Petite coquine qui adore les coups de bite

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Vu la tĂȘte qu'elle a fait, elle a pas du apprĂ©cier .... Bien fait pour elle, elle y rĂ©flĂ©chira la prochaine fois ... B*tch !!!
Why bitch ?, je trouve au contraire que le geste du livreur est plein d'affection sans arriÚre pensée, bande de vieux cochons !
lol "52" c'était "bitch" purée j'essayais de traduire "b*tch" avec une étoile je ne comprenais pas !! tsss
Ben ça sent surtout la gonzesse qu'a voulu jouer Ă  l'allumeuse sauf que le livreur Ă©tait plus entreprenant qu'elle l'aurait pensĂ©, et donc comme j'ai dit, vu la tĂȘte qu'elle a fait au moment oĂč il lui touche la foufe, elle a pas du apprĂ©cier ....

Donc, rien que pour le fait d'ouvrir à un livreur en tenue sexy comme ça, c'est une bi*tch ....
Franchement,c'est un fake,mĂȘme si elle le cherche,le type lui touche la chatte voir lui colle un doigt et la fille fait mine de serrer les jambes,en temps normal,le type se serai retrouver avec les burnes partagĂ©es en deux surtout que c'est qui qui filme? Son mec? A moins qu'il soit voyeur,un type vient toucher la chatte de ma femme,je lĂąche tout et lui colle une praline dans sa face.
Ha jeune fille, tu as voulu jouer la pĂ©tasse mais regarde ce qui t’arrive. Faut pas qu'aprĂšs qu'elle vienne se plaindre.
Oui , c'est une crevette : tout est bon sauf la tĂȘte ...
Petite conne va
Vous allez me traiter de pute mais sa doit ĂȘtre marrant quand sa t arrive

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AprĂšs les fails du sexe, nos lectrices se souviennent de leur meilleur coup. Retour sur leur partie de jambes en l’air la plus mĂ©morable, la plus insolite ou la plus drĂŽle.  
Nous Ă©tions dans la voiture pour aller en vacances dans le Sud de la France. Le GPS affichait dix heures de route, ça promettait d’ĂȘtre long. En plein Ă©tĂ©, il faisait chaud, j'Ă©tais donc habillĂ©e trĂšs lĂ©gĂšrement et je retrouvais mon conjoint aprĂšs deux semaines de vacances, chacun de notre cĂŽtĂ©. Pendant toute cette pĂ©riode loin l’un de l’autre, nous avions passĂ© nos journĂ©es Ă  nous envoyer des messages coquins . Autant dire que nous Ă©tions tous les deux trĂšs excitĂ©s. Sur la route, nous avions mĂȘme du mal Ă  nous retenir... À mi-chemin, il a posĂ© sa main sur ma cuisse, remontĂ© ma jupe et commencĂ© Ă  me toucher tout en conduisant. Je n’ai jamais Ă©tĂ© aussi excitĂ©e de ma vie. À tel point que j’ai commencĂ© Ă  lui faire une fellation, en prenant garde de ne pas me faire surprendre par les voitures qui nous dĂ©passaient. C'Ă©tait clairement imprudent, mais tellement incroyable. Ce cĂŽtĂ© voyeur et le frisson du sexe en public m’a fait vibrer d’adrĂ©naline et de plaisir. C’était le meilleur sexe de ma vie.  
J'avais eu l'idĂ©e d'une promenade dans la forĂȘt de Fontainebleau, mais je l’avoue, cette idĂ©e n’était pas innocente. Mon copain m'avait avouĂ© quelques temps plus tĂŽt que son fantasme Ă©tait de faire l’amour dans les bois. Il avait donc prĂ©vu un petit pique-nique et moi, des prĂ©servatifs et une jolie culotte. AprĂšs 30 minutes de marche, je me suis tournĂ©e vers lui et je lui ai lancĂ©, nonchalamment : « Ça te dit de rĂ©aliser ton fantasme ? » La rĂ©ponse ne s’est pas fait attendre. « Oui ! », s’est-il exclamĂ©, trĂšs enthousiaste. On s'est enfoncĂ©s dans un coin isolĂ©, les ronces jusqu'aux hanches, pour que personne ne nous surprenne. ArrivĂ©s derriĂšre un gros rocher au beau milieu de la vĂ©gĂ©tation haute, on a commencĂ© Ă  s'embrasser et Ă  faire l'amour. Mais la faune Ă©tait contre nous. Une guĂȘpe a commencĂ© Ă  me poursuivre, puis on a entendu un sanglier farfouiller dans les herbes Ă  quelques mĂštres de nous. Il a fallu escalader le rocher pour lui Ă©chapper, en mode trekking de l’extrĂȘme. Un super souvenir : du bon sexe et beaucoup d’adrĂ©naline.  
Avec mon copain, on a essayĂ© de faire l’amour en musique . On imaginait une scĂšne sensuelle, comme dans les films, alors on a cherchĂ© une playlist pour instaurer une atmosphĂšre sexy. Tout avait bien commencĂ© mais en plein milieu des hostilitĂ©s, la musique du gĂ©nĂ©rique d’ « Oggy et Les Cafards » s’est lancĂ©e. ImmĂ©diatement, toute la magie du moment est retombĂ©e et on n’a pas pu s’empĂȘcher d’exploser de rire. Maintenant c’est devenu un running gag. DĂšs que cette chanson passe, ou que l’on y pense pendant l’amour, on ne peut s’empĂȘcher de partir en fou rire. Souvent, mon copain la chante au beau milieu d’un rapport et inĂ©vitablement, ça gĂąche tout. Merci Ă  la personne qui avait ajoutĂ© par erreur (ou volontairement) cette musique Ă  la playlist « sexe » de Spotify.  
DĂšs nos premiers rendez-vous, Vincent m’avait laissĂ© comprendre qu’il Ă©tait friand de stimulation prostatique. Plusieurs fois, lors de rapports sexuels, il m’a demandĂ© de glisser un doigt et m’a initiĂ©e au massage de la prostate. À tous les coups, il atteignait un orgasme qu’il dĂ©crivait comme « inĂ©galable » en comparaison Ă  la jouissance classique obtenue par la stimulation de son pĂ©nis. Voyant qu’il aimait vraiment ça, et fantasmant moi-mĂȘme sur la pĂ©nĂ©tration, je lui ai un jour proposĂ© de passer Ă  l’étape supĂ©rieure en Ă©voquant l’utilisation d’accessoires. S’en sont suivies des heures d’exploration sur les sites de vente de sextoys pour trouver le meilleur gode-ceinture pour nos futures parties de jambes en l’air. DĂšs les premiers essais de pegging , lui comme moi Ă©tions comblĂ©s. Le fait de l’observer jouir sous l’effet de mes coups de rein et de prendre le contrĂŽle sous la couette m’a procurĂ© autant de plaisir que lui en a ressenti.  
Ce gars Ă©tait incroyable et m’a marquĂ©e par sa bienveillance. Nous avons fait notre premiĂšre baise sur la plage. J’étais hyper stressĂ©e et je sentais que lui aussi, mais il est restĂ© longtemps dans ma vie. Des annĂ©es plus tard, on s’est revus et c’était mon meilleur coup. Il avait un jeu pendant que nous faisions l’amour, qui consistait Ă  compter le plaisir qu’il me donnait. Quand j’avais un orgasme , il disait « 1-0 », comme si c’était le score d’un match de foot. Quand on finissait, il annonçait le score final. Le but, c’était de me faire jouir le plus possible. Je trouvais que cela hyper sexy, pas dans un sens purement sexuel mais dans sa façon d’ĂȘtre avec moi, en plus il Ă©tait super drĂŽle ! Il m’a aussi fait le coup du « triangle », comme dans la sĂ©rie « Sex/Life ». C’est une pĂ©nĂ©tration immobile qui donne des orgasmes fulgurants. Le plus fou, c’est qu’il ne l’a mĂȘme pas fait exprĂšs.  
Un soir d’étĂ©, je faisais la fĂȘte en boite avec des amis. J’y rencontre un mec plus grand que moi, en Ăąge et en taille. Je le prĂ©cise, car d’habitude je prĂ©fĂšre les hommes plus jeunes. Il m’a enlacĂ©e et embrassĂ©e d’une façon si sensuelle et si excitante que j’aurais pu lui faire l’amour sur place. Je suis rentrĂ©e chez lui puis il m’a fait un cunnilingus , ce que je n’aime pas d’habitude. Sauf que cette fois-ci, c’était irrĂ©el. Il m’a retournĂ©e pour me mettre Ă  quatre pattes, pas de maniĂšre violente mais sĂšche, autoritaire. Tu sentais qu’il fallait faire ce qu’il te disait. J’ai tellement aimĂ©, je ne m’attendais pas du tout Ă  avoir autant de plaisir ! Et puis d’un coup, sans me prĂ©venir, il m’a pĂ©nĂ©trĂ©e et c’était incroyable. Il ne prĂ©vient pas mais tu sens ce qui va t’arriver : la surprise Ă©tait encore plus excitante. J’ai chaud rien que d’y penser, ça me donne envie de le rappeler.   
Cela faisait environ deux mois que je sortais avec Nicolas, qui avait une dizaine d’annĂ©es de plus que moi. Lorsqu’on se voyait, on se retrouvait souvent dehors, dans des restaurants ou dans des parcs. Un jour, aprĂšs quelques baisers sensuels sur les bancs d’un square, il m’a entraĂźnĂ©e dans un cul de sac peu frĂ©quentĂ© et m’a embrassĂ©e sensuellement. On a fini par se masturber chacun notre tour, comme ça, en pleine rue et au beau milieu de la journĂ©e. La spontanĂ©itĂ© du moment et la peur de se faire prendre m’a donnĂ© des frissons partout. Je crois que depuis, je n’ai jamais ressenti autant d’ondes de plaisir qu’à ce moment-lĂ . Mais les choses ont mal tournĂ©, puisqu’aprĂšs une dizaine de minutes de fricotage, une famille de touristes qui avait dĂ» se perdre s’est retrouvĂ©e nez-Ă -nez avec nous en plein milieu de nos Ă©bats publics. Ils ont tout de suite fait demi-tour, et nous nous sommes rhabillĂ©s, un peu honteux. 
J’étais avec mon copain de l’époque et on a commencĂ© des prĂ©liminaires. Au dĂ©part, on se touchait mutuellement. Puis on a commencĂ© Ă  se masturber seuls, pendant que l’autre regardait. DĂ©jĂ , l’excitation montait. Pour rentrer dans les dĂ©tails, son gland frottait contre mon clitoris, ce qui m’excitait Ă©normĂ©ment. On a laissĂ© monter nos orgasmes en mĂȘme temps . Au moment oĂč la jouissance est arrivĂ©e pour nous deux, il m’a pĂ©nĂ©trĂ©e. L’orgasme Ă©tait fou, un truc simultanĂ© trĂšs intense. Et tout ce plaisir avait Ă©tĂ© prĂ©parĂ© en amont par nos jeux de regards sensuels, nos caresses. C’était la premiĂšre fois que j’avais un orgasme aussi intense. La vie fait que je l’ai quittĂ©, mais je n’ai plus jamais vĂ©cu ça. Avec mon copain actuel, j’essaie de renouveler l’expĂ©rience, sans succĂšs pour l’instant.  
Je marque trĂšs vite sur le corps. Disons que si tu me pousses, j’ai un bleu sur le champ. Je prĂ©cise que ne n’ai jamais pratiquĂ© de BDSM, donc ce n’était pas du sexe violent. Mais le sexe Ă©tait trĂšs long et je me suis retrouvĂ©e avec des bleus sur tout le corps. Le cou, les bras, le dos. Je rejoignais des amis en pleine canicule, et je ne portais pas de veste pour les cacher. Quand ils m’ont vue, ils ont blĂȘmi et ont couru vers moi en me demandant, paniquĂ©s : « Mon dieu, tu t’es fait attaquer ! T'as portĂ© plainte ? » Les gens me regardaient dans la rue parce qu’ils pensaient que j’avais Ă©tĂ© agressĂ©e alors je venais de passer la meilleure nuit de ma vie. En plus, je n’étais pas trĂšs proche de ces amis, et j’ai dĂ» leur raconter mes pĂ©ripĂ©ties sexuelles pour me justifier. C’était mon pire walk of shame.  
J’avais invitĂ© quelques amis pour une soirĂ©e dans ma maison de vacances dans le Sud, qui se trouvait Ă  quelques kilomĂštres de mon nouvel appartement. Nous avions dĂ©cidĂ© d’aller en boite en centre-ville pour finir la soirĂ©e. Mes colocataires et moi n’avions pas encore meublĂ© l’appartement, dans lequel il n’y avait aucun lit pour dormir. En boite, je rencontre quelqu’un avec qui je dĂ©cide de rentrer. On fait nos affaires et nos amis rentrent juste aprĂšs. On discute avec eux, puis reprenons les hostilitĂ©s quand ils repartent pour un petit dĂ©jeuner en ville. À leur retour, on Ă©tait endormis sur le canapĂ© et le fameux coup d’un soir Ă©tait dans son plus simple appareil
 et disons qu’il Ă©tait excitĂ©. La taille de son appareil Ă©tait impressionnante et il en reste des preuves en images
  
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