Petite orgie sympathique sur une plage Japonaise

Petite orgie sympathique sur une plage Japonaise




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Petite orgie sympathique sur une plage Japonaise
Analyste au Mercator Institute for China Studies/Merics
Enseignant-chercheur Ă  Sciences Po, spĂ©cialiste de l’europĂ©anisation des sociĂ©tĂ©s de l’Europe du Centre-Est
Culture Cinéma Télévision Livres Musiques Arts ScÚnes
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Aude


Aveyron


Bouches-du-RhĂŽne


Gard


HĂ©rault


LozĂšre


Pyrénées-Orientales


Vaucluse














Des attroupements appelés tantÎt "grappe", tantÎt "enclos" avec en son centre des "shows".
ILLUSTRATION / DOMINIQUE QUET










DĂ©tente et bien-ĂȘtre , Cap d'Agde , BĂ©ziers







En moyenne le naturiste n'est pas tout jeune !
Midi Libre







Un peu d’humour coquin mĂȘme chez les naturistes tranquilles de la plage de SĂ©rignan.
ILLUSTRATION / MIDI LIBRE






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Elle excite la curiositĂ©, jouit d’une rĂ©putation sulfureuse. Immersion sur des bancs de sable brĂ»lants.

Si je veux voir la baie des cochons ? Et comment ! Le cafĂ© noir partagĂ© avec un vieux copain prend une tournure intĂ©ressante. À condition d’ĂȘtre curieuse, pas pudique et difficilement effarouchĂ©e. Trois conditions impĂ©ratives pour poser un orteil sur le sable chaud brĂ»lant, et pas seulement Ă  cause de la canicule, de ce bout de plage Ă  l’est du village naturiste du Cap-d’Agde .
Mon initiateur y loue, depuis des annĂ©es, un appartement. Forain l’hiver, au Nord, il expatrie ses trĂ©teaux dĂšs les beaux jours sur les marchĂ©s du sud. Patrick joint l’utile Ă  l’agrĂ©able. Il connaĂźt le camp comme sa poche
 S’il en avait une. Son truc Ă  lui ? Les couples . Il joue le troisiĂšme Ă©lĂ©ment.
Un homme en bermuda longe le bord de mer. Il jette des regards, mine de rien, sur les corps nus, Ă©tendus sur le sable. Un sexagĂ©naire bronzĂ© intĂ©gral, ne le lĂąche pas des yeux. Les voyeurs sont matĂ©s, surveillĂ©s et font long feu sur la plage naturiste. Idem pour les sacs Ă  dos volumineux, un peu trop baladeurs, ou qui se plantent nonchalamment aux pieds d’une estivante.
Certains filment en douce, le petit porno perso de l’hiver. Ici, la police des mƓurs se fait sans gendarme. Aux OrpelliĂšres, le nu se pratique bon enfant et la drague passe pour ultra-ringarde. Les importuns qui s’attaquent Ă  une femme seule se font vite remonter les cordons du slip par les habituĂ©s.
AprÚs la baie des cochons, tomber le maillot paraßt si facile à Sérignan-Plage. Pour y accéder on emprunte un délicieux chemin, délimité par des ganivelles, entre la salicorne et les parfums des prés-salés. On grimpe une petite dune et en contrebas, elle est là, belle, large, offerte, la plage natu et ses gentils culs nus. Une pancarte sépare la zone textile de la partie naturiste, qui longe les campings, eux aussi natu.
Si la basse saison ne s’encombre pas de la frontiĂšre, l’étĂ© venu, on est priĂ© par des patrouilles de police de respecter le dress code et le partage de la plage. Ici, on se rencontre entre amis. On croise des collĂšgues et on discute pĂ©dagogie le zizi Ă  l’air. Des retraitĂ©s cramĂ©s se fichent comme de leur premiĂšre fiche de salaire, de leurs derriĂšres fripĂ©s et de leurs seins fatiguĂ©s et se baladent pieds dans l’eau, main dans la main. Les corps ne sont pas ou plus parfaits. On les traita d’impudiques ? La pudeur des naturistes s’appelle tolĂ©rance et respect.
Devant nous, deux kilomĂštres de sable , jusqu’à l’orĂ©e de Marseillan-plage. Des enfants jouent tout nus. Les parents font bronzette tout nus. Ça bouquine et ça papote tout nu. Ça n’empiĂšte pas sur la serviette du voisin. C’est pĂšre tranquille. Le troisiĂšme Ă©lĂ©ment se moque de qui ?
On continue jusqu’à la paillote le Paralia Beach Club. "C’est la frontiĂšre ultime, on y mange et on y bronze nu mais en toute correction. Au-delĂ , c’est la baie des cochons", explique Patrick. Au-delĂ , c’est le Japon ! Une marĂ©e humaine, Ă  l’image des plages bondĂ©es de l’üle surpeuplĂ©e. Un ocĂ©an de corps nus . Sauf que dans la mer, nageote juste un pelĂ© et une tondue. On ne vient apparemment pas ici pour la baignade.
De gentils retraitĂ©s discutent, l’eau Ă  mi-cuisse. En fait, madame ne parle Ă  monsieur qu’avec la main. Au bord de l’eau par contre, oĂč les vaguelettes se meurent, c’est le mĂ©tro aux heures de pointe. En plus sympathique parce qu’ici, on communique beaucoup.
Hormis le duo de seniors lubriques, je ne vois rien, a priori, de bien cochon. On repĂšre une bandelette de sable libre, Ă  cĂŽtĂ© d’un jeune couple. Lui beau gosse, elle sirĂšne blonde longiligne. Ils se dorent au soleil. Statiques. Mais pas seuls. À vingt centimĂštres Ă  l’ouest du bas-ventre de la demoiselle, un homme allongĂ© la regarde droit dans l’entrecuisse en se masturbant. Au sud, un second la scrute, lui aussi, entre les cuisses en se tripotant. Un autre homme arrive, puis deux. Debout, ils font leur petite affaire
 C’est beaucoup moins mignon en vrai .
Je vais me rafraĂźchir. Au retour, une grappe de dix hommes se touche au-dessus de la jeune femme, imperturbable, indiffĂ©rente et toujours aussi immobile. Elle se lĂšve d’un bond, va se baigner, la grappe se disperse. Mon partenaire rĂąle. "Ces morts la faim ont piĂ©tinĂ© ta serviette." Grave. Les amoureux sont Estoniens, viennent pour la premiĂšre fois au Cap. "Chez nous, il fait froid, on a l’habitude de se rĂ©chauffer en groupe", sourit le jeune mariĂ©.
À quelques mĂštres, un attroupement se forme. Au travers d’une forĂȘt de jambes exclusivement masculines, on entrevoit un couple beaucoup plus actif que les jeunes Estoniens. FessĂ©es, cunnilingus, le duo s’exhibe au centre d’une quarantaine de voyeurs de tous Ăąges. Je m’avance. Seule femme. Mon ami me colle aux fesses. Le message subliminal est passĂ© auprĂšs des mĂąles. Il est avec moi, pas touche Ă  la fille. Fin de la partie. Quelques applaudissements. "Good show" lance un spectateur.
L’essaim va butiner ailleurs. Un peu plus loin se prĂ©pare une sĂ©ance de bondage , avec une femme saucissonnĂ©e de latex et de cordes, cornaquĂ©e par son mec. Le mĂȘme scĂ©nario, avec des acteurs et des pitchs diffĂ©rents, va se propager, de serviette en serviette, tout au long de l’aprĂšs-midi.
À partir de 19 h, ça s’anime encore plus, ça vire à la partouze
Ainsi va le sexe Ă  la baie des cochons. "À partir de 19 h, ça s’anime encore plus, ça vire Ă  la partouze", lance Patrick.J’ai ma dose de sexes en Ă©rection et de veuves poignets. OĂč que mon regard s’égare, un homme se tripote presque machinalement.
Vite, une culotte, une tisane et au lit. Seule !
Hormis le dĂ©lice de nager dans le plus simple appareil, et de gagner un bronzage intĂ©gral, la plage naturiste prĂ©sente un avantage indĂ©niable, son calme. Une tranquillitĂ© un peu bousculĂ©e certes quand les textiles empiĂštent un peu sur le fouta des “natu”. Mais le contraste reste saisissant. Pas d’enfants qui vous envoient leur ballon sur le dernier Milan Kundera
 ou sur les potins de Closer. Pas de bande d’adolescents qui font hurler les filles et du mauvais rap.
Le naturiste n’est pas tout jeune. Peut-ĂȘtre parce qu’il est l’hĂ©ritier d’une Ă©poque que les moins de soixante, n’ont pas connue, le peace and love des hippies, la libertĂ© de mai 1968, avec sa rĂ©volution sexuelle. Ici, on a laissĂ© les complexes, avec les fringues, dans les valises.
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Et on s'Ă©tonne que le virus prenne de l'ampleur.MĂȘme pas de masque .lolll
C'est dégueulasse.
C'est de l'attentat Ă  la pudeur. Laissez les plages aux gens normaux.
mais que fait ludivine de la rochĂšre ??
ce serait bien comme attraction supplémentaire au puis du fou , il faudrait soumettre l'idée à M. le comte !



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