Petite discussion avec un prêtre

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Petite discussion avec un prêtre
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Amiens: rencontre avec un futur prêtre.



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« L'homme doit être tout à fait sûr qu'à chaque instant Dieu le regarde du haut des cieux » Saint Benoît
J’ai été frappé par cet homme sur la Croix
C’est parti d’une rencontre pendant les vacances en camping avec mes parents. Une vieille dame, ridée mais très belle, rayonnante, habitée de la joie, de quelqu’un qui faisait qu’elle était différente des autres. Elle s’intéressait à son village, à la société, aux autres…
Un jour elle m’a emmené pour la première fois à la messe où j’ai été frappé par cet homme sur la croix. Qu’est-ce qu’il fiche là ? Que font tous ces gens qui vont vers un même but ? Du coup, à 15 ans, est venu le désir de creuser un peu et de faire ma première communion. Aumônerie ? oh ! C’est la honte, tu ne vas pas faire ça ! C’est pour les petits, les enfants ! Peu importait, petit-à-petit, discrètement, au fur et à mesures des rencontres avec d’autres chrétiens (en paroisse, dans le village…), j’ai découvert la Bonne Nouvelle de Jésus qui m’a ouvert un vaste horizon de possibilités, de chemins pour chacun.
Tès vite, j’ai compris que le Seigneur me disait : “Suis-moi !” (Jean 1,43). Cet appel a changé ma vie, m’a décentré de moi-même. J’ai commencé à m’ouvrir aux autres, à penser à eux, à avoir un autre regard.
Je recherche un amour plus grand, plus fort
Mes années d’étudiant ont été éprouvantes, en un lieu où l’on ne faisait pas référence à Dieu…De belles années quand même, de nouveaux questionnements : pourquoi le profit à tout prix ?
Dans notre monde, cet individualisme grandissant, le chacun pour soi, une certaine banalisation de la sexualité, le non-respect de la création… J’ai eu envie de faire comme tout le monde, avoir une belle voiture, une belle maison, une belle copine… Mais, grâce à des conversations de chrétiens, de prêtres, je me suis aperçu que je recherchais mieux que cela.
Finalement, je recherchais un amour plus grand, plus fort. Je suis entré alors dans une maison pour discerner avec d’autres jeunes à quoi le Seigneur m’appelait.
Neuf mois pour réfléchir dans un climat de confiance, c’est le temps d’un accouchement ! Un temps où l’on se coupe de ses attaches et on se met un peu à l’écart pour voir ce qu’on fait de sa vie, ce qui y est important, si l’on a vraiment le désir de se donner à Dieu et aux autres, si c’est bien un chemin de bonheur, de sainteté en fonction de ses talents. C’est un peu dur mais très libérant ! Cela m’a permis de vraiment voir que je ne voulais pas me donner exclusivement à une femme mais à un peuple. A la manière de Jésus qui a tout donné pour conduire dans l’Esprit notre humanité vers le Père, vers son ciel.
Au fil des années qui ont suivi, j’ai mesuré combien nous sommes tous faits pour aller vers de belles et grandes choses !
Le pape François le disait lors de confirmations : “Nous, chrétiens, nous ne sommes pas choisis par le Seigneur pour de petites bricoles !” Mais cela passe aussi par la mort à des rêves et à des peurs.
Dans notre vie de disciples, il y a forcément la Croix qui est là. Elle est vraiment source d’Espérance, si nous acceptons de vivre résolument par amour, par l’amour du Christ nos frustrations, nos insatisfactions, nos agacements, nos peines, nos angoisses…
Maintenant, je désire, avec la force de Dieu continuer sur ce chemin d’épanouissement en m’investissant davantage au service de la croissance de tous au sein du peuple de Dieu.
Que la Vierge Marie notre maman du Ciel nous aide à toujours mieux accueillir son Fils afin que nous trouvions notre chemin de bonheur dans l’engagement… »
par Monseigneur Olivier LEBORGNE Dimanche 26 juin 2016 à 15h30 en la Cathédrale Notre-Dame d’Amiens

Publié dans
#spiritualité
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Père René-Luc - publié le 09/02/20
 » Je me souviens d’une rencontre. J’étais séminariste. Pendant les vacances, nous partons habituellement dans nos familles. Je prends donc le train pour visiter ma mère dans le Sud. Je m’installe dans un compartiment vide. Entre une jeune étudiante. Elle est charmante. Elle s’assied en face de moi. Petit sourire. Le train se met en route. Il n’y a personne d’autre. Cette jeune fille est à l’aise. Elle désire parler. Elle engage la discussion. Je parle avec Sophie de tout et de rien. On rit. Elle ne peut pas savoir que je suis séminariste, puisqu’en France, on ne porte le col romain qu’après l’ordination (et si on le souhaite). Intérieurement, je me dis que ça serait bien que je puisse lui parler de Jésus. Pour ça, j’ai une technique qui marche à tous les coups. Je lui demande :
— Tu fais quoi comme études ?
— Fac de droit.
Et nous voilà partis sur ce sujet pendant un bon quart d’heure. Puis, quand nous avons fait le tour de la question, elle me pose la question inévitable — Et toi ? Tu es étudiant toi aussi ?
— Oui. À toi de trouver en quoi.
— Commerce !
— Non!
— En économie ?
— Ne me dis pas que tu es en fac de droit toi aussi ?
— Non plus !
Tous les corps de métier y passent, même les pompiers. J’essaie de la mettre sur la piste, mais elle ne trouve pas.
— Allez, dis-le-moi !
— Séminariste.
— Tu peux répéter ?
— Je suis séminariste. Je me prépare à être prêtre.
— Noooooooooooon !
— Siiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
— J’y crois paaaaaas !
— Eh bien justement, parlons-en ! Dis-moi, Sophie, tu ne crois pas en Dieu ?
Nous embrayons sur la religion. Je lui raconte ma petite histoire, comment j’ai rencontré Dieu avec Nicky Cruz. Elle écoute avec attention, un peu intriguée. (…. puis elle me demande ) :
— Explique-moi une chose. Pourquoi, si tu veux devenir prêtre, ne peux-tu pas te marier ? Vraiment, ça, je ne le comprends pas !
— Ne t’en fais pas, c’est tout à fait normal ! Jésus lui-même a dit que c’est normal que tu ne comprennes pas !
— Tu rigoles ? me demande-t-elle étonnée.
— Non, c’est vrai. Regarde !
Je sors mon petit Nouveau Testament de ma poche et je vais m’asseoir à côté d’elle. Je cherche le chapitre 19 de l’Évangile de Matthieu et pose le doigt sur le verset 12.
— Tu vois, c’est écrit là ! Jésus dit : « Certains seront célibataires en vue du Royaume des cieux. » Mais ce qui est original, c’est que juste avant, il prévient : « Tous ne comprennent pas cette parole, mais seulement ceux à qui cela est donné » et juste après il en rajoute une couche : « Que celui qui peut comprendre, comprenne ! » Alors, il ne faut pas t’étonner si beaucoup, même parmi les bons chrétiens, ne comprennent pas le célibat des prêtres. Donc ne te tracasse pas si tu as toi aussi du mal à comprendre.
— D’un certain côté, ça me rassure, renchérit-elle, mais d’un autre côté, j’aimerais quand même comprendre. Les pasteurs protestants, ils sont bien mariés, eux ?
— Tout à fait, et pas seulement les pasteurs. Dans l’Église d’Orient, il y a même des prêtres catholiques qui sont mariés. Les gréco-catholiques par exemple, ou bien les maronites. J’en ai rencontré lors d’un voyage au Liban. Ils sont fidèles à Rome et ils sont mariés.
— Ah, tu vois ! Alors, tu n’as qu’à faire pareil !
— Non, chez nous, dans l’Église catholique romaine, ce n’est pas possible. Ce n’est que dans l’Église orientale que les prêtres peuvent se marier.
— Et pourquoi ce n’est pas possible pour vous ?
— Pour comprendre, il faut remonter jusqu’à Jésus. Lui-même a vécu célibataire. Et il a choisi douze apôtres qui vivaient avec lui comme célibataires. C’était une révolution à son époque. Et, comme je viens de te le dire, Jésus lui-même a donné le sens du célibat dans l’Évangile de Matthieu : un signe du Royaume des cieux. Donc, dès le début de l’Église, il y a toujours eu des apôtres célibataires. Saint Paul fait à son tour tout un éloge du célibat dans l’épître aux Corinthiens au chapitre 7. Il explique que le célibat nous donne les meilleures conditions pour « plaire au Seigneur », c’est-à-dire pour être totalement donné au service du Christ et de son Royaume. Mais c’est vrai aussi que, dès le début de l’Église, il y a eu à côté de ces prêtres célibataires, d’autres qui étaient mariés. On le voit clairement dans les lettres de saint Paul. La tradition du célibat était possible, encouragée, mais pas obligatoire. Cette possibilité de choisir continue aujourd’hui en Orient. Alors qu’en Occident, petit à petit, le célibat des prêtres s’est imposé jusqu’à devenir une norme. L’Église romaine ne considère pas cette règle du célibat comme une brimade, mais au contraire comme un trésor, car elle a la conviction que le célibat est le meilleur mode de vie pour bien vivre son sacerdoce.
— Je suis sûre que si les prêtres pouvaient choisir, ils se marieraient tous !
— Détrompe-toi, Sophie. Certains feraient sans doute le choix du mariage, mais il y en aurait beau- coup plus que tu ne le crois à faire le choix du célibat. J’en ai pour preuve une rencontre récente avec un prêtre ukrainien, gréco-catholique. Lui-même est fils de prêtre. Il a choisi d’être prêtre à son tour, mais il a voulu rester célibataire. Il m’a dit que son père, lorsqu’il devait choisir entre sa paroisse d’un côté, et sa femme et ses enfants de l’autre, faisait toujours passer la paroisse en premier. Enfant, il a trop souffert de cette situation. J’imagine que ça ne doit pas être tous les jours facile de concilier le ministère et la vie de famille. Il y a certainement beaucoup de saints prêtres gréco-catholiques mariés, mais contrairement aux apparences, ce n’est pas sûr que ce soit eux qui aient choisi la façon la plus simple d’exercer leur ministère sacerdotal.
— Si tu pouvais choisir, qu’est-ce que tu ferais ?
— Je resterais célibataire.
Sophie me quitte des yeux. Pensive, elle regarde par la fenêtre. Puis elle se tourne vers moi et reprend en plissant les yeux :
— Et qui te dit que tu ne vas pas tomber amoureux ?
— Celle-là, je l’attendais. Je vais te donner une distinction qui éclaire le sujet. Il faut distinguer entre l’attraction et l’amour. Tu as déjà été amoureuse, n’est- ce pas ?
— Tu parles !
— Eh bien, toutes tes histoires d’amour ont commencé par une attraction. Ensuite, tu as choisi de donner suite à cette attraction et c’est devenu un sentiment amoureux. Donc si ta question est : comment tu sais si tu ne vas pas être attiré par une fille, je réponds sans hésiter : oui, je peux être attiré par tel ou tel type de fille. Et je crois que c’est tout à fait normal ! Mais c’est vrai pour les prêtres comme pour les hommes mariés.
—…
— Un homme extrêmement amoureux de sa femme peut, quelques jours à peine après le mariage, en plein voyage de noces, ne pas être insensible aux charmes de telle hôtesse d’accueil, par exemple. Est-ce pour autant une remise en cause de son engagement ? Par contre, s’il décide de contacter cette femme, de lui téléphoner, de la revoir… son attraction peut se changer en sentiment amoureux. Il peut remettre en cause son mariage jusqu’à le détruire ! Mais je plains cet homme qui vit dans la dictature de l’attraction ! Marié ou prêtre, nous devons tous gérer nos attractions, de façon à respecter notre premier engagement, celui que nous avons transformé en un pacte d’amour pour la vie ! Voilà, tout simplement.
— Avec toi, tout a l’air simple.
Sourire. Sourire. Sourires. Le train arrive en gare. Elle doit descendre. Je l’aide à prendre son sac. Je lui tends la main pour lui dire au revoir. Elle la prend, hésite un instant, et me fait une bise en catimini sur la joue.
— Ciao !
— Ciao, Sophie. Que Dieu te garde !
Extraits de Dieu en Plein cœur, Né de Père inconnu, élevé par un gangster , Édition presses de la renaissance, juin 2008, pages 155-163.
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