Peut-on toucher le feu et ne pas se bruler

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Peut-on toucher le feu et ne pas se bruler
Bureau de la réglementation incendie et des risques de la vie courante.
Bureau de la réglementation incendie et des risques de la vie courante.

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Des hommes et des missions - Toutes les ressources

Le feu - Feu de forêt

Le feu - Incendie de bâtiment

Le feu - Toutes les ressources

Risques technologiques - Toutes les ressources



Source de lumière et de chaleur,
élément purificateur, le
feu permet aux hommes de se
chauffer, de cuire leurs aliments, de
s’éclairer, de forger les métaux…
Indispensable à la vie et à l’activité
humaine, il est tout autant susceptible
de les mettre en péril.
L’incendie est effectivement un fléau
qui menace en permanence notre
environnement, en particulier notre
milieu citadin. Mieux comprendre
les règles qui régissent son existence,
c’est mieux comprendre les techniques
de lutte développées par les
sapeurs-pompiers.
En 1777, Antoine Lavoisier pose les
bases de la chimie moderne. En donnant
la première explication scientifique
du feu, il invalide la théorie du
phlogistique, développée par Georg
Ernst Stahl en 1718 qui voyait le feu
comme une substance contenue dans
la matière et libérée dans l’air.
Le feu est une combustion caractérisée
par une émission de chaleur et
d’effluents (comme la fumée)
accompagnée de flammes et/ou
d’incandescence. La combustion est
possible grâce à l’oxygène de l’air et
à des gaz combustibles, directement
présents dans cet état ou issus de la
vaporisation de liquides ou de la
pyrolyse (dégradation de la matière
sous l’effet de la chaleur) de solides
organiques. La présence simultanée
de l’oxygène et d’un combustible,
associée à une source de chaleur,
appelée « énergie d’activation », est
la condition de l’existence du feu.
Cette combinaison est représentée
sous la forme d’un triangle, dit
« triangle du feu » (cf. encadré en bas de page).
Les flammes apparaissent lorsque les
gaz combustibles réagissent avec
l’oxygène. Elles manifestent une
réaction chimique libérant de l’énergie
sous forme de chaleur et de
lumière. La température y atteint de
1 200 à 1 500 °C alors qu’au-dessus,
dans le panache de fumées, la température
chute au-dessous de 600 °C.
Ces fumées sont des particules
solides et/ou liquides en suspension.
Il existe plusieurs types de feux selon
la matière combustible (cf. tableau
en bas de page). Cette classification est primordiale
pour les sapeurs-pompiers,
car elle détermine les différentes
méthodes d’extinction à employer.
L’incendie est un feu qui se développe
sans contrôle dans le temps et
dans l’espace. Dans la minute qui
suit la naissance d’un feu sec (un feu
de matériaux solides comme le bois,
le papier, le tissu) un verre d’eau suffit
à l’éteindre. Après deux minutes,
un seau d’eau sera nécessaire. Au delà
de trois minutes, les moyens
rudimentaires ne suffisent plus et
seuls les moyens des sapeurs-pompiers
sont en mesure de maîtriser ce
qui est désormais un incendie.
Dans le cas des incendies en milieu
clos (cf. schéma de l’évolution du feu
dans un local ci-dessous), le point critique
est le moment du passage à une
combustion généralisée en surface de
l’ensemble des matériaux combustibles
présents dans le local. À ce
stade, les gaz issus de la pyrolyse
occupent tout le volume du local
et s’embrasent soudainement. Ce
phénomène est appelé « embrasement
généralisé éclair » ou « flashover
 ». Lorsque cela se produit, la
situation est critique, car ensuite c’est
l’ensemble du bâtiment qui devient
très vulnérable : production massive
de chaleur et de fumées vers les
autres locaux, effets destructeurs sur
les structures pouvant entraîner leur
effondrement, etc.
Les incendies domestiques sont
extrêmement fréquents. Ainsi en
France, un incendie se déclare toutes
les deux minutes et un Français sur
trois y sera un jour confronté. Bien
souvent les conséquences sont dramatiques.
En effet, le feu cause entre
six cents et sept cents décès par an.
Les effets de l’incendie sur le corps
humain sont connus et parfois même
quantifiables. Les plus évidents sont
les effets thermiques, ils résultent de
la chaleur dégagée par la combustion.
Les grandeurs à considérer sont
la température ambiante et le flux
thermique reçu par la peau. À titre indicatif, le corps peut supporter
jusqu’à une température de 60 °C et
des flux thermiques de 2,5 kW/m2.
Une pièce en proie aux flammes
atteint 600 °C en cinq minutes ! On
comprend la nécessité de quitter très
rapidement les lieux.
Les effets de perte de visibilité, dus à
l’opacité des fumées, ne sont pas
moins dangereux : en réduisant
considérablement la luminosité
et donc la visibilité, les fumées
désorientent les personnes et les
empêchent de repérer les cheminements
d’évacuation. Des études
ont montré que lorsque la visibilité
est inférieure à trois mètres, les
personnes ont tendance à revenir en
arrière pour rechercher un endroit
moins obscurci. Enfin, la question
de la toxicité des fumées d’incendie
est extrêmement complexe. Malgré
l’abondance de travaux sur le sujet,
peu de résultats solides ont pu être
obtenus. Pour certains gaz, considérés
individuellement, des seuils de
létalité (de risque d’entraîner la mort)
sont identifiés. Le monoxyde de
carbone, reconnu comme le toxique
majeur car toujours présent dans les
incendies, est mortel en moins de
cinq minutes à 1 % de présence dans
l’air (cf. Risques & Savoirs n° 1,
p. 18). D’autres gaz, comme l’acide
cyanhydrique ou les oxydes d’azote
sont mortels à des teneurs bien moindres
(0,02 à 0,04%). Dans une atmosphère
très enfumée, lorsque la
concentration en oxygène tombe en
dessous de 10 %, des risques sérieux
d’évanouissement apparaissent, car
la quantité d’oxygène distribuée aux
tissus du corps humain est insuffisante
(anoxie). Aussi, ce sont les particules présentes dans les gaz
(suie ou aérosols) qui peuvent entraîner
le colmatage des alvéoles pulmonaires
et provoquer l’étouffement des
victimes. Aujourd’hui, les experts
s’accordent à dire que la majorité des
victimes d’incendie décèdent
asphyxiées par les fumées plutôt que
brûlées par les flammes.
La plus ancienne, la plus connue et la
plus utilisée des méthodes pour lutter
contre le feu est la projection d’eau.
De manière générale, toutes les techniques
qui neutralisent l’une des
composantes du triangle du feu (chaleur,
comburant ou combustible)
permettent de combattre un incendie.
Cependant, l’eau reste l’arme principale
des sapeurs-pompiers.
Avant de passer à l’état de vapeur
(à une température d’environ 100 °C
dans des conditions de pression
atmosphériques normales), elle
neutralise l’énergie d’activation du
triangle du feu, à savoir la chaleur.
Facilement disponible, très efficace,
peu onéreuse, aisément transportable
(que ce soit à bord des véhicules,
dans les citernes et jusqu’aux foyers
grâce aux tuyaux), l’eau est le moyen
de lutte contre les incendies par
excellence. Alors que la façon d’appliquer
cette eau sur les foyers était
au début plutôt sommaire (arrosons
et ça s’éteindra !), les techniques se
sont depuis bien développées.
Pour être efficace, l’eau arrivant
à la lance doit avoir une certaine
pression. Le conducteur du véhicule
de sapeurs-pompiers a aussi pour
fonction de manœuvrer la pompe ;
il doit compenser les « pertes
de charges » entre la pompe et
la lance, c’est-à-dire la perte
de pression due au frottement
de l’eau dans le tuyau et à la gravité (notamment quand la lance est
amenée en hauteur).
Le sapeur-pompier qui manœuvre la
lance (appelé aussi « porte-lance »)
doit pour sa part adapter le jet d’eau
selon l’évolution du sinistre.
Par exemple, le « jet droit » est utilisé
pour abattre les flammes visibles, il
provoque, outre un fort refroidissement
à un endroit ciblé, un effet
mécanique permettant de pénétrer le
foyer grâce à la force du jet.
La majorité des décès liés à un incendie est causée par une
asphyxie de la victime par les fumées, le plus souvent dans son
sommeil. Ce constat plaide en faveur de l’installation dans les
pièces principales des logements de « détecteurs avertisseurs
autonomes de fumée » qui alertent par un signal sonore en cas
de départ de feu. La loi va rendre cette disposition obligatoire.
Un appareil conforme aux normes de sécurité est certifié NF
et répond à la norme EN 14604.
Le « jet diffusé d’attaque » correspond
quant à lui à une ouverture du
jet de 40° environ, il est utilisé pour
neutraliser un danger croissant au fil de l’incendie, le risque d’embrasement
généralisé éclair. Ce risque
est directement issu des évolutions
de construction des bâtiments (augmentation
du potentiel calorifique,
isolation des pièces, etc.). Il contraint
les sapeurs-pompiers à revoir leurs
méthodes d’intervention et à attaquer
les fumées avant d’attaquer les
flammes. Le jet diffusé d’attaque
permet de refroidir les gaz chauds
dangereux et aussi d’éteindre les
foyers de faible intensité.
Un autre jet, le « jet diffusé de
protection », permet la plus grande
ouverture possible (180°), à un débit
maximum. Il sert à protéger les
personnels d’attaque, agissant
comme un bouclier.
Enfin, il existe un autre procédé par
lequel le sapeur-pompier cherche à
diminuer la température du feu en
augmentant la surface d’échange
avec la flamme par la production
de gouttelettes. Cette technique,
transposée dans les systèmes dits « à
brouillard d’eau » est actuellement
en plein développement.
Certains types de feu, tels les feux
gras (hydrocarbures) et d’auxiliaires
de cuisson (feu de friteuse) ne tolèrent
pas l’application d’eau
(cf. tableau en bas de page). Comme il
n’est pas possible de combattre l’énergie d’activation (chaleur), il
convient d’étouffer le feu en le privant
de comburant, c’est-à-dire
d’oxygène. Par exemple, le sapeur-pompier
peut créer un écran de
mousse (eau additionnée
d’émulseur) entre
le combustible et l’air.
Pour un feu de friteuse,
il convient de couper
l’apport d’air grâce à
un couvercle ou à un
drap humide. Une autre
solution consiste à
appauvrir la proportion
d’oxygène dans l’air.
En effet, en dessous de
10 %, la plupart des
objets courants ne peuvent
plus brûler. Cet
appauvrissement se
fera directement dans
la zone de la flamme en
y projetant par exemple
du gaz carbonique à
l’aide d’un extincteur ou en larguant
dans un volume fermé des gaz
inertes, c’est-à-dire qui ne participent
pas à la combustion (par exemple gaz
carbonique, azote, argon ou un
mélange de ces gaz). Enfin, dans la
technique utilisant des extincteurs à
poudre, c’est un processus en
quelque sorte mixte qui est exploité :
la chaleur de la flamme est absorbée
et la concentration en oxygène
diminuée.
La troisième composante du triangle
du feu qui peut être neutralisée est le
combustible : en supprimant le matériau
susceptible de brûler ou en le
remplaçant par des matières résistantes
au feu. Cette approche
de la lutte contre l’incendie est développée
au travers des politiques
de prévention.
Outre les conséquences dramatiques
sur la vie humaine, les incendies ont
des effets dévastateurs sur les biens.
Parmi les plus marquants, on retient
ceux touchant les monuments historiques,
comme le parlement de
Bretagne en 1994 (cf. portfolio : Le feu au parlement de Bretagne )
ou encore le théâtre de La Fenice, à
Venise, en 1996. Largement relayés
par les médias, de tels sinistres ne
doivent pas faire oublier ceux qui
touchent l’activité économique : sept
entreprises sur dix, victimes d’un
incendie majeur, disparaissent dans
les cinq ans qui suivent.
En effet, malgré l’amélioration
constante des techniques d’extinction
développées par les sapeurs-pompiers,
le meilleur moyen de se
protéger contre l’incendie reste de
prévenir tout départ de feu, mais
aussi de savoir quels comportements
adopter face à ces risques.
Chaque côté du triangle du feu symbolise l’une des composantes indispensables à l’existence d’un feu. Le côté gauche correspond à l’énergie d’activation, c’est-à-dire à la source de chaleur qui peut être d’origine électrique (courant, électricité statique), thermique (un autre feu), chimique (réaction exothermique, qui produit de la chaleur), biochimique (par fermentation), mécanique (frottements, chute d’un corps…) ou naturelle (soleil, foudre).
Le côté droit correspond au combustible qui peut être organique s’il contient du carbone (bois, papier, gaz naturel…) ou inorganique s’il n’en contient pas (métaux, magnésium, phosphore…). Enfin, la base du triangle représente le comburant qui est presque toujours l’oxygène de l’air ambiant. Le comburant est l’élément chimique qui permet la combustion.

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Combustion vive uniquement. L’eau ne suffit pas toujours pour l’extinction.
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Très fort dégagement calorifique (de chaleur), risque d’explosion, dégagement de vapeurs toxiques
s’il s’agit de produits chimiques.
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Astuces de cuisine , JE CUISINE

Ce qu’il faut faire pour être sûr de ne pas se brûler lorsqu’on tient un plat chaud | Les astuces de cuisine







Comment sait-on que des bananes sont mûres?
3 juillet 2016


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Je pense que je ne vous apprends rien et que vous savez tous avec quoi prendre un plat chaud : une manique (ce sont les carrés épais en tissus ou en silicone), un gant de cuisine ou un torchon de cuisine ! Mais je voulais juste vous apporter une petite précision : le torchon de cuisine, le gant de cuisine ou la manique doivent être absolument SECS ! Même pas un petit peu mouillé, pas un chouilla, rien ! Pourquoi secs ? Parce-que l’humidité transmet très vite la chaleur. Alors au début tout se passe bien mais ça finit vite par nous brûler les mains! Aïe aïe aïe ! Donc veillez toujours à utiliser un tissus sec ! 😀
Si vous utilisez un torchon, pliez-le en 4 (ou plus) pour plus d’épaisseur! Pliez le bien pour éviter qu’il y ait des bouts qui trainent et touchent le feu de la gazinière surtout lorsque vous prendrez votre casserole sur le feu. Faites aussi attention que le torchon ne traine pas sur le plan de travail et touche le feu de votre gazinière ! 
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Quelques petits faits sur moi : j'ai passé un CAP cuisine en 2014, en 2017 j'ai appris à coudre et depuis j'adore cela... J'aime tout ce qui est travaux manuels (bricolage etc..). Je trouve que les journées sont trop courtes et plus tard j'aimerais avoir un camping-car ou van aménagé pour voyager partout où je veux !
Let your dreams be bigger than your fears Dreams don't work unless you do

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En France, ils seraient environ six mille. Depuis le Moyen Âge, les coupeurs de feu soulagent la douleur des brûlures grâce à de mystérieux rituels. Aujourd'hui, certains d'entre eux travaillent en collaboration avec des médecins. Enquête.
Atteinte d'un carcinome ( cancer ) au sein gauche en 2015, Mireille, 55 ans, commence une radiothérapi e. « Tout de suite, j'ai compris que ça allait être difficile : au bout de deux semaines, à raison d'une séance par jour, j'avais la peau à vif. J'étais brûlée au niveau du sein, du cou et de l'aisselle : j'avais tellement mal que j'étais incapable d'enfiler un T-shirt. Je ne dormais plus », se souvient-elle. Impuissant à la soulager, son médecin lui donne alors un drôle de conseil : prendre rendez-vous avec Roger Blandignères, un coupeur de feu bien connu dans la région. « Au début, il n'en était pas question : je n'allais pas laisser un charlatan s'occuper de moi ! Et puis, après quinze jours à souffrir le martyr, mon mari m'a forcé la main », raconte Mireille.
« Qu'est-ce que tu as à perdre ? » , m'a-t-il dit. Un peu réticente, Mireille s'allonge tout habillée sur la table d'examen : « Il a passé sa main au-dessus de mes brûlures et j'ai ressenti une grande chaleur, comme si j'étais entrée dans un four. Ça a duré dix minutes environ. Ensuite, il s'est lavé les mains. Moi, je n'avais plus mal du tout. Ce soir-là, j'ai dormi comme un bébé ! »
Mireille fait quatre séances* avec le coupeur de feu, en complément de sa radiothérapie. « Un mois après, j'ai pu reprendre le travail : je n'avais plus mal et presque plus de cicatrices. C'était absolument incroyable. Je pense qu'il faut se rendre à l'évidence, même quand on est sceptique : les coupeurs de feu, ça fonctionne. » Des histoires comme celle de Mireille, Roger Blandignères en a plein. Installé dans son petit cabinet de Saleilles (66), il « barre le feu » depuis près de vingt-six ans.
La douleur diminue et la cicatrisation est souvent plus rapide « On vient me voir pour beaucoup de choses : des brûlures, bien sûr, mais aussi des radiothérapies, des fièvres, des zonas ... explique Roger Blandignères. Toutes les pathologies qui sont liées au feu, de près ou de loin. Bien sûr, la brûlure ne disparaît pas instantanément. En revanche, la douleur diminue nettement et la cicatrisation est plus rapide. Le taux d'échec est très faible. Et je peux même travailler avec des gens qui n'y croient pas. » Jacques, 69 ans, était l'un de ces sceptiques. En 2011, une friteuse se renverse sur sa main gauche. « Immédiatement, j'ai mis ma main sous l'eau froide, se rappelle-t-il. Mes voisins ont appelé Roger Blandignères. Ils m'ont dit : "on va essayer". Lorsqu'il est arrivé, il a passé ses mains au-dessus de ma brûlure. De temps en temps, il allait se rincer avec de l'eau froide. Ça a duré 30 minutes. À la fin, j'avais une grosse cloque sur la main, mais je n'avais plus mal. Je n'ai même pas eu besoin d'aller à l'hôpital. Désormais, quand je me brûle, je fais appel à lui. »
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