński , Pologne : sans transept , coupe transversale basilicale sur un plan basilical à quatre vaisseaux.

Église Ste-Barbe à Kutná Hora , République tchèque : il s'agit du chœur d'une église qui n'a pas été terminée. On y compte cinq vaisseaux.

Saint-Martin de Lauingen sur le Danube : église-halle sur un plan basilical à trois vaisseaux.

Sainte-Marie-du-Pré de Soest : carré westphalien , église-halle à la limite [pourquoi ?] du plan basilical (avec trois vaisseaux).

La progression de la description se fait depuis le narthex (extrémité ouest de la nef), vers les chapelles absidiales (à l'extrême est), soit de gauche à droite dans les plans ci-dessus.

Le plan de construction des églises peut varier considérablement, comme le montrent quelques exemples tirés des cinq volumes Die kirchliche Baukunst des Abendlandes de Georg Dehio et Gustav von Bezold (Verlag der Cotta'schen Buchhandlung, Stuttgart, 1887-1901).

Cathédrale Saint-Martin de Lucques , plan basilical avec même largeur de tous les vaisseaux, aussi avec structure basilicale

Cathédrale de Soissons , Aisne , France , nef et transept de structure basilicale

Ces églises sont à la limite du plan centré.

Une église à plan centré est un type d'église dont le plan est massé (carré, circulaire ou polygonal). Ce type de plan s'accompagne souvent d'une coupole .

Panthéon de Rome / Santa Maria ad Martyres, édifice préchrétien, 114–119

Église Notre-Dame-de-la-Merci de Planès : plan en forme de triangle équilatéral, dont chaque face présente une abside

Église française de Potsdam , édifié pour des exilés réformés français

Église Saint-Paul de Francfort , temple principal luthérien, lieu du premier parlement d'Allemagne

Une église-halle (allemand Hallenkirche ) est une église dont la nef et les collatéraux sont de hauteur égale et communiquent entre eux sur toute cette hauteur. Le plan peut être rectangulaire ou en croix latine . C'est la coupe transversale qui fait la différence avec l'architecture basilicale.

En Belgique, il n'existe qu'une seule église de ce type [réf. nécessaire] , celle des Saints-Hermès-et-Alexandre à Theux .

Sainte-Marie-du-Pré de Soest , carré westphalien

Saint-Martin de Lauingen sur le Danube , trois vaisseaux égaux

Église Sainte-Marie de Beeskow , Brandebourg

Église Sainte-Élisabeth de Marbourg , église-halle sur un plan cruciforme

Une église à nef unique (anglais aisleless church , allemand Saalkirche ) n'a pas de colonnes ou piliers.

Les églises à nef unique peuvent présenter un plan longitudinal ou centré (carré, cercle, cruciforme).

Cathédrale Sainte-Cécile d'Albi , nef unique avec des extensions latérales

Temple réformé français de Francfort-sur-le-Main , Allemagne

Église (temple) Saint-Georges près de Lilienthal , Basse-Saxe , Allemagne




Afficher / masquer la barre latérale











Sur cette version linguistique de Wikipédia, les liens interlangues sont placés en haut à droite du titre de l’article. Aller en haut .
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Article connexe : Crise de juillet .
Article détaillé : Bataille de Liège .
Article détaillé : Bataille de Belgique .
Article connexe : Historiographie .

↑ Les deux différences visibles sur cette carte entre le mémoire de Schlieffen rédigé en 1905 et les opérations dirigées par Moltke en 1914 concernent la 1 re armée allemande : en 1905 elle doit passer par les Pays-Bas, en 1914 elle passe par Liège ; en 1905 elle est censée passer à l'ouest de Paris, en 1914 elle fonce à l'est de la capitale.

↑ Comme l'Armée est indépendante de la Marine allemande , cette dernière a son propre état-major, l’ Admiralstab , et ses propres plans, appelés Operationplan . Les plus audacieux envisageaient un débarquement en Angleterre , en Nouvelle-Angleterre ou à Porto Rico [ 2 ] .

↑ Le terme d’ Aufmarsch peut être traduit par « déploiement » [ 3 ] , l'armée française lui préférant le terme de « concentration ».

↑ « Frankreich muß als eine große Festung betrachtet werden » [ 36 ] .

↑ « Ein Frontalangriff auf die Stellung Belfort—Verdun bietet daher wenig Aussicht auf Erfolg. Einer Umfassung südlich müßte ein siegreicher Feldzug gegen die Schweiz und eine Bezwingung der Juraforts vorausgehen, zeitraubende Unternehmungen, während welcher die Franzosen nicht müßig bleiben würden. Mehr versprechend als der Frontalangriff mit Umfassung des linken Flügels scheint ein von Nordwesten gegen die Flanken bei Mézières, Rethel, La Fère und über die Oise gegen den Rücken der Stellung gerichteter Angriff zu sein. Um zu diesem zu gelangen, muß die belgisch-französische Grenze auf dem linken Maasufer mit den befestigten Plätzen Mézières, Hirson, Maubeuge, drei kleinen Sperrforts, Lille und Dünkirchen bewältigt und, um so weit zu kommen, die Neutralität von Luxemburg, Belgien und den Niederlanden verletzt werden. Die Verletzung der Neutralität von Luxemburg wird abgesehen von Protesten keine Folge von Bedeutung haben. Die Niederlande erblicken in dem mit Frankreich verbundenen England nicht weniger einen Feind als Deutschland. Ein Abkommen mit ihnen wird sich erzielen lassen. Belgien wird sich voraussichtlich widersetzen. Seine Armee wird sich bei einem Vorgehen der Deutschen nördlich der Maas programmäßig nach Antwerpen zurückziehen und muß dort eingeschlossen werden » [ 37 ] .

↑ « Es muß darauf gerechnet werden, daß zum Vorgehen gegen die Stellung der Aisne—Oise—Paris : 25 Armeekorps, 2½ Reservekorps und 6 Neugebildete Korps. 33½ Korps zur Verfügung stehen. Von diesen ist mehr als dritten zur Umgehung von Paris » [ 36 ] .

↑ « Es muß durchaus versucht werden, die Franzosen durch Angriffe auf ihre linke Flanke in östliche Richtung gegen ihre Moselfestungen, gegen den Jura und die Schweiz zu drängen. Das französische Heer muß vernichtet werden [ 36 ] . Das Wesentliche [für den Verlauf der gesamten Operationen] ist, einen starken rechten Flügel zu bilden, mit dessen Hilfe die Schlachten zu gewinnen und in unausgesetzter Verfolgung den Feind mit eben diesem starken Flügel immer wieder zum Weichen zu bringen. Wenn der rechte Flügel sehr stark gemacht wird, so kann dies nur auf Kosten des linken geschehen, dem dadurch wahrscheinlich die Aufgabe zufällt, gegen Übermacht zu kämpfen » [ 40 ] .

↑ « Es ist daher geboten, daß die Deutschen auf dem rechten Flügel so stark wie möglich sind, denn hier ist die Entscheidungsschlacht zu erwarten » [ 41 ] .

↑ Dans le cadre de la Triplice , le royaume d'Italie a signé une convention militaire avec les empires allemand et autrichien le 15 janvier 1888, prévoyant d'envoyer via l'Autriche une armée italienne en Alsace. Cet accord, renouvelé jusqu'en mars 1914, est rendu caduc par le rapprochement franco-italien de 1902 et surtout par la proclamation de la neutralité italienne le 2 août 1914.

↑ Cannes est étudiée dans une série d'articles publiés de 1909 à 1913 dans les Vierteljahrsheft für Truppenführung und Heereskunde , puis réédité dans un recueil post-mortem en 1913 [ 53 ] . Plusieurs historiens ont fait le lien entre la bataille de Cannes et le plan Schlieffen, comme Becker : « c'est le schéma de la bataille de Cannes, […] qui inspira Schlieffen qui lui avait consacré une étude » [ 54 ] . Grœner en 1930 a une autre approche : « Schlieffen était resté dans une très sage limite en renonçant au double enveloppement et en se contentant d'un Leuthen » [ 55 ] .

↑ Les unités d’ Ersatz (de remplacement) de l'armée allemande sont composées en août 1914 d'une partie du surplus de réservistes arrivés dans les dépôts, destinées à remplacer les pertes des autres unités. À la mi-août sont constituées 19 brigades à partir de ces unités d’ Ersatz (une par région militaire ), qui sont regroupées au sein de six divisions d’ Ersatz ( Ersatzdivisionen ) : de la Garde, 4 e , 8 e , 10 e , 19 e et bavaroise.

↑ Les six brigades affectées pour prendre Liège sont : la 11 e (de Brandebourg-sur-la-Havel , 6 e division du III e corps), la 14 e (de Halberstadt , 7 e division du IV e corps), la 27 e (de Cologne , 14 e division du VII e corps), la 34 e (d' Altona , 17 e division du IX e corps), la 38 e (de Hanovre , 19 e division du X e corps) et la 43 e (de Cassel , 22 e division du XI e corps) [ 66 ] .

↑ L'extrémité de la droite allemande est tenue par le 2 e corps de la 1 re armée ; sa route a été : Erkelenz , Aix-la-Chapelle , Liège , Vilvorde , Tournai , Cambrai , Bray-sur-Somme , Villers-Bretonneux , Montdidier , Verberie et Pommeuse .

↑ Pendant la bataille de la Marne, la 1 re armée allemande aligne huit divisions d'infanterie, deux de réserve et trois de cavalerie ; la 2 e armée allemande est alors réduite à quatre d'infanterie, deux de réserve et trois de cavalerie (les deux de la Garde sont engagées face à la 9 e armée française). En face, la 6 e française compte cinq d'infanterie, quatre de réserve et trois de cavalerie ; le BEF dispose de cinq divisions d'infanterie et une de cavalerie ; la 5 e française a huit d'infanterie, trois de réserve et trois de cavalerie [ 85 ] .

↑ La notion de porte tambour développée par Liddell Hart à propos du plan Schlieffen [ 122 ] est reprise par Karl-Heinz Frieser dans une comparaison avec le plan Jaune de Manstein [ 123 ] .



↑ Hénin 2012 , p. 243.

↑ Hénin 2012 , p. 110-117.

↑ (de + fr) H.-A. Birmann , Wörterbuch der gesamten Militärwissenschaften Deutsch-Französisch : Dictionnaire des Sciences militaires allemand-français , Paris, Henri Charles-Lavauzelle, 1912 , 301 p. ( BNF 31819490 ) , p. 19 .

↑ Hénin 2012 , p. 83.

↑ Helmuth von Moltke , Plan d'opération, objet
Plantureuse femme avec des tresses baisée et masturbée
orgie mature et chaude
Une ado blonde va se faire démonter

Report Page