Passion lesbienne près de la piscine

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Lorsqu'il s'agit de sexe, certaines personnes sont prêtes à tout pour assouvir leurs fantasmes. La preuve avec ce couple qui était en pleine action dans la piscine d'un hôtel. Une vidéo que nous proposons de retrouver sur notre site Non Stop Zapping.http://www.non-stop-zapping.com/actu/divers/un-couple-en-pleins-ebats-sexuels-se-fait-surprendre-video-50943


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Vous lisez Les femmes lesbiennes s'engagent-elles plus vite ?
J'ai mis à peine un mois pour dire "je t'aime" à ma petite amie de l'époque, qui est aujourd'hui ma femme. Cela faisait deux ans que je sortais avec des personnes ici et là, mais c'était la première fois que je disais ces mots ou que je ressentais ces sentiments pour quelqu'un. C'était vrai à l'époque et ça l'est encore aujourd'hui, mais la vitesse à laquelle j'ai exprimé mes sentiments est devenue une sorte de blague entre nous. Le set-up : "Pourquoi ai-je dit 'je t'aime' si vite ?" La punchline : "Parce que je suis lesbienne."
Le stéréotype selon lequel les femmes queer s'engagent à la vitesse de la lumière est l'un des plus répandus, aux côtés d'une réticence à se raser et d'une passion non dissimulée pour la coupe de cheveux de Leonardo DiCaprio dans Roméo + Juliette. C'est ce que certain·e·s appellent le " U-Haul syndrom ", ou syndrome du camion de déménagement. Le concept a été introduit dans les années 1990 par une blague attribuée à Lea DeLaria , et repose sur l'idée que les femmes qui aiment les femmes emménagent ensemble dès le deuxième date, renonçant ainsi à une période de fréquentation plus longue et plus prudente. C'est quelque chose dont je peux attester à titre personnel, mais la question de savoir si c'est vraiment vrai est beaucoup plus importante.
Alors que cette expression est apparue dans les années 90, un article de Shauna Miller pour The Atlantic datant de 2013 décrit comment le stéréotype populaire a pris racine beaucoup plus tôt pour des besoins de sécurité. Dans les années 50 et 60, note-t-elle, les couples de femmes de même sexe qui étaient forcés de "rester dans l'ombre" emménageaient souvent ensemble pour des raisons pratiques. Le fait de vivre ensemble permettait d'être plus facilement un couple sans que les autres ne questionnent la relation. 
Mais cette explication a-t-elle encore sa place aujourd'hui ? En 2021, du moins en théorie, nous bénéficions d'une grande liberté d'expression et les questions qui entourent la vie en commun sont comme celles auxquelles les hétéros sont confrontées : une question de commodité et de partage du loyer plutôt que de sécurité en soi (bien que ce ne soit pas toujours le cas, surtout pour les jeunes femmes queer qui ne sont pas en sécurité dans leur famille).
Il existe même des recherches pour réfuter entièrement cette idée. Selon une étude américaine réalisée par l'université de Stanford en 2018, les couples de lesbiennes ne se mettent pas en ménage plus vite que les couples hétérosexuels. Ils ont interrogé 3 000 couples (dont 220 couples féminins) et sont arrivés à la conclusion que "contrairement aux idées reçues selon lesquelles les lesbiennes sont plus désireuses de s'engager, nos résultats indiquent qu'après avoir contrôlé l'âge des couples, il n'y a pas de différences significatives dans les taux de cohabitation entre les types de couples". Cependant, presque tou·te·s celles et ceux à qui j'ai parlé m'ont dit que, du moins anecdotiquement, le stéréotype tenait la route.
"Je pense qu'il y a définitivement du vrai là-dedans", confie Rosie, une lesbienne de 26 ans. "Même si je n'ai pas officiellement emménagé avec ma partenaire, j'éprouve le besoin de passer chaque heure de ma vie avec la personne qui me tient à cœur".
Lu, une femme queer de 25 ans, est d'accord avec moi : "J'ADORE plaisanter sur le stéréotype des lesbiennes et des femmes queer qui achètent une maison ensemble au deuxième rendez-vous, surtout avec une amie qui a décidé de partir en voyage avec sa petite amie une semaine pour son second date". Cependant, elle ne pense pas que cela soit nécessairement exclusif aux femmes qui sortent avec des femmes ou des personnes non binaires. "Je connais beaucoup d'hétéros qui ont fait la même chose, et je connais aussi beaucoup de femmes queer qui fuient l'engagement au pas de course et qui ont brisé de nombreux coeurs en cours de route". 
Les raisons sont un peu plus difficiles à cerner. Il existe plusieurs théories. D'après un article de Bustle , cela pourrait trouver son origine dans les forces combinées de l'hétérosexisme et de la lesbophobie intériorisée. Le Dr Lauren Costine explique : "Nous vivons dans une société qui rabâche à toutes les femmes que le fait d'être en couple est l'un des objectifs les plus importants dans la vie, sinon le plus important. Combinez ces deux facteurs avec la faible estime de soi causée par la lesbophobie intériorisée, et vous avez la recette parfaite pour cette inclinaison à l'engagement". Une autre théorie est que deux femmes produisent automatiquement deux fois plus d'ocytocine - appelée familièrement "hormone de l'amour" - ce qui nous encouragerait à nous attacher beaucoup plus rapidement. Ces affirmations sont pour le moins douteuses, notamment parce qu'elles reposent sur une vision cis-centrée des relations, mais aussi parce que les affirmations concernant l'ocytocine, plus largement, proviennent d'études réalisées sur des rongeurs, et non des humains, et ont été utilisées pour promouvoir des idées conservatrices anti-ivg et basées sur l'abstinence .
Il convient de mentionner ici que tout le monde n'est pas d'accord avec le concept de "U-Hauling". Ruby, une lesbienne de 23 ans, me dit qu'il lui a fallu plus d'un an pour emménager avec sa petite amie actuelle et, bien que cela soit vrai pour certaines personnes, "la plupart des lesbiennes que je connais ne sont pas comme ça". Ce n'est pas une expérience universelle, mais lorsque cela se produit, cela semble provenir d'une combinaison d'isolement et d'ouverture émotionnelle plus importante. Aless, une lesbienne de 21 ans, me dit : "Vivre caché, c'est isolant, ne pas pouvoir communiquer avec ses amis, c'est isolant, ne pas pouvoir communiquer avec la majorité du monde qui vous entoure, c'est isolant. Lorsque vous rencontrez quelqu'un qui vous comprend et qui vous aime en retour, le soulagement et l'euphorie que cela procure peuvent vous faire perdre toute prudence".
Cette ouverture émotionnelle peut entraîner des décisions hâtives, mais elle peut aussi être positive. Lu théorise que, pour elle du moins, "la rapidité de cet engagement vient de l'ouverture et de la maturité émotionnelle des femmes avec lesquelles j'ai été. Les femmes sont généralement plus habituées à assumer leurs émotions et à les exprimer ouvertement. Ainsi, lorsque cette belle phase de lune de miel a lieu, elles sont heureuses de la vivre plutôt que de s'inquiéter de la promiscuité et de l'engagement, ce qui pourrait les blesser. Ou si elles paniquent, elles sont peut-être plus susceptibles d'avoir une conversation directe sur la question".
Cela semble également être vrai pour les femmes bisexuelles avec lesquelles j'ai parlé. Miriam, 25 ans, me dit : "Dans mes relations avec les femmes et les personnes non binaires, tout est allé beaucoup, beaucoup plus vite... Je ne pense jamais avoir été dans une relation avec une personne qui n'était pas un homme où il a fallu plus d'un mois pour dire "je t'aime" (généralement moins avec les femmes avec lesquelles je suis sortie), mais dans ma dernière relation, qui était avec un homme cis-hétéro, nous étions ensemble pendant près d'un an et il a refusé de le dire... Je pense qu'il est assez normal pour les hommes, en particulier les hommes hétérosexuels, de se soustraire à leur engagement. Mon partenaire actuel est bisexuel lui aussi et, en fait, avec lui, c'était différent, et je pense que c'est en partie en lien avec sa sexualité".
Les critiques suggèrent que l'envie de se rapprocher est basée sur le désir d'éviter les difficultés des relations amoureuses. Mais il semble plus endémique de constater à quel point les femmes queer peuvent être isolées durant la puberté, dans l'impossibilité de sortir avec qui elles veulent ou même de comprendre pourquoi elles veulent sortir avec ces personnes. Trouver sa communauté, des personnes comme vous et des personnes qui aiment comme vous aimez peut être une chose incroyable et bouleversante après des années de sentiment d'isolement, et trouver cette personne peut donner l'impression que le monde se recentre pour la première fois.
Mais pour que la relation ait des bases solides, vous devez faire des compromis. Il vaut toujours la peine d'être prudent·e et de se demander, comme le dit Ruby : "Est-ce que je souhaite avancer avec cette personne ? Ou est-ce que je veux juste être avec elle parce que c'est la seule lesbienne que j'ai rencontrée en trois ans ? Mais cela ne doit pas vous faire fuir par peur d'être un stéréotype. Comme les normes en matière de rencontres, de monogamie et de représentation des LGBTQ+ signifient une plus grande acceptation de l'amour et des relations homosexuelles à un âge plus précoce, peut-être que cette propension à se jeter la tête la première dans une relation pourrait un jour disparaître. Ou peut-être pas. Il y aura probablement toujours des personnes comme Noora, une lesbienne de 26 ans, qui s'exprime ainsi : "Faire des pas importants ne me fait pas peur et ne m'a jamais fait peur. Je ne me suis jamais sentie piégée dans une relation. Je sais que si je veux en sortir, je peux en sortir. J'attends le camion de déménagement à bras ouverts".
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