Photo De Fille Qui Se Fait Toucher Les Seins

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Publié le 16 décembre 2020 | Mis à jour le 20 décembre 2020 | Pour information, cet article a été écrit il y a 2 ans.



Photo : zeljkosantrac / Getty Images





Crédits photo : Courtesy of Hummingbird


Initiatives, causes, innovations et inspirations
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“On s’est permis à certains moments de me toucher les seins un peu comme ci on touchait le ventre d’une femme enceinte.”
Depuis l’adolescence, Chadia Loueslati a un problĂšme qui lui gĂąche la vie : le volume de ses seins. Alors, pour se libĂ©rer du regard des autres et accepter son corps, elle a dĂ©cidĂ© de franchir une Ă©tape importante : la rĂ©duction mammaire. Un choix dĂ©cisif qu’elle ne regrette pour rien au monde. DĂ©couverte.
“S’il y a bien une chose que j’ai faite dans ma vie et qui a changĂ© tout le reste, c’est bien la rĂ©duction mammaire.” Et ce grand changement, Chadia Loueslati a choisi de le partager Ă  travers une bande dessinĂ©e introspective.
Dans Rien Ă  perdre , l’illustratrice et scĂ©nariste BD raconte son quotidien de femme Ă  forte poitrine et les souffrances qui en dĂ©coulent. Avec des dessins drĂŽles, rĂ©alistes et engagĂ©s, elle pointe du doigt la maniĂšre dont le corps fĂ©minin est sans cesse soumis aux regards insistants des hommes. Des comportements pesants et rabaissants qui influent fortement sur la santĂ© mentale et sur la confiance en soi.
“Dans notre sociĂ©tĂ©, les gros seins, ça va Ă©voquer chez les hommes du dĂ©sir, parce que ça va renvoyer Ă  l’image d’une bimbo, d’une fille facile etc
 et du cĂŽtĂ© des femmes, ça va renvoyer Ă  la jalousie ou Ă  la compassion. Que ce soit d’un cĂŽtĂ© ou de l’autre, ça apporte des rĂ©flexions.”
Les illustrations Ă  la fois intimes et universelles de Chadia Loueslati sont une ode Ă  la tolĂ©rance, Ă  la sororitĂ© et Ă  l’acceptation de soi.
Regardez (une vidéo signée Simone ) :
« On s’est permis Ă  certains moments de me toucher les seins un peu comme ci on touchait le ventre d’une femme enceinte. »Chadia nous raconte son quotidien de femme Ă  forte poitrine et des souffrances qui vont avec.
Un discours prĂ©cieux qui fait rĂ©flĂ©chir. Pour dĂ©couvrir tout l’univers de cette illustratrice, rendez-vous juste ici .
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You are at: Home » Sexy » Une femme propose à des passants de toucher sa poitrine et son sexe
Une femme propose Ă  des passants de toucher sa poitrine et son sexe 0
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Milo MoirĂ© est une jeune femme d’origine slovaque et espagnole, elle est diplĂŽmĂ©e en psychologie Ă  l’UniversitĂ© de Berne et vit dĂ©sormais Ă  DĂŒsseldorf, en Allemagne. Elle a proposĂ© aux passants de toucher sa poitrine et son sexe Ă  travers une boĂźte sur laquelle elle a collĂ© des miroirs.
Milo MoirĂ© Ă  l’aide d’un porte voix, annonçait que «Les femmes dĂ©cident elles-mĂȘmes quand et comment elles dĂ©sirent ĂȘtre touchĂ©es». Puis elle invitait les passants Ă  mettre les mains dans sa «Mirror Box» pour lui toucher les parties intimes pendant 30 secondes. Elle a fait la mĂȘme exhibition dans les rues de DĂŒsseldorf, d’Amsterdam et de Londres pour « dĂ©fendre les droits des femmes »
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« Je suis petite, et j'ai parfois l'impression qu'on ne voit que mes seins. D'ailleurs, de nombreuses femmes de ma famille — dont ma sƓur — ont eu recours Ă  une rĂ©duction mammaire, l’idĂ©e m’a donc dĂ©jĂ  traversĂ© l'esprit. Peut-ĂȘtre que je sauterai le pas un jour, mais je veux d’abord avoir des enfants et pouvoir les allaiter. Je prĂ©fĂšre aussi un aspect naturel. J’aime bien leur forme et je les trouve plutĂŽt fermes si l’on considĂšre leur taille. » « Je suis passĂ©e par la pubertĂ© trĂšs tĂŽt ; je faisais dĂ©jĂ  un bonnet D en CM1. Mes seins se sont dĂ©veloppĂ©s bien avant mes camarades de classe, et les garçons au collĂšge ne m’ont pas Ă©pargnĂ©e. Ils m'attrapaient les seins, sans rĂ©aliser que c’était mal, car ils Ă©taient trĂšs jeunes. Mes seins attirent l’attention, et l’ont toujours fait. Je suis maintenant parvenue Ă  la rĂ©alisation qu’ils ne sont qu’une partie de mon corps — je suis une fille ronde — j’ai donc dĂ» les accepter. »
« On fait souvent rĂ©fĂ©rence Ă  mes seins comme des Ɠufs au plat. Je ne vois pas mes seins comme des objets de dĂ©sir, car ils ne sont pas de la taille que je voudrais. Je ne porte que trĂšs rarement de soutien-gorge et je peux porter des dĂ©colletĂ©s profonds sans le moindre problĂšme, car il n’y a rien Ă  montrer comme mes seins sont minuscules. »
« On m’a diagnostiquĂ© un cancer du sein Ă  l’ñge de 30 ans. J’ai subi une mastectomie en juin, et j’ai maintenant une prothĂšse de la forme d’une balle de tennis lĂ  oĂč se trouvait le tissu mammaire, en attendant ma chirurgie reconstructive. Je me bats avec mon assurance concernant la prise en charge. VoilĂ  oĂč j’en suis en ce moment
 J’attends les validations. » « J’ai dĂ©couvert la grosseur lors d’un EVJF. Je me moquais d’un article de lingerie qu’on venait d’offrir Ă  ma meilleure amie et je l’ai essayĂ© pour plaisanter. J’ai touchĂ© mes seins et c’est lĂ  que j’ai senti une grosseur de la taille d’un petit-pois. J’ai contactĂ© 12 diffĂ©rents Ă©tablissements de santĂ© en leur expliquant que j’avais dĂ©couvert une grosseur et que je ne savais pas trop quoi en penser. La plupart m’ont rĂ©pondue que comme j’avais moins de 40 ans et aucun antĂ©cĂ©dent familial, je n’avais aucune raison de m’inquiĂ©ter — c’était probablement un simple kyste. Mais au fond de moi, je savais que quelque chose n’allait pas. J’ai appris qu’il Ă©tait possible de faire un dĂ©pistage au Harlem Hospital, et j'y suis donc allĂ©e. « En fĂ©vrier, ils ont dĂ©couvert que j’avais trois masses. L’une d’entre elles Ă©tait CCIS et deux Ă©taient suspectes. En juin, on m’a fait une ablation du sein, un total de cinq masses Ă©taient CCIS, et la mĂ©tastase aurait pu s’étendre Ă  mes poumons, mon foie, et mon sang par le biais des ganglions lymphatiques. Ce sont ma persistance et une dĂ©tection prĂ©coce qui m’ont sauvĂ©e la vie. Si vous pensez que quelque chose ne va pas, parlez-en ! Vous connaissez votre corps mieux que n'importe qui. »
« Je ne porte que trĂšs rarement de soutien-gorge, ce que la plupart des femmes Ă  fortes poitrines ont peur de faire. Mais je trouve cela trĂšs libĂ©rateur et ça me plait. J’aime leur aspect naturel. De nombreuses femmes Ă  fortes poitrines portent des sous-vĂȘtements trĂšs contraignants, ce n’est tout simplement pas mon truc. Certes, j’ai souvent mal aux lombaires, mais je fais des Pilates et j’essaie de rester saine, ce qui est trĂšs utile. »
« Je suis un mannequin grandes-tailles et j’ai l’impression qu’on attend de toutes les personnes grandes-tailles qu’elles soient voluptueuses. Je ne pense pas que ce soit une rĂ©alitĂ© pour tout le monde. J’ai donc des coussinets que j’utilise occasionnellement. Cela dĂ©pend vraiment du client. J’utilise des coussinets de silicone : on dirait un peu des escalopes de poulet. Cela ne me pose pas de problĂšmes. Cela ne change pas qui je suis, car je les porte rarement plus de 15 minutes. Je ne les porte pas pour sortir ou autre par exemple. »
« Cela va sembler clichĂ©, mais le plus vieux souvenir en lien avec ma poitrine est probablement moi qui suppliais ma mĂšre de m’acheter une brassiĂšre . Je me souviens d’un Ă©pisode de la sĂ©rie pour ados Lizzie McGuire oĂč Hillary Duff s’écrie, ‘JE. VEUX. UN. SOUTIEN-GORGE.’ Je crois que c’est ce qui m’a poussĂ©e Ă  en parler Ă  ma mĂšre, et mĂȘme si je n’avais pas vraiment besoin d’un soutien-gorge (et qu’il m’arrive encore souvent de ne pas en porter), elle a Ă©tĂ© trĂšs comprĂ©hensive et on a choisi ensemble une jolie petite brassiĂšre. J’avais l’impression d’ĂȘtre tellement cool. » « Je ne vois pas mes seins comme des objets sexuels, mais ce n’est pas parce qu’ils sont ‘petits’. J’aime la taille qu’ils ont ; on n'a pas les mains pleines, mais ils sont assez rebondis pour qu’on les remarque. Il m’est d’arriver que des partenaires me demandent si j'envisage d'avoir recours Ă  une mammoplastie, Ă  quoi je rĂ©ponds toujours : jamais de la vie .
« J’ai rĂ©cemment perdu ma mĂšre suite Ă  un cancer des seins et c’est ma maniĂšre de lui rendre hommage. Je veux encourager les femmes Ă  se palper les seins, Ă  se sentir Ă  l’aise avec leur corps — car c’est souvent par elles-mĂȘmes que les femmes se dĂ©couvrent des grosseurs. C’était le cas de ma mĂšre. » « J’ai une rĂ©elle angoisse vis-Ă -vis du cancer du sein. Je n’avais pas d’antĂ©cĂ©dents avant ma mĂšre, mais les antĂ©cĂ©dents commencent bien quelque part. Cela a changĂ© ma maniĂšre d’aborder la vie, mais aussi la maniĂšre dont je me soucie de ma santĂ©, de la santĂ© de mes seins et je me palpe les seins plus souvent. Mon copain les adore. »
« L’étĂ© avant d’entrer Ă  l’universitĂ©, je suis passĂ©e d’un bonnet A Ă  B, puis C, puis D jusqu’à atteindre un bonnet E (et le derriĂšre qui va avec), et ce en l’espace de quelques mois. J’étais rameuse de niveau compĂ©titif au lycĂ©e et j’ai dĂ» arrĂȘter le sport pour permettre Ă  mon corps de trouver son Ă©quilibre et d’atteindre sa maturitĂ©. « Mes seins sont sexuels lorsque je veux qu’ils le soient, mais la plupart du temps, ils sont une simple partie de mon anatomie. J’espĂšre qu’un jour, ils me permettront de nourrir mes enfants et que, quand je serais vieille, ils pourront librement pendre Ă  ma taille sans que ça ne choque personne. Je ne les mets pas souvent en avant, mais quand c’est le cas, je ne fais pas les choses Ă  moitiĂ© : un bon push-up et un dĂ©colletĂ© plongeant. Je trouve ça agrĂ©able. Mes interactions changent drastiquement (comprenez : on me paye beaucoup plus de verres). Je pense que ma vie serait bien diffĂ©rente si je m’habillais comme ça au quotidien, mais je ne sais pas si ça me plairait. » « Je trouve aussi triste que notre culture voit les seins comme une chose indĂ©cente. Au final, on a tous les mĂȘmes — hommes comme femmes. Ce n’est que de la peau et des tissus : rien d'effrayant. Rien Ă  cacher. »
« Ce que je prĂ©fĂšre chez mes seins, c’est le fait qu’ils ne tombent pas, mĂȘme Ă  60 ans. Lorsqu'on est enceinte, puis qu’on allaite, puis qu’on arrĂȘte, puis qu’on est de nouveau enceinte et qu’on allaite encore, la poitrine subit d'Ă©normes transformations. Et c’est certes merveilleux, mais cela change Ă©galement la perspective qu'on peut avoir de ses seins alors que la vie continue. »
« La relation que j’ai Ă  mes seins est trĂšs ambivalente, c’est indĂ©niable. Je les adore : j’ai l’impression qu’ils font de moi qui je suis, car je suis une fille ronde. Si je n’avais pas de seins, ça aurait l’air un peu bizarre. « Je les adore, mais il arrive qu’il soit difficile, voire impossible de trouver des sous-vĂȘtements et des vĂȘtements qui m'aillent. »
« Mes seins se sont dĂ©veloppĂ©s relativement tĂŽt, je portais donc un vrai soutien-gorge dĂšs l’ñge de 8 ans. Je suis allĂ© Ă  Porto Rico rendre visite Ă  ma Abuela pour les vacances d’étĂ©, elle a vu mon soutien-gorge et l’a montrĂ© Ă  tout le quartier, car elle le trouvait adorable. » « J’ai trouvĂ© une grosseur il y a de cela quatre ans qui se dĂ©veloppait trĂšs rapidement, je dois donc la faire vĂ©rifier chaque annĂ©e. Pour l’instant, ils ne s’inquiĂštent pas trop, car je suis encore jeune. Ils pensent que c’est un simple amas graisseux, ils n’ont donc pas envie de prendre le risque de faire une biopsie. Mais viendra le jour oĂč je ne serai plus trop jeune pour me soucier d’un cancer du sein . »
« Il y a de cela un an, j’ai dĂ©cidĂ© de changer drastiquement mon mode de vie : rĂ©gime PalĂ©o, sport chaque jour, et attitude positive. J’ai perdu une dizaine de kilos, ce qui Ă©tait trĂšs excitant. Mais la seule chose qui m’empĂȘchait de me sentir bien dans ma peau Ă©tait mes seins. J’avais l’impression qu’ils Ă©taient difformes, plats et qu’ils n’avaient pas la mĂȘme taille. » « J’ai donc dĂ©cidĂ© de me faire poser des prothĂšses mammaires, et c’est l’une des meilleures dĂ©cisions de ma vie. Je me sens bien dans ma peau. Ils rendent tout le reste plus facile. Alors, certes, ce n’est qu’une paire de seins, mais cela m’a permis de booster mon estime de moi. De toute Ă©vidence, personne n’en a besoin , mais si vous en avez envie et que vous pouvez vous le permettre financiĂšrement, pourquoi pas ? »
« Le cancer du sein a changĂ© ma vie de bien des maniĂšres. Mais plus que tout, cela m’a appris de ne pas me soucier des dĂ©tails — et de profiter au maximum de l'instant prĂ©sent. »
« Cela fait des mois que j’ai reçu mon test ADN Ă  domicile, mais j’ai peur de le renvoyer de peur d’apprendre que je suis porteuse du gĂšne BRCA. J’ai perdu ma grand-mĂšre suite Ă  un cancer du sein et ma mĂšre y a survĂ©cu. C’est triste Ă  dire, mais j’ai l’impression qu’un cancer du sein est inĂ©vitable pour moi. Et mĂȘme si j’adore mes seins, je les vois un peu comme une bombe Ă  retardement. »
« Je me baignais nue dans l’ocĂ©an l’étĂ© dernier, et ma boss se trouvait Ă  une vingtaine de mĂštres. Mes seins se sont mis Ă  flotter dans l’eau salĂ©e et elle a tout vu ! »
« J’avais douze ans lorsque mes seins ont commencĂ© Ă  pousser. Ma meilleure amie Ă  l’époque avait encore le torse d’une enfant, j’ai priĂ© pour que mes seins ne deviennent pas plus gros, ils ne le sont jamais devenus. « Je n’aime pas vraiment mes seins. J’aimerais pouvoir dire que j’ai appris Ă  les aimer et que je me sens bien dans mon corps, mais je trouve qu’ils ont un aspect bizarre. « Mais un jour, j’étais dans un bar et l’acteur Ryan McGinley m’a demandĂ©e s’il pouvait les toucher. J’ai acceptĂ© parce que ça m'Ă©tait Ă©gal. Je ne sais pas s’il faut en rire ou en pleurer, ou peut-ĂȘtre mĂȘme les deux. »
« Je travaillais dans un bar dans le centre de Seattle, et un jour alors que j’étais devant le bar, un connard bourrĂ© m’a lancĂ© “ montre tes seins ” ! Alors je lui ai rĂ©pondu en criant, “ montre ta bite ! ” et j’ai trouvĂ© ça trĂšs drĂŽle.
« J’ai toujours eu les seins de tailles visiblement diffĂ©rentes. Lorsque j’étais plus jeune, je me souviens avoir baissĂ© la tĂȘte Ă  l’église et m’ĂȘtre dit : qu’est-ce que c’est que ce bordel ? Je n’ai portĂ© que des brassiĂšres de sport pendant trĂšs longtemps. Je ne savais pas que c’était normal avant d’avoir fait des recherches sur internet. »
« Je ne suis pas personnellement fan de mes tĂ©tons et de mes arĂ©oles. Mes tĂ©tons ne durcissent pas comme c’est le cas pour beaucoup de femmes, et ce n’est pas du tout une zone Ă©rogĂšne pour moi (je ne suis pas la seule, si ?). Ils se contentent d’ĂȘtre lĂ . « Mais je me suis fait percer le tĂ©ton pour mon 21e anniversaire (sobre, promis), et ça reste l’une des meilleures dĂ©cisions de ma vie. J’adore avoir ce secret rien que pour moi — hormis quelques amis. Je l’ai retirĂ© depuis Ă  cause d’un incident (mon top s’est accrochĂ© Ă  un bar une fois) et depuis, je suis super paranoĂŻaque. Mais j’hĂ©site encore Ă  re-piercer. Si je le fais, je ferai les deux cĂŽtĂ©s cette fois. Question de symĂ©trie. »
« J’étais en 4e quand ma mĂšre m’a dit que j’étais en train de me transformer en Angelina Jolie (dans Tomb Taider). Je croyais qu’elle parlait de mes lĂšvres. »
« J’avais neuf ou dix ans, je me souviens voir mes amis Ă  moitiĂ© nu, puis me regarder une fois seule et me dire que tous les petits Ɠufs au plat de mes amies avaient l’air tellement diffĂ©rent des miens. Je me suis dit que je devais ĂȘtre un homme (ou quelque chose du genre) pour avoir des seins tellement diffĂ©rents. »
« Je n’ai rien Ă  dire sur mes seins. »
« J’ai beaucoup plus confiance en moi depuis que je suis passĂ© au bonnet C. Avant, je portais un bonnet B, mais j’ai pris un peu de poids. Je suis assez contente de mes courbes ; c’est beau et je pense que chaque femme devrait accepter ses courbes. »
« J’ai beaucoup plus confiance en moi depuis que je suis passĂ© au bonnet C. Avant, je portais un bonnet B, mais j’ai pris un peu de poids. Je suis assez contente de mes courbes ; c’est beau et je pense que chaque femme devrait accepter ses courbes. »
VIDÉO: Encore plus de femmes nous donnent leur pensĂ©es sur les seins et la nuditĂ© feminine
Série de photo sur les seins : 24 témoignages de femmes
Faut-il allaiter ou pas ? Porter un soutien-gorge ou pas ? Faut-il libĂ©rer le tĂ©ton , comme l’encourage le mouvement #Freethenipple , ou pas ? Les conversations, dĂ©bats et idĂ©es autour des seins sont souvent sujets Ă  controverse. Les femmes devraient-elle cĂ©lĂ©brer l’attention prodiguĂ©s par un dĂ©colletĂ©, ou devraient-elles se couvrir et faire preuve de pudeur ? Qu’en est-il des augmentations mammaires, qui se placent en seconde position des opĂ©rations de chirurgie esthĂ©tique les plus rĂ©pandues aux États-Unis ? La plupart des femmes se posent ces questions Ă  un moment ou Ă  une autre, alors que leurs poitrines se dĂ©veloppent et se transforment au cours de leur vie.
Nous avons tendance Ă  compartimenter la couverture publique des seins en rĂ©cits discrets : le sein objet sexuel, le sein nourricier, le sein comme origine du cancer . Mais la rĂ©alitĂ© est que ces expĂ©riences se chevauchent et s’entremĂȘlent souvent dans le quotidien d’une femme. Nos seins peuvent ĂȘtre source de plaisir sexuel, mais aussi source d’anxiĂ©tĂ©, quand on se compare aux attentes culturelles. Ils peuvent ĂȘtre d’une grande beautĂ©, tout comme ils peuvent ĂȘtre source de souffrance et de maladie. Chaque sein, chaque histoire est unique et propre Ă  la femme qui le porte.
Nous avons rassemblĂ© le rĂ©cit de 24 femmes sur leurs seins et l’expĂ©rience qu’elles en ont : complexes et cĂ©lĂ©bration, dans la santĂ© comme dans la maladie.

Il Baise Sa Belle Soeur Francaise
Je Fais Cocu Mon Mari
Fille Toute Nue Ejacule Dans La Chatte

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