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Expert-comptable en ligne - SBA Compta > Gestion et développement > 18 personnalités toxiques au travail et comment les gérer
Anonyme
sur 23 septembre 2019 à 15 h 20 min
Rétroliens/Pings
Gérer les personnalités difficiles dans l’entreprise – Par'Isis - […] https://www.smallbusinessact.com/blog/gerer-personnalite-difficile-travail/ […]
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Si vous travaillez en moyenne 40 heures par semaine, vous passez probablement plus de temps avec vos employés, collègues ou vos managers qu’avec vos proches.
Une personne agréable au bureau peut rendre le pire travail supportable. De la même manière, un collaborateur ou un patron franchement pénible peut rendre le meilleur lieu de travail totalement épouvantable !
Nous passons près de la moitié de notre vie au travail et, compte tenu de la complexité de la nature humaine, les choses deviennent obligatoirement difficiles. Qu’il s’agisse de problèmes directement liés au travail ou de problèmes à la maison, lorsqu’il y a une interaction constante entre les personnes, nous ne pouvons pas toujours rester en bons termes, malgré les meilleures intentions.
Nos collaborateurs sont comme les membres d’une famille. Nous ne pouvons pas nécessairement choisir avec qui nous travaillons, nous devons donc apprendre à vivre avec eux !
Il existe des personnalités avec lesquelles il est très difficile de travailler pratiquement sur tous les lieux de travail !
Comment identifier un collaborateur difficile ? Et comment gérer une personnalité pénible au travail ?
Il est important de comprendre les différents types de personnalités toxiques auxquelles on peut être confronté sur son lieu de travail, et surtout comment bien communiquer avec celles-ci, car elles peuvent avoir des conséquences néfastes sur le travail de toute l’équipe et le succès de l’entreprise.
Votre Cabinet Comptable en Ligne SmallBusinessAct vous dévoile le top 18 des personnalités toxiques les plus communes au travail et les meilleures méthodes pour les gérer intelligemment.
Chaque fois que vous vous adressez à quelqu’un au bureau, cette personne trouve le moyen de s’immiscer. Elle répond à vos questions et vous ne pouvez pas avoir de conversation privée sans qu’elle s’incruste dans la discussion.
Quand une personne est trop intrusive, dites quelque chose du genre: « En fait, je voulais vraiment avoir l’avis de Caroline à ce sujet. Pouvez-vous nous laisser une minute? ».
Si la personne continue à vous interrompre, répétez la phrase. Soyez gentil, mais surtout, soyez ferme.
Cette personne a une opinion sur tout et prend plaisir à vous expliquer comment mieux faire votre travail. Sans avoir forcément d’intentions malveillantes, cette personne exerce une forme de tyrannie car elle est persuadée d’avoir toujours raison et essaie systématiquement de se placer au-dessus des autres.
Plus vous ignorez cette personne et l’empêchez de vous atteindre, mieux ce sera. Quand elle donne une opinion non sollicitée, dites simplement: « Merci, j’y penserai ».
Et si vous vous sentez frustré, rassurez-vous en vous disant que ce personnage est certainement considéré comme odieux par la plupart des personnes au bureau (ou même des clients/fournisseurs). Vous n’êtes certainement pas la seule personne irritée par son comportement.
Cette personnalité rebelle est peut-être l’une des plus difficile à gérer. Ce type de collaborateur ou même supérieur se comporte de manière imprudente et agit d’une manière que d’autres trouvent déroutante, inconfortable ou même obscène.
Il a des difficultés avec les autres et s’ennuie rapidement. Lorsqu’il s’ennuie, ils créé intentionnellement des problèmes simplement pour remuer le pot, afin de générer de l’excitation.
Le moyen le plus efficace de gérer ce profil est de le placer dans son propre bureau, loin des autres ou encore de lui permettre de travailler à distance. Être près des autres provoque chez cet individu anarchiste une énorme quantité de chaos et d’irritation en interne.
Ce profil sera plus facilement gérable et exécutera plus efficacement sa tâche si son interaction avec les autres est limitée.
Certaines personnalités au bureau se complaisent dans la négativité. Elles n’aiment pas leur travail et n’aiment pas travailler pour leur entreprise. Leurs patrons ou collègues sont tous des imbéciles qui les traitent toujours de manière injuste, leur entreprise ne fait jamais suffisamment pour eux, leurs clients sont méchants, leurs collègues sont envieux… Bref rien ne leur convient jamais, et leur vie est une plainte continuelle.
Vous connaissez ces profils hyper négatifs – chaque organisation en compte quelques spécimens parmi ses équipes.
Si vous le pouvez, évitez la présence de ce genre de personne au bureau. Ne laissez pas sa négativité vous affecter. Fermez complètement votre esprit à tous ses propos négatifs! Concentrez-vous sur des images positives dans les cas où vous ne parvenez pas à vous échapper.
Rappelez-vous également que cette personne est triste et sans doute très déprimée. Les gens heureux ne se comportent pas de cette façon. Et se rappeler cela pourrait vous faciliter les choses.
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Pour une raison incompréhensible, cette personne écoute toujours ses messages vocaux sur haut-parleur ou mène des conversations entières sur haut-parleur avec un mépris total pour son entourage.
Ou encore, il / elle aime beaucoup parler et a une voix qui porte. Et finalement, vous avez l’impression de n’entendre plus que ça à longueur de journée et cela devient difficile de rester concentré sur votre travail .
Oui mais voilà, vous ne voulez pas passer pour l’embêtant de service, et vous ne savez pas comment lui dire avec tact qu’il fait vraiment trop de bruit.
Soyez simple. Dites quelque chose comme: « Erwan, ça te dérangerait de décrocher ton téléphone? J’ai vraiment du mal à me concentrer dans un environnement bruyant ».
La pipelette n’est pas une personne méchante, mais elle n’arrête jamais de parler. Elle est particulièrement douée pour vous engager dans de longues conversations qui ne se terminent jamais. Surtout lorsque vous êtes pressé ou que vous essayez de passer un appel téléphonique.
Soyez ferme et ne laissez pas les pipelettes vous prendre tout votre temps.
Dites par exemple: « Désolé, mais je suis pressé et je dois finir quelque chose ». Si la pipelette continue à parler, soyez encore plus direct: « Je dois arrêter de parler et retourner au travail ».
La victime est un autre type de personnalité difficile que l’on trouve dans de nombreux bureaux et qu’il est évident de repérer. C’est la personne qui se plaint constamment et tente d’attirer l’attention des gens sur ses problèmes (ou problèmes perçus) chaque jour.
Par exemple, les victimes se plaignent de leurs tâches, tentent de convaincre tout le monde qu’elles ne sont pas traitées équitablement, ou encore assurent qu’elles ont plus de travail que tous leurs collègues.
Ce type de personnalité peut aussi jouer la victime lorsque quelque chose ne va pas dans un projet d’équipe et prétendre avoir été été laissé à l’écart des réunions importantes.
Une étude a identifié des traits de personnalité communs aux victimes du travail et a constaté qu’elles « avaient tendance à être moins indépendantes, extraverties et moins stables que les non-victimes » (Coynea, Seignea et Randall, 2010, p. 335).
Le profil “robot” a du mal à établir des relations avec les autres. Ils n’a pas le sens des nuances interpersonnelles et est généralement très rigide.
Son comportement perturbateur au bureau est dû à son extrême inflexibilité et à son incapacité à bien communiquer avec ses collègues ou supérieurs.
« Ils ont des crises de colère et des crises de comportement s’ils n’obtiennent pas ce qu’ils veulent », déclare Foster.
Si vous êtes manager, assurez-vous que votre communication avec vos employés robots est claire et concise et utilisez des instructions écrites plutôt que verbales.
Si le profil robot est votre collègue, essayez de minimiser les distractions lorsque vous lui parlez et organisez des réunions individuelles plutôt qu’élargies.
Ce type de personnes a des préférences claires quant à ce qu’il veut, donc le fait d’être flexible avec eux vous sera bénéfique sur le lieu de travail.
C’est la personne dont l’état émotionnel passe de zéro à soixante degrés en une nanoseconde lorsque les choses ne se passent pas comme prévu.
Ce type de personnalité est presque impossible à gérer. Son humeur change radicalement, soudainement et sans avertissement. Il en faut très peu pour provoquer sa colère, car il est possédé par ses pulsions et fonctionne uniquement sur une pensée irrationnelle.
Prendre une minute pour réfléchir est presque une mission impossible pour le/la lunatique. Ce type de profil exige trop de délicatesse et de “babysitting” de la part de ses managers et de tous les autres.
La plupart des gens, quand ils sont entourés par ce type de personnalité, s’en sortent en permettant à cette personne de suivre son chemin, histoire de réduire les conflits inutiles.
Cet employé affiche un taux de rotation élevé d’une entreprise à l’autre. Il brise non seulement les ponts entre lui et ses collègues, mais aussi entre lui et ses clients (si s’agit d’un entrepreneur lunatique).
En fin de compte, il est plus facile de s’en débarrasser ou de l’éviter que de continuer à essayer de travailler avec lui.
Ce n’est pas forcément une tare d’être un peu narcissique. En fait, sur son lieu de travail, il est nécessaire de se faire une place. Cependant, ce trait de personnalité devient un problème lorsqu’il cache une très faible estime de soi.
Selon Foster, la plupart d’entre nous considérons les narcissiques comme ayant une opinion trop élevée d’eux-mêmes. Or il se trouve qu’un narcissique se protège au contraire d’une faible confiance en soi.
Les collègues, employés ou managers ayant ce type de personnalité ont un sentiment d’accomplissement démesuré, sont égocentriques et condescendants. « La personne remplit la pièce de son ego et surestime ses capacités », a déclaré Foster.
Elle ajoute qu’ils ont tendance à recentrer une histoire sur eux-mêmes, à vous couper la parole et à s’attribuer le mérite pour un travail que vous avez effectué. Vous devez réagir afin de vous faire respecter.
Ce type de personnalité peut être toxique pour le lieu de travail et tentera de contrôler les situations et d’obtenir un soutien pour sa vision de soi gonflée, quelle que soit la manière dont cela pourrait nuire à son entourage ou à ses relations.
Le profil égocentrique refuse d’entendre quoi que ce soit qui nuirait à son estime de soi, explique Foster, alors résistez à la tentation de montrer que vous êtes contrarié.
Au lieu de cela, essayez d’autres tactiques telles que l’indication claire de votre nom sur les brouillons d’un document ou l’inclusion d’une tierce partie lorsque vous échangez des idées.
Selon Foster, une autre stratégie efficace consiste à insérer une critique entre deux compliments.
C’est le type qui est souvent tatillon et critique vis-à-vis de ceux qui ne font pas les choses à sa manière.
Ces personnes peuvent avoir des traits de trouble obsessionnel-compulsif (TOC) même si elles ne sont pas atteintes du trouble lui-même. Elles ressentent souvent le besoin de contrôler les résultats de tout et de tous ceux qui les entourent et peuvent même aller au-delà des limites appropriées et tenter de contrôler des situations qui ne sont pas sous leur responsabilité.
Le contrôleur peut être aussi un perfectionniste et avoir des attentes incroyablement élevées pour lui-même et pour les autres. Cependant, il peut constituer un atout précieux pour votre entreprise ou votre organisation en raison de sa grande attention portée aux détails.
Communiquer efficacement avec le maniaque du contrôle peut être un grand défi, d’autant plus qu’il peut très bien être votre superviseur ou votre chef.
Le type de personnalité silencieuse/tranquille est souvent facile à identifier sur le lieu de travail. Ce type n’est pas nécessairement une personnalité difficile mais peut être source de confusion.
C’est la personne qui est généralement à l’écart, peut s’asseoir longtemps derrière son bureau (au lieu de converser devant la machine à café ou de se joindre à tout le monde pour le déjeuner) et peut se fermer aux autres en se cachant derrière son box, en gardant sa porte du bureau fermée, ou en portant des écouteurs.
Les types passifs-agressifs peuvent rendre l’interaction avec les collègues de bureau très difficile car ils peuvent ne pas être aussi faciles à repérer que les autres et peuvent causer de réels dégâts.
Ils se comportent de manière fictive en cachant par exemple leurs vrais sentiments en prétendant que tout va bien quand ils sont bouleversés. Ils ont également tendance à paraître calmes, froids et recueillis à tout moment puisqu’ils gardent leurs sentiments négatifs enfouis au fond.
Cependant, il y’ a un signe classique qui les distingue : ils peuvent saboter le travail ou les performances d’autrui, ou se venger de manière furtive.
Peu importe la quantité ou le peu de travail que cette personne a sur son assiette, elle semble toujours être à deux doigts de lui arracher les cheveux.
Chaque fois que vous passez devant son bureau, il est dans tous ses états sur un projet ou un autre, et si vous l’engagez dans une conversation, préparez-vous à tout savoir sur ce qui le perturbe.
Que ce soit dans sa vie personnelle ou au travail, cette personne vit en permanence quelque chose de stressant. Cela rend non seulement le travail avec elle une expérience stressante, mais la rend également peu fiable.
Ces personnes ont tendance à oublier pas mal de choses, car leur sentiment d’être submergées les amène à couper le fil des tâches qu’elles ne se souviennent pas d’accomplir.
Peu importe ce qui les stressent, ne vous laissez pas décontenancer. Votre stress et votre frustration ne feront qu’aggraver la situation.
Si vous devez travailler en étroite collaboration avec cette personne, divisez le travail en étapes faciles à gérer qui ne submergeront pas votre collaborateur/employé. Commencez petit et avancez ensemble à partir de là. Cela les maintiendra sur la bonne voie et les empêchera de tomber dans une spirale de stress.
Ce type peut être à la fois amusant et frustrant. Ces personnes peuvent avoir les traits d’un trouble de la personnalité paranoïaque même si elles ne sont pas atteintes du trouble lui-même.
Celles-ci incluent la méfiance constante vis-à-vis des autres et de leurs motivations, la méfiance des autres (même en l’absence de cause) et l’interprétation des comportements des autres de manière très négative (par exemple, « Elle l’a fait parce qu’elle veut me faire virer ! »).
Il est bon d’avoir un certain degré d’obsession, mais une forte préoccupation en matière de contrôle et d’ordre ne l’est pas.
Les employés obsessionnels ont peur de la perte de contrôle. Ils tentent donc d’imposer artificiellement une structure par le biais de règles, de lois et de protocoles. Ils tiennent à des détails et aiment commander leur entourage, ce qui peut être préjudiciable sur le lieu de travail.
Ils ont des problèmes d’efficacité et peuvent bloquer leurs collègues de bureau.
Ils recherchent désespérément la stabilité mais finissent souvent par se sentir dépassés et entravent leurs propres réalisations.
Les employés obsessionnels sont initialement perçus comme bénéfiques pour le lieu de travail, car ils semblent organisés, dévoués et soucieux du détail. Cependant, ces mêmes caractéristiques finissent par interférer avec les besoins du travail.
Il est important de noter que ces employés ne pensent pas qu’ils font quelque chose de mal : dans leur esprit, ils travaillent à la perfection.
La meilleure approche pour bien gérer ce genre de personne toxique au travail consiste à donner l’apparence que vous valorisez leur dévouement. Par exemple, lorsque vous travaillez sur un projet ensemble, surestimez leur engagement envers la tâche à accomplir.
Aussi, n’entrez pas en conflit à propos de petits détails. Vous n’aurez probablement pas le dernier mot.
Ce type d’employé « est inhabituel dans la mesure où il est si séduisant au départ », explique Foster, « vous êtes frappé par son intensité ».
Ce type de personnalité est caractérisée par une « surévaluation intense ». Vous possédez quelque chose qu’ils pensent ne pas avoir et qu’ils veulent avoir. Ils sont incroyablement attrayants et séduisants au début, mais par la suite, ils s’en prennent à vous.
Ces employés craignent profondément que votre intérêt pour eux puisse ne pas durer longtemps, ajoute Foster, alors ils vont pousser jusqu’à ce que vous leur prouviez qu’ils ont raison.
« Cette surévaluation intense peut rapidement basculer en une dévaluation intense » a déclaré Foster. Ces types d’employés sont émotionnellement instables et peuvent apporter un chaos énorme au bureau.
Établissez des limites et définissez-les très clairement. Lors de confrontations ou d’explosions émotionnelles, redirigez leur attention pour créer une rupture dans la spirale négative. Et surtout, évitez à tout prix de vous laisser entraîner dans le drame.
Un type de personnalité très commun dans de nombreux bureaux et facilement repérable : la “commère ». Il est de notoriété que de telles personnes obtiennent leur titre en parlant d’autres personnes (le plus souvent derrière leur dos) et en répandant des rumeurs sur d’autres (et elles ont souvent des versions fausses ou très exagérées de la vérité).
Si vous vous êtes déjà retrouvé dans une conversation de ragots de votre bureau, vous savez probablement à quoi vous attendre. Vous vous êtes peut-être même retrouvé victime de leurs mauvaises habitudes.
Les commères de bureau se comportent souvent de cette façon pour sortir de leurs propres insécurités ou pour créer un drame afin de se divertir.
En effet, parler des autres peut être un moyen de détourner l’attention de leurs mauvais traits (par exemple, de mauvaises performances au travail) ou un moyen de créer des situations qu’ils trouvent amusantes.
Les commères peuvent aussi croire à tort que leurs commérages sont un moyen de se connecter avec d’autres collègues avec qui ils partagent leurs ragots.
Tout d’abord, sachez qu’il peut être difficile de communiquer efficacement avec les commères ou de modifier leur comportement avant d’essayer de le faire. Une bonne stratégie de communication consiste à dire directement à cette personne l’impact de son comportement sur vous avec une déclaration du type « je me suis senti vraiment contrarié par le commentaire que tu as fait à mon propos à Jean-Pierre ».
Cependant, soyez prudent avec ceci et gardez à l’esprit qu’un commentaire comme celui-ci peut potentiellement créer plus de matière à utiliser par les commères.
Pour conclure, gardons en tête que personne n’est le compagnon de bureau idéal. Examinez vos propres habitudes et demandez à vos collaborateurs comment vous pouvez devenir un meilleur collaborateur lorsqu’il s’agit d’interagir avec les autres.
Faites de votre mieux pour limiter la confrontation,
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