Personne ne resiste le bbc

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Rédactrice en chef pour la BBC, Carrie Gracie a annoncé sa démission lundi en dénonçant une « culture salariale secrète et illégale » au sein de la télé britannique.
Carrie Gracie, rédactrice en chef en Chine pour la BBC, a annoncé sa démission lundi 8 janvier pour dénoncer l’inégalité salariale entre les femmes et les hommes qui persiste au sein du service public audiovisuel britannique.
Dans un texte publié sur son blog à destination des Britanniques , la journaliste dénonce notamment une « culture salariale secrète et illégale » au sein de la télévision britannique.
« La BBC vous appartient (…). Vous avez le droit de savoir qu’elle enfreint la loi sur l’égalité et résiste aux pressions pour établir une structure de rémunération équitable et transparente. Je ne demande pas plus d’argent. Je pense être déjà très bien payée (…). Je veux simplement que la BBC se conforme à la loi et valorise hommes et femmes de manière égale. »
Son annonce a reçu le soutien du groupe BBC Women, qui réunit plus de 130 femmes y travaillant. « Nous (…) appelons la BBC à régler son cas et les autres sans délai et à s’occuper de l’inégalité salariale au sein de l’entreprise » , a souligné le groupe dans un communiqué.
Sur son blog, M me Gracie évoque également une « crise de confiance » au sein de la BBC, qui s’est amplifiée depuis que l’institution a révélé pour la première fois, en juillet 2017, les salaires annuels de ses dirigeants et présentateurs vedettes payés plus de 150 000 livres (169 000 euros). Dans cette liste de plus de 200 noms, un tiers seulement étaient des femmes, avec des salaires très inférieurs aux sommets atteints par leurs homologues masculins.
Le directeur général de la BBC, Tony Hall, avait alors promis d’aller « plus vite et plus loin » pour réduire ces écarts, affichant son ambition d’atteindre l’égalité des rémunérations entre les hommes et les femmes d’ici à 2020.
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Publié le
28/09/2000 à 00:00

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La chronique de Gwénaëlle Avice-Huet
Par Gwénaëlle Avice-Huet, vice-présidente senior en charge de la stratégie de Schneider Electric

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De son cartable Bernie Andrews sort un tas de coupures de journaux. Sur les clichés en noir et blanc, on le voit - petit costard cintré et banane de teddy-boy - face à un John Lennon très jeune qu'il écoute en grand frère attentif. John doit avoir 23 ans. Lui-même tout juste 30. On ne résiste pas à l'envie de le taquiner. «Qui est ce type à côté de vous, Bernie?» Bernie Andrews sourit. Il n'a jamais collectionné les photos ni les autographes. Pas le temps. Pourtant, sans en être conscient, il écrivait une page d'histoire. 


Qu'ils soient célèbres ou en passe de l'être, les Kinks, les Who, les Byrds, les Doors, les Animals, les Moody Blues, Pink Floyd, Cream, sans oublier les Beatles et les Stones, bref, tout ce qui comptait sur la scène du rock anglo-saxon s'est pressé dans les shows qu'il a produits pour la BBC dans les années 60, puis 70. On peine à croire que ce retraité chenu - il a aujourd'hui 67 ans - ait pu un jour porter des cheveux longs et être courtisé par l'ensemble de la planète rock. Pourtant, dans son petit appartement de Shepherd's Bush, il petit-déjeunait d'oeufs au plat avec George Harrison, qui fuyait les bistrots et les fans. Paul McCartney passait de temps à autre, salué par un mainate facétieux qui lui lançait: «Hello, Ringo!» Le soir, il dînait avec Brian Epstein, le manager des Beatles, et faisait la noce avec Hendrix, Bill Wyman ou Keith Richards. 


La radio, seul recours promotionnel
A partir de 1965, Bernie Andrews est rejoint, parfois remplacé, par Jeff Griffin, jeune ingénieur du son lui aussi prématurément bombardé producteur. A deux, ils se partagent le boulot. Bernie enregistre Chuck Berry, tandis que Jeff «fait» les Supremes. Ou le contraire. Les uns après les autres, les concerts qu'ils ont enregistrés, les fameuses BBC Sessions, sont réédités en coffrets CD. Aujourd'hui sortent ceux de David Bowie (voir Le Magazine), que Bernie et Jeff ont découvert alors qu'il portait les insignes du Flower Power et que, sous le nom de David Jones, il présidait aux destinées d'un groupe d'hurluberlus, le Lower Third. 


Pourquoi ces Sessions sont-elles si populaires, à l'époque? Il faut comprendre: la télévision de l'ère travailliste relègue les frasques des rockers à la rubrique des faits divers pour dénoncer leurs coiffures de sauvages, les scènes d'hystérie collective des groupies ou l'arrestation de tel ou tel pour usage de stupéfiants... Les clubs à la mode, comme le Marquee, formant un ghetto, les émissions de variétés à la télévision leur étant interdites, la radio est le seul recours promotionnel pour les musiciens. Et, plus précisément, Bernie et Jeff. 


En 1964, Saturday Club rassemble 9 millions d'auditeurs. «Un public énorme, pour l'époque, raconte Bernie Andrews. Les Sessions contribuaient à la notoriété des groupes. Tous en redemandaient.» Devant le succès de Saturday Club, la direction de la «Beeb» (la BBC) demande à Bernie d'imaginer un nouveau show, diffusé en parallèle. Ce sera Top Gear (A fond les manettes). Au programme de la première, en juillet 1964, les Beatles. Les Fab Four sont déjà fameux: A Hard Day's Night, le film et l'album, vient de sortir. 


Bernie a carte blanche. Seul maître à bord, il se fait plaisir. Sa hiérarchie bannit les Stones des ondes et juge que Jagger a une voix «trop noire»? Il passe outre et invite ces affreux jojos régulièrement.
Sanction de son insolence? Top Gear est supprimé moins d'un an après ses débuts. «Nous étions des pionniers, mais absolument incontrôlables, explique-t-il. Les gens de la BBC freinaient des quatre fers. Une majorité de cadres de la radio pensait - et déclarait - que nos émissions annonçaient la fin de la civilisation! Je me souviens d'une séance d'enregistrement avec Jimi [Hendrix]. Les murs tremblaient. Le mec qui enregistrait un quatuor classique dans un studio deux étages plus haut est venu nous demander de faire cesser ce boucan. Il ne s'entendait plus jouer.» 


L'arrêt de Top Gear rend les auditeurs furieux. C'est aussi un mauvais calcul. En effet, la radio d'Etat souffre de plus en plus de la concurrence sauvage des stations pirates, comme London et Caroline, qui reçoivent l'intégralité de la production des maisons de disques et diffusent ce qu'elles veulent sans payer de droits. Et les syndicats ne font rien pour arranger les choses: sous prétexte de défendre les intérêts des chanteurs et des musiciens, ils imposent une limitation du temps de passage des disques (le needle time). 


Sous ces multiples pressions, en 1967, la BBC éclate en quatre antennes, dont Radio One, entièrement dévolue à la musique pop et rock. L'émission de Bernie Andrews est reconduite dans une version plus radicale. Seul producteur à être à tu et à toi avec ces groupes de chevelus dont personne ne pouvait prédire qu'ils allaient oeuvrer pour la balance commerciale du royaume, il paraît incontournable. «Dites, Bernie, vous êtes toujours copain avec Lennon et Jagger?» lui demande sa direction. «Bien sûr, monsieur, mais je ne crois pas qu'ils viendront encore si la technique reste en l'état.» Il obtient donc une amélioration substantielle des conditions d'enregistrement. «Jusque-là, on travaillait sur des magnétos à une piste. Il fallait enregistrer le backing à part des voix, puis mixer. Nos studios étaient très inférieurs à ceux des maisons de disques. Mais on avait des ingénieurs malins, capables de bricoler un égaliseur à partir d'une boîte à tabac métallique.» 


La fête continue. Semaine après semaine, l'émission voit défiler John Mayall, les Yardbirds, le Spencer Davis Group et les Who. Mais aussi Fleetwood Mac, Ten Years After, Soft Machine, Deep Purple, Jethro Tull et Led Zeppelin. Bernie organise des rencontres inouïes, comme celle de I Was Made to Love Her, chanté et accompagné en octobre 1967 par «Little» Stevie Wonder à la batterie et Jimi Hendrix à la guitare. Et c'est chez lui que Joe Cocker, pas encore déplumé, interprète en 1968 With a Little Help From My Friends pour la première fois, alors que le morceau ne sortira en disque que trois mois plus tard. Brutalement, en 1968, Bernie Andrews est de nouveau débarqué de Top Gear. Saqué par quelque administratif grincheux. Melody Maker, organe de la profession, fait campagne pour sa défense. En vain. 


Lorsqu'il est interviewé par la BBC, peu de temps avant sa mort, la première chose que lâche Lennon est: «Comment va Bernie?» Bernie va mal. Il prendra sa retraite, de façon anticipée, en 1983. A-t-il au moins gagné un peu d'argent au cours de cette épopée? «Pas un penny», répond-il. 


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