Petite brunette qui réclame son orgasme quotidien - Video porno films xxx sexe en streaming

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Après avoir longtemps été l'un des hommes les plus puissants du pays, avant d'être arrêté pendant près de quatre ans, le général Jamil Sayyed revient à la une de l'actualité. Dimanche, il avait donné une conférence de presse d'une rare violence qui lui a valu une convocation de la part du procureur général près la Cour de cassation. Le Hezbollah a aussitôt condamné cette convocation, la qualifiant de politique et appelant la justice à la retirer. Le retour de Sayyed à Beyrouth prévu aujourd'hui devrait donner le signal d'un regain de tension... ou au contraire d'un début de règlement.


Dans un communiqué publié hier, le Hezbollah a rejeté la convocation du général Jamil Sayyed devant le procureur général près la Cour de cassation, la qualifiant « de décision politique et de voie ouverte vers l'oppression et l'intimidation ». Dans le communiqué, le Hezbollah commence par s'étonner de l'initiative du procureur, affirmant : « Nous attendions des parties concernées au sein de la justice qu'elles adressent une convocation à ceux qui ont exprimé leur fierté d'avoir collaboré et d'avoir été les alliés d'Israël. Nous attendions une enquête avec ceux-là, tout comme nous attendions de ces parties judiciaires qu'elles défendent les symboles de l'État et les présidents lorsqu'ils ont été insultés pendant des années de façon claire et indiscutable. C'est ainsi que la justice aurait préservé la fierté de l'État et de ses symboles. Nous nous attendions aussi à ce que ces mêmes parties judiciaires s'empressent de réclamer les documents exhibés par le général Sayyed au cours de sa conférence de presse et qu'elles enquêtent sur les informations qu'il a évoquées, par souci de justice et pour atteindre la vérité. Mais nous avons été surpris par le fait que la justice est mise au service du conflit politique à travers la décision de convoquer le général Sayyed. Au Hezbollah, nous considérons cette décision de la justice comme étant purement politique et une voie ouverte vers l'oppression et l'intimidation envers toute personne injustement traitée et qui clame la vérité. Nous rejetons fortement cette décision et nous invitons les parties concernées à y renoncer rapidement. Assurer la justice passe par l'ouverture rapide, par les autorités judiciaires libanaises, du dossier des faux témoins et de ceux qui les ont fabriqués. Ce dossier a entraîné le Liban et la Syrie dans un brouillard sombre qui aurait pu étouffer tout le monde. De même, le souci de préserver les institutions de l'État exige de ne pas mettre le dispositif judiciaire au service des leaderships politiques. Surtout lorsque cette utilisation de la justice est aussi claire et partiale et se trouve on ne peut plus éloignée de la justice réelle et de la protection de la dignité des fonctions et des symboles. » Recours devant la Cour de cassation Ce communiqué au ton très ferme s'est accompagné d'un recours présenté par l'avocat de Jamil Sayyed, Me Akram Azoury, devant la Cour de cassation, chambre pénale, pour que le procureur général Saïd Mirza soit dessaisi de ses fonctions et placé à la disposition du Conseil supérieur de la magistrature en raison du conflit personnel qui l'oppose au général Sayyed. Le recours rappelle que le juge Mirza fait l'objet d'une plainte déposée devant la justice libanaise et d'une autre devant la justice syrienne par le général Sayyed, dans le cadre du dossier des faux témoins. Selon le communiqué publié par le bureau du général Sayyed, cette requête couvre aussi le général Achraf Rifi et le colonel Wissam Hassan, car ils constituent la police judiciaire relevant de l'autorité du juge Mirza et ils font aussi l'objet de plaintes dans le cadre du même dossier. De son côté, le numéro 2 du Hezbollah cheikh Naïm Kassem a estimé que le but de tout ce tollé médiatique est de faire oublier le dossier des faux témoins, en soulevant des « questions secondaires ». Cheikh Kassem a rappelé que le Hezbollah ne sera satisfait que lorsque des mesures concrètes seront prises dans le dossier des faux témoins. « Nous n'accepterons pas que ce dossier soit considéré comme une affaire politique soumise aux opinions des uns et des autres. Nous voulons que la justice s'en empare sérieusement et remonte jusqu'à ceux qui ont planifié et fabriqué les faux témoins, orientant l'enquête vers une fausse piste qui a entraîné des catastrophes entre le Liban et la Syrie », a-t-il ajouté. Cheikh Kassem s'est ensuite demandé « pourquoi certaines parties cherchent-elles à gagner du temps ? Sur quoi misent-elles ou alors que leur a-t-on promis ? », avant de répéter qu'il faut aboutir à des résultats concrets dans ce dossier et que le Hezbollah n'acceptera aucun report. Il reste à rappeler que Jamil Sayyed est attendu aujourd'hui à Beyrouth. Dans un entretien téléphonique avec la chaîne al-Jazira, il a annoncé qu'il rentrait par l'AIB et ne comptait pas modifier son itinéraire. L'officier a encore affirmé que ceux qui cherchent à le juger « sont ceux-là mêmes qui sont impliqués dans le dossier des faux témoins ». Il a rappelé que ceux qui l'attaquent aujourd'hui cherchent à éviter de se prononcer sur le fond, préférant rester dans la forme pour cacher leurs méfaits. Il a enfin conclu qu'il n'y a pas d'État au Liban pour qu'il soit menacé, mais un semblant d'État... Signalons enfin que la convocation adressée par le juge Mirza au général Sayyed n'est pas un mandat d'amener. Par conséquent, l'officier ne peut être arrêté à son arrivée à l'aéroport. Il doit d'abord être notifié de la convocation, selon la procédure officielle, et s'il ne répond pas, d'autres mesures pourraient être prises.

Dans un communiqué publié hier, le Hezbollah a rejeté la convocation du général Jamil Sayyed devant le procureur général près la Cour de cassation, la qualifiant « de décision politique et de voie ouverte vers l'oppression et l'intimidation ». Dans le communiqué, le Hezbollah commence par s'étonner...
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OLJ / le 18 septembre 2010 à 00h34

Sous la protection de l’armée, une équipe de l’ONU a filmé hier, en trois dimensions, le site de l’attentat du 14 février 2005, dans lequel a péri Rafic Hariri. Anwar Amro/AFP
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L'opérateur de téléphonie français Orange a annoncé jeudi son désengagement d'Israël à terme, confirmant des intentions qui ont provoqué une levée de boucliers dans ce pays et des accusations de concession aux pressions pro-palestiniennes.Orange, partiellement contrôlé par l'Etat français, a assuré dans un communiqué que sa décision de cesser "à terme" sa relation avec...
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"J'appelle le gouvernement français à publiquement rejeter les déclarations malheureuses d'une compagnie dont il est en partie propriétaire", a dit jeudi Benjamin Netanyahu.

OLJ/AFP / le 04 juin 2015 à 22h17

Orange a assuré dans un communiqué que sa décision de cesser "à terme" sa relation avec l'opérateur israélien Partner n'avait aucune motivation politique. AFP PHOTO / THOMAS COEX
L'opérateur de téléphonie français Orange a annoncé jeudi son désengagement d'Israël à terme, confirmant des intentions qui ont provoqué une levée de boucliers dans ce pays et des accusations de concession aux pressions pro-palestiniennes. Orange, partiellement contrôlé par l'Etat français, a assuré dans un communiqué que sa décision de cesser "à terme" sa relation avec l'opérateur israélien Partner n'avait aucune motivation politique. Elle relève, a expliqué le groupe, d'une volonté d'avoir la maîtrise totale de sa marque. Il stipule qu'il respectera "strictement les accords existants". Orange est lié à l'opérateur israélien Partner par un contrat censé expirer en 2025. Mais, depuis les propos tenus mercredi au Caire par le PDG d'Orange Stéphane Richard, il ne fait aucun doute en Israël qu'Orange cherche à se dissocier de Partner pour des raisons politiques. Partner utilise le nom et l'image d'Orange. Il fournit ses services en Israël, mais aussi dans les colonies en Cisjordanie et à Jérusalem-Est occupées, qui sont jugées illégales par la communauté internationale.
Mercredi, Stéphane Richard, le PDG d'orange, avait déclaré: "notre intention est de nous retirer d'Israël". "Cela va prendre du temps [mais] nous allons certainement le faire", a-t-il ajouté en anglais lors d'une conférence de presse au Caire, où il effectue une visite auprès de l'opérateur égyptien Mobinil, dont l'entreprise française est actionnaire à près de 100%. "Je suis prêt à abandonner demain matin" les liens avec Partner mais "sans exposer orange à des risques énormes" sur le plan légal ou financier, avait précisé M. Richard. "J'appelle le gouvernement français à publiquement rejeter les déclarations et les agissements malheureux d'une compagnie dont il est en partie propriétaire", a dit le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu cité par ses services dans un communiqué. M. Netanyahu a accusé Orange de participer à un "drame absurde": celui dans lequel une démocratie "respectueuse des droits de l'Homme" et soumise aux menaces sécuritaires, c'est à dire Israël, est confrontée "aux condamnations systématiques et aux tentatives de boycott". "On ne pardonnera pas ce drame absurde", a-t-il promis.
'La face noire d'Orange' Avant M. Netanyahu, les Affaires étrangères ont dit attendre des excuses de la part d'Orange. L'ambassadeur israélien à Paris a demandé des explications à l'Etat français, détenteur de 25% d'Orange, ont-elles dit. La polémique n'a cessé d'enfler après les propos du PDG d'Orange mercredi, qui ont immédiatement été considérés comme une nouvelle tentative d'attenter à la légitimité d'Israël, dans un pays dont la classe politique ne parle que de cela depuis quelques jours. "La face noire d'Orange", a titré le quotidien populaire Yedioth Ahronoth, à côté de la photo de M. Richard. "Très en colère", Isaac Benbenisti, appelé à prendre la présidence de Partner le 1er juillet, a accusé Stéphane Richard de céder aux "pressions très importantes des (groupes) pro-palestiniens" et de participer à une grande campagne d'isolement d'Israël dans le monde. Cinq ONG et deux syndicats avaient appelé Orange en mai à annoncer son désengagement et à "dénoncer les atteintes aux droits humains commises par Partner". Selon leur rapport, Partner, en fournissant ses services dans les colonies, contribue à leur maintien. La communauté internationale considère comme illégales les colonies, ces blocs construits et habités par des Israéliens dans les territoires occupés ou annexés par Israël. Elle voit la colonisation comme un obstacle majeur à la recherche de la paix entre Israéliens et Palestiniens. La France met en garde les entreprises françaises contre les activités dans les colonies.
Politique de marque Orange a insisté sur le fait qu'il ne détenait aucune action ou droit de vote dans Partner et n'avait aucune emprise sur lui. Il a dit aussi qu'en dehors de ses relations avec Partner, il n'avait pas d'activité en Israël. En fait, a précisé plus tard son directeur général adjoint Pierre Louette, Orange a toujours un centre de recherche et une filiale dans le pays et ne se désengage donc pas totalement. Orange et Partner sont liés par un contrat de licence permettant à la société israélienne d'utiliser la marque et l'image d'Orange en échange d'une redevance. Le contrat a été signé en 1998, deux ans avant le rachat d'Orange par France Telecom. Début avril, Orange a fait amender le contrat, jusqu'alors illimité, pour qu'il expire en 2025. Il s'agit du seul contrat de marque au monde entre Orange, présent dans 29 pays, et une entreprise qui n'est pas une filiale. Orange ne veut plus maintenir la présence de sa marque dans un pays où il n'est pas, ou plus, opérateur, a expliqué le groupe. L'annonce pouvait difficilement tomber dans un contexte plus délicat. Car Israël est confronté à une intensification de la campagne mondiale non-gouvernementale de boycottage (BDS) destinée à augmenter la pression économique et politique pour mettre fin à l'occupation des Territoires palestiniens. Ces derniers jours, une succession de faits -décision d'un grand syndicat étudiant britannique de rejoindre BDS, tentative palestinienne de faire suspendre la fédération israélienne de football, inquiétude d'universitaires israéliens d'être mis à l'index par leurs collègues étrangers- ont replacé la question du boycott, des ingérences étrangères et des atteintes supposées à la légitimité d'Israël au coeur d'un vif débat aux forts accents nationalistes. La France réprouve le recours au boycott vis-à-vis d'Israël.
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La Russie donne des signes d'impatience envers la République islamique.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a appelé hier, à Moscou, à l'adoption de « sanctions qui font mal » contre l'Iran. M. Netanyahu a rencontré en début d'après-midi le président russe Dmitri Medvedev, mais ce dernier n'a fait aucune mention en public de l'Iran, contrairement au Premier ministre...
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