Petite garce attendant dans le bureau

Petite garce attendant dans le bureau




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Petite garce attendant dans le bureau

Cartes PokĂ©mon : sortie d’un nouveau coffret Ultra Premium ...
Jambes croisĂ©es sur la table, le Professeur Blackmore rĂ©flĂ©chissait en observant le tableau noir de la salle des professeurs. Que faire ? Sa vie n’était qu’une souffrance continue, et il en avait assez de faire souffrir son entourage par son comportement. Le sucide Ă©tait la meilleure des solutions
 Encore faudrait il en avoir le courage. Et puis quoi ? AprĂšs la mort il y a quoi. AprĂšs la mort il y a rien. Henry sentit son Totem tressaillir. « Tu te concentres trop sssur ta ssssoufrance Henry. Concentre toi plutĂŽt sur ta fonction et sssur tes cours. Tu aimes ce que tu enssseignes. Tu aimes le myssstĂšre. Plus tu te concentreras sssur le mysssĂšre, plus tu te sssentiras mieux. » « Merci SamaĂ«l. Si Mick Jagger demandait un bon psycologue, je te recommenderai ! » « Toujours Ă  fuir derriĂšre l’ironie et le sssadisssme. Tu m’ennuis Henry. » Le Professeur Blackmore grimaça quand il sentit son totem se refermer Ă  lui. Il avait horreur de ça. Il se sentait mis Ă  nu. Sa douleur au maximum, il se leva vers la machine Ă  cafĂ© pour aller en prendre un. Sa canne s’envola et atteignit sa main par une simple extension de sa pensĂ©e. La salle Ă©tait quasiment vide, hormis la Professeur de Runes qui n’arrĂȘtait pas de lui lancer des regards aguicheurs depuis tout Ă  l’heure. Il ne l’aimait pas. Trop sĂ»re d’elle, trop bĂȘte et trop pathĂ©tique. Elle n’était que l’idiotie incarnĂ©e, et Henry se demandait encore comment elle avait atterrit professeur ici. Il commença Ă  se servir, lui tournant le dos. Ses yeux Ă©taient sur ce dernier et ça commencĂ© sĂ©rieusement Ă  l’énerver. Il fallait qu’il rĂ©flĂ©chisse, qu’il se trouve une Ă©nigme Ă  rĂ©soudre si il ne voulait pas se mettre en colĂšre et mettre plus bas que terre cette femme. Il regarda par la fenĂȘtre. Il songea Ă  son cours. Il avait parlĂ© des Invocations Mayas, lors de son cours spĂ©ciale avec les SeptiĂšmes annĂ©es. Mais un Ă©lĂšve lui avait posĂ© un question pertinente
 Pourquoi les Mayas Ă©taient-ils tous mort sans laisser d’explications sur le pourquoi et le comment de la nĂ©cessitĂ© de ses Invocations ? Peut ĂȘtre Ă©taient elles dangereuses
 Peut ĂȘtre que les Invocations avaient fini par consumer tout les Mayas
 Le visage du jeune homme revint Ă  l’esprit de Henry. Il Ă©tait typĂ©. Il Ă©tait mexicain. Avec le sourire de quelqu’un qui vient de trouver sa petite Ă©nigme, il se retourna vers la salle, buvant son cafĂ©. S’était simple en fait. Le garçon connaissait le pourquoi du comment. Il voulait juste s’assurer que mĂȘme un des plus grands Professeurs de Magie Noire ne soit pas au courant. TrĂšs intelligent
 Il n’avait plus qu’à droguer et torturer l’élĂšve pour avoir les informations. Le mystĂšre serait rĂ©solu. Henry pencha la tĂȘte. La petite Professeur cochonne Ă©tait en train maintenant de discuter avec une de ses Ă©lĂšves. Eden Erichsen
 La Professeur parlait d’un ton rapide et agacĂ©, comme si elle essayait que la jeune fille dĂ©gage le plus rapidement possible. Comme si elle Ă©tait Ă©nervĂ©e d’ĂȘtre interrompue dans sa chasse au mĂąle
 Henry posa la tasse et se mit Ă  boiter Ă©nergiquement vers l’entrĂ©e de la salle des professeurs. Il appuya sa canne contre la porte. Cette derniĂšre s’ouvrit largement et laissa visible la silhouette du Professeur. Il y eut un silence. Henry regarda Eden, puis le Professeur Harath. « TrĂšs belle tenue Miss Erichsen. Ca fait ressortir vos magnifiques seins, et on peut aussi imaginer vos fesses Ă  la perfection. De toute Ă©vidence, que ce soit vos seins, ou vos fesses, elles sont beaucoup plus agrĂ©able Ă  regarder que celle de Madame Harath ! » Il y eut un long silence. Henry fit un sourire dĂ©ment et ricana. Il se tourna vers le Professeur de Runes anciennes. « Et depuis quand, les Ă©lĂšves n’ont plus le droit de voir en personne leurs Professeurs chĂ©ris qu’ils vĂ©nĂšrent depuis leur premiĂšre annĂ©e. Vous imaginez pas que vous avez peut ĂȘtre brisĂ© les rĂȘve de cette demoiselle ! Si ca se trouve elle a fait un totem de priĂšre Ă  mon effigie dans un savon ! Non, c’est inadmissible que vous mes laissiez perdre des fidĂšles, oh dĂ©esse Harath de la bĂȘtise mondiale. » Sur ses paroles vraiment moqueuses, il s’inclina dans un faux-semblant de respect. Il sentit son totem ricaner au petit spectacle. Le Professeur de Runes s’empourpra et quitta la salle, dans un bruit de talon furieux. Henry la regarda partir en lui regardant les fesses. Il tourna ensuite la tĂȘte vers Eden. Un sourire charmeur et complice se dessina sur son visage. « Vous avez intĂ©rĂȘt Ă  ce que votre raison soit bonne miss Erichsen. Vous m’avez fait perdre un coup d’une nuit ! »
 En attendant tu m'exaspÚres, petite garce sous tes grands airs
Sujet: En attendant tu m'exaspÚres, petite garce sous tes grands airs  Sam 23 Oct - 18:52
Eden se trouvait dans une piĂšce des sous-sols de la Tour Sud, la tour de l’Eau. A vrai dire, elle Ă©tait assise au bord de l’eau, les pieds trempants dans la piscine. Il y faisait sombre, juste assez clair pour que la jeune femme puisse relire les notes qu’elle avait prise quelques jours plus tĂŽt durant le cours du professeur Blackmore. Elle ne craignait pas que les feuilles n’échouent dans l’eau. Et mĂȘme si c’était le cas, elle aurait vite fait de les sĂ©cher. Elle avait l’habitude de venir ici assez souvent, dans les heures oĂč il y avait le moins de monde. Ainsi perchĂ©e au bord du bassin, elle conciliait son ancienne et sa nouvelle vie. Elle ne pourrait plus jamais ĂȘtre championne de natation. Ça lui avait Ă©tĂ© enlevĂ© le jour oĂč elle avait trop forcĂ© sur son muscle endommagĂ© par un ancien accident de ski. Le jour oĂč elle avait acceptĂ© Allegra dans sa tĂȘte, dans son corps. La blonde de l’eau ferma les paupiĂšres un bref instant en se rappelant ce souvenir. Il n’était pas des plus agrĂ©ables, bien au contraire. Un pingouin ! Bah ! Elle secoua la tĂȘte et ouvrit les yeux. Son regard se perdit un instant dans les reflets dorĂ©s que projetaient les bougies sur la surface aqueuse. Tapotant son bloc de feuilles du bout de son crayon de papier, elle se disait que, maintenant, elle Ă©tait diffĂ©rente. Toujours un peu celle qu’elle avait Ă©tĂ©, mais terriblement diffĂ©rente tout de mĂȘme. Elle s’était plongĂ©e dans ses Ă©tudes Ă  son arrivĂ©e, ne trouvant pas d’autre occupation auprĂšs de ses camarades 
 jusqu’à ce qu’elle ne fasse la rencontre de GalathĂ©a. GalathĂ©a
 Un sourire orna ses lĂšvres alors qu’elle penchait, presque timidement, la tĂȘte sur ses cours. LĂ , il y avait quelque chose qu’elle n’arrivait pas Ă  saisir. Avait-elle oubliĂ© un mot dans sa phrase ? Mal compris ce que le professeur avait expliquĂ© ? Son crayon battait de plus en plus fort le coin des feuilles alors qu’elle se creusait la cervelle pour faire appel Ă  sa mĂ©moire. Avec un soupir las, elle laissa tomber. Elle ne parviendrait pas Ă  se souvenir. Jetant un regard mauvais Ă  la piscine, comme si c’était la faute Ă  sa nostalgie, elle se leva et enfila rapidement ses tongs sans mĂȘme prendre garde Ă  sĂ©cher ses pieds. Glissant son bloc dans son sac en bandouliĂšre qu’elle passa sur son Ă©paule, elle quitta la piĂšce sans un mot. Ses pas clapotaient sur le sol de pierre de l’école. Elle ne laissait guĂšre plus que quelques gouttes dans son sillage mais elle s’en fichait bien. Le nez levĂ©, fiĂšre, elle s'apprĂȘtait Ă  affronter le professeur qui lui ouvrirait la porte de la salle qui leur Ă©tait rĂ©servĂ©e. VĂȘtue d’à peine une petite robe lĂ©gĂšre qu’elle aurait encore pu porter au Texas en plein mois de Novembre, ici, elle paraissait diablement dĂ©calĂ©e
 ou horriblement osĂ©e. Mais pour une fois, Eden n’avait pas froid. Non, elle Ă©tait bien trop concentrĂ©e pour prĂ©parer son plaidoyer et rĂ©ussir Ă  entrer dans la salle pour s’entretenir avec le professeur Blackmore. Elle arriva bien vite devant la fameuse porte. Ses cheveux Ă©taient lĂ©gĂšrement en bataille, quelques mĂšches n’étant pas du bon cĂŽtĂ©, elle s’était Ă©galement empourprĂ©e suite Ă  la marche soutenue qu’elle avait faite pour arriver jusqu’ici, boitant lĂ©gĂšrement d’avoir trop forcĂ©. Mais elle s’en fichait. Elle donna deux petits coups pourtant bien audible. Le battant s’ouvrit sur une professeur qu’elle ne connaissait vaguement que de vue. “Oui ?” demanda la femme. Eden inspira une grande goulĂ©e d’air frais. “Le professeur Blackmore est-il lĂ  ?” “Avez-vous un rendez-vous, jeune fille ?” Le regard de la Gardienne de l’Eau se glaça. Jeune fille ! Elle avait tout de mĂȘme vingt-et-un ans ! Elle planta son regard teintĂ© d’acier dans celui de la professeur. “Non, mais j’ai vraiment besoin de m’entretenir avec lui.” Eden levait le menton, comme pour la dĂ©fier de refuser. “Je suis dĂ©solĂ©e, mademoiselle, mais vous savez que ce n’est pas possible de voir l’un des professeurs sans avoir de rendez-vous.” “Je suis Eden Sophia Erichsen, alors veuillez prĂ©venir le professeur Blackmore que je souhaite le voir.” La plupart des professeurs la connaissaient. Elle Ă©tait l’une des meilleures de sa gĂ©nĂ©ration. L’une des plus douĂ©es, des plus futĂ©es, des plus prometteuses. Mais il ne semblait pourtant pas que cette femme-lĂ  la connaisse. “Et bien, je suis dĂ©solĂ©e, Miss Erichsen, mais ça ne change rien.” Le ton de son interlocutrice se faisait de plus en plus agacĂ© face Ă  cette Ă©lĂšve qui voulait dĂ©fier l’une des rĂšgles. Eden leva les yeux vers le plafond en poussant un petit soupir. Elle ferma les yeux un bref instant pour se reprendre et ne pas cĂ©der Ă  une colĂšre inutile. Elle s’arma de son plus beau sourire et battit des paupiĂšres. “S’il vous plaĂźt, Madame. C’est vraiment trĂšs important.”
Sujet: Re: En attendant tu m'exaspÚres, petite garce sous tes grands airs  Sam 23 Oct - 19:45
Sujet: Re: En attendant tu m'exaspÚres, petite garce sous tes grands airs  Sam 23 Oct - 20:23
Finalement, la porte de la salle des professeurs s’ouvrit un peu plus. Dans le fond de la salle, Eden remarqua un tableau noir avec quelques annotations dessus. De lĂ  oĂč elle Ă©tait, elle ne parvenait Ă  dĂ©chiffrer ce qui Ă©tait notĂ©, d’autant plus que le professeur Blackmore prenait presque toute la place dans l’embrasure de la porte. Sans oublier cette autre professeur qui lui tapait sur le systĂšme. Le regard de la Gardienne de l’eau se posa sur l’homme qui se tenait maintenant devant elle. Sa barbe de quelques jours lui allait plutĂŽt bien. Non pas qu’elle ait un quelconque bĂ©guin pour son prof de Magie Noire, ça non ! GalathĂ©a Ă©tait bien suffisante dans sa vie. Elle l’aimait et elle n’avait besoin de personne d’autre. Cependant, alors que beaucoup voyait en cet homme un reclus de la sociĂ©tĂ©, un paria, un ex-droguĂ© ou que sais-je encore, Eden se sentait relativement proche de lui. Tout comme lui, elle boitait — dans une moindre mesure, mais quand mĂȘme — elle pouvait se faire une idĂ©e de la douleur qu’il pouvait ressentir Ă  chaque pas. Telle que celle qui lui vrillait toute la jambe actuellement. La jeune femme se mordilla lĂ©gĂšrement la lĂšvre infĂ©rieure en changeant de pied d’appui afin de tenter de soulager la douleur. A la venue de Blackmore, la professeur de Runes se tut, laissant un silence assez tendu entre le trio. “TrĂšs belle tenue Miss Erichsen. Ca fait ressortir vos magnifiques seins, et on peut aussi imaginer vos fesses Ă  la perfection. De toute Ă©vidence, que ce soit vos seins, ou vos fesses, elles sont beaucoup plus agrĂ©able Ă  regarder que celle de Madame Harath !” Eden leva le menton une nouvelle fois, dĂ©cocha un sourire triomphant Ă  son adversaire. Avant de se rendre compte des propos qu’avaient tenu Monsieur Blackmore. Elle fronça alors les sourcils et lui jeta un regard qui se voulait noir sans pour autant l’ĂȘtre totalement, par respect — et peut-ĂȘtre un peu par crainte de reprĂ©sailles. Et puis, de toute façon, elle savait bien que sa tenue Ă©tait un peu osĂ©e
 et que Henry Blackmore sautait toujours sur l’occasion de sortir une allusion graveleuse. Le professeur aux cheveux grisonnants ricana alors comme s’il avait racontĂ© une bonne blague. Eden dĂ©cida de laisser passer la tirade de son aĂźnĂ© pour se concentrer sur la conversation qui se poursuivait. “Et depuis quand, les Ă©lĂšves n’ont plus le droit de voir en personne leurs Professeurs chĂ©ris qu’ils vĂ©nĂšrent depuis leur premiĂšre annĂ©e. Vous imaginez pas que vous avez peut ĂȘtre brisĂ© les rĂȘve de cette demoiselle ! Si ca se trouve elle a fait un totem de priĂšre Ă  mon effigie dans un savon ! Non, c’est inadmissible que vous mes laissiez perdre des fidĂšles, oh dĂ©esse Harath de la bĂȘtise mondiale.” Un sourire amusĂ© flotta sur les lĂšvres de la blondinette. Si elle n’avait pas Ă©tĂ© en face de deux professeurs — dont l’un la foudroyait du regard — elle aurait bien Ă©clatĂ© de rire. Sous une courbette feinte de la part du professeur de magie noire, sa collĂšgue s’en fut Ă  de grandes enjambĂ©es furieuses, ses talons claquant sur le sol, battant le tempo de sa rage. Eden la suivit du regard un instant, en se retournant Ă  demi, observant cette femme pourtant si ravissante et terriblement belle dans sa rage. Lorsque l’étudiante regarda Ă  nouveau Blackmore, leurs regards se croisĂšrent et le mĂȘme sourire s’afficha sur leurs lĂšvres. “Vous avez intĂ©rĂȘt Ă  ce que votre raison soit bonne miss Erichsen. Vous m’avez fait perdre un coup d’une nuit !” Cette fois, Eden ne put retenir un rire cristallin de s’échapper d’entre ses lĂšvres. On aurait presque dit le chant d’une riviĂšre aprĂšs un grand jour de pluie. “Je crois qu’elle vous a Ă©nervĂ©e tout autant qu’elle l’a fait avec moi
 Mais, ne vous inquiĂ©tez pas, si elle veut vraiment de vous, je puis vous dire qu’elle ne laissera pas tomber si facilement !” Lui rendant son regard, ne jetant qu’un bref coup d’oeil Ă  la canne qui tournait entre les mains de son instructeur, Eden reprit son sĂ©rieux. Elle se souvenait encore des quelques semaines qu’elle avait passĂ©es, entre son initiation et son entrĂ©e Ă  Bewitching
 Elle avait du marcher avec des bĂ©quilles, puis avec une canne, avant que ça n’aille mieux. “Mais nous ne sommes pas lĂ  pour parler de votre sexualité  J’étais en train de relire mes notes sur votre dernier cours, quand je me suis rendue compte qu’il y avait une partie que je ne saisissais pas
” La jeune femme se pencha lĂ©gĂšrement pour aller pĂȘcher son bloc de feuilles dans son sac puis elle se redressa. Elle resta silencieuse un instant avant de faire une petite moue. “Avez-vous l’intention de me laisser entrer, ou continuons-nous de discuter sur le pas de la porte ?” Et oui, Eden pouvait parfois ĂȘtre aussi franche et directe qu’un stalactite qui vous coupe en deux en se dĂ©crochant d’une voĂ»te. Elle afficha tout de mĂȘme un sourire poli au professeur de Magie Noire. En fait, si elle avait Ă©noncĂ© sa demande sur le ton de l’humour, elle espĂ©rait vraiment que Blackmore ne l’invite Ă  venir s’asseoir pour qu’elle lui explique son problĂšme
 Sinon, elle ne donnerait pas cher de son genou dĂ©jĂ  affaibli.
Sujet: Re: En attendant tu m'exaspÚres, petite garce sous tes grands airs  
En attendant tu m'exaspĂšres, petite garce sous tes grands airs
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum


118 sources 119 fans 10 honneurs 25 articles


230 kiffs
1 662 commentaires
1 tag
6 052 visites


Je venais de laisser Marine dans la loge des filles avec Diane, Pauline, Maeva et Mélissa. Je courrus ensuite dans notre loge à Flow, Solal et moi, j'entre et m'affale sur le divan, Flow me regarde et attends que je reprenne mes esprits et mon souffle. Flow cassa le grand moment de silence qui s'était installé dans la piÚce.
Flow: Bon alors racontes! Je m'inquiĂšte depuis ton coup de tĂ©lĂ©phone. ______________________________ Je pris une grande inspiration et regarda mon ami qui attendait une rĂ©ponse. Flow: Bon alors Mikele, tu accouches?! Moi: Je voulais te parler de .. Flow: De? Moi: De Marine. Je ressens un drĂŽle de sentiment quand je suis avec elle. Un bien ĂȘtre m'envahi soudain quand mon regard croise le sien. PrĂšs d'elle je crois vivre dans un univers qui n'est pas le notre, un monde oĂč il n'y a qu'elle et moi... Flow : Oula, mon cher Mikele. Moi: Quoi donc? Flow: C'est exactement ce que je ressens pour Pauline. Moi: Mais qu'est ce que Pauline et toi venez faire lĂ ? Flow: Mikele, ouvre les yeux! Tu es amoureux de Marine. Moi : Tu crois vraiment? Flow: Bah oui j'en suis mĂȘme sur, demandes Ă  Pauline. elle est amie avec Marine elle pourra plus te renseigner que moi. Et elle ne dira rien Ă  Marine. Moi: Ok merci Flow, et toi non plus tu ne dis rien. Flow: J'ai l'habitude de tout rĂ©pĂ©ter vieu. Et tu vas faire quoi avec Cynthia qui te cours aprĂšs? J'avais pris la direction de la porte tout content d'aller demander conseil Ă  Pauline, puisĂ  la remarque de Flow je perdit mon sourire. Cynthia Ă©tait mon ex, je l'avais laissĂ© pour la tournĂ©e de Mozart et elle m'a retrouvĂ© il y a peu de temps. C'est vrai que je n'y avait pas passĂ©, je partis sans rĂ©pondre Ă  Flow mais je lui adresse un regard qui veut tout dire. Je marche tĂȘte baissĂ©e vers la loge des filles, je m'arrĂȘte Ă  l'entrĂ©e, essaye de retrouver mon sourire de toujours. J'entend des cris dans leurs loges, je pose mon oreille Ă  la porte et Ă©coute doucement. Je reconnais la voix de notre Sophie Weber, elle est en train de gueuler sur Pauline, Ă  ce que je comprend. mais pourquoi lui crie-t-elle dessus? Point de vue Pauline. AprĂšs l'arrive de Diane, Maeva et mĂ©lissa lui ont appris que j'Ă©tais la nouvelle Constance car Claire partait faire du cinĂ©ma, elle le prend trĂšs mal, elle croit que je lui vole son r^role parce qu'elle est la doublure officiel de cette derniĂšre. Diane: Pourquoi tu as fais le casting toi, t'es qu'une gamine, tu dois retourner d'oĂč tu viens. On a pas besoin de toi ici. Vas-t'en et laisses moi mon rĂŽle ! Heureusement quelqu'un arriva Ă  ce moment, je prie pour que ce soit Flow ou Dove pour qu'ils la calme. C'Ă©tait Mikele, je courrus vers lui et lui sauta dans les bras, je le poussa vers le couloir et referma la porte. J'Ă©tais Ă  moitiĂ© en pleure par les choses mĂ©chantes que me disait Diane. Elle que je trouvais si sympathique quand je les voyaient en vidĂ©os, et lĂ  voir sa vraie facette me dĂ©chirais le coeur en mille morceau. Je me blotti contre Mikele, lui semblant ne pas comprendre ce qu'il se passer, il passa ses bras dans mon dos et me le caresse pour essayer de me consoler. Mikele : Chuut.. Calmes-toi. Tout va bien. Je suis lĂ . Moi: Diane me dĂ©teste, Mikele ! Mikele : Oh, c'est ça l'embrouille, pourquoi elle te crie dessus? Moi: Parce qu'elle a dit que je lui avais piquĂ© son rĂŽle de Constance. Mikele: Mais elle n'a pas le droit de te dire ça. Et puis c'pas son rĂŽle merde ! Je vais lui en toucher deux mots, t'en fais pas Bella, tout va s'arranger. Je te le promet. Il me fit un bisous sur la joue et me serra contre lui puis me pris le bras pour m'emmener dans la loge des garçons. Je vis Flow et je courrus vers lui pour me jetter dans ses bras. Flow : Qu'est ce qu'il se passe ma chĂ©rie? Je ne lui rĂ©pondis pas et pleura en silence. Flow: Mikele rĂ©ponds-moi! Qu'est ce qu'elle a ? Mikelangelo lui raconta la scĂšne qu'il avait entendu et ce que je lui avait racontĂ©. Flow me serra Ă©galement contre lui et me berça pour me calmer. Il Ă©tait Ă©nervĂ© contre Diane, je le sentais et le voyais dans son regard. Point de vue Flow. Je trouvais inaccessible la rĂ©action de Diane vis Ă  vis de Pauline, c'est vrai elle ne lui avait rien pris du tout. Il n'y a pas marquĂ© Diane sur les robes, les coiffures et autres. non c'est Claire et si Claire veut donner son rĂŽle Ă  Pauline elle fait ce qu'elle veut. Je me leva d'un bon et confis Pauline Ă  Mikelangelo pour qu'il la calme du mieux qu'il pouvait. Pauline: Tu vas oĂč? Moi: Je vais parler avec Diane. Je ne lui laissa pas le temps de me rĂ©pondre que j'Ă©tais dĂ©jĂ  partis. J'arrive devant la loge des
Rendez-vous arrangé finit par sexe hardcore
Femme Superplantureuse chevauche dans un entrepĂŽt
Vera Drake avale une bite

Report Page