Pièce de théâtre très sexy

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Pièce de théâtre très sexy
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Jean-Luc dans son kiosque au Théâtre du Suçoir à Paris, en octobre 2012 - Sébastien Leban/Rue89
La représentation porno au Théâtre Suçoir - Sébastien Leban/Rue89
Au Théâtre Suçoir - Sébastien Leban/Rue89
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marxforever a posté le 17 novembre 2016 à 18h41
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maxcasanova a posté le 17 novembre 2016 à 18h41
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coucoucestmoi89 a posté le 17 novembre 2016 à 18h41
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asspainedchristfag a posté le 17 novembre 2016 à 18h41
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letigre a posté le 17 novembre 2016 à 18h41
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La salle est secrète. Son adresse (dans Paris) n’est donnée aux spectateurs que quand ils achètent leur place. Ils payent 60 euros pour assister au tournage d’une scène pornographique.
Alors, à l’entrée du loft – une grande porte de garage verte –, le vigile nous demande :
On met du temps à comprendre qu’il ne blague pas, et qu’il faut presque donner un mot de passe pour entrer. La porte franchie, on découvre un vaste loft, joli. Le lieu est loué pour diverses occasions – fêtes, tournages, etc.
On aimerait bien y habiter mais la déco est un peu spéciale ce soir-là. Images de filles aux seins gonflés, lumières tamisées.
Dans l’entrée, Jean-Luc, l’organisateur débonnaire du Théâtre Suçoir et de la soirée, est assis à son kiosque. Il accueille les spectateurs.
Après vingt ans passés dans le monde du porno, entre sa boutique sexy à Paris et son activité de distribution et de production de films, il a eu envie de se mettre au théâtre. Il n’a pas inventé l’idée, elle a déjà existé au Théâtre des Deux Boules ou au French Lover, comme le raconte l’acteur Karl Bipasse :
En 2012, l’idée d’un théâtre porno est d’autant plus originale qu’à l’heure actuelle, regarder du porno à plusieurs n’est pas tellement en vogue. Le Beverley, dernier cinéma porno de Paris, lutte pour remplir sa salle .
Sans cacher qu’il fait un business, Jean-Luc raconte, sincère, qu’il voulait montrer au spectateur comment ça se passe. Il dit que c’est une « démarche soft plutôt que de faire un truc plus glauque ». Il aime le mélange des spectateurs :
Ce soir-là, dans la quarantaine de spectateurs (invités et clients), il y a un peu de tout ça. Mais les groupes ne sont pas équilibrés. Le public est très largement masculin. Il n’y a pas plus de cinq femmes.
Beaucoup de « curieux ». Amar, par exemple. 38 ans. Un bras dans le plâtre, des sandales aux pieds, il raconte qu’il va tous les ans au salon du X « par curiosité ». Le spectacle de ce soir ? Par « curiosité » aussi. C’est la deuxième fois qu’il vient. Je lui fais remarquer que du coup, il pourrait être moins « curieux ». Lui répond, sans se démonter :
Assis à côté de lui, Stanislas a la main posée sur sa canne. A 68 ans, ce retraité moustachu a un bon petit look de rockeur avec son blouson en cuir et ses Converse.
Il se décrit comme un « vieux cochon » et a découvert le théâtre grâce à une affiche sur un kiosque à Pigalle, son quartier. Stanislas regarde du porno deux fois par semaine et avait envie d’assister à un tournage :
Ce soir, il n’a pas l’intention de se masturber. Il dit qu’il est rangé, qu’il ne bande plus beaucoup et qu’il admire beaucoup ces acteurs pornos capables de tenir si longtemps en érection :
Le corps des femmes l’intéresse aussi. Il dit d’ailleurs que dans la vie, il aimerait bien se « trouver une jeunette de 18 ans ».
Amar et Stanislas attendent dans la grande salle, celle où le « spectacle » va se dérouler. Partout à terre, il y a des tapis. Les spectateurs font face à une estrade sur laquelle est juché un lit. En fond sonore, fort, de l’électro. Au fond de la salle, un aquarium.
Il y a aussi de quoi manger (ça fait partie du prix). Pas de petits fours, mais du pâté en croûte, du saucisson à l’ail, du saucisson tout court, des chips, des cacahuètes.
Dans une autre salle – à laquelle tout le monde peut accéder –, les acteurs se préparent. Une femme passe, une poire à la main (pour faire un lavement anal). On échange un mot avec Stella Johanssen sur ses chaussures rose fuchsia à strass, très hautes. Elle s’enorgueillit :
Les acteurs se chauffent un peu, les actrices se tripotent avant que la caméra ne tourne. Fabien Lafait, réalisateur de films , s’agite. C’est lui qui orchestre les soirées. Son rôle sera à la fois de filmer et commenter les gestes des acteurs, de leur poser des questions. Voilà, le show commence.
Assis en rang d’oignons sur le bord de l’estrade, les acteurs sont présentés par Fabien Lafait sous les applaudissements des spectateurs. Max Casanova , 28 ans, Lilou, 36 ans et Stella Johanssen, 23 ans. Vous vous souvenez de Jacques Martin ? « L’Ecole des fans » ? Là, c’est pareil :
Puis vient la présentation du scénario par Stella Johanssen. Les acteurs l’ont rapidement mis au point ensemble. Encore une fois l’impression (bizarre, certes) d’assister à ces spectacles d’enfants qu’on subit souvent dans les réunions familiales. Avec une histoire absurde et incohérente :
Voilà pour la complexité du scénario. Point de trois coups, mais le spectacle commence. Sans trop de surprise, le jeu des acteurs est très mauvais, mais clairement, ce n’est pas l’attraction de la soirée. Au bout de cinq minutes de parlotte, les deux actrices sont déshabillées et se lèchent le sexe.
Stanislas, le vieux rockeur, soupire un peu.
Puis, c’est l’entrée surjouée et franchement drôle de l’assistant (Max Casanova) :
Ensuite, les positions s’enchaînent très rapidement.
C’est du porno « gonzo » classique, avec tout ce que ça présente de désagréable. Une représentation sexiste et hypernormée des rapports hétérosexuels, des plans gynécologiques plus écœurants qu’excitants. Exemple flagrant avec cette manie de montrer à la caméra l’anus grand ouvert des actrices après une scène de sodomie.
Alain, un spectateur avec qui on avait parlé avant que le spectacle ne commence, mitraille, l’air grave, les acteurs avec son appareil photo. Un gros reflex numérique. Ce quarantenaire est cadre dans les essais automobiles. Dans son pantalon de cuir et ses lunettes de vue rectangulaires, il nous avait expliqué être venu après avoir vu un reportage dans l’émission « Paris Dernière ». Il espérait « voir un véritable show ». On le pense servi.
Par un mouvement de doigts hyperbourrin, Max Casanova fait éjaculer Stella Johanssen. Elle hurle à la mort, puis assure au public que c’est parce que c’était très bon. Ce dont on ne peut s’empêcher de douter un peu .
L’intérêt du spectacle n’est de toute manière pas là. Régulièrement, Fabien Lafait interrompt les acteurs pour leur demander d’expliquer ce qu’ils font :
Tout y passe et on apprend vraiment des choses sur la façon de travailler des acteurs. Comment ils doivent se positionner par rapport à la caméra, les techniques des actrices pour ne pas avoir mal pendant une sodomie. Si Max Casanova crache à l’intérieur de son préservatif, c’est pour ne pas être trop irrité de la verge.
Pendant tout le spectacle, l’acteur n’a cessé de répéter aux spectateurs en riant :
Et, de fait, il n’a cessé de se masturber frénétiquement pour tenir les presque deux heures de tournage. On l’a secrètement plaint, ça n’avait pas l’air hyperagréable.
En fait, de notre point de vue qui vaut ce qu’il vaut, tout cela n’a absolument rien d’excitant, c’est très technique. Et on pense beaucoup au génial film de Raphaël Siboni, « Il n’y a pas de rapport sexuel », dont nous vous avions parlé en janvier. Un documentaire sur le monde du travail qu’est le porno.
Avant que le spectacle ne commence, on avait aussi parlé avec Isabelle et Gérard (ce couple tenait absolument à être anonyme). Elle, ingénieure de 36 ans, lui, « cadre industriel » de 46 ans. Ils nous avaient dit être venus pour « pimenter un peu leur couple ». Une surprise de Gérard à Isabelle. Elle reconnaissait :
Ils étaient complices, se lançaient des regards amusés, disaient être encore très amoureux après douze ans de relation. Eux attendaient une pièce de théâtre. Récemment, ils avaient adoré la mise en scène des « Liaisons dangereuses » par John Malkovich au Théâtre de la ville, à Paris.
Pendant le show, ils regardent les acteurs s’activer, curieux, sérieux, intrigués. Isabelle penche un peu la tête pour mieux voir, entre les spectateurs de devant. Pas très loin d’eux, un homme se paluche dans son pantalon. Tout va bien.
Après une position acrobatique digne d’un numéro de cirque, le spectacle se termine de manière classique : deux sodomies et une double éjaculation faciale.
On n’a pas pu demander à Isabelle et Gérard ce qu’ils en avaient pensé, ils sont partis avant la fin. Jean-Luc, l’organisateur de la soirée, nous a rapporté qu’ils devaient libérer leur baby-sitter.
Stanislas, « le vieux cochon », n’est pas déçu. Même s’il n’a pas bandé. Il a trouvé la pièce « assez drôle » et il a bien ri des blagues des comédiens pendant le spectacle. Amar, lui, n’est pas très content :
Ses vêtements enfilés, Max, encore rouge de l’effort sportif qu’il vient d’accomplir, engloutit du saucisson à l’ail. Il a le sourire aux lèvres et raconte aimer avoir un public, observer ses réactions :
Dans son kiosque, quand on parle à Jean-Luc du spectateur qui s’est masturbé en lui demandant si c’est l’ambition du spectacle, il répond, agacé :
Ce soir, il n’y avait pas autant de spectateurs que ce qu’il escomptait. Il l’explique par la reprise : il n’y a pas eu de représentations pendant l’été.
La production de la soirée lui a coûté 2 500 euros. Jean-Luc est un peu déçu, il n’est pas rentré dans ses frais. Après les prochaines représentations, si tout marche comme il veut, il aimerait emmener le Théâtre Suçoir en Grèce au printemps.
Contrairement à certains dans le fil qui disent la société shootée au porno, moi je ne m’y intéresse pas. Le porno c’est comme Lady Gaga : de la pseudo-subversion pour cul-béni puritain qui veut se faire une petite frayeur sans surtout remettre en cause les piliers de l’horreur moderne que sont l’idéologie de la performance et le mercantilisme.


Le porno qui m’intéresserait serait celui qui parlerait de déconstruction des rapports sociaux, d’anti-domestication du corps, de rapport à l’animalité et à la liberté sous-jacente ou qui dirait simplement que c’est bien mieux d’être un peuple passionné par le sexe plutôt que par les centrales nucléaires !


Malheureusement, celui-ci n’existe pas et c’est le reproche principal que je ferais aux protagonistes de ce théâtre qui se contentent de reproduire l’idéologie de la performance quand ils pourraient essayer d’explorer les possibilités qu’offre cette expérience.


Je ne suis pas décidé sur le caractère glauque que croient voir les autres commentateurs : pourquoi faudrait-il toujours voir le mauvais côté (répétez après moi : le sexe c’est bien !)


Des gens ont payé pour assister à quelque chose qu’ils peuvent avoir gratuitement en quantités illimitées sur le net ou à la tv. Ne serait-ce pas là une manifestation inconsciente d’un besoin de rapports humains, d’expérience collective, voire même d’une communion du genre qu’entretiennent les tribus dans leurs cérémonies collectives (qui peuvent inclure des rapports sexuels) ? Une communion de supporters braillant « à mort l’arbitre » est-elle réellement moins glauque ?


Bonsoir à tous et à toutes ! Je me présente Max Casanova..


Je me permet d’’écris sur cette article, en tant qu’acteur !


En 4ans de métier ! Je n’ai jamais vu un article aussi pourri de toute ma vie ! !


C’est des stagiaires qui sont venue nous voir, ou quoi ? ! !


Nan, mais vraiment du n’importe quoi ! !


Le seul truc que j’ai retenue, c’était le saucisson à l’ail ! ! Je pense qu’elle n’a pas gouté au saucisson !


Car c’était pas du saucisson à l’ail, mais bien du saucisson sec !


Oui, je mange du porc ! ! Et alors ! ! Mdr ! ! ! Mademoiselle est choqué ? Oh my god ! ! Max Casanova, mange du porc ? ! ! C’est la fin du monde ! ! LOL


Enfin bref ! Un article à la rue ! Pourri, et vraiment pas de respect pour le métier du X ! !


De plus ! Je n’ai jamais demandé de figurer à l’image sur ce site et je n’ai pas signé t’autorisation ! !


Je demande donc la suppression immédiat de cette l’article qui ne vaut vraiment rien à mes yeux.. Que d’être à la rue...


Jean-Luc, l’organisateur débonnaire, a tout l’air d’un cochon, c’est pour cela qu’il offre autant de productions maison !


Pour apprendre sur le porno, associez au moins le voyeurisme à l’effort intellectuel actif (sans jeu de mots).


Lisez des bios d’acteurs, comme celle de John C. Holmes ou Monica M.



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"Quelqu’un aurait envie de se rendre tout nu à une pièce de théâtre dimanche ?" Si la proposition, faite en conférence de rédaction, a déclenché l’hilarité générale, elle n’en était pas moins sérieuse. Depuis plusieurs jours, l’annonce de cette pièce circulait : "Nu et approuvé, la toute première représentation naturiste dans un théâtre parisien", jouée au Palais des Glaces. De quoi intriguer les spectateurs, et la presse. Alors après tout, pourquoi pas ? Peu (voire pas du tout, soyons honnête) adepte du naturisme, je me mets en tête de relever le défi. 
Dimanche 20 janvier, 19h30, nous voilà donc devant le dit théâtre, situé dans le Xe arrondissement de Paris. La foule se presse déjà dans l’obscurité glacée : "Il fait froid, j’espère qu’ils ont mis le chauffage à fond", entends-je derrière moi. Si la représentation ne commence que dans une heure, il faut d’abord passer par les vestiaires… collectifs. Première découverte. "Vous pouvez sinon rester habillée et aller dans le carré presse", me prévient un organisateur. Tentant, mais non : je me suis promise de tester l’expérience jusqu’au bout. Direction donc le vestiaire. Si certains se retrouvent rapidement dans le plus simple appareil, d’autres, comme moi, mettent un peu plus de temps à passer le cap notamment des sous-vêtements. Mais bon, puisqu’il faut y aller…
Heureusement, à l’intérieur, il fait chaud, à tel point que l’on transpire rapidement. Entièrement nue, voilà qu’un ouvreur – qui lui est habillé – m’indique le siège où je dois m’asseoir. La solitude me gagne : si au cinéma, on n’hésite pas à faire lever toute une rangée quand on doit s’asseoir au milieu, là, ce n'est plus le fait d'écraser des pieds qui m'inquiète. Autour de moi, le public est divers : peu de jeunes à proprement parler, plutôt des gens entre trente et soixante-dix ans. Beaucoup d’hommes. 
Le spectacle a du retard. L’occasion, pour certains spectateurs, de discuter. Plusieurs personnes sont debout, se font la bise, échangent avec un aplomb déconcertant. La pièce étant soutenue par la Fédération française de naturisme et l'Association des naturistes de Paris, elle attire une communauté d'habitués. Moi, je n'ai aucune envie de me lever et honnêtement, j'ai plutôt hâte qu'on se retrouve dans le noir, n'étant pas accoutumée à voir autant de corps découverts. Je reste sagement assise sur ma serviette (qu’on nous a demandé de rapporter), posée sur le siège. Les bras et les jambes croisés. Mes voisins, eux, dissimulent leurs sexes comme ils peuvent : l’un avec son billet d’entrée, l’autre avec sa main. 
Ouf, les rideaux s'ouvrent, c’est parti pour 1h15 de représentation, sans entracte. Les acteurs rentrent habillés devant un public lui, complètement nu. Le pitch ? Cette pièce écrite par Généstia Giachino et mise en scène par Pascale Levyn, raconte l'histoire d'un frère et une sœur aux caractères très opposés, qui reçoivent en héritage un bungalow, situé dans ce qui semble être le Sud de la France. Arrivés sur place en pleine nuit, ils découvrent au matin que personne n'est habillé. Il s'agit en fait d'une sorte de village naturiste comme il peut y en avoir notamment au Cap-d'Agde. 
Vont-ils s'habituer à cette nouvelle pratique bien différente de leur convenance habituelle ou tout simplement vendre cette parcelle qu'ont affectionnée leurs parents durant des années ? C'est tout l'objet de ce vaudeville qui voit les comédiens se mettre à nu, au sens propre comme au figuré. Quant aux spectateurs, finalement dans une salle devenue obscure, le fait d'être désaffublé s'oublierait presque. 
Surprise, de retour sur scène pour saluer à la fin, les acteurs sont en peignoirs. On serait à deux doigts de les maudire. Mais le succès est au rendez-vous : si, personnellement, je n’ai pas été emballée par la pièce, le reste de la salle, lui, applaudit à tout rompre, criant des "bravo" à gorges déployées. Avant de se lever pour une "standing ovation". Devant moi, donc, une ribambelle de postérieurs alignés. Les spectateurs applaudissent-ils l'audace d'une telle tentative ou cette comédie qui n'a rien de pittoresque ? Un peu gênée et étant l'une des dernières, je finis tout de même par me mettre debout. Les acclamations finissent par s'évanouir (n’y voyez là aucun rapport avec le fait que je sois debout).
Des spectateurs sont déjà en train de se rhabiller sur leurs sièges quand d'autres se baladent dans la salle, voulant encore profiter de ces derniers instants en costume d'Adam. Je rejoins rapidement les vestiaires pour me revêtir, étrangement, c’est beaucoup plus rapide dans ce sens -là-...Si l'expérience s'est avérée plutôt distrayante, ce plongeon dans l'incon(nu) ne m'a pas convaincue d'embrasser la cause naturiste. Si je n'ai rien contre, je ne pense pas qu'une assistance dans le plus simple appareil ait réellement servi la pièce. Par ailleurs, pour un mode de vie qui se caractérise par son respect de l’environnement, la facture de chauffage a dû être salée...

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