Plan à trois à l'indienne

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GEO avec AFP


Publié le
30/06/2022 à 9h57






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Alors que les tempêtes de mousson s'abattent sur l'Inde, des femmes participant à un programme d'irrigation dans des villages frappés par la sécheresse espèrent que leur labeur harassant viendra à bout du manque d'eau.
Deuxième pays le plus peuplé au monde, l' Inde peine à satisfaire les besoins en eau de ses 1,4 milliard d'habitants. Et le problème s'aggrave à mesure que le changement climatique rend la météo toujours plus imprévisible.
Peu de régions connaissent des conditions aussi rudes que le Bundelkhand, dans le centre de l'Inde, où le manque d'eau a poussé les agriculteurs à abandonner leurs terres pour un travail précaire dans les villes.
" Nos anciens disent que ce ruisseau coulait à flots toute l'année mais aujourd'hui il n'y a plus une seule goutte ", se lamente Babita Rajput, en désignant à l'AFP une fissure dans la terre, complètement à sec, près de son village. La " crise de l'eau " qui sévit dans la région a " asséché tous nos puits ", explique-t-elle.
Il y a deux ans, Babita Rajput a rejoint Jal Saheli ("Les Amis de l'eau"), un programme d'irrigation regroupant un millier de femmes bénévoles, qui oeuvrent dans le Bundelkhand à réhabiliter et ressusciter les plans d'eau d'eau disparus.
Ensemble, elles portent des pierres et mélangent du béton pour construire les barrages, étangs et digues qui permettront de retenir les eaux de mousson de juin, une saison qui représente environ 75 % des précipitations annuelles en Inde.
Le village d'Agrotha, où vit Babita Rajput, est l'une des 300 localités où les femmes planifient de nouveaux sites de captage et de réservoirs. Selon elle, leur labeur a permis de faire revivre une demi-douzaine de plans d'eau autour de leur village. Une rare lueur d'espoir alors que les pénuries s'aggravent dans le pays.
Même s'ils ne sont pas encore autosuffisants, les habitants d'Agrotha échappent désormais au sort des quelque 600 millions d'Indiens confrontés au quotidien à de graves pénuries d'eau, selon les chiffres d'un groupe de réflexion gouvernemental.
Les services de distribution d'eau de la capitale New Delhi sont dépassés par la demande en été et des camions doivent se rendre régulièrement dans les bidonvilles pour approvisionner leurs habitants.
L'institut de politique publique indien NITI Aayog prévoit qu'environ 40 % de la population du pays pourrait ne pas avoir accès à l'eau potable d'ici la fin de la décennie.
Les précipitations irrégulières et les chaleurs extrêmes sont liées au changement climatique dans le Bundelkhand, affecté par plusieurs longues périodes de sécheresse depuis le début du siècle.
Sanjay Singh, un militant de la société civile, a formé des femmes d'Agrotha à la collecte et au stockage de l'eau de pluie, aidant ainsi le village à se réapproprier des connaissances perdues des décennies plus tôt, lorsque l'eau - alors gérée par les habitants - est devenue une ressource administrée par le gouvernement indien.
" Mais le gouvernement n'a pas réussi à garantir un accès à l'eau à chaque citoyen, en particulier dans les zones rurales ", déplore-t-il auprès de l'AFP. Avant le lancement du projet d'irrigation à Agrotha, les femmes devaient parcourir chaque jour des kilomètres à pied pour tenter, souvent en vain, de trouver un puits qui ne soit pas tari.
Dans les villages indiens, la corvée d'eau est traditionnellement dévolue aux femmes. Plusieurs d'entre elles ont subi des violences de la part de leurs maris, car elles n'avaient pas réussi à en ramener suffisamment à la maison, a expliqué M. Singh.
La sécheresse a entraîné de grands changements sociaux dans la région, poussant les hommes à partir vers les villes en laissant leur famille derrière eux. Mais, depuis sa création en 2005, le programme Jal Saheli a aidé plus de 110 villages à devenir autonomes pour leurs besoins en eau, contribuant à inverser ce flux de population.
Dans le district voisin de Lalitpur, Srikumar, une vieille dame a vu son village se transformer, passant d'un désert de poussière à une oasis. Il y a une dizaine d'années, les puits et les pompes manuelles de son village de 500 habitants se sont retrouvés à sec, se souvient-elle.
La plupart des fermes étaient devenues improductives en raison du manque d'irrigation et le bétail, déshydraté, mourait sous des températures estivales proches de 50 degrés Celsius. " Les villageois ont beaucoup souffert à cette époque ", a raconté Srikumar.
Avec l'aide de l'organisation caritative de Singh, Srikumar et une douzaine d'autres bénévoles ont creusé près du village un réservoir de la taille d'un terrain de football, pouvant contenir jusqu'à trois mètres d'eau une fois la mousson passée.
" Les choses ont changé en bien. Maintenant, nous avons assez d'eau, pas seulement pour nos maisons mais également pour notre bétail ", se réjouit-elle. " Nos vies auraient été misérables sans ce point d'eau. Il aurait été très difficile de survivre ".
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Plan à trois : le petit guide du débutant



Par Audrey Salles-Cook


journaliste



Voici un petit guide pratique du plan à trois pour les novices en la matière.

Vous pourriez être partante pour un plan à trois, mais l'inconnu vous fait peur. Alors suivez ces petits conseils pratiques sur le triolisme, qui devraient vous éclairer.

Quand on est seule, il est généralement plus facile de faire son choix...


Pas toujours facile de se lancer, on vous l'accorde !


Un petit verre de vin devrait vous aider à détendre l'atmosphère.


Prévenez vos partenaires de vos envies avant même de commencer l'expérience, c'est plus prudent.

Le plan à trois reste un fantasme inavouable. Si l'expérience vous tente mais que vous ne savez pas comment aborder la chose, voici un petit guide à l'intention de tous les novices du triolisme .
Quand on est deux, fatalement, on n'est pas seule à décider. Il s'agit donc de composer avec les goûts de son partenaire. Selon la sexologue Emily Morse , il est impératif d'éliminer vos ex ou toute personne trop proche de l'un de vous (ça peut créer des jalousies). Par contre, mieux vaut se tourner vers quelqu'un que vous connaissez déjà et qui serait a priori ouvert à ce type d'expérience. Si vous faites le choix de l'inconnu(e), vous prenez le risque de découvrir des choses déplaisantes une fois dans le feu de l'action.
Pas besoin d'être un expert en séduction pour savoir que les profils sont très nombreux sur le net et que les sites de rencontres sont bien souvent une mine d'or pour trouver ce genre de plan. Si vous avez la flemme de vous inscrire, contentez-vous de télécharger Tinder ou Happn , c'est également un bon moyen de trouver le couple élu. Pour les moins timides d'entre vous, la spécialiste indique qu'il est aussi possible de faire ce type de rencontre dans des clubs échangistes ou dans un sex shop en engageant la conversation mine de rien.
Evidemment, il est important de prendre ses précautions, histoire d'éviter toute mauvaise rencontre. Avant de passer à l'acte, on rencontre donc ledit couple pour se rassurer et on essaye de faire en sorte que ça se passe à la maison. Prévenez votre meilleure copine et appelez-la à une heure fixée à l'avance pour lui dire que tout s'est bien terminé. Si vous ne lui donnez pas signe de vie, elle saura au moins où vous trouver...
Il faut savoir que les hommes sont bien souvent plus réticents à partager un tel moment en compagnie de l'un de leurs congénères. Si c'est votre fantasme, faites en sorte d'avancer vos arguments avec subtilité, mais n'essayez pas de lui forcer la main pour autant. Attention, cela ne doit jamais être un compromis : assurez-vous que monsieur a autant envie que vous de se lancer là-dedans, autrement vous pourriez bien en faire les frais plus tard.
Tout dépend de la personne à qui vous vous adressez. Si vous savez pertinemment qu'un couple ou une personne seule s'est déjà adonnée à ce type de pratique, alors ne passez pas par quatre chemins pour poser la fameuse question : "Avec X, on tenterait bien un plan à trois et on se demandait si tu pourrais être partant" ?
Si vous n'en savez strictement rien, alors tâtez le terrain subtilement avant de vous lancer. Après avoir introduit le sujet du sexe dans la conversation (sujet plus que banal de nos jours), glissez sur le plan à trois avec une phrase du type : "Une copine m'a dit qu'elle avait essayé un plan à trois avec son mec. Perso je n'y avais jamais pensé avant, mais... Et toi, t'en penses quoi ?". Bref, vous avez compris l'idée.
Si vous êtes seule avec un couple, alors n'hésitez pas à édicter vos règles dès la première rencontre, avant même de passer à l'acte. A deux, assurez-vous que tout est clair et que les limites sont bel et bien définies. Vous êtes peut-être OK pour avoir des rapports sexuels, mais ne souhaitez pas voir votre partenaire embrasser une autre femme que vous, alors dites-lui surtout et ne partez pas du principe qu'il est devin...
Et comme il vaut mieux prévenir que guérir, convenez également d'une expression-clé pour vous sortir d'une situation indésirable. Un bon vieux "J'ai soif, je vais prendre un verre d'eau" fera très bien l'affaire.
Qu'on soit deux, trois, ou plus, le port du préservatif est absolument indispensable. La seule variante, c'est le nombre qu'il va vous falloir utiliser pour être certain de bien vous protéger et de contrer les MST . Si votre mec alterne les pénétrations, alors il doit enlever son préservatif pour un mettre un nouveau à chaque fois qu'il change de partenaire. Mieux vaut également prévoir du lubrifiant, vous n'en avez peut-être pas besoin vous-même, mais quand on est dans un plan à trois, on doit aussi penser aux autres.
Bon la phase d'approche est terminée et le grand soir est enfin là. Pas la peine de vous précipiter tête baissée, mieux vaut prendre le temps d'installer une petite ambiance au préalable histoire que ça ne soit pas trop bizarre. De la même façon qu'avec un classique flirt, prenez place autour d'un verre et discutez gentiment en attendant que l'atmosphère s'y prête. Si vous êtes du genre ultra-désinhibée et que tout le monde suit le mouvement, essayez la technique du massage , c'est parfait pour se familiariser avec le corps de l'autre.
Il n'est pas question de vous dire quoi, mais simplement de vous aiguiller. Comme dans une relation à deux, le naturel et la spontanéité sont bien souvent le moteur qui fait avancer le schmilblick, mais il y a peut-être quelques petits trucs auxquels vous n'auriez pas pensé et qui pourraient s'avérer plaisants.
Parce qu'autant profiter de cette expérience pour tenter de nouvelles choses, la sexologue Emily Morse conseille à l'homme de se mettre sur le dos pour profiter d'une fellation , pendant que l'autre femme se positionne au niveau de son visage pour apprécier à son tour d'une petite gâterie (donnant-donnant). Autre option possible, s'allonger sur le dos et permettre à l'autre femme de se mettre à quatre patte au-dessus de vous, afin que monsieur puisse ensuite être capable de la pénétrer en levrette pendant que vous caressez leurs corps en action.
Dernière suggestion d'Emily Morse: se disposer en cercle pour vous aller de l'un à l'autre plus facilement et alterner de façon égalitaire.
Le mieux reste encore de prévenir vos partenaires lorsque vous êtes sur le point de jouir . N'hésitez pas à parler de l'après pendant la phase de flirt, c'est le meilleur moment pour aborder la question. Si vous ne voulez pas vous retrouver avec une pyjama party improvisée chez vous, mieux vaut anticiper...
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Publié le 07/06/2022 à 07h32
- Modifié le 07/06/2022 à 15h31




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Vous lisez actuellement : Inde: la mort de trois soeurs illustre la violence conjugale liée à la dot

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S ardar Meena cherchait en vain trois de ses filles et deux de ses petits-enfants disparus depuis plusieurs jours du domicile conjugal à Dudu, village du Rajasthan en Inde , quand leurs corps ont été découverts dans un vieux puits perdu dans la campagne aride.
Kalu, 27 ans, mère d'un petit garçon de quatre ans et d'un bébé de 27 jours, ses soeurs cadettes Kamlesh, 20 ans et Mamta, 22 ans, toutes deux enceintes, étaient mariées à trois frères et vivaient à Dudu, sous le toit de la belle-famille.
La plus jeune, peu avant leur décès, avait rédigé sur sa messagerie Whatsapp un statut accusateur, transmis à l' AFP par un cousin: "la belle-famille est derrière nos cinq morts (...) nous ne voulons pas mourir mais la mort vaut mieux que les sévices".
Quatre jours après la sinistre nouvelle, assis à même le sol, M. Meena, son épouse, leur fils aîné, leurs trois autres filles et leurs proches, pleurent les jeunes défuntes sous leurs portraits photographiques, disposés sur des étagères de l'indigente demeure familiale à Chhapya, village proche de Dudu.
Leurs décès sont traités en suicide jusqu'aux résultats des autopsies, a déclaré un officier de police de Jaipur interrogé par l'AFP.
Mais M. Meena accuse ses gendres de la maltraitance et du harcèlement moral incessants qu'ont subis ses filles des années durant.
L'aînée Kalu avait été admise à l'hôpital en avril après avoir été battue par son mari et sa belle-famille.
"Mes filles subissaient leur violence, puis revenaient ici. Mais, malgré la violence, elles disaient devoir rentrer vivre au domicile conjugal et retournaient alors chez leurs maris", raconte à l'AFP le père, bouleversé.
Le divorce, considéré comme une infamie dans la plupart des familles indiennes, M. Meena les laissait repartir pour "sauver l'honneur de sa famille".
Selon M. Meena, la belle-famille leur reprochait, notamment, leurs maigres dots.
"Ceux qui exigent une dot ne sont pas des gens bien", souligne-t-il, "ce n'est pas humain".
Les maris des défuntes, leur belle-mère et leur belle-soeur ont été arrêtés, notamment pour harcèlement relatif à la dot et violence conjugale.
"Ils les ont tellement harcelées", témoigne Sonu, une autre fille de M. Meena, "mais mes soeurs espéraient qu'un jour les choses changeraient".
La pratique de la dot est interdite depuis plus de 60 ans par la loi indienne qui reste amplement enfreinte.
"Nous leur avons déjà donné tant de choses (...)", ajoute-t-il, citant des téléviseurs, un réfrigérateur, des meubles, "je suis père de six filles, il y a des limites à ce que je peux faire".
"Je les avais dotées d'une éducation, c'était déjà difficile en soi", poursuit-il exhibant fièrement leurs cartes universitaires.
Mais les époux avaient interdit à ses filles de poursuivre leurs études et de travailler.
La presse locale rapporte quotidiennement des histoires de violence conjugale et de querelles relatives aux dots qui tournent mal.
L'an dernier, un Indien de l'État méridional du Kerala a été condamné à la prison à vie pour le meurtre, par morsures de cobra, de son épouse afin de prendre le contrôle de ses biens.
Leur mariage lui avait déjà rapporté une voiture neuve et plus de 6.000 dollars.
Le mois dernier, une cour du Kerala a condamné à dix ans de prison un homme pour avoir poussé son épouse au suicide à force de harcèlement au sujet de sa dot.
Selon les données du Bureau national des archives criminelles, près de 7.000 femmes au foyer ont été tuées et 1.700 autres se sont suicidées pour des affaires de dot, en 2020.
Une enquête nationale sur la santé des familles (NFHS) révèle qu'environ 30 % des femmes mariées ont été victimes de violences conjugales, définies comme violences physiques et/ou sexuelles.
Les défenseurs des droits des femmes estiment toutefois que ces chiffres ne sont que la partie émergée de l'iceberg.
"De 30 à 40 femmes sont victimes de violence conjugale toutes les heures", déclare à l'AFP Kavita Srivastava, militante de l'organisation non gouvernementale de défense des droits humains PUCL, soulignant que ces données reposent sur les seules plaintes enregistrées par la police.
Le problème fondamental, selon elle, reste l'inertie générale de la société devant la violence conjugale en Inde: "une telle résignation est très inquiétante".
07/06/2022 07:53:41 - Jaipur (Inde) (AFP) - © 2022 AFP
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