Petite copine française prend tout

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Accueil » Dans le train et avec ma cousine
Aujourd’hui, j’ai 20 ans. Assez grande et très mince, j’ai de longs cheveux châtains clairs qui ondulent jusqu’au milieu du dos, des yeux bleu ciel, un visage qui mélange douceur et volonté. J’ai de mignons petits seins bien ronds dont je suis très fière et une peau satinée, légèrement bronzée naturellement. Sportive et active, j’ai toujours aimé être habillée assez sexy mais classe. Coquine, je le suis depuis longtemps et c’est ce que je me propose de vous raconter.

À dix-huit ans, j’ai commencé à goûter les plaisirs d’être une femme. Depuis, mes aventures n’ont cessé de s’accumuler et j’avoue que mon expertise, dans le domaine aujourd’hui, vaut celle de plusieurs femmes mûres. Voici donc le récit d’une de mes premières aventures sexuelles.
Cet été là, je viens tout juste d’avoir dix-huit ans et je vais passer deux bonnes semaines chez ma cousine Nathalie en Suisse. Je ne la connais qu’en photo, mais bigre ! Qu’elle est jolie ! On m’a toujours parlé de cette cousine en tant qu’informaticienne travaillant pour une grosse boîte suisse, mais elle ne semble pas avoir la grosse tête. Après les adieux à mes parents, on monte dans le train de nuit pour Genève. Nathalie est avec moi car elle est venue me chercher à Paris. Nous partageons notre compartiment avec une dame et ses deux fils. Le plus âgé, probablement 18 ans, est beau gosse. Blond aux yeux gris-bleu, il porte un chouette T-shirt et un pantalon sport avec des Doc Martens, mais le plus important, c’est qu’il me fait immédiatement un gentil sourire sans rien oser me dire. Moi je fais petite fille bien sage avec ma robe d’été en coton bleu à bretelles sur un chemisier blanc à courtes manches. Je suis assise en face lui, il fait semblant de lire mais je sens bien qu’il ne me quitte pas des yeux. Il a l’air sportif et ses jambes couvertes de petits poils blonds montrent une peau douce. Après avoir mangé, on met les couchettes en place et je prends une des couchettes supérieures. Je sens son regard sous ma jupe quand je grimpe à l’échelle. Comme par hasard il grimpe aussi ! Je m’endors immédiatement en pensant à ce garçon. Plus tard dans la nuit, lors d’un arrêt dans une gare, une main me caresse doucement les cheveux. En me retournant, je le vois se glissant à nouveau sur sa couchette mais il a enlevé son T-shirt et dans la pénombre son torse me semble superbe.
Il me lance de nouveau un merveilleux sourire auquel je réponds. Il me tend sa main et en regardant si tout le monde dort, je lui tends la mienne. En me la caressant doucement, il essaie de remonter le plus haut possible le long de mon bras. J’en frissonne de partout. Il me fait alors signe de le rejoindre sur sa couchette. C’est impossible pour moi, j’ai peur de ma cousine, mais je lui fais comprendre de me rejoindre, ce qu’il fait sans tarder. Je suis brûlante. Il se glisse alors entre moi et la paroi et, en chien de fusil, je me blottis contre lui, mon dos contre son ventre. Je sens son souffle dans mes cheveux, sur ma nuque et la chaleur de son corps. Sa main me serre contre lui et bien vite elle prend place sur un de mes petits seins pointés pendant qu’il inonde mon cou de baisers. Je ne sais que faire mais un sentiment de bien-être m’envahit. On reste d’abord un bon moment ainsi l’un contre l’autre. Puis, se redressant sur son coude sans doute pour mieux me voir, il me fait pivoter sur le dos et doucement comme dans un rêve, il me caresse le ventre au travers de ma robe et de mon chemisier pour revenir régulièrement sur mes nénés. N’y tenant plus, je fais glisser les bretelles de ma robe et guide sa main sous mon chemisier en abaissant le haut de ma robe. C’est alors que se penchant sur moi, il m’offre un merveilleux baiser. Je sens vite une envie de toucher sa langue avec la mienne. Je ne sais plus combien de temps on reste ainsi, mais c’est si doux. Ses bras m’enlacent et mon chemisier, maintenant largement ouvert, laisse libre cours à ses caresses. Je lui laisse enlever mon soutien. Je n’ai plus que ma robe repliée sur mes hanches et ma culotte sur moi. À mon tour, je caresse son torse musclé, pendant que sa main me doigte ma chatte…
L’appartement de ma cousine est superbe. Il donne sur le lac, le long de la rue du Mont-Blanc. Après ce voyage, elle me propose de prendre une douche.
– On la prend ensemble, me dit-elle ?
– Si tu veux, bien sûr !
Elle a à peine vingt-cinq ans et quand je la vois nue, faisant couler la douche, je ne peux m’empêcher de lui dire qu’elle a un corps superbe. Elle sourit, mais avant que je ne puisse réagir, elle fait glisser les bretelles de ma robe.
– Petite coquine, me dit-elle en voyant que je n’ai pas de slip.
Puis avant que je ne me justifie, elle me caresse la peau en me disant :
– C’est un rêve de voir comme on peut être jolie à ton âge.
Dans la douche elle me passe un délicieux bain mousse sur le corps et ça sent si bon. Puis elle me demande d’en faire de même sur elle. Quand nous sommes bien couvertes chacune de mousse, elle me dit :
– Viens, je vais l’étendre parfaitement.
Et me retournant, elle plaque son ventre contre mon dos, m’enveloppant de ses bras. Ses mains caressent d’abord mon ventre puis l’une s’attaque à mes seins tandis que l’autre se glisse sur mon pubis.
Je réponds affirmatif de la tête. C’est vrai que c’est très agréable et ce contact avec un corps adulte est bien plus voluptueux que ceux que j’avais eu avec mes copines plus jeunes. On inverse les rôles et elle me dit très douée. Après la douche, elle me sèche consciencieusement. Comme nous restons nues en séchant nos cheveux, elle me prend par la main et m’attire dans sa chambre. Dans l’obscurité et sur son grand lit, je me blottis contre elle. Après un moment, elle m’embrasse d’abord sur le bord des lèvres, pour voir ma réaction sans doute, puis profondément et d’une infinie douceur. Puis lentement, elle descend le long de mon corps, suçant le bout de mes seins puis mon nombril et mon clitoris. Je replis mes jambes en les ouvrant, elle sourit et puis rentre goulûment sa longue langue dans mon vagin. Déjà fort excitée, je mouille à souhait. Elle épouse complètement mes lèvres vaginales puis, me soulevant lentement, elle continue jusqu’à mon anus, un doigt dans mon vagin pour continuer à m’exciter. Mes petits cris de jouissance l’encouragent sans doute, puis se retournant tête bêche, corps contre corps, couchées sur le côté, elle offre son sexe aux caresses de ma langue. Son odeur intime est plus forte que ce que je connaissais déjà mais je ne peux résister à la lécher à mon tour. Après plus d’une demi-heure, nous jouissons presque ensemble avant de nous endormir dans les bras l’une de l’autre. À notre réveil, de faim probablement, après un dernier câlin, on se lève pour s’habiller.
– Comme tu es assez coquine, mais c’est un secret entre nous, je te propose qu’on ne mette pas de sous-vêtements pendant ton séjour.
Rien que cette idée m’excitait à nouveau, je réponds :
Un jean et un T-shirt moulant et nous sommes habillées, comme deux sœurs. Au resto puis au Makro, les hommes n’arrêtent pas de nous regarder sous toutes les coutures. Quelle drague en perspective ! La nuit, on la passe ensemble comme presque toutes les autres, mais ça c’est une autre histoire. Et dans son appart, on est plus souvent nues ou presque, il faut dire qu’il y fait très chaud. Puis une nuit, c’est la catastrophe ! J’ai mes règles et je salis les draps. Je suis très ennuyée vis-à-vis de ma cousine mais elle ne m’en veut pas du tout.
– Ce n’est pas grave, tu sais, ça arrive. On va vite tout changer, prendre une douche et tout sera oublié.
Elle me prête des tampons et je dois enfiler une culotte, je crois que c’est plus prudent. Au petit déjeuner, elle me demande :
– Dis, Isa, tu prends la pilule ?
– Non, ma mère ne m’en a jamais parlé et j’ai un peu peur de lui demander, elle me croit si sage encore.
– Et tu n’es plus sage ?
Je deviens toute rouge, puis comme un aveu de soulagement, je lui raconte mes galipettes dans le train.
– Et bien je crois que tu dois penser à prendre la pilule, sinon tu vas rater bien des occasions ou avoir des ennuis, ce serait quand même idiot d’être enceinte à ton âge non ?
Bien sûr elle a raison et depuis je prends la pilule.
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Accueil » La première fois de Vanessa
Résumé : Vanessa est une jeune fille qui n’ose pas sauter le pas afin de faire plaisir à son amoureux.
Vanessa est une jeune fille d’environ dix huit ans qui a un petit ami, dont elle est follement amoureuse, mais avec qui, elle n’ose pas faire le premier pas. Malgré les multiples avances de celui-ci, elle lui a toujours répondu par la négative, invoquant qu’elle n’est pas encore prête.
Mais cela, la travaille beaucoup quand même. Et, pas plus tard qu’hier soir, elle se retrouve chez Virginia, une jeune femme de vingt cinq ans et, fille de la meilleure amie de sa maman.
Au cours de leur discussion, Vanessa raconte à Virginia sa petite histoire. Celle ci l’écoute avec attention et, lui dit.
Mais ma chérie, tu sais, je connais quelqu’un qui pourrait t’aider à sauter le pas.
Très intéressée Vanessa lui répond.
Tu crois ? Mais, tu sais que je suis amoureuse de mon chéri. Je voudrai pas que ça cause un problème entre nous… ! Et puis, tu sais. Je suis encore vierge, alors… !
Mais, est ce que ton chéri sais que tu es encore vierge ?
Non. Je ne lui en ai jamais parlé. Et puis, il ne m’a pas encore touché… !
Oui, tu as, peu être, raison ? Vu comme ça… C’est vrai qu’il n’y en a pas.
Alors ma chérie, ce gars que je connais s’appelle Vincent. C’est un ami de ma mère. Il est libertin, comme ma mère et, ils se sont connus dans une discothèque échangiste il y a déjà au moins dix ans. Tu sais, il a une soixantaine d’années et en plus, il est très sympa ma chérie. Je peux te dire qu’il baise comme un Dieu. D’ailleurs, c’est lui qui m’a déviergée. J’en garde un souvenir que tu ne peux pas imaginer.
Mais Virginia, tu y penses pas… J’ai dix huit ans !
Mais, il est où le problème. Baiser avec un jeune ou un vieux, il y pas de différence… ! Et je vais même te dire, un mec de soixante ans a beaucoup plus d’expérience qu’un jeune de vingt ans. Tu verras, ma belle, après tu ne diras plus ça… !
Oui d’accord. Je vais y réfléchir et, je te rappelle, d’accord ?
Après une bonne heure de papotage, les deux amies se séparent. Vanessa rentre chez elle, encore plus troublée qu’avant leur discussion.
Elle pense à cette proposition que lui a fait, son amie Virginia, et chaque soir dans son lit de jeune pucelle, ça la travaille tellement, qu’elle ne peut s’empêcher de masturber sa petite fente rose, en pensant à cette aventure qu’elle a envie de vivre, mais qui lui fait, aussi, tellement peur.
Une semaine passe, puis deux et, après avoir passé un beau dimanche après midi avec son chéri en rentrant chez elle, elle prend son téléphone et finit par appeler son amie Virginia.
Oui, Vanessa, qu’est ce qu’il y a ?
Tu sais, j’ai bien réfléchi à ta proposition…
Je suis d’accord. À présent, je crois que je me sent prête à faire le saut
C’est bien ma chérie ! C’est une bonne décision. Tu verras que tu ne seras pas déçu. Vincent est un mec formidable.
T’as pas à me dire merci. C’est à Vincent que tu diras merci. Ne t’inquiètes pas… Ça se passera bien. Comme je te l’ai dit, il est super doux. c(est un vrai papy gentil. Tu veux que je t’arrange un rendez vous pour quand ?
Quand tu veux, mais pas un week-end. Le week-end c’est réservé à mon copain.
Oui, je comprends. Si tu veux, dans la semaine, un mercredi vers vingt heures. Ça t’irait… ?
Oui, pourquoi pas. Ça tombe plutôt bien, je n’ai pas cours le jeudi matin. Comme ça, on pourra prendre tout le temps qu’il faudra. Car j’en encore un peu peur de ça ! J’ai peur d’avoir mal !
Bon écoute. Je contacte Vincent et je te tiens au courant. Mais ne te fais pas une histoire de tout ça. Ça ira bien, tu verras ! C’est vrai que ça fait un peu mal à la première pénétration. Mais après, tu verras que que tu aimeras. C’est vachement bon de sentir une grosse queue qui va et qui vient dans ta chatte… !
Peut être bien. Mais en attendant, il faut que j’accepte, comme tu dis, cette grosse queue dans ma petite foufoune ? C’est pas gagné. Mais merci Vivi. Tu es une vrai sœur… A bientôt, bisous.
Une semaine plus tard, le téléphone de Vanessa sonne.
Et alors c’est bon. J’ai eu Vincent et, il m’a dit que c’était bon.
Si tu es d’accord, la semaine prochaine.
Oui ma chérie, mercredi prochain. Je te prends en passant vers vingt heure quinze et, on ira chez Vincent passer une bonne soirée de baise. En tout cas, moi, ça va me faire du bien… !
Les jours passent, et la demoiselle est de plus en plus excitée à l’approche de ce jour fatidique. Et en fin d’après midi de lundi ; le téléphone sonne.
Coucou Vanessa, j’ai une idée pour que cette soirée soit un peu particulière et reste gravée dans ta mémoire.
Nous allons nous habiller, toutes les deux, de la même façon et pour pimenter le tout, nous porterons toutes les deux un loup identique.
Pour que Vincent ne sache pas tout de suite qui est qui, et qu’il soit obligé de deviner qui est Vanessa et qui est Virginia.
Ah, c’est super ton idée. Mais toi, il te connais déjà.
D’accord. Mais je sais pas si tu as vu que nous nous ressemblons beaucoup physiquement. Nous avons, toi et moi, les cheveux châtains et longs. Tu es aussi grande que moi et, tu as une paires de seins un peu comme les miens. On peut presque passer pour des sœurs jumelles… !
Tu as raison Virginia. Alors on se déguise comment ?
Est ce que tu as dans ton armoire une jupette noire à volants et un débardeur rose ?
Alors c’est bon. On a plus qu’à trouver deux loups. Si tu veux, je les achète demain ?
Oui d’accord. Alors, je t’attends mercredi vers vingt heure chez moi.
La journée de mardi se passe plus ou moins bien pour la jeune fille. Elle ne pense plus qu’à ce moment où elle va donner sa virginité à un inconnu. Puis, après une nuit bien agitée, la journée de mercredi lui semble interminable. Et même, au lycée, ses meilleures copines se demandent se qui lui arrive. Elle ne s’est jamais comportée comme ça en cours. Elle est absente, totalement emportée dans ses pensées.
A dix sept heure. A peine la sonnerie retenti, elle s’échappe de sa classe, et rentre chez elle pour se préparer.
Elle se jette sous la douche et, n’oublie pas un seul centimètre carré de son corps. Il faut qu’elle soit irréprochable. Puis, elle passe à la séance coiffure et maquillage. Même son miroir ne la reconnaît pas, tellement elle s’est faite belle. Une vraie starlette de cinéma… puis, elle vient à sa chambre, prends sa mini jupette, son débardeur, un mini string noir et s’habille. Pour faire un peu plus femme, elle emprunte, à sa mère, une paire de chaussure à hauts talons.
il est bientôt vingt heure et, voilà notre jeune pucelle fin prête. Une petite demie heure plus tard, la sonnette retentit à la porte. Vanessa se lève du canapé, où elle regardait, avec sa mère, la télé, et vient jusqu’à la porte.
Bonsoir Vanessa… wahoo que tu es belle, ma chérie. Tu es prête ?
A ce moment là la mère de Vanessa intervient.
Maman, nous allons voir un film avec Vivi.
D’accord. Mais essaye de pas rentrer trop tard. !
Oui maman. T’inquiètes. A plus tard.
Quelques minutes plus tard, au pied de l’immeuble, elle se regardent et partent à rire.
Pourquoi tu as dit à ta mère que nous allons au cinéma ?
Je ne pouvais pas lui dire que nous allons chez un pote à elle pour me faire dévierger… !
Oui, je comprends. C’est mieux comme ça. Tu as raison. Mais, si nous rentrons un peu tard, elle ne risque pas de grogner ?
Non, je crois pas. Ça m’arrive de sortir avec mon copain et, de rentrer tard.
Bon, vu comme ça. On va pouvoir s’amuser un peu avec Vincent. Tu sais, moi, il me fait grimper aux rideaux à chaque fois. Et puis, ça fait pas mal de temps que je n’ai pas de copain ? Alors, pas de pénis à me mettre dans ma moule. Là, j’en ai trop envie !
Pourquoi. Qu’est ce qu’il a de si particulier ?
Rien de spécial… Je te dis rien. Tu vas le découvrir par toi même… !
Ok. Puisque tu veux pas me le dire… !
Mais je suis pas fâchée… ! J’aurai bien aimé savoir !
Alors, Virginia prend la main de Vanessa et, elles viennent vers le parking, où est garée sa voiture. Une vingtaine de minutes plus tard, elles arrivent au pied de l’immeuble de Vincent. Virginia gare son véhicule. Et après avoir fermé les portières à clefs, elles entrent dans l’immeuble, prennent l’ascenseur qui ne va pas les emmener au septième ciel, mais au quatrième étage.
Arrivées sur le palier, Virginia et Vanessa se parent chacune de leur loup, puis Virginia sonne à la porte. Quelques secondes plus tard, la porte s’ouvre et, Monsieur Vincent apparaît dans l’ouverture.
Bonsoir les jumelles. Entrez donc mesdemoiselles… Mais qui est Virginia et qui est Vanessa ?
Bonsoir Vincent. Comme vas tu. J’espère que tu es en forme ?
Je te présente Vanessa. Ma copine, qui a besoin de tes petits services.
Il n’y a pas de soucis. Tu me connais bien. Tu sais, en plus, que ce genre de service me rend encore plus performant… !
Tout en parlant, il les entraîne au salon où une musique de circonstance sort des enceintes. La lumière, elle aussi, est en rapport avec le thème de la soirée. A vrai dire, une ambiance feutrée est de mise.
Il les invite à s’asseoir sur le canapé et leurs propose un petit verre.
Je vous ai préparé un petit cocktail. Ça devrait faire pour ce soir.
Merci bien Monsieur. Mais je ne bois pas d’alcool.
Il n’est pas très fort. Tu peux le goûter. Mais si tu ne peux pas le boire, je te servirai un jus de fruit.
Non, c’est pas la peine Monsieur. Je vais goûter, et je vous le dirai.
Laisse tomber le Monsieur. Je m’appelle Vincent et, tu peux me tutoyer.
Tu sais, c’est une jeu
Une scène de baise avec miroir
La baby-sitter est si chaude
Bataille pour une héroïne à gros seins

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