Petites Filles Au Bordel

Petites Filles Au Bordel




🔞 ALL INFORMATION CLICK HERE 👈🏻👈🏻👈🏻

































Petites Filles Au Bordel



Le Journal


Les articles abonnés




Par charentelibre.fr ,
publié le 25 octobre 2018 à 15h09 .





grognon

26 octobre 2018 à 07:26


Déjà, "reportage" sorti d'on ne sait où...
Des photos qui ne prouvent rien de ce qui est affirmé.
Et même si c'est malheureusement vrai, on peut trouver des dizaines de cas semblables dans des pays près de chez nous et même en France.
Bref, on a compris le but de ce genre de papier racoleur....




C'est compliqué

25 octobre 2018 à 22:13


@Alain Boivin Mais c'est le marxisme de Maduro qui a fait plonger ces pauvres femmes dans la prostitution.

Bref, MARX est un prophète de la Prostitution !




C'est compliqué

25 octobre 2018 à 22:11


Parler de la prostitution des Vénézuéliennes, plaignez les très fort et vous aurez un bon point, c'est très 'tendance' en ce moment; et bien sûr il n'y a de misère que dans ce pays .... (sans la nier en qui que ce soit) VOX MEDIORUM, VOX UNUM




Saturnin

25 octobre 2018 à 21:47


@jac : "je vous invite à rejoindre ceux qui, dans les associations, ont déjà commencé."
Il y a bien longtemps que je me suis investi dans des associations caritatives mais tellement écœuré que j'ai tout arrêté quand j'ai vu les personnes qui recevaient des dons se servir en premier ! Voila....Désolé.



À la une









Actualité










France - Monde









Sport










Faits divers










Sorties







Votre région








Grand Angoulême









Grand-Cognac









Val de Tardoire









Sud Barbezieux









Nord Ruffécois









Charente Limousine







Services









Carnet










Immobilier










Emploi










Annonces Légales










Jeux










Agenda










Vie des clubs










Vidéo










Blogs










Blog carambar







Autres









CGU










CGV















Sport


Rugby


Football


Basket


Handball


Cyclisme


Course À Pied


Athlétisme


Auto-Moto


Judo











Grand-Angoulême


Angoulême


Balzac


Brie


Champniers


Claix


Dirac


Fléac


Garat


Gond-Pontouvre


La Couronne


Linars


L'Isle-d'Espagnac


Magnac-sur-Touvre


Mornac


Mouthiers sur Boëme


Nersac


Puymoyen


Roullet-saint-Estephe


Ruelle-sur-Touvre


Saint-Michel


Saint-Saturnin


Saint-Yrieix-sur-Charente


Soyaux


Touvre


Voeuil-et-Giget











Grand-Cognac


Châteaubernard


Châteauneuf-sur-Charente


Cognac


Jarnac


Segonzac


Rouillac











Val de Tardoire


La Rochefoucauld en Angoumois


Montbron











Sud-Barbezieux


Aubeterre-sur-Dronne


Baignes-Sainte-Radegonde


Barbezieux Saint-Hilaire


Brossac


Chalais


Côteaux du Blanzacais


Montmoreau


Val-des-Vignes


Villebois-Lavalette











Nord Ruffécois


Aigre - Villejésus


Courcôme


Mansle


Nanteuil-en-Vallée


Ruffec


Saint-Amant-de-Boixe


Vars


Villefagnan











Charente Limousine


Chabanais


Champagne-Mouton


Chasseneuil-sur-Bonnieure


Confolens


Montemboeuf


Terres de Haute Charente


Saint-Claud




Merci de nous décrire précisément ce qui vous paraît illégal dans ce message.


Recevez tous les jours l’essentiel de l'actualité avec la newsletter CharenteLibre.fr.
Voir un exemple


Cet article vous intéresse, partagez-le avec vos amis.

Elles ont fui la faim au Venezuela, en quête d'un travail. Sans papiers, ces femmes ont échoué dans des bars sordides: entre larmes et dégoût, ces mères, filles, soeurs vendent leur corps, économisant chaque sou pour les envoyer à leurs proches.
Tous les matins, ce qu'il faut savoir avant de démarrer la journée
Alegria est professeure d'histoire-géographie. Mais elle se prostitue dans un bordel colombien. Au Venezuela de l'hyperinflation, son salaire de 312.000 bolivars (moins d'un dollar) ne suffisait plus, "même pas pour un paquet de pâtes" , dit cette émigrée de 26 ans. En février, elle est passée en Colombie, a été serveuse trois mois dans l'Arauca (est). Logée, nourrie, mais jamais payée. "J'expédiais mes pourboires à ma famille", raconte-t-elle. Jusqu'à ce que même ces petites sommes lui soient confisquées. Six de ses proches, dont son fils âgé de quatre ans, survivent grâce à elle. Alors elle a rejoint Calamar, dans le Guaviare (sud), marqué par six décennies de conflit armé. Corridor de la cocaïne, c'est aussi un bastion des dissidents de l'ex-guérilla des Farc, et des narcos du puissant Clan del Golfo.
Avec neuf autres femmes, Alegria ("Joie", un nom d'emprunt qu'elle a ironiquement choisi) se prostitue dans un des bars de la "zone de tolérance" de ce bourg de 3.000 habitants. La passe est payée 37.000 à 50.000 pesos (11 à 16 dollars), dont 7.000 pour le tenancier. Les "bons soirs" , ces femmes gagnent de 90.000 à 300.000 pesos (30 à 100 dollars).
"Nous n'avions jamais pensé nous prostituer. Nous le faisons à cause de la crise" , lâche Joli, 35 ans, la voix brisée. En 2016, elle a perdu son emploi de livreuse de journaux au Venezuela. "Il n'y avait plus de papier pour les imprimer!" Confiant ses trois enfants à sa mère, elle est partie de ville en ville, d'emploi en emploi. Faute de passeport, Joli (autre nom d'emprunt) a dû franchir la frontière sans valise, avec seulement le pantalon et le chemisier qu'elle avait sur le dos.
Environ 2,3 millions de Vénézuéliens ont quitté leur pays, dont 1,9 million depuis 2015, selon l'ONU. Comme si les peines de l'exil ne suffisaient pas, Joli a perdu l'homme qu'elle allait épouser, "mort d'un infarctus, faute de médicaments" . Le père de ses enfants est aussi décédé au Venezuela, d'insuffisance rénale. "Je me suis retrouvée dos au mur" , ne décrochant même plus de ménages "du fait de (son) accent" . Elle a fini par se vendre à Bucaramanga, au nord-est de Bogota, puis à Calamar où depuis juin travaillait sa nièce de 19 ans, Milagro ("Miracle"). "Au début, je me sentais très mal" , dit cette dernière, frêle jeune fille. Faute de mieux, pour aider sa mère malade, décédée depuis, ses frères et son bébé de deux ans, elle a persisté.
Cacher la vérité à la famille leur coûte. "Ils ne savent pas ce que je fais, même ma maman (...) Ce serait trop dur pour elle qui a sacrifié cinq ans de sa vie pour payer mes études" , explique Alegria. Elle rêve d'enseigner en Colombie, mais sans passeport c'est impossible. Alors elle prétend travailler dans une boulangerie. Malade de mentir, elle s'est confiée à l'équipe d'urgence de Médecins du monde (MDM) dépêchée à Calamar.
Ces femmes souffrent "d'anxiété, de dépression, de stress post-traumatique" du fait, entre autres, de la terreur générée par la présence d'hommes armés, explique Jhon Jaimes, psychologue de l'ONG. Le climat tropical les expose "aux infections, à la dengue, au paludisme" , ajoute-t-il. Sans compter les maladies vénériennes, les grossesses à cause de clients exigeant des rapports non protégés. Dans l'hôpital de campagne de MDM, une médecin les soigne, pose des implants contraceptifs, les conseille. Certaines craquent. Des sanglots s'échappent.
Une soixantaine de Vénézuéliennes se prostituent à Calamar. L'ONG leur remet aussi un colis alimentaire, des produits d'hygiène, des préservatifs. Leurs paquets sous le bras, elles repartent sur la piste creusée d'ornières. Plus tard, dans la chaleur moite, elles émergent de la sieste, s'apprêtent devant le miroir du bordel, lissent leurs cheveux, s'échangent rouges et fards. Vêtues de mini-shorts, petits hauts sexy, sandales en plastique. Mère de trois enfants, Patricia, 30 ans, a aussi commencé dans l'Arauca. Un cauchemar: elle a été battue, violée, sodomisée par un client saoul. "Chaque jour, je demande à Dieu qu'ils soient gentils", murmure-t-elle. "Ce qui caractérise cette crise migratoire, ce sont les réseaux de traite de personnes et les nombreuses Vénézuéliennes qui en sont victimes, en Colombie (...) mais aussi dans d'autres pays de la région, y compris en Europe" , souligne Nicolas Dotta, coordinateur de MDM Colombie.
À la tombée de la nuit, Alegria, Patricia et leurs compagnes d'infortune franchissent le rideau séparant le bar de leurs chambres de planches. Elles s'assoient à l'entrée. La musique couvre le caquètement des poules picorant la fange. Des hommes passent, à pied, à moto, entrent parfois. Certaines en ont réchappé, telle Pamela, 20 ans. Partie avorter à San José del Guaviare, à trois heures de piste de Calamar, cette ex-policière a pu rejoindre la région de Bogota.
Serveuse dans un restaurant, pour 30.000 pesos (10 dollars) par jour, elle préfère ça à l'esclavage auquel la soumettait le proxénète qui l'avait ramenée de l'Auraca. "Ce type nous a trompées" : avec d'autres, elle a dû se prostituer pour rembourser les frais des 24 heures de route jusqu'au bordel. Souriante, Milagro vit, peut-être, ce "miracle" qui lui a inspiré son nom d'emprunt: un pilote de bateau l'a sortie de là. Alejandra, elle, ne cherche pas de mari. "Un seul homme ne suffit pas. Il m'en faut beaucoup pour nourrir mes petits" , lance, rageuse, cette femme de 37 ans. Elle est mère de quatre enfants, dont un bébé de deux mois né d'un client.
Réagissez à cet article. Pour commenter, merci de vous connecter.

Le journal en avant-première dès 6h.
Un accès illimité à tous les contenus payants.


Atlantico , c'est qui, c'est quoi ?
Un bordel suisse vu de l'intérieur : comment se passe l'entretien d'embauche d'une prostituée avec Sophie Bonnet
Un bordel, vu de l'intérieur. Un bordel, raconté par celles qui le connaissent le mieux : les prostituées. Un récit choc, une plongée au cœur d'une maison close Suisse. Extrait de "Bordel" de Sophie Bonnet, aux éditions Belfond (2/2).
Sophie Bonnet est grand reporter. Elle réalise des documentaires d'investigation.
La scène se passe dans le fumoir. Wanda, la patronne du salon, vient d’arriver. Deux filles ont rendez- vous avec elle pour passer un entretien d’embauche. Chaque semaine, Wanda fait le tri parmi toutes les demandes reçues et sélectionne les candidates sur photos et CV. Elle se dit obligée de recruter sans arrêt car des filles disparaissent régulièrement dans la nature. Et explique que, pour satisfaire tous ses clients, il lui faut proposer un large choix de putes : des jeunes, des blondes, des grosses, des tatouées, des noires, des petites… Wanda résume l’entretien en quelques phrases : « Je les avertis de la dureté du métier et surtout je vois si elles seront dociles et si elles vont devenir des gagneuses. Je les teste en leur faisant remplir tout de suite la liste des prestations sexuelles. »
Il y a trois
Fixing A Hole
French Family Anal
Little Miss Brat Porn

Report Page