Passion brûlante entre amants indiens

Passion brûlante entre amants indiens




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Passion brûlante entre amants indiens
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Enn sezur dan rwayom nu kreater, gardyin liniver?
ubyin enn somey profon dan saler to lebra? »
Quelle exaltation serait la plus majestueuse, celle qui découlerait d’un séjour dans le royaume de Dieu ou celle qui fondrait sur l’amant plongé dans le plus profond des sommeils, dans les bras de sa bien-aimée ? Le poète Thiruvalluvar, dans l’épique Thirukkural pressentait déjà que des passerelles invisibles reliaient amour profane et amour divin. Le Thirukkural n’est pas seulement un texte composé de diverses strophes qui déploient la dimension éthique, politique et économique de l’ancienne société tamoule. Il est également un magnifique traité sur la passion amoureuse, de ses crescendos éblouissants jusqu’à ses chutes vertigineuses. Neekeea Ramen et Kavinien Karupudayyan nous livrent une magnifique traduction en créole de ces strophes dans « Lamur an ekri », publié par Ledikasyon pu Travayer.
« li finn fer mwa enn regar an retur mo regar
Tout commence par le premier regard, celui qui est à l’origine du feu qui flamboie soudainement dans les yeux et dans le cœur des amants. Il possède l’autre et le dépossède en même temps, c’est le plein et le vide qui se heurtent dans un instant d’éblouissement. En proie à des forces contradictoires, les amants sont alors précipités dans un vertige délicieux : « premye regar, ki so lizye – dekore ar kajal – fer mwa, pik mo leker, prosenn la geri mwa » . La beauté de la bien-aimée ne cesse d’être glorifiée par l’amant : « tu zetwal pe vinn fol, perdi sime, kan zot finn dekuver lalinn dan so vizaz » . À chaque fois qu’elle l’enlace de ces bras parfumés, il a l’impression de renaître :
« to lebra telman inprenye avek amritham
Elle a un « zoli tin kuler mang » ek so « regar gazel » ensorcelle et brûle. On croirait entendre un autre refrain, venant d’un autre continent, consigné dans un autre livre sacré : la Bible. En effet, dans Le Cantique des Cantiques , la bien-aimée est comparée à « une gazelle, sur les monts du partage » . Si chez Thiruvalluvar, « laroze ki pe perle lor ledan sa tifi la
 du kuma enn melanz dile e dimyel » , dans Le Cantique des Cantiques , le bien-aimé s’exclame langoureusement :
« Tes dents, un troupeau de brebis tondues qui remontent du bain. Je mange du miel et mon rayon, je bois du vin et mon lait. Mangez, amis, buvez, enivrez-vous, mes bien-aimés » .
L’ivresse qui s’empare du cœur et du corps des amants les laisse chancelants au bord d’un abîme vertigineux:
« Sulezon larak vini kan to bwar li
Si la rumeur court depuis des siècles que Le Cantique des Cantiques révèlerait la passion mystique entre le roi Salomon et la reine de Saba, une autre histoire similaire nous est venue des rivages du sud de l’Inde… Entre amants bibliques et fiancés indiens, nul ne semble retrouver le chemin de la Raison…
Frénésie ? Maladie ? Délire ? C’est une confuse et diffuse souffrance qui s’infiltre, traversée çà et là par des éclairs lumineux et des tempêtes foudroyantes :
« Ena lamur enn kote, lot kote lapenn,
Devenus étrangers à eux-mêmes, les amants ne peuvent que céder à l’attrait irrésistible de cette passion qui les dévore et les détruit en même temps :
« avan, lamor ti enn etranze pu mwa
L’Isolde de Wagner, prise de passion, s’écriait : « Pour quel destin suis-je née ? Pour quel destin ? La vieille mélodie me répète – Pour désirer et pour mourir ! Pour mourir de désirer ! »
Pourquoi subir cette passion qui blesse et que toute la raison condamne ?
Se enn foli ki to pe kontiyn kurtiz li,
Kifer to bizin kontiyn sufer pu li »
Tout se passe comme si la passion est une catastrophe désirable, un naufrage secrètement souhaité. Le poète révèle que c’est « enn duler exki ! » . Si la séparation mène aux portes de « lasagrin » , ki « enn buton fler sek gramatin, enn fler brile dans soley midi, enn gro duler leker dan marenwar » , cette distance entre les amants ne fait qu’accentuer la passion : « so suvenir trap mo lame, sufle dan mo zorey ». « Kan mo pans li, mo leker brile » . L’intoxication est si forte que l’esprit amoureux récupère l’amant dans l’imaginaire : « kimanyer mo pu rekonpans sa rev ki finn ramenn mwa mesaz depi mo amure ? » « Si mo leker ankor pe bate, se parski mo kares li dan mo rev ». Il y a le refus et la négation du monde dans le transport amoureux et le retour au monde marque la chute dans un réel où l’intensité ne peut plus subsister : « Fer krwar ki kapav tuf nu lamur avek skandal, se fer krwar ki kapav teyn dife ar manteg » . Celui qui aime recherche désespérément l’apaisement dans une confidence à un être qui comprendrait la douleur insupportable de l’amour : « ki laport mo pu tape pu mo rakont duler mo leker ? » . Dans la sombre nuit, l’amant est consumé par des feux plus ardents : « Dan turbiyon lamur mo pe naze, san ki mo retruv lot kote rivaz, mo tusel omilye lanwit » . La Sulamite du Cantique des Cantiques s’écrie également : « Sur ma couche, la nuit, j’ai cherché celui que mon cœur aime. Je l’ai cherché et ne l’ai point trouvé ».
L’étreinte brûlante de deux corps qui se cherchent et s’enlacent, qui se dévorent et se déchirent, les flux et les reflux du don de chair, les marées de la jouissance mènent aux portes d’une transcendance qui pousse les amants à croire qu’ils se fondent graduellement dans une unicité délicieuse :
Pu ki lespas perdi so lexistans » .
« Pu ki lespas perdi so lexistans » … Nous atteignons ainsi les rives d’Eros, « le désir total, l’aspiration lumineuse, l’élan religieux originel porté à sa plus haute puissance, à l’extrême exigence de pureté qui est l’extrême exigence d’unité » , comme l’affirme Denis de Rougemont dans L’Amour et l’Occident .
Exaltés et désenchantés, fiévreux et lucides, les amants seraient-ils amoureux du tourment d’amour ? L’attente de l’être ne recèle-t-elle pas une étrange connivence avec l’érosion du désir ? Le désir se nourrit aux seuils des séparations. La passion cherche-t-elle l’accomplissement immédiat ou la brûlure du rêve qui s’éternise en soi ? Que veut l’âme, la possession ou la dépossession ? Qu’aime-t-on vraiment, la créature ou l’idée même de l’amour ? Aux portes des naufrages et des élévations, le saint nous a menés… Entre vertige foudroyant, transport frénétique, corps frémissant et délire divin, le saint nous raconte peut-être, tout simplement, la belle histoire de l’incessante quête de l’humain, la quête de sa propre âme…
La passion et la mort, le visage de l’aimé et la face cachée de Dieu, la séparation douloureuse et la nostalgie de la créature pour le créateur, le drame cosmique se rejouerait-il subtilement lors de la passion amoureuse ? La passion serait-elle un phénomène éminemment spirituel, sous ces humeurs malicieuses et ses fièvres malignes ? Si Thiruvalluvar, ce saint clairvoyant et lucide inclut dans ses strophes, des développements entiers sur l’amour, c’est peut-être parce qu’il a pressenti le lien étrange qui subsiste entre l’amour profane et l’amour sacré…

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Quelle exaltation serait la plus majestueuse, celle qui découlerait d’un séjour dans le royaume de Dieu ou celle qui fondrait sur l’amant plongé dans le plus profond des sommeils, dans les bras de sa bien-aimée ? Le poète Thiruvalluvar, dans l’épique Thirukkural pressentait déjà que des passerelles invisibles reliaient amour profane et amour divin. Le Thirukkural n’est pas seulement un texte composé de diverses strophes qui déploient la dimension éthique, politique et économique de l’ancienne société tamoule. Il est également un magnifique traité sur la passion amoureuse, de ses crescendos éblouissants jusqu’à ses chutes vertigineuses. Neekeea Ramen et Kavinien Karupudayyan nous livrent une magnifique traduction en créole de ces strophes dans « Lamur an ekri », publié par Ledikasyon pu Travayer.
« li finn fer mwa enn regar an retur mo regar
Tout commence par le premier regard, celui qui est à l’origine du feu qui flamboie soudainement dans les yeux et dans le cœur des amants. Il possède l’autre et le dépossède en même temps, c’est le plein et le vide qui se heurtent dans un instant d’éblouissement. En proie à des forces contradictoires, les amants sont alors précipités dans un vertige délicieux : « premye regar, ki so lizye – dekore ar kajal – fer mwa, pik mo leker, prosenn la geri mwa » . La beauté de la bien-aimée ne cesse d’être glorifiée par l’amant : « tu zetwal pe vinn fol, perdi sime, kan zot finn dekuver lalinn dan so vizaz » . À chaque fois qu’elle l’enlace de ces bras parfumés, il a l’impression de renaître :
« to lebra telman inprenye avek amritham
Elle a un « zoli tin kuler mang » ek so « regar gazel » ensorcelle et brûle. On croirait entendre un autre refrain, venant d’un autre continent, consigné dans un autre livre sacré : la Bible. En effet, dans Le Cantique des Cantiques , la bien-aimée est comparée à « une gazelle, sur les monts du partage » . Si chez Thiruvalluvar, « laroze ki pe perle lor ledan sa tifi la
 du kuma enn melanz dile e dimyel » , dans Le Cantique des Cantiques , le bien-aimé s’exclame langoureusement :
« Tes dents, un troupeau de brebis tondues qui remontent du bain. Je mange du miel et mon rayon, je bois du vin et mon lait. Mangez, amis, buvez, enivrez-vous, mes bien-aimés » .
L’ivresse qui s’empare du cœur et du corps des amants les laisse chancelants au bord d’un abîme vertigineux:
« Sulezon larak vini kan to bwar li
Si la rumeur court depuis des siècles que Le Cantique des Cantiques révèlerait la passion mystique entre le roi Salomon et la reine de Saba, une autre histoire similaire nous est venue des rivages du sud de l’Inde… Entre amants bibliques et fiancés indiens, nul ne semble retrouver le chemin de la Raison…
Frénésie ? Maladie ? Délire ? C’est une confuse et diffuse souffrance qui s’infiltre, traversée çà et là par des éclairs lumineux et des tempêtes foudroyantes :
« Ena lamur enn kote, lot kote lapenn,
Devenus étrangers à eux-mêmes, les amants ne peuvent que céder à l’attrait irrésistible de cette passion qui les dévore et les détruit en même temps :
« avan, lamor ti enn etranze pu mwa
L’Isolde de Wagner, prise de passion, s’écriait : « Pour quel destin suis-je née ? Pour quel destin ? La vieille mélodie me répète – Pour désirer et pour mourir ! Pour mourir de désirer ! »
Pourquoi subir cette passion qui blesse et que toute la raison condamne ?
Se enn foli ki to pe kontiyn kurtiz li,
Kifer to bizin kontiyn sufer pu li »
Tout se passe comme si la passion est une catastrophe désirable, un naufrage secrètement souhaité. Le poète révèle que c’est « enn duler exki ! » . Si la séparation mène aux portes de « lasagrin » , ki « enn buton fler sek gramatin, enn fler brile dans soley midi, enn gro duler leker dan marenwar » , cette distance entre les amants ne fait qu’accentuer la passion : « so suvenir trap mo lame, sufle dan mo zorey ». « Kan mo pans li, mo leker brile » . L’intoxication est si forte que l’esprit amoureux récupère l’amant dans l’imaginaire : « kimanyer mo pu rekonpans sa rev ki finn ramenn mwa mesaz depi mo amure ? » « Si mo leker ankor pe bate, se parski mo kares li dan mo rev ». Il y a le refus et la négation du monde dans le transport amoureux et le retour au monde marque la chute dans un réel où l’intensité ne peut plus subsister : « Fer krwar ki kapav tuf nu lamur avek skandal, se fer krwar ki kapav teyn dife ar manteg » . Celui qui aime recherche désespérément l’apaisement dans une confidence à un être qui comprendrait la douleur insupportable de l’amour : « ki laport mo pu tape pu mo rakont duler mo leker ? » . Dans la sombre nuit, l’amant est consumé par des feux plus ardents : « Dan turbiyon lamur mo pe naze, san ki mo retruv lot kote rivaz, mo tusel omilye lanwit » . La Sulamite du Cantique des Cantiques s’écrie également : « Sur ma couche, la nuit, j’ai cherché celui que mon cœur aime. Je l’ai cherché et ne l’ai point trouvé ».
L’étreinte brûlante de deux corps qui se cherchent et s’enlacent, qui se dévorent et se déchirent, les flux et les reflux du don de chair, les marées de la jouissance mènent aux portes d’une transcendance qui pousse les amants à croire qu’ils se fondent graduellement dans une unicité délicieuse :
Pu ki lespas perdi so lexistans » .
« Pu ki lespas perdi so lexistans » … Nous atteignons ainsi les rives d’Eros, « le désir total, l’aspiration lumineuse, l’élan religieux originel porté à sa plus haute puissance, à l’extrême exigence de pureté qui est l’extrême exigence d’unité » , comme l’affirme Denis de Rougemont dans L’Amour et l’Occident .
Exaltés et désenchantés, fiévreux et lucides, les amants seraient-ils amoureux du tourment d’amour ? L’attente de l’être ne recèle-t-elle pas une étrange connivence avec l’érosion du désir ? Le désir se nourrit aux seuils des séparations. La passion cherche-t-elle l’accomplissement immédiat ou la brûlure du rêve qui s’éternise en soi ? Que veut l’âme, la possession ou la dépossession ? Qu’aime-t-on vraiment, la créature ou l’idée même de l’amour ? Aux portes des naufrages et des élévations, le saint nous a menés… Entre vertige foudroyant, transport frénétique, corps frémissant et délire divin, le saint nous raconte peut-être, tout simplement, la belle histoire de l’incessante quête de l’humain, la quête de sa propre âme…
La passion et la mort, le visage de l’aimé et la face cachée de Dieu, la séparation douloureuse et la nostalgie de la créature pour le créateur, le drame cosmique se rejouerait-il subtilement lors de la passion amoureuse ? La passion serait-elle un phénomène éminemment spirituel, sous ces humeurs malicieuses et ses fièvres malignes ? Si Thiruvalluvar, ce saint clairvoyant et lucide inclut dans ses strophes, des développements entiers sur l’amour, c’est peut-être parce qu’il a pressenti le lien étrange qui subsiste entre l’amour profane et l’amour sacré…

Traduction par Stanislas Julien . Paris B. Duprat , 1859 ( 1 , p. i - 240 ).
book Les Avadânas, contes et apologues indiens Stanislas Julien Paris B. Duprat 1859 T 1 Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 1.djvu Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 1.djvu/11 i-240 
DE FABLES, DE POÉSIES ET DE NOUVELLES CHINOISES
PROFESSEUR DE LANGUE ET DE LITTÉRATURE CHINOISE
ADMINISTRATEUR DU COLLÈGE DE FRANCE, ETC.
LIBRAIRIE DE L’INSTITUT, DE LA BIBLIOTHÈQUE IMPÉRIALE, ETC.
PRÉSIDENT DE LA SOCIÉTÉ ASIATIQUE DE LONDRES
ASSOCIÉ DE L’INSTITUT IMPÉRIAL DE FRANCE
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Thien-wang-thaï-tseu-pi-lo-king .)
(De ceux qui se sont dépouillés de toute affection.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Fa-youen-tchou-lin , livre LII.)
(De ceux qui sont doués d’une intelligence divine.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Fa-yu-pi-yu king .)
(N’accusez pas les autres des malheurs qui vous arrivent par votre faute.)
(Extrait du livre intitulé : Tchang-tche-in-yroueï-king ( Svaranandî Grihapati soûtra ), II e partie.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Tsa-p’ao-thsang-king , livre VIII.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Fa-kiu-pi-yu-king , ou Livre des comparaisons tirées des livres sacrés.)
(Extrait de l’Encyclopédie intitulée : Fa-youen-tchou-lin , livre LI.)
(De ceux qui ont des vues étroites.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Fo-choue-i-tso-king , livre I.)
(De ceux qui alimentent leur propre malheur.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Fa-youen-tchou-lin , livre XLVI.)
(Extrait de Tchou-king-siouen-tsi-pi-yu-king , c’est-à-dire du Livre des comparaisons tirées des livres sacrés.)
(De ceux qui se laissent aveugler par la cupidité.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Ta-tchoang-yen-king-lun , livre VI.)
(On ne peut faire violence au destin.)
(Extrait de l’Encyclopédie Fa-youen-tchou-lin , livre XIX.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé Tsa-p’ao-thsang-king , livre I.)
(Extrait de l’Encyclopédie Fa-youen-tchou-lin , livre LXXXI.)
(De ceux qui travaillent à leur perfection intérieure.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Fa-kia-pi-ju-king .)
(De ceux qui travaillent à leur perfection intérieure.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Ta-tchoang-yen-king-lun , livre II.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Pe-yu-king , ou le Livre des cent comparaisons, partie II.)
(De la prudence et de l’hébétude d’esprit.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Tchang-han-king (Dirghâgama soûtra), livre VII.)
(De ceux qui s’attirent eux-mêmes leur malheur.)
(Extrait du livre XLV de l’Encyclopédie Fa-youen-tchou-lin .)
(Tiré de l’Encyclopédie Fa-youen-tchou-lin , livre LXI.)
(Fuyez le contact des hommes vicieux.)
(Extrait de la seconde partie du livre sacré Ta-tching-kiu-wang .)
(Extrait du livre intitulé : Ta-fa-kou , ou le grand tambour de la loi, partie II.)
(Il faut savoir sacrifier une partie pour sauver le tout.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Ta-tchi-tou-lun , livre XIV.)
(Rien de plus précieux que la vie.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Ta-tchi-tou-lun , livre XXVII.)
(N’estimez que ce qui est vrai et réel.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Yang-kiu-mo-lo-king , en sanscrit, Angoulimâlyasoûtra , livre II.)
(Extrait de l’Encyclopédie Fa-youen-tchou-lin , livre LXXVI.)
(Extrait de Ta-tchoang-yen-king-lun , en sanscrit : Soutrâlangkara çâstra , livre IX.)
(La vie est le plus grand des biens.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Ta-tchi-tou-lun , livre XIII.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Fo-pan-ni-pan-king , en sanscrit : le Parinirvan’a soûtra expliqué par le Bouddha , livre I.)
(Ne recherchez pas les hommes puissants.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Tchong-king-siouen-tsi-pi-yu-king .)
(De ceux qui font d’heureuses rencontres.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Tchong-king-siouen-tsa-pi-yu-king .)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Fo-pi-yu-king , ou Livre des comparaisons, exposé par le Bouddha , section X.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Tsa-pao-thsang-king , livre VIII.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Na-si-pi-khieou-king , livre II.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Fa-kiu-pi-yu-king .)
(Extrait du Livre des cent comparaisons, Pe-yu-king , I re partie.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Pe-yuk-ing , le Livre des cent comparaisons, partie II.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Ta-tchi-tou-lun livre XXVIII.)
(Extrait de la biographie de Kieou-mo-lo-chi , en sanscrit Koumâradjîva .)
(De ceux qui veulent quitter le rôle que la nature leur a assigné.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Fa-youen-tchou-lin , livre LXXVIII.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Tchou-king-siouen-tsi-pi-yu-king , c’est-à-dire le Recueil des comparaisons tirées des livres sacrés.)
(De ceux qui sont sous l’empire d’une illusion.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Sieou-khing-tao-ti-king .)
(Extrait de l’ouvrage intitulé Pe-yu-king , ou le Livre des cent comparaisons, partie I.)
(De ceux qui ne savent pas aller droit à leur but.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Tsien-yu-king ou Livre des comparaisons empruntées à la flèche, chap. iii .)
(De ceux qui s’écartent de la raison.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Pe-yu-king , ou Livre des cent comparaisons, partie I.)
(De ceux qui s’écartent de la raison.)
(Extrait du livre intitulé : Pe-yu-king , ou le Livre des cent comparaisons, partie II.)
(De ceux qui s’écartent de la raison.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : Fa-youen-tchou-lin , livre LIII.)
(De ceux qui méconnaissent le véritable emploi
des choses [23] .)
(Extrait de l’ouvrage, intitulé : le Livre des comparaisons du roi Açôka .)
(De ceux qui se laissent aveugler par la convoitise.)
(Extrait de l’ouvrage intitulé : le Livre des cent comparaisons, partie I.)
(De ceux qui se laissent aveugler par la convoiti
Deux superbes jeunes lesbiennes
Chevaucher au milieu du parc
Belle blonde se fait exploser par deux mecs

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