Payer pour avoir du plaisir

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Payer pour avoir du plaisir
Salut, je suis nouveau sur ce forum et je crée ce sujet afin de vous demander votre avis sur une question qui me trotte dans la tête depuis un moment. Selon, cela vaut-il le coup de payer une escort girl pour sa première (et probablement seule) relation sexuelle ? Ou préféreriez vous rester puceau toute votre vie ? J'ai 18 ans donc oui je suis jeune mais avec le temps j'ai finis par me faire une raison : être en couple n'est pas fait pour moi. J'ai du mal avec toute sorte de relation sociale alors il n'y a aucune chance que je puisse séduire une fille (qui cherchera certainement un garçon un minimum expérimenté) alors que je suis presque incapable de me faire de nouveaux amis. Bref, je vous remercie de m'avoir lu et même d'avoir cliqué sur mon topic qui est pas forcément très aguicheur j'en suis conscient $ 😙 .
ce n'est pas parce que tu te dépucèles tard, que c'est dramatique. il n'y a pas de honte, avant d'aller voir une escorte, sors de ta zone de confort et apprends la vie. l'échec fait grandir. Mais rien ne dit que tu vas échouer, beaucoup d'homme sont timides alors que les femmes n'attendent que ça!! Moi je suis un timide, j'avais une grande gueule mais des qu'il fallait aller voir les meufs, j'étais en panique. J'étais tétanisé. pcq j avais peur de ne pas savoir embrasser. Ben le jour où je l'ai fait, naturellement j'étais un expert hahaha; laisse toi aller, peu importe comment tu le feras, la fille ne sera pas forcément plus expérimentée que toi; si elle a des sentiments, elle adorera tout ce que tu feras et t'apprendras avec elle... fonce mon gars
Voila mon histoire vécu, pendant mon adolescence une belle brune de 25 ans a l'époque me faisait beaucoup de charme, un jour elle est venu chez moi quant ma mère n'était pas la pour me demander un tire bouchon(ben voyons faut bien trouver une excuse) j'avais 14 ans et tout pénaud biensûr j'était pas naïf mais je flippai, elle me fait venir chez elle je la suit et se qui ce passera ce passe, elle était escorte je le savais, je la voyais partir souvent toujours bien habiller dans de différente belle voiture, l'avantage c'est que j'ai pas payer lol c'était une voisine, elle a bien géré l'acte j'ai de bon souvenir (enfin court souvenir l'acte a durée 2 a 3 minutes), le hic c'est que j'aurai peut-être aimer faire avec mon premier amour..
Trop tard ???? Vous n'avez que 18 ans ! J'ignorais que l'on pouvait baisser les bras si jeune ! C'est triste pour vous !
Emmanuelle1472 : Il y a tout de même des choses plus tristes que ça dans la vie non ? $ 😂 lombredunevie : Je pense aussi que les échecs nous permettent d'apprendre mais dans mon cas j'ai pas l'impression que ce soit aussi simple. Depuis que je suis à la fac j'ai été incapable de me faire ne serait-ce qu'un véritable ami. Et j'ai du mal à croire que si je suis incapable de me faire des amis je puisse séduire une fille (surtout que je loin d'être particulièrement attirant). Pour moi c'est un peu comme si t'essayais de résoudre un exercice de math de terminale S alors que tu as même pas encore eu le brevet. Tu vas pas y arriver et je pense pas que ça t'apprenne quoi que ce soit. "beaucoup d'homme sont timides alors que les femmes n'attendent que ça!!" : Je veux pas remettre ta parole en doute puisque tu as eu la gentillesse de me répondre (et je te remercie pour ça d'ailleurs) mais j'ai un peu de mal à croire à ça. Je vois pas ce qui pourrait attirer quelqu'un lorsque tu es timide. Les personnes ont naturellement tendance à aller vers des personnes "ouvertes", avec qui elles vont pouvoir discuter non ?
Bonsoir, Bien sûr, faites ce que vous voulez mais, si j'étais à votre place, je tenterais de régler mes problèmes sociaux, de communication avant d'aller vers la facilité. Vous allez payer une escort pour vous "déniaiser", et ensuite ? Qu'est-ce que cette expérience va vous apporter ? Pas grand chose au fond et vous serez toujours avec vos problèmes. L'argent ne règle rien !
A vrai dire c'est plutôt pour me faire idée de ce qu'on peut ressentir plutôt que pour régler quoi que ce soit. Je suis conscient que c'est trop tard pour régler tout ça.
Bonsoir , La timidité n'effraye pas les femmes au contraire elle serait déjà un poil en confiance . Bien sur cela n'attire pas toutes les femmes et ton but n'est pas de toutes les attirer . 18 ans n'est pas encore un âge obsolète pour avoir une relation mais une relation contribue à l'épanouissement . Tu as toute la vie devant toi
J'ai peut-être toute la vie devant moi mais c'est pas pour ça que ça risque de changer quelque chose je pense. J'ai rien à offrir aujourd'hui et je vois pourquoi cela serait différent dans le futur. C'est pour cela que je me demande si ça vaut de payer parce que si c'est une fille payée pour ça elle devrait pas en avoir grand chose à faire de qui je suis.





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Silvia Galipeau La Presse

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Édition du 7 juillet 2018,
section PAUSE , écran 2

Elles sont majeures, professionnelles, célibataires ou pas. Et pour toutes sortes de raisons, elles ont décidé de payer pour des caresses, de la tendresse et du sexe. Bref, pour jouir. Portrait d’un phénomène tabou, méconnu et, surtout, sous-estimé.
« Dans la vie, je donne, je donne. Là, c’est comme si je décidais non seulement de demander, mais de m’offrir quelque chose à moi. »
Catherine* a 52 ans. Mariée depuis 30 ans, mère de deux enfants, elle vient de se payer un « massage tantrique », orgasmes inclus. Elle a trouvé son « masseur » érotique dans une petite annonce sur internet.
Attablée dans un restaurant à déjeuner de la Rive-Sud, rouge comme une tomate, la coquette quinquagénaire confie qu’elle ne regrette rien. Au contraire. Elle compte même y retourner, pour s’abandonner à nouveau à un total étranger. Revivre cet « abandon » sans « relation » : « J’avais l’impression d’être en vie, allumée. Ça, ça me manque énormément… »
Parce qu’avec son mari, enchaîne-t-elle, ça n’a jamais été « ça ». Une agression sexuelle à l’adolescence lui aurait « jammé la machine », croit-elle. En 30 ans de vie commune avec le père de ses enfants, le sexe avec lui ne l’a d’ailleurs jamais fait « triper ». Le massage érotique ? À cette question, ses yeux se remplissent de larmes.
« C’est comme si j’avais été chercher quelque chose de vital. […] Mais c’est clair que si j’avais tout ce dont j’ai besoin dans ma relation, je n’aurais pas besoin d’aller là… »
Tabou, le phénomène des femmes qui se payent des services sexuels commence tranquillement à faire jaser, notamment depuis la diffusion de la téléréalité américaine Gigolos , laquelle a mis en scène, pendant pas moins de six saisons, des hommes, hétéros, escortes de l’agence Cowboys for Angels, avec leurs nombreuses clientes. Au Royaume-Uni, le Sun rapporte que l’agence d’escortes pour femmes gentlemen4hire.com, la toute première du genre, fondée il y a 10 ans, reçoit aujourd’hui pas moins de 1000 visites par jour. À Montréal, les petites annonces destinées aux femmes uniquement existent, mais demeurent marginales.
De manière générale, les clientes ne se vantent d’ailleurs pas. Elles restent dans l’ombre. Entre autres parce que l’achat de services sexuels est illégal au Canada, mais aussi de peur d’être jugées.
Au fil du temps, nous avons néanmoins récolté quelques témoignages, qui ont été racontés dans le cadre de la rubrique Derrière la porte. D’abord, il y a eu Jocelyne, une femme dans la quarantaine qui se payait une escorte (une femme cette fois), question d’assouvir un « fantasme » et de ne pas « passer à côté de ça ».
Puis, Hélène, jeune cinquantaine, qui nous a raconté avoir eu recours à un « masseur », en apprenant que son mari se payait des escortes à son insu. « Je voulais essayer ça, moi aussi : tu payes, puis tu as du sexe. » Et finalement Sophie, 50 ans, rencontrée cet hiver : « À un point dans ma vie, je me suis dit : that’s it, j’engage un straight male escort. » Pourquoi ? Parce qu’elle en a les moyens, que les sites de rencontres sont énergivores, qu’elle n’a « jamais pogné » dans les bars et que les jouets, ça manque de « chaleur », nous a-t-elle expliqué. Et puis parce qu’elle a des besoins physiques à combler, surtout.
Maxime Durocher a 44 ans. Il est l’un des rares hommes à s’afficher ouvertement comme escorte à Montréal.
Il milite aussi activement pour la reconnaissance des droits des travailleurs du sexe. C’est lui qui a « ouvert » le marché ici en 2011, croit-il. D’après lui, le phénomène serait encore embryonnaire au Québec. Une poignée de femmes seulement s’offriraient de tels services.
« C’est un service entre deux personnes consentantes. »
— Maxime Durocher, escorte pour femmes seulement
Sur son site, il offre aussi des « services » précis : « câlins », « intimité » ou « kink ». Le tout suit généralement une sortie (resto ou autre) pour environ 300 $ l’heure. Qui sont ses clientes ? Des femmes de 35 à 65 ans avec de l’argent, pour la plupart des « régulières » avec un « besoin », dit-il. « Elles sont seules, ou veulent s’offrir un cadeau, explorer ou reprendre contact avec leur sexualité. »
Dans la culture populaire, le personnage d’une femme cliente a été très « peu vu », signale la féministe Martine Delvaux. Hormis Miss Sloane , thriller politique de 2016, dit-elle. « Ça sert le portrait d’une femme autoritaire, de carrière, dans la représentation populaire, je crois. »
Mais Maxime Durocher rejette ce stéréotype. Il est très difficile de tracer un portrait type, fait-il valoir. Tout comme celui des hommes clients d’escortes, d’ailleurs. Chaque client, homme ou femme, a ses motivations. « Les hommes, eux aussi, vont chercher de la compagnie. On est tous des êtres humains. Et on va chercher une chaleur humaine. »
Et c’est aussi comment Catherine perçoit la chose. « J’ai payé pour aller chercher quelque chose qui me manquait, conclut-elle. Parce que c’est un besoin vital. […] Oui, je le recommanderais. Parce que c’est une façon sécuritaire et respectueuse d’obtenir quelque chose qui nous manque. »
* Les prénoms des femmes qui ont accepté de se confier à nous sont fictifs, pour protéger leur anonymat. Rappelons que l’achat de services sexuels est illégal au Canada.
D’après la Loi sur la protection des collectivités et des personnes victimes d’exploitation, l’achat de services sexuels est une infraction au Canada. « La loi n’est pas différente que ce soit un homme ou une femme », précise Michel Bourque, commandant au module Exploitation sexuelle du Serice de police de la Ville de Montréal (SPVM). Cela dit, des femmes, criminalisées à titre de clientes, « on n’en a pas souvent », ajoute le commandant, qui n’en a « personnellement » jamais vu. De son côté, l’escorte ou le « masseur » n’est pas non plus ciblé. « Il y a immunité pour toute personne qui offre ses propres services ou en fait la publicité, précise-t-il. Nous, ce sur quoi on enquête, c’est l’exploitation sexuelle. »
Le sujet est méconnu et le phénomène, sous-estimé. Pourtant, les femmes qui payent pour du sexe existent, consomment et, de plus en plus, témoignent. Une chercheuse britannique a enquêté. Entrevue.
« L’hypothèse dominante, c’est de toujours considérer les hommes comme les clients, les femmes comme les travailleuses. Or moi, je conteste cette hypothèse dominante. »
Professeure de criminologie à l’Université de Lancaster, au Royaume-Uni, Sarah Kingston a dirigé l’une des rares enquêtes sur le phénomène des femmes qui s’offrent des escortes, que ce soit pour les accompagner plus ou moins chastement à une soirée ou pour passer une demi-heure de bonheur.
Elle publiera prochainement un article dans la revue scientifique Sexuality , ainsi qu’un livre chez Routledge : Women Who Buy Sex : Intimacy, Companionship, and Pleasure (Les femmes qui payent pour du sexe : Intimité, compagnonnage et plaisir).
D’après une collecte de données qui s’est étirée sur plusieurs années, le nombre de profils d’escortes masculines en ligne au Royaume-Uni aurait explosé. De 2010 à 2015, il aurait triplé, passant de 5000 à 15 000. « La clientèle est donc là ! », dit celle qui se bute toutefois à un stéréotype « culturel » tenace et surtout hétéronormatif (tant dans l’imaginaire populaire qu’en recherche) selon lequel c’est, d’un côté, toujours la femme qui vend les services sexuels et, de l’autre, toujours l’homme qui les achète.
« Nous avons été socialisés culturellement à voir les hommes comme des prédateurs, proactifs sexuellement, avec des mœurs plus légères. Mais ça commence à changer. »
— Sarah Kingston, professeure de criminologie à l’Université de Lancaster
Tranquillement, la chercheuse dit voir apparaître une forme de « reconnaissance » du fait que les femmes, elles aussi, peuvent être proactives en matière de plaisirs et de désirs. En témoigne, notamment, l’apparition de boutiques érotiques ciblant directement les femmes, offrant des jouets exclusivement voués au plaisir féminin, et ce, dans toutes les grandes artères du pays. « Dans une société prude comme la nôtre [le Royaume-Uni], dit-elle, c’est un énorme bouleversement. »
Évidemment, si cette clientèle existe, c’est qu’elle en a les moyens. Or, d’après elle, le phénomène serait loin d’être nouveau. De tout temps, au Royaume-Uni, certaines femmes ont eu une forme ou une autre de pouvoir économique, dit-elle. « On peut penser à l’époque victorienne, où des femmes, dans la société, avaient beaucoup de pouvoir. » Si elles étaient jadis plus subtiles (offrant des cadeaux ou payant des repas à leurs compagnons potentiels, par exemple), ce qui est inusité, depuis l’apparition des petites annonces sur l’internet, notamment, c’est l’aspect « explicite, direct et intentionnel » de la chose.
Dans le cadre de ses recherches, Sarah Kingston a interrogé 12 « clientes ». Qui sont-elles ? Des femmes « tout à fait ordinaires », souvent aisées, certaines s’offrant une escorte par année, d’autres des services plus réguliers.
Ce qu’elles cherchent ? De tout : certaines ne veulent que du sexe (« c’est tout ce qu’elles veulent »), d’autres cherchent une « boyfriend experience », ou encore un homme avec des « attributs particuliers », ou pourquoi pas une « expérience éducative », en solo ou en couple.
Pourquoi ne vont-elles pas tout simplement dans un bar, ou sur un site de rencontre ? Faute de temps et d’énergie, résume la chercheuse, par souci de discrétion (si elles sont mariées), et puis parce que c’est tout simplement beaucoup plus simple et surtout plus sûr.
« Elles peuvent avoir ce qu’elles veulent, quand elles le veulent, dans un contexte délimité. »
— Sarah Kingston, professeure de criminologie à l’Université de Lancaster
Une « consommation » qui ressemble à bien des égards à celle des hommes, fait-elle d’ailleurs valoir. « Hommes et femmes, nous vivons dans une culture très similaire : une culture de la consommation. On cherche des trucs spécifiques, des gens précis, des relations particulières. »
Ce qui est particulier, c’est que les travailleurs du sexe (elle en a interrogé 38), eux, voient la clientèle féminine comme plutôt différente (« plus sensuelle, passionnée »). « C’est intéressant, mais on peut se poser la question : est-ce une vraie différence ou une simple perception ? Ou alors, est-ce que les clientes ont été socialisées différemment pour agir ainsi ? Ça mérite d’être discuté. »
Encore une fois, ces femmes ne voudraient-elles pas une « vraie » relation ? Certaines, en effet, disent que oui. « Mais encore une fois : est-ce une attente dictée par notre socialisation ? Peut-être assiste-t-on au contraire à une évolution des attentes des femmes en relation ? »
Quoi qu’il en soit, Sarah Kingston note que les femmes qu’elle a rencontrées se sentent toutes « libérées, et surtout libres de faire ce qu’elles veulent », dit-elle. Comme les hommes ? Non : « Sans se conformer aux normes des hommes », nuance-t-elle.
Trois sexologues analysent pour nous le phénomène.
sexologue et coach sexuelle à Vancouver
« Définitivement », dit celle qui n’a pas peur de choquer. Parce qu’elles sont trop occupées, n’arrivent pas à trouver de partenaire, parce qu’elles ont des difficultés en matière de socialisation, ont peu d’amis, sont handicapées… Les raisons d’avoir recours à de tels « services » ne manquent pas, commente la coach sexuelle, qui réclame aussi la légalisation du plus vieux métier du monde. « Il y a des gens qui ont un manque extrême de connexion. Pour ces personnes-là, à cent milles à l’heure, c’est un besoin, et elles devraient avoir accès à quelque chose. » Et les autres ? Renée Lanctôt se félicite de voir de plus en plus les femmes prendre ici « leur sexualité en main ». « Pourquoi pas, si ça les fait se sentir bien ? » Un seul conseil, pour conclure : « Ne tombez pas en amour ! Surtout pas. Mais si vous avez un besoin corporel, pourquoi pas ? C’est un problème que vous pouvez régler avec de l’argent ! »
sexologue clinicienne, spécialiste des travailleuses du sexe
« Un service qui peut combler des besoins […], comme chez les hommes. »
La clinicienne voit souvent des clients, mais à ce jour jamais de clientes, de l’industrie du sexe. « Mais j’entends des histoires », dit celle qui côtoie professionnellement plusieurs escortes. D’après elle, des femmes peuvent avoir recours à une escorte (femme) pour « clarifier leur orientation sexuelle, essayer de nouvelles pratiques, explorer ou échanger ». Selon Pascale Robitaille, cette clientèle est aussi « sous-estimée » et certainement en croissance, notamment à cause de la visibilité plus positive des travailleuses du sexe dans les médias, depuis quelques années. Non, elles ne sont pas toutes droguées ou « pimpées », « plusieurs sont des travailleuses indépendantes », dit-elle. Si ça n’est « pas pour tout le monde », notamment si, moralement, votre conscience s’y oppose, le recours à une escorte peut « combler des besoins affectifs et personnels », exactement comme ce qu’on observe chez les hommes, avance la sexologue. On assiste d’ailleurs peut-être ici à une petite « évolution culturelle ».
sexologue clinicien et psychothérapeute
« Ça ne fait pas partie de mon approche. »
Non, Vincent Quesnel ne recommandera jamais à une femme de payer pour des services sexuels. « Je vais toujours privilégier une démarche où la femme va procéder de façon autre qu’utilitaire pour arriver à combler ses besoins relationnels », dit-il. Tout comme pour un homme, faut-il préciser. Reste que « c’est un choix ». Et qu’il n’est pas non plus « contre ». « Les hommes, de tous les temps, l’ont fait, je ne vois pas pourquoi les femmes ne se le permettraient pas ! » Les femmes risquent en prime bien moins de se faire juger que les hommes, croit-il (parce qu’on ne les accusera jamais « d’exploiter ces hommes-là… »). Il croit d’ailleurs que le phénomène témoigne d’un « 
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