Plaisirs sensuels avec deux teens

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Plaisirs sensuels avec deux teens

Publié le 26/02/08 à 00h00
— Mis à jour le 26/02/08 à 18h44



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Culture ScĂšnes d’amour intĂ©gral
Un festival de films français intitulé «Extreme love» s'est ouvert lundi à Tokyo, organisé avec le soutien de l'ambassade de France.
>> ATTENTION, LES VIDEOS DANS CET ARTICLE PEUVENT CHOQUER >>
Au programme: 24 courts-mĂ©trages et 4 films dont «Sombre» et «La vie nouvelle», du cinĂ©aste français Philippe Grandrieux; «Baise-moi» de Virginie Despentes et Coralie Trinh Thi et «Une vraie jeune fille» de Catherine Breillat, qui ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© diffusĂ©s au Japon mais avec plusieurs scĂšnes coupĂ©es ou floutĂ©es. Car dans ce pays d’Asie, la nuditĂ© intĂ©grale est interdite et les sĂ©quences de nu dans les films, japonais ou Ă©trangers, sont floutĂ©es au niveau du bas ventre, y compris pour les films X.
La vidéo de «Une vraie jeune fille»
Or exceptionnellement pour ce festival, il n’y aura aucune scĂšne censurĂ©e, pas mĂȘme les sĂ©quences qui montrent masturbation, fellation ou accouplement.
«La France jouit d'une libertĂ© en matiĂšre d'Ă©rotisme que j'apprĂ©cie beaucoup, dit Takashi Asai, prĂ©sident de la sociĂ©tĂ© Uplink, lĂ  oĂč sont projetĂ©s les films du festival. Dans le cinĂ©ma, nous ne sommes toujours pas libres au Japon», a-t-il regrettĂ©, en rappelant le cas du cinĂ©aste japonais Nagisa Oshima dont le film culte, «L'empire des sens», n'a toujours pas Ă©tĂ© montrĂ© dans sa version intĂ©grale au public japonais.
Takashi Asai est bien connu des responsables de la censure japonaise: il a fait la une des mĂ©dias la semaine derniĂšre aprĂšs qu’un verdict de la Cour suprĂȘme l'autorise Ă  importer au Japon un livre de nus du photographe amĂ©ricain Robert Mapplethorpe.
«C'est une pure coïncidence que ce festival de cinéma se tienne quelques jours seulement aprÚs le verdict», a assuré à l'AFP Asai, dont la société, créée en 1987, publie des livres d'art, produit et distribue des films et documentaires d'auteurs.

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17 août 2022 à 5h00 - Rim Hajjoui - Hardbacon

21 août 2022 à 7h10 - François Cattapan

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Si les salons de massage Ă©rotique ne sont pas lĂ©gion dans l’arrondissement , il serait toutefois faux de dire qu’ils sont inexistants. Le journaliste du Guide a visitĂ© le salon Charme Spa, sur le boulevard Henri-Bourassa Est, oĂč les employĂ©es ne passent pas par quatre chemins pour connaĂźtre les dĂ©sirs des clients.
Vendredi 6 mars, 14h. Il faut sonner pour entrer. Une employĂ©e d’origine asiatique d’une trentaine d’annĂ©es, possiblement la gĂ©rante, rĂ©pond Ă  la porte et escorte le journaliste jusqu’à une petite salle sombre munie d’une table de massage et d’une douche.
Avant mĂȘme que le reprĂ©sentant du Guide n’ait eu le temps d’enlever son manteau, la dame lui demande, dans un français approximatif, quel genre de «services» il dĂ©sire.
«Tu veux avec la main? Avec la bouche? Ici, c’est tous les services que tu veux», lance-t-elle, sans le moindre dĂ©tour.
Le journaliste rĂ©pond vouloir un massage traditionnel, sans extra. Le regard Ă©tonnĂ©, la «gĂ©rante» ne pose pas trop de questions, demande Ă  une employĂ©e de venir s’occuper du client et quitte la piĂšce.
Une jeune femme de race noire dans la vingtaine, grande et dotĂ©e d’une volumineuse poitrine, fait alors son apparition.
Les 20 premiĂšres minutes se passent normalement, comme dans un centre de massothĂ©rapie standard. Jusqu’au moment oĂč la «masseuse» mentionne qu’il existe toute une gamme d’options, et ce, jusqu’au «service complet». «Ici, pour 30 minutes, c’est 120$», dĂ©taille-t-elle. Le prix du massage de 30 minutes Ă©tait pourtant de 40$ dans l’entente initiale.
Au bout de 25 minutes, la jeune femme offre Ă  son client peu collaborateur de prendre une douche, question qu’il puisse retirer l’huile appliquĂ©e sur son corps.
Insistance et harcĂšlement
AprĂšs la douche, alors que le journaliste se rhabille en vue de quitter les lieux, la «gĂ©rante» rĂ©apparaĂźt dans la chambre et propose Ă  nouveau ses «autres» services. «La demi-heure n’est pas terminĂ©e. Tu veux un massage plus long? [
] C’est parce qu’ici, les clients veulent le massage, mais ils veulent plus les options, comme avec la main, avec la bouche et plus aussi», rĂ©pĂšte-t-elle.
Devant le refus du journaliste, elle insiste pour parler des extras et tente d’amener la main de ce dernier sur son sein et sur sa fesse.
Devant un éniÚme refus, alors que le client veut quitter, la gérante se jette sur lui dans une ultime et désespérée tentative, mais sans succÚs.
Le journaliste la repousse et se sent dans l’obligation de hausser le ton, afin qu’elle le laisse enfin sortir de l’établissement.
Propriétaire introuvable
La prĂ©posĂ©e Ă  l’accueil ou gĂ©rante du salon Charme Spa n’était pas en mesure de dire qui est le propriĂ©taire, ni comment le contacter.
Une visite sur le site du registraire des entreprises permet d’apprendre que Charme Spa appartient Ă  Duong Le. Nous avons tentĂ© d’appeler le propriĂ©taire, mais en vain. On apprend aussi, toujours selon le registraire, que le salon a portĂ© d’autres noms par le passĂ©, soit Massage ThĂ©rapie OcĂ©anasia, entre octobre 2008 et fĂ©vrier 2009, et Le Centre de santĂ©, entre janvier 2013 et janvier 2015.


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Vendredi 6 mars, 14h. Il faut sonner pour entrer. Une employĂ©e d’origine asiatique d’une trentaine d’annĂ©es, possiblement la gĂ©rante, rĂ©pond Ă  la porte et escorte le journaliste jusqu’à une petite salle sombre munie d’une table de massage et d’une douche.
Avant mĂȘme que le reprĂ©sentant du Guide n’ait eu le temps d’enlever son manteau, la dame lui demande, dans un français approximatif, quel genre de «services» il dĂ©sire.
«Tu veux avec la main? Avec la bouche? Ici, c’est tous les services que tu veux», lance-t-elle, sans le moindre dĂ©tour.
Le journaliste rĂ©pond vouloir un massage traditionnel, sans extra. Le regard Ă©tonnĂ©, la «gĂ©rante» ne pose pas trop de questions, demande Ă  une employĂ©e de venir s’occuper du client et quitte la piĂšce.
Une jeune femme de race noire dans la vingtaine, grande et dotĂ©e d’une volumineuse poitrine, fait alors son apparition.
Les 20 premiĂšres minutes se passent normalement, comme dans un centre de massothĂ©rapie standard. Jusqu’au moment oĂč la «masseuse» mentionne qu’il existe toute une gamme d’options, et ce, jusqu’au «service complet». «Ici, pour 30 minutes, c’est 120$», dĂ©taille-t-elle. Le prix du massage de 30 minutes Ă©tait pourtant de 40$ dans l’entente initiale.
Au bout de 25 minutes, la jeune femme offre Ă  son client peu collaborateur de prendre une douche, question qu’il puisse retirer l’huile appliquĂ©e sur son corps.
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AprĂšs la douche, alors que le journaliste se rhabille en vue de quitter les lieux, la «gĂ©rante» rĂ©apparaĂźt dans la chambre et propose Ă  nouveau ses «autres» services. «La demi-heure n’est pas terminĂ©e. Tu veux un massage plus long? [
] C’est parce qu’ici, les clients veulent le massage, mais ils veulent plus les options, comme avec la main, avec la bouche et plus aussi», rĂ©pĂšte-t-elle.
Devant le refus du journaliste, elle insiste pour parler des extras et tente d’amener la main de ce dernier sur son sein et sur sa fesse.
Devant un éniÚme refus, alors que le client veut quitter, la gérante se jette sur lui dans une ultime et désespérée tentative, mais sans succÚs.
Le journaliste la repousse et se sent dans l’obligation de hausser le ton, afin qu’elle le laisse enfin sortir de l’établissement.
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Une visite sur le site du registraire des entreprises permet d’apprendre que Charme Spa appartient Ă  Duong Le. Nous avons tentĂ© d’appeler le propriĂ©taire, mais en vain. On apprend aussi, toujours selon le registraire, que le salon a portĂ© d’autres noms par le passĂ©, soit Massage ThĂ©rapie OcĂ©anasia, entre octobre 2008 et fĂ©vrier 2009, et Le Centre de santĂ©, entre janvier 2013 et janvier 2015.

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